L`Oreille Interne n°53 - Centre Hospitalier de Péronne

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L’oreille
Avril 2017 - n°53
Interne
Le journal d’informations de
l’établissement
Sommaire
P2
Edito
Accréditation du
laboratoire
P3
Journée d’accueil des nouveaux
P4-5 arrivants / Développer la déclaration et l’analyse des EI
P6
P11
Analyse des questionnaires
de sortie d’hospitalisation
Activités de la SCLIN 2016
et son programme d’actions
P12 L’éthique
P13
Informations : Plaies et
cicatrisation /Prise en
charge de la douleur
P14 Arrêt sur images
P15
. Le 26/06/2017 à 12 H 30 :
Carnet des ressources
humaines
P16 CGOS : Futuroscope
Café de l’éthique sur le
thème : « Bientraitance
pour l’un, maltraitance
pour l’autre ?»
. Le 05/05/2017 :
Marché de la fête des mères
er des pères avec
l’Amicale
DOSSIER SUR LES TROUBLES
MUSCULO-SQUELETTIQUES
P 7 à 10
ACCRÉDITATION
EDITO
Après plusieurs années sans véritable problème financier et des investissements conséquents pour
rénover les locaux, améliorer le confort des patients et des personnels, moderniser les process, le Centre
hospitalier de Péronne entre dans une phase délicate. Les recettes d’activité ne suffisent plus à payer toutes
nos charges d’autant que nous avons à supporter les remboursements d’emprunts levés pour financer les
projets.
Aussi, en liaison avec l’Agence Régionale de Santé, nous sommes en train de finaliser un plan de
retour à l’équilibre afin de retrouver l’équilibre financier, condition indispensable pour être en capacité
d’emprunter de nouveau.
En parallèle, l’établissement doit continuer à prouver la qualité de ses prestations et services. En juin
2017, le compte qualité, mis à jour en référence au Manuel V2014, sera transmis à la HAS pour un suivi
de notre certification. Les visiteurs COFRAC feront également une visite de suivi de l’accréditation du
laboratoire en novembre.
Des évolutions sont également attendues dans les parcours de soins et les filières de prises en charge
des patients sur le territoire de notre GHT (Groupement Hospitalier de Territoire). Les équipes médicales
des 11 établissements concernés, travaillent actuellement sur un projet médical partagé du GHT qui sera
envoyé à l’ARS avant le 1er juillet.
Mais au quotidien, les patients et les résidents doivent pouvoir compter sur des professionnels
compétents, motivés et épanouis au travail. Les conditions matérielles se sont certes améliorées, mais nous
constatons toujours plus de troubles musculo squelettiques. Ce numéro contient donc différents articles
présentant les travaux issus du CHSCT pour prévenir les lombalgies, limiter les mauvaises postures et se
maintenir en forme grâce à des exercices d’étirement.
En juin, la cartographie des risques psychosociaux viendra compléter le document unique des risques
professionnels et une nouvelle enquête sera lancée pour évaluer la qualité de vie au travail dès septembre.
L’ ensemble des personnels sont invités à participer activement à ces réflexions.
Je nous souhaite donc beaucoup de courage et d’énergie pour faire face aux contraintes de plus en plus
nombreuses qui pèsent sur les établissements de santé en général et qui n’épargnent pas les structures telles
que la nôtre.
R. DELPLANQUE
Directrice
Depuis le 24 mars 2017, le laboratoire du Centre Hospitalier de
Péronne est accrédité, selon la norme ISO 15 189.
Il est accrédité pour les examens suivants :
Biochimie générale
et spécialisée
Hémostase
Albumine
Chlore
CRP
GGT
Glucose
Phénobarbital
Potassium
Protides
Réserve alcaline
Sodium
TGO
TPG
Urée
TP-INR
TCA
Fibrinogène
La préparation à l’accréditation du laboratoire a
démarré à partir de juillet 2014, avec l’arrivée quasisimultanée du nouveau biologiste responsable,
du cadre de santé et du nouvel ingénieur qualité
affecté au laboratoire. L’équipe du service au
complet a participé activement à la construction
de la démarche qualité : sans leur implication,
l’accréditation n’aurait pas été obtenue.
