Historique des locaux dans les PV du CA (1995

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HISTORIQUE DES LOCAUX DANS LES PV DES RÉUNIONS DU CA DE LA
FONDATION LFSL (1995 – 2015)
Françoise Guionneau
Professeur – Membre du Conseil d’administration
Lycée Français Saint Louis
Cet historique n’a qu’un seul but : Montrer combien le Lycée Français Saint Louis de
Stockholm a toujours souffert d’un seul et même problème et ce, depuis sa création:
Un manque d’espace récurrent, son corolaire étant une dépendance vis-à-vis des
structures d’accueil.
En effet, l’École française créée en 1862 mais qui prit son essor en 1866, était une
école d’enseignement du français qui sous diverses pressions dut ouvrir une section
suédoise très tôt, innovant en créant ainsi une école à double cursus : français et
suédois.
Les deux cursus se développèrent dans un seul et même ensemble sis à
Kammakargatan 36, puis Drottninggatan 108 et enfin à Döbelnsgatan 7-9 et 11, géré
par la Fondation Beneficentia sous la présidence des sœurs de l’Ordre de Saint
Joseph de Chambéry qui en étaient propriétaires.
L’École s’agrandissant, le « Cours Français » (1939-54) devenant le « Cours Saint
Louis » (1954-80) survinrent des temps difficiles pour les élèves des deux cursus.
Vint aussi le temps pour la « petite école française » de prendre son envol.
Ainsi observe-t-on dans les documents une grande instabilité due à la location de
locaux dans différentes écoles de la ville de Stockholm, les élèves étant ainsi répartis
sur plusieurs sites: C’est le temps d’une école « éclatée ».
Dans le protocole du 14 février 1966, il est écrit que, en août 1965, 4 classes
suédoises sont hebergées à Norrmalmkommunala Flickskola et 6 classes du « Cours
Saint Louis » à Johannesplan numéro 3.
Pour le « Cours Saint Louis » commence alors une longue et pénible pérégrination
-
Johannesplan 1
Banergatan
École anglo-american Shool
Enfin le 3 mars 1975 est signé un contrat de location entre la directrice du « Cours
Saint Louis », Madeleine Sirantoine, en représentation du Stiftelsen et Olov Gavelin
en représentation de Stora Essingensskola.
Ainsi, débuta une aventure qui se poursuit aujourd’hui.
Cependant, 15 ans plus tard, dès 1990, se posa à nouveau le problème du manque
d’espace et de notre dépendance vis-à-vis de nos propriétaires.
Le cri d’alarme est lancé dès la rentrée 1995, comme il est possible de le constater
dans le premier document soumis (Cf : p. 3).
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Depuis lors, instabilité, jeu éternel entre « construire » ou « déménager » sont les
« leitmotive » des membres des Comités de gestion ou Conseils d’administration qui
se sont succédés.
Après lecture des extraits de PV que je vous soumets aujourd’hui, il semble clair que
la seule solution est :
« déménager » et/pour acquérir notre « indépendance».
Quelques conclusions supplémentaires pour l’avenir :








-
Définir notre projet d’école à long terme
Créer les conditions qui permettront d’assurer l’avenir de ce projet :
Recrutement d’un chef de projet (Cf: p.26)
Cahier des charges (Cf: p.27)
Création d’une « commission de veille »
Développer l’entente Essingeskola/SiSAB/LFSL (fondamentale).
Explorer le parc immobilier géré par SISAB
Associer les parents à une recherche de nouveaux locaux
Travailler nos relations avec les riverains
Identifier les questions d’environnement
Tenir compte des éléments suivants dans le cas d’une éventuelle
construction:
L’école est un bâtiment classé
Une politique de limiter la présence des enfants sur l’île est-elle toujours de
rigueur?
Essingeskolan est vouée à s’étendre donc à empiéter sur le LFSL
Pour une projection de nos effectifs il est impératif de :


-
Étudier la « loi » sur les effectifs scolaires qui limite à 10% les enfants n’ayant
aucun lien avec la France (Cf: p. 28 et 30)
Visualiser que le FRITIDS joue un rôle important voire fondamental. Il doit
donc être perçu à 2 niveaux :
Relations LFSL/Fritids
Espace
Enfin, une prospection pourrait être réactivée auprès des Communes de Solna
(2006) et Stockholm.

