LE VRAI SANG TEXTE, MISE EN SCÈNE ET PEINTURES VALÈRE NOVARINA THÉÂTRE mardi 19, mercredi 20 et jeudi 21 avril à 20:30 maison de la culture, salle Jean-Cocteau durée 2 heure 20 réservation au 0473.290.814 www.lacomediedeclermont.com CONTACT PRESSE Céline Gaubert – t. 0473.170.183 [email protected] EN ÉCHO LECTURE DE VALÈRE NOVARINA en coréalisation avec la médiathèque de Jaude et en complicité avec La Librairie entrée libre, ouvert à tous amphithéâtre de l’École supérieure d’art de ClermontMétropole, 25, rue Kessler jeudi 21 avril de 18:00 à 19:00 La langue unique de Valère Novarina est faite pour être lue à haute voix, pour nous perdre dans ce théâtre des paroles écrit pour les oreilles. L’occasion exceptionnelle de l’entendre lue par son auteur. Réservation conseillée auprès de la billetterie au 0473.290.814 Le Vrai Sang — 3 7 avec Julie Kpéré La Machine à livrer l’homme, La Machine à servir l’opinion, Antipersonne I Norah Krief La Femme en déséquilibre Manuel Le Lièvre Le Coureur de Hop, L’Enfant à la diable, Fantochard Olivier Martin-Salvan L’Acteur fuyant autrui, Le Fantoche Dominique Parent Le Bonhomme de glaise, Cafougnol Myrto Procopiou Le Chantre Agnès Sourdillon La Femme en terre crue, Antipersonne II Nicolas Struve L’Homme hors de lui Valérie Vinci Le Vivant malgré lui, Le Contre-Chantre les musiciens Christian Paccoud et Mathias Lévy l’ouvrier du drame Richard Pierre l’ouvrier du dedans Raphaël Dupleix musique Christian Paccoud scénographie Philippe Marioge collaboration artistique Céline Schaeffer assistante à la mise en scène Adélaïde Pralon costumes Renato Bianchi lumières Joël Hourbeigt conception et suivi des accessoires Céline Schaeffer et Philippe Marioge dramaturgie Adélaïde Pralon et Pascal Omhovère improvisations au violon Mathias Lévy maquillage Carole Anquetil construction du décor et des accessoires Les ateliers de l’Odéon-Théâtre de l’Europe philosophie générale Clara Rousseau régie générale Richard Pierre régie plateau Raphaël Dupleix régie lumière en tournée Paul Beaureilles réalisation des costumes Luiggi Paddeau, Sylvie Lombart assistée de Catherine Manceau et Anne Poupelin assistante de l’auteur Lola Créïs stagiaire répétitrice Marjorie Efther production – diffusion PLATÔ – Séverine Péan en collaboration avec Carine Hily et pour l’administration de tournée Elena Fantoni production déléguée L’Union des contraires coproduction Odéon-Théâtre de l’Europe avec l’aide du ministère de la Culture et de la Communication cette oeuvre a bénéficié de l’aide à la production et à la diffusion du fonds Sacd Théâtre et du soutien de la Spedidam cette oeuvre a bénéficié de l’aide à la production et à la diffusion du fonds SACD Théâtre et du soutien de la Spedidam Le Vrai Sang est publié aux éditions P.O.L, janvier 2011 création le 5 janvier 2011 à l’Odéon Théâtre de l’Europe 4 — Le Vrai Sang Le théâtre de Valère Novarina vivifie. Il vient nous remettre en mouvement, culbuter le sens et miner notre stabilité par ses éclats facétieux. Cet éminent dramaturge, poète, metteur en scène et peintre français perpétue un état insurrectionnel de la langue, transformant la scène en un préau poétique où les prophéties usées sont remplacées par des drôleries métaphysiques, des débats à l’envers, des certitudes incertaines. Sa nouvelle création, Le Vrai sang, est un drame forain, un théâtre de carnaval. Le monde y bascule tandis que les mots s’y bousculent avec une intelligence rare et un bonheur de jeu inouï. Dans un décor constitué de ses propres peintures, une dizaine de grands solistes, dont Norah