La visite initiale d’accréditation avait eu lieu
les 7 et 8 juillet au cours de laquelle 20 écarts
dont 4 critiques avaient été identifiés. Depuis, des
éléments de preuve ont été fournis au COFRAC
(Comité Français d’Accréditation) pour attester
de la maîtrise des situations d’écarts constatées.
L’accréditation est la reconnaissance que le
laboratoire du CH de Péronne est compétent pour
réaliser des examens de biologie médicale.
Avec l’obtention de l’accréditation, l’établissement répond aux exigences réglementaires. En
effet, la réglementation impose aux laboratoires de
2
Immunologie
hématologie
Bactériologie
RAI
Hémocultures
(incubation
uniquement)
biologie médicale d’être accrédités au plus tard au
31 décembre 2017, à hauteur de 50 % des examens
de biologie médicale qu’ils réalisent. Le Centre
Hospitalier de Péronne est actuellement accrédité à
hauteur de 51 %*.
À compter du 1er novembre 2020, les laboratoires
de biologie médicale ne peuvent fonctionner sans
disposer d’une accréditation portant sur 100 % des
examens de biologie médicale qu’ils réalisent. C’est
pourquoi, le laboratoire continue sa progression
dans la démarche d’accréditation, en présentant,
lors de la prochaine visite, dite de surveillance, les
groupes sanguins et les Numérations Formules
Sanguines. Cette visite est prévue pour novembre
2017.
* pourcentage déclaré au COFRAC sur l’activité de 2015
A. LEHOUCK
Ingénieur hospitalier
3
JOURNÉE DES NOUVEAUX ARRIVANTS
DU 27/03/2017
25 agents de l’Etablissement
ont assisté à la journée d’accueil
des nouveaux arrivants qui s’est
déroulée le 27 Mars dernier.
Durant la matinée, diverses
interventions ont eu lieu.
Un buffet froid a ensuite été
servi en salle d’activités du Pavillon caudron.
L’après-midi, les agents après
une intervention sur la formation incendie et le développement durable, ont pu visiter les
services de l’Etablissement.
Comment déclarer ?
Un évènement indésirable grave associé à des
soins réalisés lors d’investigations, de traitements,
d’actes médicaux à visée esthétique ou d’actions de
prévention est un évènement inattendu au regard
de l’état de santé et de la pathologie de la personne,
qui a des conséquences graves (décès, mise en jeu
du pronostic vital, survenue probable d’un déficit
fonctionnel permanent y compris une anomalie
ou une malformation congénitale).
La déclaration des EIG se fait en deux temps.
Une première partie de la déclaration est adressée
sans délai au DGARS (description de l’EIG,
des mesures prises pour la victime et pour la
prévention d’autres EIG, information du patient
ou de son entourage).
La seconde partie de la déclaration est adressée
sous 3 mois au DGARS (gestion de l’EIG, analyse
approfondie de ses causes par les professionnels
de santé, plan d’actions correctrices assorti d’un
échéancier). La déclaration garantit l’anonymat
des patients et des professionnels impliqués.
Tout professionnel de santé qui constate un EIG
doit en informer par écrit la Directrice. Il est alors
considéré comme ayant rempli ses obligations
déclaratoires. La Directrice est responsable de sa
déclaration au DGARS.
Un professionnel référent peut être chargé de
ces déclarations.
Quel soutien pour les déclarants ?
Les ARS doivent mettre en place des structures
régionales d’appui à la qualité des soins et à la
sécurité des patients (SRAQSSP) chargées d’aider
les professionnels à analyser les déclarations
d’EIG. Elles apporteront un appui technique et
scientifique aux établissements.
