Tableaux pour kiosques

Découvrez
l’ADOPTION OUVERTE ou
SEMI-OUVERTE
- La femme choisit le couple adoptif selon ses critères ;
- La femme entretient des liens, directs ou indirects, avec l’enfant ;
- La femme précise à l’enfant dès le bas âge qu’elle l’a confié, par
amour, pour lui offrir un meilleur foyer parce qu’elle n’était pas en
mesure de l’accueillir adéquatement ;
- Il n’y a pas de mystère ou de mensonge. Tout est connu et honnête.
L’enfant n’est pas frustré qu’on lui ait caché quoi que ce soit et il
comprend qu’il n’a pas été abandonné ou rejeté.
Visiter www.adoptionviverecanada.com et www.vivere.info :
- Livre Vivere « L’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée –
Le guide pour tous » ;
- Carnet Vivere « L’adoption ouverte, semi-ouverte ou fermée –
Guide pour le parent biologique » ;
- Dépliant Vivere « L’adoption à la naissance »
- Affiche Vivere « L’adoption à la naissance – quel beau cadeau »
Avortement =
violence contre la
femme
Avortement
en cas de viol =
répondre à la violence
par la violence =
perpétuer le
cycle de la violence.
« L’avortement n’est
jamais nécessaire pour
sauver la vie ou la
santé de la femme. »
Collectif de médecins irlandais, 2012
POUR LA GROSSESSE
DIFFICILE À ASSUMER
IL EXISTE DES RESSOURCES
DE SOUTIEN EN RÉGION !
Voir les guides régionaux Vivere au www.vivere.info
Service Vivere de soutien et de référence
bilingue et gratuit :
1 866 445-9695
24-7, de n’importe où au Canada
PERSONNE N’A LE DROIT DE
FORCER UNE FEMME À SE
FAIRE AVORTER, PAS MÊME
LES CONSEILLERS EN
ÉCHOGRAPHIE OU EN
DÉPISTAGE GÉNÉTIQUE LES
PLUS INSISTANTS
TOUT CITOYEN A DROIT DE
S’ATTENDRE À ÊTRE PROTÉGÉ,
DÉFENDU ET SOIGNÉ PAR L’ÉTAT,
SANS AVOIR À CRAINDRE D’ÊTRE MIS
À MORT, OU QUE CELA N’ARRIVE À UN
PROCHE. LA PRATIQUE DE
L’EUTHANASIE BRISE LE LIEN DE
CONFIANCE QUI DOIT RÉGNER ENTRE
UN MÉDECIN ET SON PATIENT ET NUIT
À LA RECHERCHE EN SANTÉ AINSI
QU’AUX SOINS PALLIATIFS, SOIT LES
SOINS DE CONFORT
JUSQU’À LA MORT NATURELLE.
DÉCOUVREZ LES
SOINS PALLIATIFS
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Accompagnement en
fin de vie
DES CENTAINES DE
MÉDECINS QUÉBÉCOIS ET
CANADIENS REFUSENT DE
DEVENIR LES BOURREAUX
DE LÉTAT EN PRODIGUANT
« L’AIDE MÉDICALE À
MOURIR ».
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