Ayant scanné les PV, je ne suis pas responsable de l’orthographe
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PV du 26 septembre 1995
3- Le point sur la rentrée
Le point sur les travaux (annexe)
Le coût total des travaux effectués dans l’annexe se chiffre à 122 000 SEK.
Madame FRITZELL demande à ce que des mesures soient rapidement prises afin
d’améliorer l’acoustique qui est détestable dans ces deux salles.
4- Compte rendu de la visite de locaux
Monsieur VALIA-KOLLERY, Monsieur MALMQVIST et Monsieur LEVY ont visité une ancienne
maternité « Allmäna BB » qui pourrait être aménagée en établissement
scolaire et ensuite louée.
Outre une bonne situation géographique, ce bâtiment semble être de bonne qualité.
Cependant, si le Lycée St Louis devait déménager, il faudrait, lors des travaux, être très
vigilant à l’agencement des salles.
Pour le moment le comité attend de recevoir le coût de cette location après travaux.
Les travaux pourraient débuter dès janvier 1996 et le bâtiment livré en janvier 1997.
PV du 13 novembre 1995
c)Locaux : l'Ecole Royale Polytechnique KTH qui occupe actuellement une partie des locaux
d'Allmäna BB a reconduit son contrat de location jusqu'à 1999. Ce qui implique qu'une
étude complète d'aménagement des locaux disponibles est à refaire et il semble que les
propriétaires ne sont pas très motivés par cette perspective.
Il reste donc trois solutions possibles :
- extension des locaux actuels par la construction d'une nouvelle aile ce qui
ferait un apport de 9 salles,
- installation dans la cour de locaux préfabriqués (9 salles de plus),
- relancer les recherches de location de locaux libres.
On peut tout de même demander à SISAB de réactualiser les devis pour les deux premières
solutions.
PV du 7 février 1996
7- Projets du Lycée :  locaux,
A partir de la rentrée 1996, le Lycée aura besoin d'une salle supplémentaire en primaire et
aura une salle en moins, cédée à l'école suédoise.
La solution envisagée d'aménager la partie entresol -infirmerie, bureau de la
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psychologue, salle de réunion - en 2 salles de classe a été rejetée par SISAB.
Par contre, existe la possibilité de transformer l'annexe en 4 salles de classe au
lieu de 2 actuellement, pour un coût de 26 250 SEK - TTC.
Les membres mandatent M. MALMQVIST pour négocier avec le propriétaire de
l'annexe le renouvellement du contrat de location du local pour une durée d'un
an et non de 3 ans fermes comme il le désire, avec autorisation d'effectuer les
transformations.
Différents bâtiments qui vont se libérer sont cités :
- 3 bâtiments dans l'ancienne garnison près de l'Ambassade de France
(15 000 m2),
- un immeuble sur Stora Essingen (5 000 m2),
- le petit local de 120 m2 situé sur Essingetorget est toujours libre.
Le comité accepte que l'agence immobilière Husistan qui a contacté le Lycée se
charge de prospecter le marché afin de proposer des solutions éventuelles.
PV du 18 avril 1996
9- Locaux :  nouveau contrat de location de l'annexe,
 compte rendu de visites
 Nouveau contrat de location de l'annexe
Le contrat de location de l'annexe a été renouvelé en date du 09/03/96 pour la durée du
1er/07/96 au 30/06/98 avec une indemnité en cas de rupture avant échéance correspondant à
2 mois de loyer. Le coût annuel passe de 230 000 à 242 000 SEK.
Skolforvaltningen a adressé le nouveau contrat tenant compte de la perte d'une salle rendue à
Essinge skolan et du nouveau taux d'occupation du Lycée français (82 % au lieu de 86 %).
Le loyer de base a subi une augmentation justifiée par la progression du coût de la vie et la
stabilité du loyer les trois dernières années.
M. MALMQVIST informe les membres que l'annexe a fait l'objet d'une inspection qui a révélé
un manque de ventilation adaptée. Le propriétaire attend le rapport écrit pour le transmettre à
l'établissement. Il faut d'ores et déjà envisager une dépense conséquente.
 Compte rendu de visites
Deux bâtiments ont été visités :
- à Östermalm, dans l'ancienne garnison : bonne situation géographique, espaces verts à
proximité, bonne desserte par les transports en commun.
Espaces verts à proximité, bonne desserte par les transports en commun.
L'inconvénient serait que la surface occupée par le Lycée serait enfermée dans un complexe
de bâtiments,
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- locaux dans un immeuble occupé par des bureaux, près du port mais qui
présentent trop d'inconvénients pour pouvoir être retenus.
Faute d'offres intéressantes, le Lycée aurait à se diriger vers une solution d'aménagement
des locaux actuels.
PV du 25 septembre 1995
les travaux :
Mr. Levy prend la parole en indiquant les travaux qui ont été réalisés pour la rentrée 1996 :
1) Les salles 307 (histoire-géo) et 308 (dessin) sont opérationnelles. La salle 205 (technoinformatique) est maintenant prête. Mr. Boucher précise que les normes sont
respectées malgré le manque de place.
2) L'annexe a également été réparée. Au sujet de l'annexe, Mr. Levy évoque le différent qui
oppose le lycée à ABC BYGG. En effet, il a été adressé au lycée une première facture de
34.000 SEK correspondant au devis. Or, deux semaines plus tard ABC BYGG a adressé
une facture d'un montant similaire correspondant à des travaux supplémentaires
réalisés. Travaux qui n'avaient pas été demandés.
Mr. Levy demande quelle est l'attitude à adopter dans ce cas de figure et si un devis a
valeur contractuelle en Suède ?
Mme Moullé-Zetterström indique qu'un autre devis aurait dû être proposé, sauf s'il est
spécifié dans le contrat que l'entrepreneur a le libre choix de réaliser des travaux
supplémentaires si celui-ci juge que c'est nécessaire. De plus, un vrai professionnel
aurait dû mieux évaluer le travail à réaliser.
Compte tenu du fait qu'un devis précis n'a pas été établi entre ABC BYGG et le lycée, il
faut reprendre contact avec ABC BYGG afin de discuter chacun des points. Pour les
réparations imprévisibles, il faudra donner son accord pour le paiement, mais pour les
travaux supplémentaires réalisés sans l'avis du lycée il faudra trouver un arrangement à
l'amiable.
3) Mr. Levy évoque maintenant les problèmes rencontrés avec l'aération de l'annexe. Les
travaux réalisés pour la rentrée 1995 s'avèrent inutiles. L'aération de l'annexe n'est pas
aux normes. Mr. Levy souhaiterait connaître les normes exactes, afin d'évaluer quels
sont nos besoins par rapport aux m2 et par rapport au taux de fréquentation de
l'annexe, et ainsi demander plusieurs devis. Mr. Malmqvist indique que Mr. Tengdahl, le
propriétaire, doit connaître le service de contrôle qui peut nous renseigner.
3/ Le point sur les locaux :
En septembre 1997, le lycée ne pourra pas accueillir plus d'élèves qu'il n'en accueille déjà en
l'état actuel des locaux : la seule possibilité serait alors de n'ouvrir que 1,5 classe de
maternelle contre 4 cette année. Sisab a été consulté afin de nous indiquer les différentes
alternatives quant à l'extension des locaux déjà existants. 2 solutions ont été proposées :
a- bloc de 9 salles en dur
nombre de m2 : environ 500m2
coût : 1300 à 1400 SEK/m2, ce qui implique une augmentation de 40% du prix du loyer
Coût annuel : 4,8 millions SEK au lieu de 3,2 millions SEK actuellement.
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Autre conséquence : contrat prolongé de 10 ans.
b- préfabriqué
2 salles de 70 m2, couloir, WC
coût : 450 000 SEK/an sur 5 ans
Autres informations et propositions :
1) SML (Bureau de la promotion de Stockholm) : 3 hôpitaux vont peut-être se libérer d'ici
trois à quatre ans, mais aucune décision n'a encore été prise.
2) AKADEMISKA HUS : le bâtiment de Musica Huset, sur Valhallavägen, en face du
"Stadion" devrait se libérer en 1999.
Un choix s'impose donc. Soit on décide d'attendre 3 ou 4 quatre ans dans des conditions
précaires qu'un bâtiment se libère, soit on décide de s'installer sur le site actuel de manière
plus permanente (10-15 ans). Mr. Levy demande qu'une décision soit prise par le comité car
le lycée ne pourra pas tourner à la rentrée 1997.
Compte tenu du manque de réelles alternatives -en effet, si l'on décide d'attendre 3 ou 4
ans, nous n'avons pas la garantie que des locaux se libéreront d'ici là, le comité décide donc
de s'orienter vers l'extension des locaux déjà existants. Une solution de type a est retenue,
mais ce à condition que le contrat de location soit renégocié en des termes fixes avec Sisab
(garantie des m2 disponibles pour le lycée, garantie de Sisab concernant l'état des
tuyauteries et de l'évacuation).
La liste des opérations est fixée comme suit :
- définir la capacité maximale d'accueil des élèves. Le nombre de 550 à 600 élèves est
retenu,
- établir un cahier des charges. Mr. Levy, Mr. Philipson, Mr. Boucher et Mme Lemaire sont
chargés de cette démarche,
- contacter les parties concernées (parents, professeurs, AEFE). Mr. Levy est chargé de
cette démarche,
- contacter Sisab pour la réalisation d'un devis précis, pour la construction de locaux
adaptés aux besoins du lycée. Pour cette démarche Mr. Descrières indique à Mr. Levy
qu'il peut contacter l'Ambassadeur afin de solliciter l'assistance de Yann Pennes, architecte
CSN,
- engager les négociations du contrat avec Sisab et Skolverket, l'aide d'un juriste est
indispensable, Mr. Descrières propose le cabinet Zanders. Mr. Malmqvist assistera Mr.
Levy dans cette démarche.
Mr. Peytier informe le comité que Mr. Yves Aubin de la Messuzière, sous-directeur à la
DGRSTC sera à Stockholm le 9 octobre et qu'il serait intéressant de lui soumettre le
problème.
Une date butoir fixée au 24 octobre 1996 est retenue pour réaliser toutes ces démarches,
date à laquelle se rencontreront à nouveau les membres du comité.
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PV du 24 octobre 1996
e- Ventilation
La ventilation de l'annexe est sévèrement hors norme. La loi impose que tout bâtiment
soit en conformité dès janvier 1997. Les différents devis dont le lycée est en possession
pour l'installation d'une ventilation aux normes suédoises se situent entre 250.000 et
300.000 SEK. Il est cependant possible de demander une dispense de 6 mois pour être en
conformité avec la loi. Le lycée va donc demander une dispense aux autorités, ceci afin de
ne pas engager des dépenses inutiles. En effet, l'évolution des locaux telle qu'elle est
prévue pour 1997 devrait nous dispenser de l'annexe, il donc préférable de ne pas
engager le lycée dans des travaux et dépenses dont il n'aura pas la jouissance.
2- Le point sur les locaux
Suite à la décision prise lors de la réunion du comité de gestion du 25 septembre
dernier d'étendre les locaux, le lycée a rencontré les responsables de SISAB qui ont
proposé des plans pour le bâtiment à construire. Ce bâtiment comporterait les
éléments suivants :
- 10 salles de classes (dans lesquelles serait regroupée l'école primaire),
- 1 bureau,
- 1 espace de rangement,
- 1 CDI, 1 infirmerie,
- 1 salle de motricité pour les maternelles (100 m2),
- 1 préau couvert au deuxième étage.
Les deux bâtiments seront reliés par une large passerelle en béton. Le nouveau
bâtiment lui sera construit en bois ceci afin d'en limiter le coût et le délai de
construction. Comme cela a été exigé, le lycée pourra se dégager des m2 loués à
l'école suédoise afin de s'assurer une surface fixe dont il restera locataire premier.
Cette construction va engendrer un surcoût de 1 200 000 SEK/an ce qui représente une
augmentation des frais scolaires de 2500 SEK par enfant. Le lycée ne peut pas attendre
une participation de l'Agence car les bâtiments sont loués. Cependant, une demande
de d'équipement sera déposée ce qui permettrait notamment de remettre les salles de
sciences en conformité. La solution envisagée pour couvrir ce surcoût serait de
dégager des frais scolaires le montant consacré aux repas, la cantine ne serait plus
obligatoire, (175 jours x 22,50 SEK = 4000 SEK), les autres dépenses ne pouvant pas
être réduites (personnels, infrastructures franco-suédoises...).
Il est suggéré par les membres que les entreprises françaises basées en Suède soit
contactées afin de définir s'il est possible d'envisager un investissement de leur part
pour le lycée.
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Mme TASSEL souhaiterait connaître la durabilité du bâtiment, M. LEVY propose que
Yann PENNES, architecte CSN de l'Ambassade de France, soit consulté pour qu'il donne
son avis.
Les membres du comité donnent, à l'unanimité, un accord de principe sur la
construction de ce nouveau bâtiment.
M. LEVY précise qu'il a eu la visite d'un parent d'élève qui est contre le projet de
construction pour deux raisons :
1/ La sécurité ne serait pas assurée au lycée ;
2/ Au 1er janvier 1997, la commune de Stockholm va être divisée en 24 entités
indépendantes, ce qui risque d'engendrer des changements relatifs aux
subventions.
Concernant le premier point, M. LEVY précise que le personnel du lycée est sensibilisé
au problème de la sécurité, il doit être vigilant et intervenir au cas où des personnes
étrangères viendraient à circuler dans l'enceinte du lycée. Néanmoins, il est difficile de
renforcer la sécurité plus qu'elle ne l'est déjà, le bâtiment étant aussi un bâtiment
public (bibliothèque de l'île, fritids...).
Devant le manque d'information relative aux subventions, et devant le manque
d'alternative, les membres du comité donnent, de nouveau, leur accord de principe
pour la construction du nouveau bâtiment.
PV du 19 décembre 1996