2) La déclaration des infections
associées aux soins
DÉVELOPPER
LA DÉCLARATION ET L’ANALYSE DES
ÉVÈNEMENTS INDÉSIRABLES GRAVES :
UNE OBLIGATION RENFORCÉE
L’article L.1413-14 du code de la santé
publique impose aux professionnels et
établissements de santé, aux établissements
et service médico-sociaux de déclarer au
directeur général de l’Agence régionale de
santé (DGARS) toute infection associée aux
soins.
4
Que faut-il déclarer ?
Qui doit déclarer ?
POURQUOI LES
DÉCLARER ?
!
1) La déclaration des EIG
Pour les établissements de santé, ces
obligations déclaratoires ne se substituent
pas à celles prévues par le régime des
recherches biomédicales ou les diverses
vigilances. Elles se cumulent et imposent
désormais une véritable culture de l’analyse
de ces évènements indésirables graves (EIG).
Que faut-il déclarer ?
L’obligation de déclaration des infections
associées aux soins (IAS) concerne celles qui
sont inattendues ou inhabituelles (nature ou
caractéristiques de l’agent pathogène, localisation
ou circonstances de survenue de l’IAS chez les
personnes atteintes).
L’obligation concerne aussi les IAS survenues en
cas groupés, celles qui ont provoqué un décès ou
celles qui révèlent d’une transmission obligatoire
de données individuelles à l’autorité sanitaire
(listées à l’article D.3113-6 du code de la santé
publique).
Qui doit déclarer ?
La déclaration des IAS relève de la responsabilité
de la Directrice. Les professionnels de santé
signalent la survenue des infections nosocomiales
à l’équipe opérationnelle d’hygiène hospitalière.
Celle-ci juge de l’obligation déclaratoire et
transmet les cas qui doivent être déclarés au
professionnel de santé chargé dans l’établissement
du signalement des infections nosocomiales aux
autorités sanitaires.
Comment déclarer ?
La déclaration d’une IAS doit s’appuyer sur le
formulaire qui sera défini par arrêté (description
de l’IAS et des circonstances de sa survenue,
investigations réalisées, premières mesures de
lutte et de prévention adoptées, analyse des causes
de l’IAS et plan d’action visant à éviter la récidive).
Il pourra être transmis par voie électronique.
La déclaration est anonyme pour ce qui concerne
les patients comme les professionnels impliqués.
Le DGARS accusera réception de la déclaration et
s’assurera de la transmission au centre d’appui.
Quel soutien pour les déclarants ?
Dans chaque région, un centre d’appui pour
la prévention des IAS assurera un rôle d’appui et
d’expertise pour la prévention, de coordination
ou d’animation des réseaux de professionnels,
d’investigation, de suivi et d’appui à la gestion des
déclarations.
5
ANALYSE DES QUESTIONNAIRES
DE SORTIE D’HOSPITALISATION
Période de recueil du 1er janvier au 31 décembre 2016
Nombre de questionnaires analysés : 1215 (soit un taux de retour de 17 %)
Trimestre 1
Trimestre 2
Trimestre 3
Trimestre 4
Total
Taux de
récuperation
12%
19%
24%
13%
17%
Chirurgie
Médecine
Maternité
HDJ
SSR
UCHD
Surveillance
Continue
8%
29%
27%
15%
15%
0%
2%
Point positif : Note globale positive
à savoir 93.7 % des patients donnent
une note supérieure ou égale à 7
(objectif à 80 %)
LES TROUBLES
MUSCULO-SQUELLETIQUES
Saviez-vous qu’une bonne installation à un poste de travail informatisé
peut réduire les douleurs identifiées sous l’appellation Troubles Musculo-Squeletttiques (T.M.S.)