2- Question des locaux
M. LEVY indique que malheureusement le lycée se heurte à des problèmes relatifs à
l'agrandissement des locaux. Les responsables de SISAB ne peuvent pas encore garantir la
date de livraison de ces nouveaux locaux. Ceci est essentiellement dû aux plaintes de
personnes hostiles à cette extension qui ont contacté les services locaux, les motifs
principaux de ces plaintes sont :
1- Pourquoi l'école privée s'agrandit-elle au détriment de l'école publique ?
2- Les habitants de l'île sont réticents à une extension du lycée (problèmes de circulation,
bruit...).
M. LEVY a donc alerté quelques familles suédoises dont les enfants sont scolarisés au lycée
afin de les inciter à prendre contact avec les représentants locaux pour nous appuyer.
M. LEVY a rencontré M. ARNESSON, interlocuteur de SISAB, pour lui faire une nouvelle
proposition, ceci en tenant compte du fait que l'école suédoise veut une surface plus
importante que celle initialement demandée (2 salles de classe, 1 grande salle, 1 bureau, 1
local de rangement, en plus des 270 m2 que nous leur cédions). La proposition qui, résolvant
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le problème de locaux de Essinge skola, devrait aplanir une partie de l'opposition à notre
projet est la suivante : agrandir la plate-forme du 1er étage entre les 2 bâtiments pour y
construire une salle de classe, en partie à l'endroit prévu pour notre salle de motricité. Ceci
nous obligerait à placer la salle de motricité sur la plate-forme du 2ème étage, mais nous
permettrait d'agrandir le CDI.
M. LEVY transmet les nouveaux plans aux membres en indiquant où se localisent les
changements. L'école suédoise récupérerait tout le rez-de-chaussée et l'actuelle salle 100, le
lycée récupérerait la totalité du 2ème étage. Il est envisageable de regrouper les classes de
maternelle en salles 201/202/203, il faudra en étudier la fonctionnalité. Un inconvénient
concernant le CDI apparaît, celui-ci n'aura pas de lumière directe, la solution serait de mettre
des dalles de verre sur le sol de la salle de motricité qui se situera au-dessus.
Les modifications que nous devons apporter n'ayant pas été demandées par le lycée, M.
LEVY a exigé que le coût des travaux reste celui qui avait été fixé dans le devis original. M.
ARNESSON doit en discuter avec les responsables de SISAB.
M. LEVY souhaite rencontrer le président de SISAB avec un parent d'élève suédois afin de
discuter de tous ces points.
Si les 3 parties (Lycée Saint Louis, école suédoise et SISAB) parviennent à un accord, les
locaux devraient fonctionner de manière plus optimale même si, malheureusement, le
problème de la cantine et du gymnase n'est toujours pas résolu. De plus, si l'école suédoise
peut profiter de notre agrandissement pour s'étendre elle aussi, les habitants de l'île seront
bien moins hostiles.
Le comité de gestion donne son accord pour la nouvelle proposition de SISAB.
M. LEVY indique qu'il a visité le lycée médical (école d'infirmières) situé à Gubbängen (sud
de Stockholm). Celui-ci a une surface de 11000 m2, le loyer est de 8.000.000 SEK/an. Il y a
malheureusement trop d'espace perdu dans ces locaux et notamment 2500 m2 de sous-sol
inutilisables.
M. LEVY précise qu'il continue à étudier toutes propositions au cas où l'une d'elles pourrait
nous convenir et afin d'avoir une alternative à un déménagement si les discussions avec
SISAB n'aboutissaient pas.
Mme MOULLÉ-ZETTERSTRÖM pense qu'il faut malgré tout garder la solution proposée par
SISAB.
Concernant le financement des travaux et sa répercussion sur le montant des frais scolaires,
un calcul a été réalisé (voir document en annexe). Deux solutions de financement ont été
retenues :
 La fondation du lycée ne participe pas financièrement à la construction de ces nouveaux
locaux: Elle place ses 3 millions de SEK. Le produit du placement permet de limiter
l'augmentation des frais de scolarité à 2950 SEK / an / enfant.
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 La fondation du lycée investit 3 millions de SEK au profit de SISAB pour une durée de 15
ans. Une réduction de loyer de 350.000 SEK est accordée par SISAB. L'augmentation des
frais de scolarité s'élève à 2630 SEK / an / enfant.
M. DESCRIÈRES et Mme MOULLÉ-ZETTERSTRÖM pensent qu'il faut retenir la solution  qui
est moins rigide et qui permet à la fondation de ne pas perdre les 3 millions de SEK investis.
De plus, si la solution  devait être retenue, le lycée serait bloqué pour 15 ans, ce qui est
une longue période, peu pratiquée en Suède. M. DESCRIÈRES insiste de nouveau sur
l'hypothèse  car nul ne connaît aujourd'hui la durée de vie du bâtiment. M. LEVY indique
que pour l'hypothèse , les 3 millions de SEK disparaissent, ce qui est quelque peu
choquant.
Mme MOULLÉ-ZETTERSTRÖM, avec l'accord des membres du comité, approuve et retient
l'hypothèse  (solution hors investissement) pour le financement des travaux. Il faudra
cependant être attentif à la rédaction du contrat, que se passera-t-il en cas de rupture du
contrat?, il sera essentiel d'évoquer plusieurs cas de figure.
PV du 5 février 1997
2- Locaux
a- compte rendu de la réunion avec M. HENRIKSSON, président de SISAB.
b- compte rendu de la réunion avec SISAB, Skolförvaltningen et Essinge skolan.
M. LEVY a rencontré M. HENRIKSSON avec un parent d'élève suédois, M. WEHLANDER, afin
de fixer l'état d'avancement du projet d'extension des locaux.
Aucune garantie relative à la date de livraison des nouveaux locaux n'est possible car :
- le permis de construire n'est pas encore déposé par SISAB suite à des hostilités relatives à
ce projet. Pour limiter les heurts avec les habitants de l'île, les besoins de Essinge skolan,
école communale, devront être satisfaits dans le cadre de ce projet pour que celui-ci se
voit accepté,
- le bâtiment du lycée étant classé monument historique, le bureau de Statsmuséet doit
donner son accord, M. LEVY a contacté M. ARNESSON aujourd'hui pour qu'il l'informe à
ce sujet. M. ARNESSON a précisé que les membres de SISAB doivent rencontrer les
responsables de Statsmuséet le 6 février.
M. LEVY a demandé à Yann PENNES, architecte de l'ambassade, de prendre contact avec
l'architecte de SISAB pour travailler en collaboration avec lui sur le projet.
M. LEVY montre les nouveaux plans aux membres. Il y a des modifications apportées au 1er
étage:
- une salle pour l'école suédoise a été ajoutée,
- la salle de motricité passe au 2ème étage,
- la surface du CDI est réduite à moins de 200 m2.
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Une condition a été demandée par Essinge skolan : une séparation qui marque la frontière
physique entre les deux institutions doit être construite dans le couloir du 1er étage.
La salle de motricité passant au 2ème étage, il faudra étudier la possibilité de déplacer
l'école maternelle dans les salles 201, 202 et 203. Il faudra voir avec M. PENNES comment
l'école maternelle pourrait être aménagée.
Mme TASSEL souligne que les parents s'interrogent tous sur l'évolution du projet. L'APE
essaie de renseigner les parents au mieux. Certains d'entre eux sont contre le projet
d'extension et pour un déménagement. Mme TASSEL demande s'il est possible de donner
des informations plus précises aux parents sur les délais de livraison de ces nouveaux locaux.
M. LEVY répond que dans la mesure où SISAB ne nous a pas donné de garantie, il est
impossible de donner des renseignements détaillés aux familles.
M. PHILIPSON précise que si les habitants de l'île sont contre ce projet de construction, ils
peuvent ralentir les procédures. A ce sujet, Mme MOULLE-ZETTERSTRÖM précise que les
procédures auprès de STADSBYGGNADSKONTORET peuvent prendre près de deux ans. M.
DESCRIÈRES indique que ce bureau a des exigences qu'il faut respecter et peut vraiment
poser des problèmes s'il y a des objections -voire une seule objection- à un projet de
construction.
M. PHILIPSON demande -dans la mesure où le projet d'extension ne pourrait pas se faire- où
en sommes-nous avec le projet de Gubbängen (Ecole d'infirmières dont les locaux sont
libérés fin 1997) ? M. LEVY répond que le lycée garde cette option ainsi que celle de
MUSIKHÖGSKOLAN située à Karlavägen à l'horizon 1999.
Mme MOULLÉ-ZETTERSTRÖM pense qu'il faut s'en tenir à ce projet d'extension et exiger des
garanties de SISAB et en fonction de la réponse de STADSBYGGNADSKONTORET -si celle-ci
est négative- il faudra prendre des décisions relatives à un déménagement et étudier les
autres alternatives en détail.
c- Loyer
Le loyer reste cher malgré des tuyauteries vieilles, une sécurité non assurée, etc. De plus,
MILJÖFÖRVALTNINGEN a envoyé son rapport d'inspection. M. LEVY transmet ce rapport aux
membres qui en prennent connaissance. Ce rapport indique clairement les problèmes
relatifs à l'environnement au lycée. Certains points concernent directement le lycée :
toilettes, salle fumeurs. En ce qui concerne les toilettes, leur nettoyage est désormais assuré
2 heures par jour, la salle fumeurs, elle, est devenue une salle non-fumeurs. Les autres
points concernent directement SISAB. La ventilation est l'un d'eux, le rapport OVK n'a pas
été transmis au lycée par SISAB. M. PHILIPSON indique que si ce document dit que la
ventilation n'est pas aux normes, nous pourrions être en droit de demander à SISAB des
indemnités et une baisse de loyer. SISAB a-t-il loué le bâtiment aux normes ? M. LEVY a
contacté M. ARNESSON afin qu'il nous envoie ce document dans les plus brefs délais.
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Mme MOULLÉ-ZETTERSTRÖM demande : si l'on ne peut pas construire, si la ventilation n'est
pas aux normes, que fait-on ?
M. LEVY propose la solution du préfabriqué, mais cela implique de continuer à utiliser
l'annexe qui devra également subir des travaux relatifs à la ventilation qui est hors normes.
De plus, la construction de préfabriqués engagera des frais qui, de toute façon, ne
permettront pas au lycée de tourner convenablement.
Mme la présidente souhaite que le lycée aille jusqu'au bout du projet. Si celui-ci ne devait
pas aboutir, il faudrait envisager d'autres solutions.
PV du 16 avril 1997
4- Locaux
Etat d'avancement du projet :
Les nouveaux et derniers plans sont communiqués aux membres du comité qui en prennent
connaissance, certaines modifications ont été apportées, le nouveau bâtiment répondra
naturellement à toutes les normes de sécurité et d'hygiène, il sera constitué de trois étages,
et non plus de deux, la surface totale sera de 1560 m2, il se présentera comme suit :
- 1er niveau :
Infirmerie et école maternelle dont la structure sera adaptée à des enfants de cet âge,
une salle de motricité et une salle de repos.
- 2ème et 3ème niveau :
L'école élémentaire et le bureau du directeur du primaire.
Il y aura donc possibilité d'abandonner l'annexe et de donner aux grands élèves un foyer. La
grande passerelle qui devait accueillir le CDI ayant disparu, le CDI pourrait être transféré
dans les salles 201-202-203 (environ 200 m2) pendant l’été 1998.
Demande de garantie de SISAB :
Suite à la rencontre qu'il a eu avec M. ARNESSON, M. LEVY a reçu aujourd'hui un contrat de
location. Ce contrat prendrait effet dès le 1er janvier 1998, cependant la date de livraison
des locaux fixée au 15/12/97 n'est pas garantie. Le permis de construire a été déposé, mais
tant que celui-ci n'est pas accepté, aucune date ne peut être fixée. De plus, même si le
permis est accepté, les voisins peuvent intervenir auprès des autorités pour faire appel. Dans
ce cas, le délai de construction peut être retardé de huit mois à deux ans après l'obtention
du permis.
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D'autre part, ce contrat englobe les deux bâtiments, ce qui n'est guère souhaitable car si à
l'avenir nos besoins en espace devaient se réduire, il faudrait renégocier le contrat dans son
intégralité, or dans la mesure où le prix du m2 n'est pas le même pour les deux bâtiments,
deux contrats distincts doivent être rédigés. Chaque contrat devra comporter une clause de
désistement, les pénalités ne devront porter que sur le nouveau bâtiment.
Il est donc urgent de provoquer une réunion portant sur le contrat. Maître ZANDERS, qui
assiste déjà M. LEVY dans la rédaction de ces contrats, devra être présent à cette réunion.
De plus, il est précisé dans ce contrat que SISAB s'autorise à terminer certains travaux après
la livraison des locaux, ce qui n'est guère acceptable. Il est donc indispensable de faire
préciser tous les travaux dans leur intégralité et indiquer clairement quels travaux devront
être terminés avant la livraison du bâtiment. Il est décidé que tous les travaux qui ne seront
pas terminés à la date prévue ne seront pas réglés. Le contrat doit être revu dans son
intégralité point par point pour éviter tout litige dans l'avenir.
PV du 5 juin 1997
Concernant le nouveau bâtiment, la rentrée prochaine se fera dans les locaux tels qu’ils
existent actuellement, il ne reste plus que la signature du permis qui devrait se faire cette
semaine. Il ne devrait pas y avoir de problème pour une livraison fin décembre 1997.
PV du 30 septembre 1997
5- Le point sur les locaux
 La construction du bâtiment avance rapidement, les délais vont apparemment être
respectés.
Sur notre demande, SISAB va effectuer des travaux d’aménagement des salles (installation
des tableaux, éviers, étagères, armoires).
La 14ème salle sera équipée en prévision de l’accueil éventuel d’une classe.

Le contrat de location l’annexe a été dénoncé
Le contrat de nettoyage du Lycée a été dénoncé car les services fournis n’étaient pas
entièrement satisfaisants.
Un cahier des charges vient d’être élaboré. Un appel d’offres va être lancé.
 Le contrat avec Skolförvaltningen à propos du CDI et des salles de réunions  1 et 2 n’a pas
encore été dénoncé. La Directrice de Klasstorp semble être pressée de récupérer ces locaux.
Le dégagement de ces locaux devra probablement être négocié avec elle.
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PV du 19 novembre 1997
Information sur les locaux :
La livraison du nouveau bâtiment prévue pour le 15 décembre 1997 va être retardée au
moins jusqu'à 7 janvier 1998, car les ouvriers rencontrent des problèmes d’humidité dans le
béton, ce qui retarde la marche des opérations (pose du linoléum).
En dédommagement, SISAB propose de prendre part au déménagement.
Le Proviseur préfère que les élèves déménagent eux-mêmes leurs tables et que SISAB donne
une autre contrepartie.
PV du 4 février 1998
2- Le point sur les locaux
Déménagement
Le déménagement des salles de classes s’est effectué avec un peu de retard étant donné que
les locaux n’ont été livrés que le 15 janvier.
L’infirmerie et le bureau du Directeur de l’école primaire ne sont pas encore occupés car les
lignes et le nouveau standard téléphonique ne sont pas encore installés.
La salle de sieste n’est pas encore utilisée car elle n’est pas encore équipée de rideaux.
Tous ces aménagements devraient être effectués la semaine prochaine permettant ainsi
l’occupation de tout le nouveau bâtiment.
Aménagement à faire rapidement : peintures, téléphone, foyer
Pendant les vacances de février, les trois salles du 1er étage (salle de réunion, salle de
permanence, foyer des élèves) vont être repeintes.
Coût : 24 000 SEK
Le nouveau standard téléphonique va être opérationnel à partir du 10 février.
Coût : 156 125 SEK
Aménagement du foyer des élèves : une somme de 20 000 SEK pourrait être allouée
aux élèves afin qu’ils équipent leur salle eux-mêmes.
Transformations à court terme : CDI, salles de sciences
CDI : le proviseur présente aux membres le plan d’aménagement du futur CDI.
Les travaux s’annonçant importants, ils pourraient se faire durant les semaines 15 et 16
(vacances de printemps).
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Le coût va s’élever à environ 200 000 SEK pour les travaux (pas de devis pour l’instant) + 100
000 SEK pour l’équipement (ordinateurs...). Coût total : 300 000 SEK.
Priorité est donnée à ces travaux car les locaux actuellement occupés par le CDI doivent être
libérés prochainement.
M. PHILIPSON se charge de faire une demande de subvention pour l’aménagement du CDI,
auprès des Fondations suédoises dont la liste va être donnée par M. GAVE.
Salles de sciences : actuellement, elles ne sont pas fonctionnelles et ne respectent pas les
normes de sécurité.
Les travaux envisagés consisteraient à redistribuer le volume des 4 salles (304-305-306laboratoire) mais en conservant l’amphithéâtre pour les cours. Cela entraînerait des travaux de
plomberie, de déplacement de cloisons...
D’après le devis envoyé par SISAB l’année dernière, le coût des travaux s’élèverait à 870 000
SEK.
Etant donné ce coût élevé, ces travaux ne peuvent pas être envisagés cette année.
Ils pourraient être effectués en deux tranches, ainsi tout ne serait pas fait en une seule fois.
SISAB se montre très intéressé par ces travaux, car il n’y a pas de ventilation dans cette partie
du bâtiment. Ils profiteraient alors de l’installation du système de ventilation pour effectuer
l’installation des hôtes aspirantes.
Une demande de subvention de 1 300 000 FF a été faite auprès de l’AEFE
Aménagement d‘une salle pour les photocopieuses : le coût des travaux n’est pas encore
chiffré par SISAB.
Rideaux : des rideaux vont être installés, les jours prochains dans les salles suivantes :
infirmerie, bureau de la psychologue, salle de sieste, bureau du Proviseur, secrétariat, salle des
professeurs.
Coût : 80 000 SEK.
Alarme antivol du nouveau bâtiment : coût : 60 000 SEK.
Dépense non prévue mais obligatoire : suite à la parution des articles sur le Lycée au mois de
juin et à la visite qu’ils nous ont rendu en novembre, l’Inspection du travail exige de
l’établissement d’avoir recours aux services d’une entreprise de consultants afin d’effectuer
une enquête sur le milieu psychosocial. Nous avons choisi « Sandhal Partners », le coût
s’élève à environ 200 000 SEK.
Donc, le coût total des dépenses qui figurent sur la décision budgétaire modificative est de
621 000 SEK.
Les membres, à l’unanimité, sont d’accord pour formaliser cette DBM.
PV du 21 avril 1998
Problème concernant le contrat de location de l’annexe
Le proviseur évoque le problème de l’annexe : contrat non dénoncé à temps qui entraîne un
prolongement jusqu'à l’an 2000. Accord de sortie avec une pénalité de 6 mois. Les locaux
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seront libérés au 1er Avril 1998. Le paiement se fera jusqu'à la fin de décembre. Ceci est une
solution plus gérable que de sous-louer. Le proviseur dit qu’il n’y a pas de responsabilité directe
d’une personne car il n’y a pas personne proprement responsable des contrats de location.
Mme LEMAIRE trouve qu’il y a un gros problème de compétence. Il n’a jamais été précisé qu’il
fallait faire une autre dénonciation après celle de septembre 1997, aucune autre date n’avait
été annoncée.
M. ZANDER préconise de réaliser un échéancier concernant tous les grands contrats (matériel,
location, assurance, entretien). M. ZANDER propose son aide (date échéance, renouvellement,
préavis...). Les membres approuvent.
PV du 4 juin 1998
Loyer Surprise (voir la pj):
Les locaux actuellement sont tous avec un contrat de 1ère main. Depuis 1997, 2
changements ;
1. auparavant, le loyer était divisé en 2, il était de SEK 600 000.
2. Aujourd’hui, SISAB demande à Stadsdelsnämnden de payer 838Kr/m2/sans eau ni
électricité compris. Le loyer sera donc de SEK 894 317 basé sur 1 040 m 2 dans le bâtiment
principal et 1500 m2 dans le nouveau.
2 contrats :
1. Pour les superficies communes avec Essingeskolan 1 134 m2 (réfectoire, gymnase,
escaliers, salle de chauffage, cave), elles nous reviennent à 75% du coût ( Essingeskolan a
25%), basé sur le nombre de jours utilisés par an, donc SEK 585 000.
2. Pour les superficies qui nous sont propres, 2 406 m2, SEK 378 000 compris eau et
électricité.
Tous les locaux en sous-location ont été rendus. Le sous-sol, 75% de 180 m2 est cher, SEK
113 130.
Accord du comité de gestion pour le nouveau loyer basé sur les nouvelles données.
PV du 17 novembre 1998
Ras
PV du 17 mars 1999
Ras
PV du18 mai 1999
Ras
PV du20 novembre 1999
Le programme de travaux d’aménagement en l’an 2000 est accepté. Certains points sont
discutés. (Le programme d’investissement 2000 est joint en annexe.)
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La séparation de la salle de travail - salle de reprographie ne sera pas réalisée sous la forme
initialement prévue : la location des nouveaux photocopieurs moins bruyants a permis de
faire évoluer le projet initial.
La salle des enseignants sera réaménagée de façon plus fonctionnelle avec l’achat de
mobilier plus adapté.
Les entrées A et E du bâtiment principal feront l’objet d’une étude (rénovation conjointe
SISAB et lycée).
Une porte de communication sera ouverte entre le dortoir et la salle de classe des enfants
de la Petite Section de Maternelle.
Un projet d’agrandissement du bureau de la Vie Scolaire est également à l’étude.
Le projet éducatif EPS est en cours d’élaboration. Il permettra une meilleure répartition des
cours au gymnase du lycée et imposera un recours plus pertinent à des salles de sport
extérieures.
PV du 27 mars 2000
1
Le programme des travaux et aménagements pour l’année 2001 est étudié :
- couverture de la passerelle entre les deux bâtiments,
- achat de mobilier et matériel audiovisuel et informatique
(lave vaisselle et réfrigérateur pour l’infirmerie),
- mise en réseau de 65 postes informatiques avec installation d’un webmaster
qui délivrera à chaque élève une adresse e-mail,
- installation de « Fire Wall » pour interdire l’accès à certains sites et protection
anti-virus.
PV 16 mai, 21 novembre 2000
Ras
PV 22 mai 2001
Ras
PV 20 novembre 2001
1. Programme des travaux.
Le gestionnaire informe de l’obtention d’un permis de construire pour la couverture de
la passerelle entre les deux bâtiments et précise que les travaux devraient être réalisés
aux prochaines vacances de Noël ou février.
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Les projets restants sont les suivants :
- matériel de sciences,
- amélioration du cadre de la cantine (éventuellement en faisant appel à un
designer),
- achat de bureaux pour les professeurs,
- équipement en postes informatiques du primaire (10 postes) et de salle de
technologie (6 postes),
- achat d’un projecteur vidéo.
Le proviseur souligne l’investissement réalisé depuis la rentrée dans le domaine de
l’équipement audiovisuel (équipement de six salles en télévisions et magnétoscopes).
PV 20 mai 2003
a)