Point négatif : Seuls deux services
atteignent l’objectif du 20 % de taux
de récupération : la médecine et la
maternité
¾¾ Délai d’attente dans le service de soin
¾¾ La qualité de la restauration
¾¾ La remise du livret d’accueil diminue
¾¾ Les possibilités de stationnement
¾¾ Mise en place d’un complément d’enquête
sur les délais d’attente dans les services
¾¾ Mise en place d’un plan de crise cuisine
par la Direction
¾¾ Suivi de l’indicateur de remise du livret
d’accueil par service mensuellement
ACTIONS
VALIDÉES
AU PAQSS
¾¾ Les informations données aux patients et à l’entourage
¾¾ La qualité des soins
¾¾ L’efficacité, le respect, l’amabilité, la discrétion du personnel
médical et soignant
¾¾ Connaissance de l’identité de l’interlocuteur
Qu’est-ce que les T.M.S. ?
Les T.M.S (troubles musculo-squelettiques)
regroupent des affections touchant des structures
situées à la périphérie des articulations comme
les muscles, les tendons, les nerfs, les ligaments…
Ils sont facteurs de troubles multiples, et l’activité
professionnelle joue un rôle dans leur survenue,
leur maintien ou leur aggravation.
Qu’est-ce qu’une mauvaise installation
à un poste informatique ?
Si vous prenez en compte le « couple » écranutilisateur et l’avènement des nouvelles technologies,
il est incontestable que le mode de travail des agents
de bureau (secrétaires médicales, standardistes,
agents administratifs…) a évolué. Une mauvaise
installation à un poste informatique se caractérise
A. MOERMAN
Ingénieur hospitalier
6
7
par une posture statique maintenue durant de
longues périodes, un écran mal positionné (soit
trop haut, soit trop bas), ou une souris et un clavier
trop éloignés. Tous ces éléments peuvent entraîner
un déséquilibre entre les capacités physiques
du corps et les longues périodes de sollicitations
auxquelles il est exposé. D’autant plus, qu’une
mauvaise installation peut aboutir à des affections
qui sont souvent plus courantes et connues qu’on
ne le pense. Si l’on vous parle de lombalgies, de
cervicalgies, du syndrome canal carpien, de jambes
lourdes…beaucoup d’entre nous se reconnaîtront.
Mais n’oublions pas qu’en dehors de ces signes
avant-coureurs, nous pouvons aussi être amenés
à ressentir une fatigue visuelle, une irritabilité, de
la nervosité, sans compter l’intensité du travail, ce
qui peut constituer des situations à risque appelées
T.M.S. et donc entraîner un agent à être moins
performant.
Mais alors, qu’est-ce qu’une BONNE
installation à un poste informatique ?
Une bonne installation à un poste informatique
implique que l’agent organise ou réorganise sa
surface de travail avec du matériel adapté.
Une même installation peut-elle
s’appliquer à tout le monde ?
Une installation à un poste informatique
variera selon les aspects relatifs à la mission, la
durée et l’intensité du travail à effectuer de l’agent,
ainsi que son profil.
Tant de questionnement, qui dans le cadre
des conditions de travail a motivé le C.H.S.C.T
à constituer en 2016 un groupe de travail dont
l’objectif a été de mener une étude et un recensement
sur les besoins réels en matériels des agents
travaillant sur un poste informatique. 60 agents
ont été concernés par ce recensement regroupant
23 services avec un taux de participation s’élevant à
73.3 %. Le matériel recensé s’est basé sur le matériel
suivant : repose-pieds, rehausseur d’écran, le casque
téléphonique, tapis de souris ergonomique et
porte document. Les agents seront prochainement
équipés du matériel adapté à leurs besoins.
Obtenir du matériel est une chose, mais
en approfondissant le sujet il semblait utile de
concevoir des fiches conseils qui apporteraient aux
agents un confort supplémentaire non seulement
sur la bonne posture à adopter, mais également sur
l’utilité des raccourcis clavier.
Ces fiches conseils ont été affichées
au niveau des secrétariats et services
concernés.
Elles sont également consultables sur :
ENNOV : CH-DUT-108 / CHP-DUT
110 / CHP-DUT-109 /CHP-DUT-111
PERSONNEL HOSPITALIER
ATTENTION À LA
MANUTENTION !