le gestionnaire développe l’état des travaux en cours et des investissements.
informatique et signalétique,
reprise espérée des travaux d’aménagement de la cantine,
extension par l’élévation du nouveau bâtiment (coût 12 millions-durée 12
mois) sous réserve de la portabilité des murs actuels. Le précédent architecte
est le maître d’œuvre.
PV du 25 novembre 2003
Projet d’extension des locaux
Diverses solutions ont été étudiées (agrandissement du site actuel), des propositions faites
(déplacement de nos activités sur un autre site). Elles ne sont pas réalisables dans un futur
proche, l’effort est donc porté sur l’amélioration des acquis
PV du 10 mars 2004
b) Travaux et investissements en cours (exercice 2004)





Peinture de la salle polyvalente.
Installation de 2 espaces informatiques polyvalents avec matériel modulable (303
et 308), équipement du CDI avec ce type de matériel.
Peinture des couloirs de l’administration.
Réaménagement de l’infirmerie et du couloir d’accès au secrétariat.
Nouveau mobilier en salle de repos
6) Projet d’extension
Le proviseur annonce que la décision finale se prendra lors d’une session extraordinaire
du Comité de Gestion, le mardi 16 mars 2004 à 18h30.
Après un bref rappel de toutes les recherches menées qui n’ont pas abouties, et après la
visite de plusieurs sites, le proviseur expose au Comité de Gestion le projet
« Tulegatan » .C’est un local de 1167 m2 proche de Vanadislunden qui de par sa
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localisation au centre ville offre des conditions de transport en commun satisfaisantes.Le
prix de location au m2 est abordable et le contrat de location est proposé sur 10 ans,
avec rupture possible aux termes de 3 années. Ce local pourrait être exploitable dès la
rentrée après les nécessaires travaux d’aménagement et pourrait accueillir 6 classes de
maternelle dans un premier temps. Le proviseur explique que les contraintes familiales
seraient prises en compte. Un système de navette serait mis en place.
L’APE et les personnels ont été informés et invités à une visite du local.
Si les personnels du secondaire sont plutôt favorables à une délocalisation apportant
une qualité d’enseignement accrue à tous les niveaux, on note une réticence plus ou
moins forte des personnels directement concernés.
L’APE souligne qu’elle ne s’oppose pas au principe du projet mais préférerait une année
de réflexion avec constitution d’une commission de travail.
Le proviseur rappelle que suite à l’inspection de l’administration suédoise et aux
nouvelles règles imposées de maxima d’élèves, une décision urgente s’impose, d’autant
qu’un certain nombre d’autorisations seront nécessaires : permis de construire, enquête
de voisinage, parking, etc.
Il se dit conscient des réticences émotionnelles des personnels et des familles.
Le Comité de Gestion décide l’élaboration et la diffusion d’un questionnaire destiné
aux familles de façon à mesurer l’impact qu’aurait une délocalisation sur les effectifs et
le budget.
Le CG statuera après l’analyse de ce questionnaire.
Compte rendu de la séance exceptionnelle du 16 mars
Les membres présents sont ceux de la réunion du 10 mars, ainsi que M. Jean-Jacques
Zander, Président, et Mme Joëlle Neveu, consule.
L’enquête envoyée aux familles a été dépouillée le 15 mars en présence de parents. Les
résultats montrent que 96% des familles maintiendraient l’inscription de leur(s) enfant(s)
en cas de délocalisation de la maternelle. les réponses étaient nominatives et seules les
réponses des familles concernées ont été retenues pour la synthèse.
L’APE est réservée car les opinions des parents sont très partagées.
Néanmoins, le quota d’enfants par rapport à la superficie de Stora Essingen étant atteint,
la situation est critique .Si aucune mesure n’était prise, l’école serait contrainte de
refuser de nombreuses inscriptions et mettrait en péril à terme l’équilibre global de la
structure, faute d’entrées suffisantes au CP. Vu l’excellent état des finances, le
fonctionnement de l’annexe ne puiserait pas dans les réserves de l’établissement et
pourrait devenir un bon investissement à terme.
L’A.P.E. comprend la problématique dans laquelle se trouve le Lycée Français Saint Louis.
Le projet est mis au vote.
Résultats : Sur 11 votants présents (Mr Passard n’ayant pas donné de mandat)
7 pour (dont 2 représentants du personnel)
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0 contre
4 abstentions (dont 1 représentant du personnel et 3
représentants de l’APE)
Décision : Le Comité de Gestion décide d’un accord de principe de la délocalisation
des classes maternelles à Tulegatan à la rentrée 2004, sous réserve d’obtention des
autorisations administratives nécessaires (permis de construire, enquête de
voisinage, inspections, etc.) et de certaines vérifications techniques (impact de la
2ème mission d’inspection sur le budget de l’opération, notamment).
L’APE demande que la décision soit annoncée par le lycée.
Une commission de mise en œuvre sera constituée.
PV du 6 avril 2004
6) point sur les locaux
La commission « locaux » s’est penchée sur un projet de location de 2 fois 230 m², au
dessus du magasin COOP de l’île de Stora Essingen. Avec l’accord du propriétaire, un
dossier a été déposé auprès des autorités de la commune de Stockholm afin de
donner à ces locaux une vocation scolaire. Des premiers éléments de réponse sont
attendus dans les prochains jours.
Les délégués de parents proposent leur aide en cas de réponse négative.
En cas de réponse positive, un budget d’investissement devra être prévu pour les
travaux de mise en conformité. Aucune utilisation de ces locaux ne doit en tout état
de cause être attendu avant novembre 2005.
En attendant, les locaux de l’annexe actuelle seront utilisés, d’autant plus qu’un délai
de 9 mois est nécessaire à la résiliation de leur bail.
Vote pour la continuation de ce projet: accord de principe adopté à l’unanimité
PV du 17 mai 2004
1. Point sur les locaux.
L’aménagement prochain de locaux situés à Gammelgårdsvägen 38, Stora Essingen,
permettra l’installation de quelques cours généraux des classes du lycée. La location
de cet espace de 300 m2 présente l’avantage de la proximité géographique tout en
ne constituant qu’un engagement mesuré. La solution reste provisoire, l’espace
n’étant pas réellement suffisant pour répondre aux besoins du Lfsl. Il est pour l’heure
impossible de répondre à la demande des inscriptions pour la rentrée 2004, la
nouvelle annexe permettra cependant de « limiter les dégâts ».
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Y seront aménagées deux grandes salles pour 25-28 élèves, ainsi que deux petites
salles pour travaux de groupe ou en série, une cinquième salle de travail ou de repos
pour les élèves, plus une salle de travail pour les enseignants.
Le loyer annuel sera de 355 500 SEK, et tous les investissements seront mobiles, donc
récupérables, sauf les frais d’aménagement de la terrasse.
Loyer annuel
355 500
Téléphone/an
10 000
Electricité/an
15 000
Parking/an
4 000
Aménagement de la terrasse
78 000
Mobilier salles de classe
116 000
Matériel pédagogique
86 000
(dont leasing photocopieur : 24 000/an)
Aménagement du foyer
9 000
TOTAL GENERAL
673 500
soit un total d’investissement de 265 000 + un total annuel de 408 500 , ce total
annuel étant déjà couvert par les inscriptions de 10 élèves.
Le contrat est de trois ans, avec un dédit de neuf mois. Il est prévu que le directeur
du futur Fritids effectuera son service administratif dans l’annexe.
PV du 30 novembre 2004
b/ Perspectives :
Locaux :
Plusieurs perspectives à analyser :
Un déménagement complet :
 Södermalm – un lycée se libèrerait mais il n’existe pas de cour et le bâtiment ne
présente pas un grand intérêt esthétique.
 Solna – un contact est pris avec la commune.
 Valhallavägen – de beaux bâtiments de l’armée, peut-être très onéreux.
Une extension locale :
Surélever le bâtiment. Un nouvel argument pourrait influer sur la décision des
autorités : le nouveau Centre de Recherche Européen d’Immunologie permettrait
l’accueil d’une trentaine de familles.
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Une délocalisation partielle :
 Il existe des locaux vides dans l’actuelle annexe.
 Un projet d’antenne à Östermalm est à l’étude. Elle serait perçue comme une vitrine
de l’établissement au centre ville. 200m2 dans le bâtiment de l’église réformée audessus des « Mélodies ». Pourraient fonctionner 1 classe de Petite et Moyenne
section ainsi qu’une classe de Grande section / CP.
Le principe séduit plusieurs familles mais Monsieur TRUSSART émet quelques
réserves : l’éloignement du lycée des enfants concernés ne va-t-il pas nuire à leur
intégration future ? Quel est le risque financier ?
Le Proviseur prévoit qu’il n’y aurait pas d’incidence sur le budget de l’établissement,
une ébauche de budget de fonctionnement ayant abouti à l´équilibre.
Travaux envisagés :
 Peinture du couloir du deuxième étage
 Aménagement d´un espace langues vivantes
 aménagement d’un espace d’attente pour l’accueil des parents,
 revoir la sonorisation de la salle polyvalente,
 aménagements au niveau de la cuisine.
PV du 6 avril 2005
6) point sur les locaux
La commission « locaux » s’est penchée sur un projet de location de 2 fois 230 m², au
dessus du magasin COOP de l’île de Stora Essingen. Avec l’accord du propriétaire, un
dossier a été déposé auprès des autorités de la commune de Stockholm afin de
donner à ces locaux une vocation scolaire. Des premiers éléments de réponse sont
attendus dans les prochains jours.
Les délégués de parents proposent leur aide en cas de réponse négative.
En cas de réponse positive, un budget d’investissement devra être prévu pour les
travaux de mise en conformité. Aucune utilisation de ces locaux ne doit en tout état
de cause être attendue avant novembre 2005.
En attendant, les locaux de l’annexe actuelle seront utilisés, d’autant plus qu’un délai
de 9 mois est nécessaire à la résiliation de leur bail.
Un accord de principe est donné à l’unanimité pour suivre ce projet.
PV du 4 mai 2005
2. Les locaux.
Le 11 mai 2005 s´est tenue une réunion d´information concernant les locaux situés au dessus
du magasin Konsum, en la présence de représentants de parents, des membres de
l’administration et du personnel, du propriétaire et de l’architecte en contact avec la
commune.
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Les propositions de plans et d’aménagements devront être déposées auprès du
Stadsbyggnadskontoret (le bureau des plans de la ville). Quelle que soit la décision finale, la
durée maximale du bail est limitée à 10 ans.
Les autorités demandent également que leur soit fourni un plan alternatif, dans la mesure
où les locaux du Konsum n’ont pas initialement une vocation scolaire. L’autorisation
d’occupation de ces locaux ne pourrait délivrée qu’à titre exceptionnel. Quant au projet
alternatif, une des options consisterait en un étage supplémentaire de l’actuel bâtiment de
l’école primaire. Afin de ne pas alourdir l’ensemble de l’édifice, la structure de ce nouvel
étage devrait être métallique.
JB Trussard s’interroge sur la faisabilité de pareil projet, tout en soulignant que
l’aménagement d’un nouvel étage est l’alternative qui avait été la première retenue. Peutêtre conviendrait-il de saisir cette opportunité pour définir le plus précisément possible cette
extension interne. Par ailleurs, si le Lycée obtenait l’agrément de la commune, il est
probable que le Dagis suédois souhaiterait obtenir de semblables aménagements.
L’ensemble du projet sera transmis aux autorités le 30 mai 2005. Le dossier devrait être
traité dans un délai de 6 semaines. Concrètement, aucun changement d’occupation des
locaux ne sera encore effectif à la rentrée 2005. L’occupation de l’actuelle « annexe » est
reconduite. Le bail signé pour ce dernier local court jusque en 2007, avec un préavis de 9
mois.
PV du 30 novembre 2005
6/ Problème des locaux et présentation du projet Brygghuset:
a/ Le projet « Konsum »(Stora Essingen) n’est pas abandonné pour le moment. Il
offre les avantages d’un coût très raisonnable, de la proximité et donc de l’unité
pédagogique préservée.
Néanmoins, il ne représente qu’une solution transitoire pour 10 ans, accordée par les
autorités communales si le L.F.S.L. s’engage à construire un étage supplémentaire sur
le bâtiment du primaire. Cette solution semble être la meilleure mais se heurte
malheureusement aux habitants de l’île et aussi à la volonté politique locale de
réduire la présence d’enfants sur l’île de Stora Essingen.
Même si le projet ne résout pas les problèmes d’engorgement à la cantine et dans la
cour, il convient de le suivre avec intérêt.
Mme Ivarsson demande l’initiation d’une réflexion autour du problème de la
circulation suite aux nombreuses plaintes déposées régulièrement par les riverains.
Mr Montois explique, suite à la visite de l’inspection, la volonté des autorités
suédoises de voir diminuer le nombre d’enfants en maternelle sur Essingen.
b/ Présentation du projet « Brygghuset » (Délocalisation partielle près d’Odenplan de
8 classes primaires de la PS au CM2, avec possibilité de 4 classes en plus dans
l’avenir.)
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Une annexe du Fritids et un Daghem sont prévus sur le site.
Les atouts de ce projet :
- très bonne localisation en centre ville, proximité des bus et du métro.
- mise aux normes du bâtiment à la charge du propriétaire.
- abandon des différentes locations annexes actuelles.
- possibilité d’améliorer l’accueil des maternelles (dortoir, salle spécialisée...)
Les difficultés de ce projet sont liées à la répartition des familles entre les 2 sites,
l’organisation pratique d´un fonctionnement sur deux sites et la réticence d’une
partie des personnels.
Les parents sont globalement favorables à l´idée du projet, mais souhaitent la
désignation d’un chef de projet ainsi qu’une étude budgétaire plus détaillée
permettant d´appréhender au mieux l´impact de celui-ci.
PV du 3 avril 2006
2. Les locaux.
 La communication du projet.
Après avoir dressé l’historique du projet « Jernhuset », M. Nonnenmacher rappelle que les
parents délégués ont été régulièrement destinataires de tous les éléments d’information au
sujet de ce projet particulièrement délicat et complexe à mener.
M. Nonnenmacher déplore cependant le nombre de critiques qui a pu lui être très souvent
adressé avant même que le projet n’ait pu être définitivement présenté. Pareille attitude
rend la tâche particulièrement pénible pour l’équipe de direction. Il est rappelé que l’APE a