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETIQUE VOUS
GUETTENT !
8
Mais la manutention nécessite
parfois quelques bonnes
règles de pratiques à
adopter pour éviter les
T.M.S. (troubles musculosquelettiques).
Les
T. M . S
source de tension ?
La manutention cause
dans la plupart des cas
des T.M.S aboutissant à des
A.T (accidents de travail).
Un constat a permis de mettre
en évidence que les T.M.S
survenaient peu de temps après
la prise de fonction des agents.
Les agents hospitaliers sont
souvent confrontés dans leurs
pratiques professionnelles à
exercer « l’art » de la manutention
(patients, charges lourdes…).
Devant ce constat important
des A.T. (accidents de travail)
liés à la manutention, il semblait
pertinent au C.H.S.C.T d’apporter
un intérêt tout particulier aux
agents confrontés au quotidien
à des situations à risque.
Un document sur les Principes
Généraux de Manutention
a été élaboré et affiché dans
l’ensemble des services (Salle
de soins, offices, vestiaires,
salle de pause). Ce document
indique aux agents comment
effectuer un « échauffement
musculaire » rapide (environ
5 minutes), ludique et simple
à réaliser. Cet échauffement
musculaire est complémentaire
du matériel déjà mis à
disposition des agents.
9
La friction hydroalcoolique
1
2
e:
Petit pense-bêt
e, n’
Soyez économ
coup de pompe.
l
seu
utilisez qu’un
deux
la surface des
Couvrir toute
minimum 20
mains pendant
secondes.
Désinfection des paumes
ACTIVITÉS DE
LA SCLIN 2016
Désinfection dos et espaces
interdigitaux
Création de documents : chambre implantable ;
4
3
document sur la définition des infections associées
aux soins ; gestion du risque lié aux légionelles ;
plaquette gestion du risque aux légionelles pour le
personnel ; politique de lutte contre les infections
associées aux soins.
Désinfection des doigts
5
Désinfection des pouces
7
6
Réactualisaton de documents : la préparation
de l’opéré en référence à la conférence de consensus
« gestion préopératoire du risque infectieux », SF2H
Octobre 2013 ; la prise en charge des Accidents
d’Exposition au Sang (AES) = procédure de
prise en charge des AEV (procédure, imprimé
différentes ordonnances, support de recueil
observation médicale AEV, support de prescription
biologique) ; nettoyage des offices alimentaires
(plan de nettoyage, traçabilité)
Désinfection des ongles
Désinfection des poignets
CH P le 19/01/2017
Réalisation d’audits/d’enquêtes : précautions
complémentaires ; prévalence 2016 ; SHA, bijoux,
tenue du personnel ; soins respiratoires ; port de
gants (audit national) ; prev’EHPAD
Surveillance BMR
Antibioguide
Journée atelier : outil ludique d’amélioration
des pratiques de la qualité et de la sécurité des soins
«la chambre des erreurs»
Relevé et analyse des AES
Journée mondiale hygiène des mains
INCISO 2016
Poursuite des réunions de travail avec les
correspondants en hygiène hospitalière :
MCO ; EHPAD
Participation aux réunions : de secteur avec
le CH de Saint-Quentin ; organisées pas l’AIRLIN
SON PROGRAMME D’ACTIONS
Création de documents : carnet de suivi im-
plantable ; utilisation d’un cathéter veineux central
de type PICC Line ; gestion des excrétas ; change
raisonné de la literie des patients/des résidents.
Le CHSCT rappelle que régulièrement des formations initiales
ou une remise à niveau sur les techniques de manutention,
l’utilisation du matériel, les risques de TMS, etc… sont proposées
au sein de l’établissement. Les agents qui souhaitent y participer
peuvent se rapprocher de leur cadre ou du service de Formation
pour de plus amples informations.
10
Pour des conseils sur les bonnes pratiques de manutention,
monsieur LUBART Benjamin – « Formateur manutention »– reste
à votre disposition : [email protected]
B. LUBART
Animateur sportif
L. TAILLEFER
AMA au D.I.M.
M. DEVAUCHELLE
Agent d’accueil
EHPAD, USLD et SSR
J. VALENTIM
Agent du service civique
en Communication
Réalisation d’audits/d’enquête : précau-
tions complémentaires ; prévalence 2017 ; sondage
urinaire ; «zéro bijoux» ; tenue au Bloc opératoire ;
entretien d’une chambre ; poursuite des diagnostic
hygiène ; poursuite des DARI dans les EHPAD.
Surveillance BMR
Formations : tri des déchets ; chambre des
erreurs
Relevé et analyse des AES
Journée mondiale hygiène des mains
INCISO 2017
Poursuite des réunions de travail avec les
correspondants en hygiène hospitalière :
MCO ; EHPAD
Participation aux réunions : de secteur avec
le CH de St-Quentin ; organisées par l’AIRLIN
F. WALLEZ
Infirmière Hygiéniste
11
DUCÔTÉ DE L’ÉTHIQUE
RETOUR SUR 2016
La journée de formation sur le thème « la
violence dans le soin » a été l’occasion de :
-Repérer ce qui peut être violence dans le soin ;
-S’interroger à propos de la personne vulnérable,
la relation soignant soigné ;
et d’envisager comment mieux gérer les
situations d’agressivité des patients et résidents
3 « Cafés de l’Ethique » ont été proposés sur les
thèmes « Familles, partenaires ? » « Médecins/
soignants : solidaires ? » « Sexualité des patients /
résidents : quelle attitude ? » Ces temps de partage
de 12h30 à 14h, en salle polyvalente, ouverts à
tout le personnel, médical, soignants, équipes
techniques et administratives sont l’occasion de
réfléchir ensemble sur nos pratiques, à partir
de situations vécues, d’ouvrir son regard et
d’envisager d’autres possibles.
Si vous n’avez pas encore « osé » venir sachez
que la confidentialité des échanges est rappelée à
chaque début de réunion, ainsi que le respect de
la parole de chacun et le non jugement de l’autre.
Nous vous attendrons nombreux pour le
prochain Café Ethique le lundi 26 juin dont
le thème sera : « Bientraitance pour l’un :
maltraitance pour l’autre ? »
EN
2017
Le service de médecine a expérimenté la mise en
œuvre de 3 réunions en éthique clinique de 1h30
chacune.
Ces temps consistent à analyser des situations de
soins pour lesquels les équipes soignantes sont en
questionnement à partir d’une grille d’analyse en
éthique clinique. Ils permettent de réfléchir à nos
pratiques, de vérifier leur pertinence en regard des
principes fondamentaux éthiques :
- non malfaisance (ne pas nuire),- bienfaisance,
- respect du principe d’autonomie (laisser la possibilité
de dire « je »),
- principe de justice,
- évaluation des bénéfices risques, dans le respect de
la loi.
La richesse de la démarche est augmentée par le
partage pluriprofessionnel, afin de mieux comprendre
nos approches respectives de la prise en charge du
patient.
Une nouvelle intervention de la troupe « Entrées
de
jeu » avec présentation de scénettes induisant
une réflexion sur des situations maltraitantes de la vie
quotidienne a mobilisé 37 participants.
Les questionnaires de satisfaction révèlent une envie
de poursuivre la démarche de questionnement au-delà
de ce temps partagé. La thématique qui a le plus fait
réagir les agents cette année était en lien avec la prise
en charge de la douleur.
DEMANDES DE PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR
PAR DES MOYENS NON PHARMACOLOGIQUES
1) Critères de demande d’avis :
Douleurs déjà traitées par les 3 paliers d’antalgiques depuis au
moins une semaine avec évaluation régulière sur une semaine
sans aucune amélioration.
2)Demande formulée par un médecin du service avec
remplissage du formulaire (cf. formulaire) et photocopie de
la traçabilité de l’évaluation de la douleur sur une semaine
(jour X3).