été constamment associée au processus de réflexion sur ce dossier et qu’à l’occasion de la
dernière assemblée générale des parents, devant laquelle M. le Proviseur avait exposé la
situation, une large majorité de parents semblait avoir compris l’urgence et la gravité de la
position dans laquelle se trouvait actuellement le LFSL si aucun déménagement n’était
rapidement envisagé.
M. Dizengremel, au nom de l’APE, tient à souligner la qualité de la relation entre l’APE et
l’équipe de direction. Toutefois, recontextualisant les propos de l’un de ses derniers
courriels adressé à la direction, M. Dizengremel souhaiterait que l’accès aux différents
éléments du dossier soit plus transparent et que l’APE soit encore plus étroitement associée
au projet.
Mme. Ivarsson insiste sur l’importance de la communication aux parents. Une
communication claire et régulière est indispensable pour justement désamorcer certaines
réticences et préventions des parents. Mme Ivarsson rappelle que l’APE, sur ce dossier, sera
plus particulièrement vigilante sur 2 aspects :
-
la viabilité du projet : l’APE n’est pas contre le projet, elle souhaite seulement que la
solution adoptée soit la plus satisfaisante pour l’ensemble de la communauté du LFSL
et ses partenaires.
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-
Une conduite transparente et professionnelle du dossier. 80% des parents sont
soucieux du bien-être de leurs enfants dans l’établissement. Le projet ne pourra
cheminer que si l’on prend la peine de préciser tous les enjeux et les solutions
envisagées.
Au terme de cette mise au point des relations entre l’APE et la direction du LFSL, M.
Dizengremel tient à retirer la formule « soit plus étroitement associée » qu’il avait employée
dans ce courriel et convient que cette formule était quelque peu malheureuse.
M. Zander rappelle enfin que le Comité de Gestion n’est pas ce soir réuni pour prendre la
moindre décision finale. Le Comité en demeure au stade de la phase exploratoire avec tous
ses partenaires. Prudence et réflexion sont indispensables sur un dossier aussi complexe.
 L’avancée du dossier.
M. Le proviseur rappelle combien la situation du LFSL sur Stora Essingen est critique en
matière de normes de sécurité. L’établissement est à ce jour surpeuplé. Les classes de
maternelle accueillent 120 élèves alors que seuls 80 élèves sont légalement autorisés par les
autorités. Le lycée bénéficie donc d’une tolérance de la part des autorités suédoises. A la
prochaine rentrée, 70 élèves sont prévus en classe de CP, croissance inédite, qui tient à
« l’effet fritids » et à la qualité de l’offre pédagogique, mais à laquelle la structure ne peut
plus à ce jour répondre. Il est malheureusement probable que des familles françaises, en
droit de rejoindre le LFSL, n’auront pas accès à l’établissement à la rentrée 2006.
M. Defay, rappelle que dans le cadre de nos relations avec l’Etat suédois, la rigueur s’impose.
L’établissement doit se montrer respectueux de toutes les normes définies par la législation
suédoise en matière de scolarisation et de locaux. M. le conseiller rappelle que S.E.M.
l’ambassadeur soutient l’action engagée par le LFSL tant dans le projet d’un déménagement
partiel que dans celui d’un déménagement global de la structure qui faciliterait
probablement davantage la vie des familles dont celles des personnels de l’ambassade.
M Defay souligne que, malgré l’urgence du dossier, les négociations en sont toujours à une
phase exploratoire. M. le conseiller s’étonne de l’extrême réactivité de plusieurs familles
qui n’ont pas hésité à solliciter S.E.M. l’ambassadeur à ce sujet. A cet égard, il s’étonne de
certains arguments soulevés contre le projet « Jernhuset » tel celui de la pollution alors
même que le bâtiment est situé à proximité du complexe hospitalier et universitaire de
Karolinska, établissement particulièrement exigeant sur ce point.
M. Defay tient à recadrer le rôle de l’APE. Dans ce dossier, elle doit remplir 2 missions
essentielles :
-
Animation du dossier et diffusion de l’information auprès des parents.
Calmer l’enthousiasme et les calculs individuels tout en cherchant à dégager les
intérêts communs des familles. Chacun doit prendre sur soi dans ce dossier.
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M. Dizengremel demande si le gouvernement français serait en mesure de fournir une
caution financière.
M. Defay considère qu’à ce jour l’avancée du dossier ne permet pas d’envisager une telle
option. M. Defay dégage quelques pistes. Pour accroître la masse budgétaire de
l’établissement, le LFSL pourrait à terme envisageait d’accroître les droits de scolarité des
expatriés français. Si une construction neuve devait être envisagée, une demande de caution
pourrait être instruite. En revanche, dans l’option d’une location de locaux, la décision du
LFSL relève d’une stricte analyse du budget de l’établissement. La caution du gouvernement
français n’est pas indispensable.
M. Wlodarczyk rappelle que tous les membres du Comité de Gestion sont personnellement
responsables des décisions prises. La mission du Comité est de contribuer au développement
du LFSL en évitant de mettre l’établissement en danger économique tout en étant
parfaitement respectueux des normes de sécurité et de scolarisation définies par la Suède.
M. Nonnenmacher tient à rappeler que le problème de la taille des effectifs ne constitue pas
encore à ce jour un problème pour une évacuation des élèves et des personnels en cas
d’incendie. Le problème des effectifs est en revanche très sensible pour les services de
cantine et pour l’occupation de la cour de récréation. L’établissement n’est pas
fondamentalement hors la loi, mais si d’ici un ou deux ans aucune solution n’était trouvée, il
conviendrait de fermer une maternelle ou deux pour respecter fidèlement la législation
suédoise.
Après analyse de l’état du compte financier du LFSL, M. le proviseur indique que
l’établissement serait en mesure de supporter un loyer annuel d’environ 12 millions de
couronnes, qui engagerait l’établissement sur ce site pour une durée de 30 ans. Compte
tenu des fluctuations d’effectifs durant les premières années d’exploitation, il est probable
que le lycée arriverait à une situation d’équilibre financier au bout de 2 à 3 ans. Cependant,
en l’état actuel des négociations, les premières offres du propriétaire de Jernhuset s’élèvent
respectivement à 17 puis 15 millions de SEK.
M. Le proviseur souligne 2 aspects qui rendent complexes les négociations et expliquent
l’importance du loyer exigé par le propriétaire :
-
-
la superficie des locaux est de l’ordre de 11 000 m². Dans l’absolu, le LFSL n’aurait pas
besoin dans l’immédiat d’une superficie aussi étendue. Cependant, le propriétaire
souhaiterait ne pas morceler la location.
Le montant des travaux à réaliser qui nécessiteraient un investissement de l’ordre de
150 millions de couronnes (dont une option de 20 à 30 millions pour l’aménagement
d’un gymnase.
M. Zander souligne que la proposition du propriétaire demeure à ce jour décevante.
M. Wlodarczyk demande s’il ne serait pas possible d’étaler les travaux. M. Nonnenmacher
souligne que les travaux envisagés (mise aux normes, travaux de ventilation) sont
incontournables. Le LFSL pourrait reconsidérer sa position si le loyer avoisinait les 13 millions
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de couronnes. Il convient de veiller à ce que les sommes allouées au loyer ne dépassent pas
le tiers du budget de l’établissement.
M. Nordmark rappelle que compte tenu de l’importance et de la complexité du dossier il
conviendrait peut-être de souscrire une assurance pour tous les membres du Comité de
gestion.
M. Wlodarczyk demande si des contacts ont été pris avec la municipalité de Solna où sont
précisément situés les locaux de Jernhuset. M. Nonnenmacher considère la démarche avec
intérêt. L’arrivée du LFSL pourrait être positive pour l’image cette commune. La négociation
de subventions pour la location d’un gymnase convient d’être étudiée.
 Enjeux et poursuite de la phase exploratoire
Mme Renard, au nom des personnels, soutient les démarches engagées par la direction de
l’établissement.
M. Zander considère qu’au regard du loyer annoncé, la direction devrait également explorer
l’option de l’achat du bâtiment (350 à 400 millions de couronnes ?).
M. Dizengremel, pour l’APE, rappelle qu’il convient de « dérisquer » autant que possible le
projet en veillant notamment à toutes les questions d’environnement. Le dossier est très
complexe, il conviendrait de s’entourer de professionnels dans la négociation.
MM. Nonnenmacher et Zander précisent quelques aspects sur les modalités et les frais
encourus par le déménagement du lycée :
-
-
Les bâtiments de Jernhuset exigent 1 an de travaux.
Des frais seraient occasionnés pour rupture du bail pour les locaux de Stora Essingen.
Les sommes pourraient être importantes ( 3 à 5 ans de loyer selon la date de départ)
si l’actuel propriétaire n’était pas en mesure de trouver un nouveau locataire.
Afin d’attirer de nouveaux élèves, il conviendrait de prévoir l’ouverture de l’actuel
Fritids au public des classes de maternelle y compris pendant les vacances. A cet
égard, Jean-Luc Montois rappelle combien a été déterminant le rôle du Fritids dans
l’augmentation récente des effectifs.
M. Montois rappelle l’originalité et la qualité de l’offre scolaire dispensée par le LFSL sur
Stockholm. Nombre de parents qu’il a rencontrés s’est montré indifférent à la future
localisation du LFSL tant les familles ont été séduites par les projets pédagogique et culturel
de l’établissement. Le contexte scolaire est particulièrement porteur pour le LFSL.
Par ailleurs, afin de ne pas voir les autorités françaises rogner sur certaines subventions, il
convient de veiller à ce que le LFSL puisse scolariser le public de nationalité française.
Un calendrier des prochaines échéances est dégagé :
-
M. Dizengremel souhaite que, conjointement aux négociations engagées sur le projet
Jern Huset , les négociations soient relancées sur le dossier Brygghuset. Sandy Vuille-
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-
Dit-Bille rappelle que l’actuel locataire refuse à ce jour de partir. M Dizengremel
souhaite qu’une négociation « tripartite » (LFSL / propriétaire / Locataire) soit
engagée pour le site de Brygghuset et se propose de l’initier.
M. Le proviseur s’engage à démarcher la municipalité de Solna et Miljöförvaltningen
pour le site de Jern huset.
M. Nordmark et les représentants de l’APE, compte tenu de la complexité du projet,
souhaiteraient le recrutement d’un chef de projet pour conduire ce dossier dans le cadre
d’une mission de 4 à 6 semaines. Malgré le coût de la prestation (estimée entre 200 000 et
500 000 couronnes), la nomination d’un expert permettrait d’envisager de manière
indépendante et professionnelle les moindres aspects du dossier. M. Zander souligne que la
mission pourrait être découpée en différentes phases, facturées séparément. Les
représentants des personnels, après concertation, sont d’accord sur le principe.
PV 29 mai 2006
1. Point sur les locaux
 Annexes sur Stora Essingen
Les locaux du dagis suédois se libèrent mais ont été repris avant même que l’information ne
nous parvienne. Quant au local du Konsum, il vient d’être cédé; nous étions prioritaires mais
une réponse nous a été demandée alors que le projet « Jernhusen » était encore actuel.
L’annexe IOGT, enfin, est louée pour encore un an. L’extension éventuelle du contrat (avec
préavis de 9 mois) devra être morcelée dans l’optique d’un déménagement éventuel.
 Point sur les projets « Brygghuset » et « Jernhusen »
David Hay, à qui il a été donné mandat lors du précédent comité de gestion d’étudier la
viabilité financière des deux projets en cours, nous rend compte des négociations menées
sur les dossiers « Brygghuset » et « Jernhusen ».
Pour le projet « Brygghuset » (délocalisation partielle) :
David Hay a eu une réunion avec Svenska Bostäder, propriétaire de Brygghuset, et l’agent
immobilier. L’incertitude quant à la durée du bail actuel, en raison notamment du caractère
éminemment politique de sa prolongation, fait que ce projet n’a que peu de chance
d’aboutir.
Pour le projet « Jernhusen » (déménagement total) :
David Hay a rencontré début mai les représentants de Jernhusen, propriétaires du bâtiment
sis à Tomteboda, afin de poursuivre les négociations engagées par le LFSL. Il estime que le
résultat des premières discussions sur les implications financières d’une location à long
terme, voire d’un rachat progressif des locaux, était positif et laissait augurer d’un
développement favorable du projet.
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Malheureusement, Jernhusen a reçu, entre-temps, une proposition d’achat pour l’ensemble
du bâtiment. Le LFSL n’ayant pas les moyens de réagir aussi vite sur de telles sommes, le
projet est enterré.
Le proviseur remercie David Hay pour la rapidité et l’efficacité de ses actions et souligne que
le projet « Jernhusen » illustre la lenteur de notre propre procédure, avec son côté
quelque peu artisanal, sur un marché commercial à haute réactivité. Il suggère donc que le
projet de déménagement soit confié à une équipe de professionnels, ce qui implique de
redéfinir le cahier des charges.
 Cahier des charges
Le LFSL dispose actuellement de 5500 m2 qui s’avèrent d’ores et déjà insuffisants pour 600
élèves. Le proviseur souligne que l’option d’un déménagement de l’intégralité de la
structure répond au souhait des enseignants, soucieux de maintenir l’unité pédagogique et
l’identité du LFSL. Les parents demandent néanmoins à ce que l’option d’un déménagement
partiel ne soit pas systématiquement exclue dans la mesure où elle représente un risque
financier moindre.
Il est décidé de définir un double cahier des charges comme suit :
Déménagement complet :
-
8000 à 10000 m2 en location ; l’hypothèse d’un achat ou d’une construction n’est pas
écartée, le coût d’une telle option restant à évaluer
Situation géographique centrale ou en tout cas facile d’accès, en voiture (proximité
de la E4) et en transports en commun
Plusieurs cours de récréation
Salle de sport sur site (ou existence d’une salle à proximité immédiate)
Coût : 25% du budget annuel (30% représentant la limite extrême)
Capacité : 750 élèves environ
Déménagement partiel :
Prévu pour l’école primaire uniquement : il y a trop d’élèves en maternelle sur le site
actuel (tolérance provisoire à 120 élèves, normes communales établies à 80 élèves)
Espaces récréatifs importants (cour de 500 à 700 m2 )
Centre-ville impérativement (importance d’avoir une vitrine pour