3)Faxer le formulaire en salle de surveillance postinterventionnelle au 03 22 83 60 61 et confirmer l’envoi du fax
par téléphone au poste 6650 en journée du lundi au vendredi.
4) Alternatives thérapeutiques proposées :
• Hypnose : M. DEFAUX Lionel
•
•
•
•
•
•
Sophrologie : Mme LE MEUR Elisabeth
Psychomotricien : M. HAIN Jean-Baptiste
Massage : Mme VANDERBEKEN Emilie
Acupuncture : Mme CRAVINHO Sylvie
Ergothérapie : Mme DOUX Françoise
Ostéopathie et Homéopathie : Mmes FOREAU
Isabelle et CRAVINHO Sylvie
Comme en 2015, vous serez sollicités cette année
pour vous positionner sur le questionnaire d’autoévaluation relatif à la bientraitance. Merci d’avance pour
votre participation, nous en avons besoin pour avancer
ensemble.
Le Comité Ethique va travailler sur la contention et l’isolement d’une part, en lien avec l’évolution
des textes de loi et les questionnements éthiques générés par ces pratiques, puis sur la bientraitance.
Faites-nous part de vos remarques et interrogations sur ces thèmes, afin d’enrichir nos échanges.
La journée de formation « vulnérabilité/dignité » a été très appréciée par les participants.
AVIS PLAIES ET CICATRISATION
Depuis le mois de mars, ces deux infirmières expertes en
plaies et cicatrisation interviennent les mardis dans les
services, au lit du patient, à la demande du médecin et de
l’équipe soignante.
Angélique WATTEBLED
•
•
•
•
Réservez déjà ces dates :
Mardi 2 mai : interventions par demi-journées de Carène Ponte, juriste, sur les évolutions de la loi
Claeys Leonetti, les directives anticipées, la sédation profonde et la personne de confiance, ouverte à
tous les personnels de l’établissement. C’est l’opportunité de vérifier notre bonne compréhension de
ces données et de devenir des relais efficaces de ces informations.
Jeudi 19 octobre : grande journée salle Alténa à l’hôtel de ville de Péronne, organisée par le Comité
Ethique et l’Espace Ethique de Picardie sur le Refus de Soins, avec la participation du Pr Jardez et du
Pr Nemitz, du dr Alain de Broca et les interventions de 5 intervenants qui l’aborderont à travers des
thématiques différentes : refus de soins aux urgences, chez l’enfant et l’adolescent, chez la personne
âgée, chez la femme enceinte, chez le patient en psychiatrie…
Incrivez-vous dès maintenant auprès de Mme JOUEN, poste 62.89, service de la formation continue.
12
C. WAYMEL,
Coordinatrice générale des services de soins infimiers
Pour cela, il vous suffit de prendre RDV auprès du secrétariat
des consultations (poste 60.95) en précisant :
Nom du service,
Nom, prénom, date de naissance du patient
TYPE DE PLAIE
N° contact téléphonique
LEUR MISSION
• proposer une conduite à tenir
• pratiquer avec l’infirmière si celle-ci a besoin d’être guidée
Amélie DAUPHIN
13
arrêt
sur
images
Réunion de présentation du projet
de travaux de la 3ème phase du plan
Directeur du 14/02/2017
LE CARNET DES RESSOURCES HUMAINES
Bienvenue à ...
FÉVRIER :
MARTINEZ Laetitia - Adjoint administratif au POOL
GARRE Nicole - ASH Qualifié en Psychiatrie
BASSUS Pascale - CUI en Maison de retraite
MARS :
Arrivée de ...
Mme LEROY Emilie - Infirmière Cadre de Santé
en Chirurgie depuis le 02/01/2017
« Originaire de la région parisienne, diplômée en 2005,
mon parcours s’est principalement orienté dans le domaine de la gériatrie,
plus particulièrement au service des patients Alzheimer.
En 2008, j’intègre une association de soins à domicile, qui m’offrira deux
ans plus tard l’opportunité d’évoluer en tant que Cadre de Santé.
Arrivée en 2015 dans la région, j’ai continué à travailler sur Paris jusqu’à
la fermeture du pôle de l’association.
En janvier 2017, l’hôpital de Péronne m’a accueilli chaleureusement et
permis de découvrir les services de chirurgie et d’hôpital de jour. »
M. JOSIEN Patrick - Responsable de la Cuisine
depuis le 18/04/2017
« Apprentissage cuisinier à l’age de 16,5 ans. A 19 ans, engagement dans la
Marine Nationale et ce pendant 22 ans. En 2002, j’intègre, comme cadre, des
sociétés privées de restauration (milieu carcéral, accompagnement à la sous
traitance des personnels hospitaliers de restauration et de diététique), chef de
secteur en charge de plusieurs établissements (secteurs santé et entreprise).
Membre de groupes de travail au niveau national. Officier de Marine de réserve,
commandant une préparation militaire Marine. En 2008, en poste de responsable de restauration au centre hospitalier de santé mentale henry EY (Eure et
Loir 28) jusqu’à mon arrivée en Picardie. Je me réjouis d’accompagner l’équipe
pour optimiser la qualité des prestations »
M. LEPHAY Julien - Adjoint au responsable de la Cuisine
depuis le 03/04/2017
« Cuisinier depuis 2006 en restauration traditionnelle, j’ai fait mes premiers
pas en restauration collective en 2011.
Après plusieurs CDD puis par la suite en CDI dans le milieu médical et scolaire
j’ai eu l’opportunité de passer un Certificat de Qualification Professionnelle de
chef de cuisine en région parisienne. J’occupe depuis le 03 Avril le poste d’adjoint au Chef de cuisine au CH de Péronne. Mon but : la satisfaction des patients
et du personnel du CH dans une relation mutuelle de confiance. »
14
Bonne Retraite à ...
Gaston le Côlon le 17/03/2017 à
Péronne, dans le cadre du Mars
Bleu, mois de sensibilisation et
d’information sur les cancers
colorectaux avec la participation
de M. le Docteur EL ACHKAR
NOEL Camille - Psychologue en Pédo-psychiatrie
BOULAAMAIL Radouane - A.E.Q. en Cuisine
BRUYER Agathe - IDE en HAD
DEFLAOUI Sylvie - CUI - Hygiène
ROUSSEL Margot - CUI en Maison de retraite
LECHEVIN Isabelle - CUI en Radiologie
AVRIL :
WACK Gwenael - Technicien Hospitalier à la Qualité
JOSIEN Patrick - Responsable de l’UCP
LEPHAY Julien - Adjoint au responsable de l’UCP
Naissances ...
Éléna
Café éthique du 06/02/2017 sur le
thème « Ras le bol des normes »
Née le 06 mars 2017, fille de FROMONT Coraline
Adjoint administratif au POOL
Au revoir à ....
PETIT Sylvie en
Maison de retraite
CONREAUX Catherine
en Médecine
DELORY Amélie en
Pédo-psychiatrie
LEFEVRE Maryline en
Cuisine
FAGNON Mylène en
Psychiatrie
MANIER Ludivine en
Maison de retraite
DUMONT Christine en
Radiologie
HEWUSZ Valérie en
Maison de retraite
PIOLE Anne-Claire en
HAD
PETITEAUX Christian
en Maison de retraite
BENAISSA Fatiha en
Maison de retraite
SAJOT Dylan aux
ateliers
GARRE Nicole en
Psychiatrie
FATIEN José en Cuisine
REGNARD Léa en
Maison de retraite
VAURY Sandra (AS) en
Médecine
Le 1er mai 2017 :
Mme WAYMEL Claudine
Adjoint administratif au
STANDARD
Du côté médical au revoir ...
BALIMA Charles - Praticien Hospitalier
aux Urgences
DAHMANI Noura - Praticien Hospitalier
aux Urgences
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