l’établissement)
-
 Coût de l’intervention d’un consultant
Décision : Après discussion sur les modalités de rémunération du consultant, il est décidé de
donner mandat à David Hay pour continuer à prospecter et mener à bien les négociations
sur tout projet jugé fiable. Ses émoluments seront établis sur la base d’honoraires fixes (à
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estimer) assortis d’une prime à la réussite (10 à 15 % du loyer annuel des nouveaux locaux
ou prime fixée au moment de l’établissement du contrat de consultation).
Sandy Vuille dit Bille est chargé de mettre en forme le cahier des charges et de le remettre à
David Hay lors de la validation de son contrat. David Hay estime qu’il peut prospecter dès à
présent et nous informera de toute opportunité intéressante.
PV du 23 novembre 2006
a) Locaux (point demandé par l’APE)
Le Proviseur informe que des contacts ont été pris en octobre avec les autorités de Solna.
Ces contacts visaient à exposer nos problèmes de locaux et notre cahier des charges dans la
recherche de nouveaux espaces. L’accueil de Solna a été très positif.
Une démarche similaire est en cours avec les autorités de Stockholm.
Cependant, compte tenu des incertitudes pesant sur l’établissement en raison de la nouvelle
loi (cf. 4), la prudence est de rigueur. Le Proviseur rappelle enfin que le cabinet John La Salle
ne s’est plus manifesté au sujet de ses honoraires.
PV du 3 avril 2007
Point n° 3 : Locaux
Le proviseur annonce que trois pistes s’offrent à nous actuellement.
-
L’appartement de 250 m2 situé à Humlegårdsgatan dans l’immeuble appartenant à
l’Eglise réformée est toujours disponible. Il s’agirait d’une annexe pour les classes de
maternelles, déjà envisagée comme vitrine il y a deux ans. Néanmoins, ce local ne
correspond pas à notre cahier des charges (éclatement des annexes, manque de
visibilité, problèmes d’autorisations, de cour, de cantine…). En outre, nous n’avons
plus besoin de produit d’appel.
-
Le complexe de Lärarhögskolan situé à Fredhäll ne correspond pas forcément à nos
besoins et à nos moyens. De plus, les bâtiments ne sont pas encore libres :
Lärarhögskolan est en pourparlers avec l’Université, qui souhaite l’intégrer sur son
site – mais cela ne se fera pas avant un an au plus tôt.
-
La SISAB, qui gère le parc immobilier scolaire, souhaite redistribuer l’ensemble des
locaux scolaires de Kungsholmen et propose de nous reloger à Teaterhögskolan à
Södermalm. Ce bâtiment répond à plusieurs de nos critères (taille, situation
géographique, infrastructures etc.) mais n’appartient pas à la SISAB. Celle-ci a
néanmoins déjà entrepris des démarches pour le racheter à son concurrent,
Akademiska Hus.
Ce projet diffère des précédents en ce qu’il est initié par notre propriétaire lui-même.
La question du loyer n’est pas réglée mais il semble peu probable que la SISAB nous
propose un bâtiment inabordable alors qu’elle a besoin de nos locaux. Il est à noter
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également que lors de la visite effectuée auprès des responsables des affaires
scolaires de la commune de Stockholm, il a clairement été dit à notre direction que
Stockholm soutenait ce projet de rachat pour notre compte plutôt que celui d’une
extension sur le site actuel (en raison notamment des protestations des riverains).
Une visite de Teaterhögskolan est prévue en mai.
PV du 22 mai 2007
5. Les locaux.
Tout dernièrement le LFSL a été contacté par la SISAB. L’actuel propriétaire des locaux de
Stora Essingen a actuellement pour projet de redistribuer tout son parc d’établissements
scolaires sur Kungsholmen afin de pouvoir créer de nouvelles structures d’accueil pour les
élèves suédois. Par conséquent, SISAB et la mairie semblent se montrer désireuses de nous
fournir toute l’aide nécessaire pour quitter Stora Essingen. Deux types de montages
financiers sont envisageables : soit la SISAB se porte acquéreur du nouveau site et redevient
notre propriétaire, soit LFSL se porte acquéreur du nouveau site.
Dans cette perspective, SISAB a attiré l’attention du LFSL pour un site sur Södermalm
actuellement occupé par Teaterhögskolan.
Le lundi 14 mai une délégation de personnels, de parents d’élèves et de la SISAB a procédé à
une visite des locaux. Ces derniers offrent une superficie d’environ 6000 m², soit à peu près
1000 m² de plus que sur Stora Essingen. Le site et le bâtiment sont très agréables, avec de
beaux volumes. Cependant, plusieurs membres de la délégation redoutent que ce nouveau
site ne permette pas d’accueillir la totalité de nos élèves pour l’ensemble des activités
dispensé au LFSL. Se pose ainsi la question des activités d’EPS. Ce nouveau site pourra-t-il
abriter un gymnase ?
M. Nonnnenmacher rappelle tout d’abord que le LFSL n’a plus vocation à atteindre des
effectifs de 700 à 800 élèves. Notre capacité limite se situe aux alentours de 650 élèves. Par
conséquent, il y a tout de lieu de penser que les architectes de la SISAB, disposant de 1000
m² supplémentaires, sauront faire le nécessaire pour dégager les espaces figurant dans le
cahier des charges1 dernièrement transmis par le LFSL. D’ailleurs les équipes de la SISAB ont
d’ores et déjà annoncé qu’elles étaient en mesure de dégager 41 salles. Pour l’actuel
proviseur, il s’agit donc d’une très belle opportunité : la taille du site correspond
précisément à nos besoins tandis que nous semblons bénéficier de l’appui de la mairie dans
ce nouveau projet de transfert. Jean-Jacques Zander de souligner que la SISAB est
« coincée » d’un point de vue immobilier, ce qui nous donne une position plutôt favorable
dans le processus de négociation.
M Dizengremel, compte tenu de la situation financière délicate du moment, souhaiterait que
nous puissions communiquer dès à présent à SISAB un seuil budgétaire. La SISAB pourrait
très bien nous mettre dans une impasse.
1
Cf. Pièce annexe
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Pour Jean-Bernard Trussart, une projection financière doit être établie en tenant compte du
budget disponible et du nombre d’élèves à terme.
Dans les jours qui suivent, Jean-Jacques Zander se propose de rédiger une lettre d’intention
qui, sans mentionner de chiffres précis, fera comprendre à la SISAB que le LFSL est d’accord
pour poursuivre plus avant le projet de transfert sur Södermalm sous réserve d’un coût
supportable pour notre établissement, tout en gardant la possibilité de nous retirer à tout
moment de la négociation.
Décision : Le Comité de Gestion entérine la démarche proposée par son président (lettre
d’intention – Cf paragraphe précédent).
PV du 22 novembre 2007
Question immobilière
Catarina Hasslev rappelle que suivant les nouvelles dispositions des autorités suédoises, le
Lycée Français Saint Louis ne peut plus croître. Le nombre maximum d’élèves est de 650,
répartis comme suit : 460 du CP à la 3ème ; 85 de la 2ème à la Terminale ; et +/- 100/120 en
maternelle.
Sachant que le bail actuel de SISAB prend fin en 2012, le Proviseur demande que le projet
« déménagement » soit sous la responsabilité d’une cellule de veille active composée d’un
membre des personnels, d’un représentant des parents d’élèves et de lui-même ou de son
représentant. Les parents déclarent que la possibilité d’une scission de l’établissement ne
soit pas écartée et proposent qu’un inventaire précis des locaux actuels et de leur
occupation soit réalisé afin d’en optimiser l’utilisation
PV du 5 juin 2008
-> Les locaux.
Le bail actuel, particulièrement avantageux, lie le LFSL à la SISAB jusqu’en 2012. Chacun
s’accorde sur la nécessité d’envisager dès à présent l’échéance du bail, bien qu’il soit à
l’heure actuelle délicat de fixer un échéancier compte tenu des aléas du marché immobilier.
M. Boyer remarque que la dernière réunion avec la SISAB, concernant le réaménagement de
la cour, a été particulièrement cordiale.
Bruno Dizengremel remarque toutefois qu’en raison des pratiques et des règles du marché
immobilier stockholmois, une négociation rude et violente n’est pas impossible le moment
venu. Le risque d’être mis à la porte n’est pas à exclure. Des prises de contact doivent être
engagées à la rentrée.
Laurent Devèze souligne toutefois qu’il ne faut pas dramatiser. Certes, le contexte
immobilier ne doit pas être négligé mais la présence d’un lycée français à Stockholm relève
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aussi d’enjeux politiques entre Stockholm et la France. La SISAB est une entreprise liée à la
commune de Stockholm pour la gestion du patrimoine immobilier scolaire.
Bruno Dizengremel demande s’il ne serait pas possible de conclure un nouveau bail avant
l’échéance pour bénéficier de conditions favorables dans la négociation.
Åsa Minoz rappelle l’importance de bonnes relations avec la commune de Stockholm. M.
Boyer va demander à rencontrer une personne responsable des questions immobilières de la
commune de Stockohlm d’autant que le lycée devra prochainement effectuer des
démarches pour la construction d’une structure légère sur le terrain de sport.
 Les projets de déménagement et d’agrandissement.
Aucune perspective nouvelle n’est à mentionner sur cette question. Sylvie Renard rend
compte de l’étroitesse actuelle des locaux. Après avoir rappelé l’historique des
recherches, Othman Mohamed indique qu’il n’y aura pas d’autres demandes de
croissance des effectifs auprès des autorités suédoises. Le LFSL ne doit pas accueillir plus
de 10% d’élèves n’ayant aucun lien avec la France. Certes, il y aura une légère croissance
des effectifs, mais les structures ne changeront pas. Il convient d’optimiser l’utilisation
des locaux actuels. Sylvie Renard de rappeler qu’un projet d’agrandissement sera
d’actualité tant que des cours se dérouleront dans les couloirs. M. le proviseur considère
que les locaux actuels permettent d’y organiser tous les enseignements : la salle de
réunion pourra, à la rentrée, accueillir des cours, l’annexe sera mieux utilisée et les cours
d’EPS devraient bénéficier d’une structure légère. Sylvie Renard constate cependant que
le fonctionnement actuel n’offre aucune souplesse et qu’aucune salle des langues n’a été
à ce jour aménagée. Les conditions dans le primaire sont telles qu’elle juge que les
collègues sont désormais prêts à procéder à une scission maternelle/élémentaire pour
améliorer le fonctionnement. Othman Mohamed annonce qu’une amélioration du
service de cantine est possible : Essingeskolan autoriserait le élèves du LFSL à utiliser sa
salle de restauration à partir de 12h.
Bruno Dizengremel considère qu’il convient de réunir toutes les informations pour
nourrir tout éventuel projet de déménagement ou d’agrandissement. Pourquoi ne pas
demander à Skolverket une nouvelle augmentation des cadres pour opérer une scission
réussie de la structure ?
M. le proviseur insiste sur le fait que le LFSL est un établissement de taille moyenne qui à
terme ne devra pas accueillir plus de 700 élèves.
Åsa Minoz considère qu’il ne faut pas négliger non plus le poids des francophones
scolarisés hors du LFSL à Stockholm, qui mériterait également de reconsidérer les cadres
actuels. Certes, les motivations de ces francophones sont diverses mais Bruno
Dizengremel pense que de nombreuses familles francophones sont en train de renoncer
au système français en raison de l’ampleur des listes d’attente. Trois classes en primaire
offriraient plus de souplesse et permettraient d’envisager une délocalisation partielle. La
question de la croissance des effectifs est d’autant plus d’actualité que le nombre
d’expatriés français risque d’augmenter sensiblement dans les années à venir compte
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tenu des derniers développements de l’actualité économique (rachat d’Absolut par le
groupe Pernod-Ricard, projet de rachat de Telia par France Telecom…)
M. Boyer s’interroge sur une nouvelle demande d’augmentation des cadres auprès de
Skolverket.
Laurent Devèze insiste sur la prudence qu’il convient d’adopter dans tout projet
d’expansion. A l’heure actuelle, le gouvernement souhaite plafonner sa subvention. Il
n’est donc pas certain qu’il soutienne un nouvel accroissement des effectifs.
Åsa Minoz interpelle le CG sur la question du devenir du LFSL : quel lycée souhaite-t-on
bâtir dans une perspective de 5 à 10 ans ? Quelle offre d’enseignements veut-il
proposer?
Face à ces interrogations, Bruno Dizengremel encourage l’établissement à chiffrer
précisément les perspectives de croissance. Une telle enquête pourrait être confiée à un
stagiaire de la mission économique.
PV du 26 novembre 2008
1. Locaux
Un projet de construction de 2 salles de classes sur les côtés de la passerelle est à
l’étude par un architecte et SISAB.
La cour sera aménagée : une réunion parents – profs- élèves en a donné le canevas.
Le CG propose de faire un fond de dotation pour les investissements importants, locaux,
gymnase et de garder une provision pour risques dès 2009. (Décision lors du prochain CG)
Constitution de différents groupes de travail.
PV du 2 avril 2009
2. INVESTISSEMENTS IMMOBILIERS et LOCAUX
PRÉSENTATION DES 5 PROJETS EN COURS POUR LES LOCAUX
1) Passerelle. 2 salles de 60 m2 coût 3,5 MSEK
les salles pourraient être prêtes pour Noël
2) Rénovation suite dégât des eaux coût 0,7 MSEK : en cours
3) CDI coût 1,5 MSEK
La surface existante est augmentée de 20%. Le bureau du responsable informatique
est annexé ainsi que la réserve. Le responsable info utilisera l’actuelle salle 201
Il y aura au mur un lieu d’exposition pour les élèves.
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4) Cour coût 1,5-2 MSEK
La première tranche pourra être prête pour la rentrée.
5) Annexe coût répercuté sur les loyers à venir. IOGT sera maître d’œuvre.
630 m2 ce qui pourrait donner 4/5 salles de classe supplémentaires
Les membres du CG expriment leur satisfaction.
A l’unanimité il est donné mandat à la direction de mener à bien ces projets à 2
conditions expresses :
a) qu’un bail de 10 ans soit signé avec SISAB et aussi avec IOGT pour assurer un
investissement rentable à long terme et une bonne visibilité concernant le poste loyer
du Lycée
b) que le processus d’appel d’offre permette d’obtenir un coût de réalisation minimal
ne dépassant pas les limites budgétaires.
Dés connaissance des coûts le CG sera informé et le budget réajusté en conséquence.
Les projets seront présentés au personnel le lundi 6 avril 2009 de 17 à 18 et ce sera
l’occasion pour le personnel de s’exprimer sur le projet de l’annexe.
PV du 3 juin 2009
M. l'architecte informe le CG sur l'avancée des investissements immobiliers.

Vie scolaire et salle d'étude: terminé.

Foyer des élèves : en cours.

Bureau de la gestion : en cours.

CDI : Début des travaux lundi 08 juin.

Passerelle, 2 salles de classe : travaux pendant l'été, livraison fin d'année.

Aménagement de la cour : travaux pendant l'été, livraison partie maternelle à la
rentrée.

Annexe : négociation en cours sur le nouveau loyer et sur l'engagement d'occupation
sur 8 ans. (le CG souhaite une durée d'engagement la plus longue possible pour
assurer un amortissement à long terme.)

Escalier extérieur et transformation de la dalle de parking à l'annexe : demande de
permis de construire déposé.
Gymnase : étude en cours, discussion avec la commune.
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PV du 4 novembre 2009
Travaux : Il a été rappelé lors de la réunion du 4 novembre que le CG avait posé deux
conditions expresses lors de la réunion du 2 avril quand aux investissements
importants :
a) Qu’un bail de 10 ans soit signé avec la SISAB et aussi avec IOGT pour assurer un
investissement rentable à long terme et une bonne visibilité concernant le poste
loyer du lycée.
b) Que le processus d’appel d’offre permette d’obtenir n coût de réalisation minimal
ne dépassant pas les limites budgétaires.
Le CG demande donc que le nouveau bail se renégocie au plus tôt avec SISAB, et que
le CG puisse connaître rapidement le nouveau montant du loyer. Ce bail devrait
courir jusqu'en 2025. Les modalités de location, les surfaces exactes, les éventuelles
servitudes et les surfaces partagées avec Essingeskolan seront revues.
Les membres du CG souhaitent être informés de tout dépassement (+ 500 000 sek)
par courrier électronique.
Les représentants des parents demandent que les sommes des travaux réalisés et
payés par LFSL apparaissent sous le compte « Investissements ».
PV16 décembre 2009
11. Passerelle :
En ce qui concerne les 2 salles sur la passerelle, la construction aura lieu si le prix proposé
par SISAB est acceptable, c'est-à-dire de l’ordre de 5,7M.de SEK. Les membres du CG auront
immédiatement connaissance d’un dépassement de budget, le cas échéant.
PV du 31 mars 2010
9) Bail SISAB
Une liste importante de travaux a été soumise (passerelle, trois salles par an, sols, murs,
ventilation, électricité, local poubelles, chauffage, etc...). Nous prévoyons de signer sous 15
jours pour une durée de neuf ans moyennant un loyer mensuel de 1 800 SEK (au lieu de
1 200 SEK), étant observé que le CDI a déjà été payé.
Le bail commencera à courir à compter de Septembre 2010.
Mme Renard-Hermodsson rappelle qu´un loyer mensuel de 1 800 SEK est un loyer
intéressant (à titre d´information, M. le Directeur du Fritids a cherché des locaux et n’a rien
trouvé à moins de 2 000 SEK).
PV du 30 septembre 2010
7. Approbation des comptes (annexe 6)
Le bail SISAB n’est pas signé le 30 septembre 2010. Le Comité de Gestion prend
connaissance de la correspondance. SISAB précise qu’un contrat sera prêt dans les 7 jours.
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Le Gestionnaire précise que les chiffres à approuver sont ceux de la version circulée en juillet
2010 et non en septembre 2010.
Le Gestionnaire précise qu’il y aura une modification (positive) au niveau des
amortissements, puisque la durée du bail SISAB initialement prévue 9 ans sera d’une durée
de 15 ans. Le loyer a également été ramené à 1648 kr au lieu de 1800 kr prévu initialement
(annexe 7 : Bail SISAB à signer)
PV du 13 décembre 2010
1) Point d’information sur la construction d’un gymnase.
Messieurs Boyer et Ameline exposent les détails d’un projet de construction de
gymnase. Les lieux logeraient deux salles de gymnastique (séparées d’une cloison
amovible) et un réfectoire à partager avec Essingeskolan.
Le prix de location serait le même que le prix actuel de SISAB, à savoir 1600 sek/m2.
Le projet, prévu pour la rentrée 2012, n’influera pas sur le budget 2011. Un groupe
de travail se réunira pour apporter un projet plus finalisé à la prochaine réunion du
comité de gestion.
2) Présentation d’un projet d’agrandissement des locaux de la maternelle.
M. Boyer informe le comité que des locaux sis à Hantverkargatan sont mis en location. Il
serait possible d’y héberger quatre classes de maternelle. Le projet sera étudié plus en
détail par un groupe de travail pendant les mois à venir.
PV du 24 avril 2012
Les travaux prévus, en cours ou à envisager, sont pris en compte dans l’augmentation
contractuelle négociée avec SISAB
- Salle profs
- Salle repos
- Secrétariat
- Espace accueil public
- Bureau proviseur
Soit une enveloppe d’environ 1 à 6 millions SEK prévus au total sur la période de 3 ans
négociée avec SISAB
Les 6 millions SEK doivent permettre d’autres travaux, mais il est aussi possible de financer
certains travaux sur le budget de fonctionnement (petites dépenses, rideaux etc….)
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PV du 30 mai 2012
6. Point gymnase et cantine
Rien n'est à signaler depuis le 26/04 puisque SISAB doit présenter un devis à la commune
pour mi-juin.
7. Travaux de l’été 2012- financement SISAB
Rien a signaler sauf que les travaux de l’été financés par SISAB concernent le bureau du
proviseur, salle de repos, salle des professeurs et la salle 101.
Sandy fera un rapport dès qu’il aura du nouveau et au plus tard lors de la prochaine réunion
du CG.
PV du 16 avril 2013
11. Travaux été 2013
Le CA approuve les propositions de rénovation des salles de classes. Le CA sera consulté dès
que possible par rapport aux coûts à engager et ce, à la réception des devis correspondants.
Réfection cantine : Le CA approuve le devis présenté par la Direction. Néanmoins, et suite
aux remarques de l’inspection sanitaire de la cantine, le CA demande à la Direction de
prendre contact avec SISAB afin que ces derniers participent au financement.
PV du 20 mai 2013
9. Travaux:
SISAB présentera un devis 27/5.
Concernant la cantine, la fondation doit s’assurer que si nous faisons des
travaux, nous devons avoir l’assurance d’un contrat stable d’au moins 5 ans
avec Essinge skola. Une réunion est prévue avec SISAB 17/6.
PV du 31 mai 2013
8.2 Les locaux :
La proposition de Messieurs C. Boucher et H. Jerlström est approuvée par vote, selon les
voix émises et qui sont les suivantes :
OUI :
NON :
ABSTENTION :
5 voix
1 voix
2 voix
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Le projet du Proviseur n’est pas retenu et Mme Maraux exprime sa grande préoccupation.
Descriptif du projet C. Boucher/H. Jerlström :
Aucun aménagement des locaux ne sera effectué attendu le report de la date butoir de la fin
des travaux, à août 2015, dans l’attente de la construction d’un nouveau bâtiment.
Les solutions sont temporaires, ne s’agissant que de déplacer/ déménager matériels et
personnel en adaptant certains locaux à leurs nouvelles fonctions
PV 1er octobre 2013
9. Rooms (Sophie)
a- Proposal for changing of rooms for Elsa and the school nurse. There is no solution
possible for the moment. To be further investigated.
b- Selection of architect for future renovations. Sophie would like to work with Ia
Hjärre Dive Arkitects AB. Decision:
 OK to work with Ia Hjärre Dive Arkitects AB.
 OK to ask this architect to make a proposal for the division of Kajsa’s room.
c- Situation SISAB/UF regarding a new building in the yard
No news.
Decision:
 The contacts with SISAB since the spring shall be documented in a log.
If no answer has been received within 2 weeks, our question must be escalated within SISAB.
PV 25 novembre 2013
10. Travaux de réaménagement (Proviseur; vice-président)
Le Proviseur fait savoir qu’il ressort de la réunion qu’elle a eue en compagnie du viceprésident, de Sandy Vuille-Dit-Bille avec SISAB, que la Fondation est désormais seule en lice
pour la construction d’un bâtiment dans la cour en lieu et place d’un local appartenant à
l’école suédoise.
Le nouveau bâtiment abritera la cantine, le gymnase et la maternelle qui pourra de nouveau
accueillir 100 élèves.
Les études de plan commenceront en 2014 et le bâtiment sera livré en 2017.
PV 7 mai 2014
9. Locaux
- Maternelle : Aménagements des locaux (Nina Lillo)
Nina Lillo souhaite aménager l'infirmerie actuelle, le bureau de la psychologue et celui d'Elsa
Rodriguez.
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Le coût total des travaux serait de 900 000 sek. Estimation faite par l'architecte qui étudie le
projet.
Il est suggéré de faire faire une offre à l'entreprise qui va faire les travaux pour la partie lycée
français par le biais de l'architecte.
DECISION : La poursuite de l’étude est validée.
- LFSL : Statut sur le projet de nouveaux bâtiments SISAB
Nina Lillo a rencontré l'architecte de SISAB pour la partie maternelle.
Le responsable de la cantine l'a rencontrée de son côté afin d'exprimer les besoins sur la
partie cantine.
L'architecte doit fixer un RV afin que l'on étudie les plans du gymnase avec les professeurs
d’EPS.
- LFSL : Statut sur les travaux d'aménagement été 2014
Les travaux sont ceux de trois salles de classe rénovées durant l'été. Elles deviendront l'une
une salle de classe, l'autre l'infirmerie et le bureau du curator et la dernière la salle de
français langue de scolarisation et le bureau de la directrice de l'élémentaire.
PV du 2 juin 2014
10. Rénovation « Förskola »
Mme Lillo présente les travaux à savoir la transformation de l’infirmerie en cantine et la
création d’une salle de réunion pour le åersonnel en lieu et place du bureau de la direction
de l’élémentaire.
Le devis de l’entrepreneur respecte le montant alloué pour ce projet.
Si l’offre est validée aujourd’hui, les travaux auraient lieu pendant les vacances d’été et la
livraison prévue pour le 18 août.
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