Krief, interprètent plus d’une vingtaine de personnages, tels que Jean Monomonde, Saporigène ou la Dame du Déséquilibre. Croisant les pas et la musique de Christian Paccoud, ils se serrent, se tressent et s’enchevêtrent en une fable d’entrées – comme au cirque – et de sorties – comme dans la vie. Ils viennent dire que l’homme est un animal dont on a encore rien dit, une aventure jaillissante, et par cette parole vitale, nous font soudain reprendre conscience comme la pensée respire. Le Vrai Sang — 5 6 — Le Vrai Sang ENTRETIEN AVEC VALÈRE NOVARINA Comment comprendre ce titre, Le Vrai sang ? Ce sont des mots de Lumières du corps : « comme si le langage était le vrai sang ». À certains égards, la pièce explore ce que pourrait être ce vrai sang au théâtre, tourne autour de cette question… Et j’aime la brièveté du mot « sang », un beau mot, quand on le voit écrit, avec ce « g » à la fin, comme un paraphe. Renato Bianchi est en train de faire des costumes très colorés. La perception des couleurs change la perception du langage. Il y a toute une chromologie ! Tout agit sur notre perception du langage. Au théâtre, nous faisons l’expérience de la mêlée des sens. Les objets parlent, et la peinture et le rythme : le langage s’empare de tout. C’est comme une succession de bains révélateurs. D’abord on est seul dans le texte longtemps, et face à lui ; puis il y a les premières lectures à la table, et on entend autre chose. Le dernier bain révélateur, c’est le public qui vient lui aussi révéler la pièce. C’est comme un changement d’élément à chaque fois : de l’eau à l’air, à la terre. Le texte reste le même, mais il est transposé ailleurs, reflété en d’autres miroirs. L’une de vos peintures va être intégrée à la scénographie… Normalement, je peins les décors moimême, tout ou partie, selon la surface. Cette fois-ci, Philippe Marioge a créé un espace très particulier, avec un plan incliné transparent. Nous sommes partis d’une toile que j’ai peinte il y a quelques années. J’étais à Nuremberg, et disons, dans une réaction quasi épidermique à ce qu’évoque cette ville, j’ai voulu peindre en m’inspirant du Livre de Daniel… Le Livre de Daniel est l’un des plus beaux qui soient : il est écrit en grec, en hébreu et en araméen. Il transparaît parfois sous notre spectacle : la main invisible qui trace des mots sur le mur, Nabuchodonosor paissant avec les animaux. Ou ces deux mots, ou plutôt ces deux verbes attribués à Dieu, « Il sauve, il libère », il vient, il sera et non pas « Il est ». Mais cela affleure à peine. Cela fait plusieurs fois que je veux écrire quelque chose autour du Livre de Daniel, et je ne le fais jamais. L’Acte inconnu, qui portait en son centre la très grande marionnette Daniel Znyk, était peut-être une façon d’y arriver ! J’ai voulu plusieurs fois repartir du Festin de Balthazar et de la main qui écrit sur le mur : « pesé, compté, divisé ». Pour ce qui est de cette toile, nous allons l’agrandir et la recadrer. J’ai peint cette série de toiles tantôt au sol, tantôt au mur. Je travaille souvent ainsi : six tableaux en six jours, ou 2587 dessins en quarantehuit heures. J’ai besoin de la contrainte du temps, de la lutte contre le temps, de créer dans cette contrainte, un peu comme les acteurs. Dans ma façon de travailler le texte, aussi : le texte plus que jamais cette fois-ci a été « peint ». Dans la peinture, les choses restent très longtemps dans un chaos et s’organisent définitivement soudain. Dans l’écriture aussi. L’ordre n’est trouvé qu’à la fin. Le Vrai Sang — 7 Comme une sorte de coagulation ? Oui, ça se précipite. Dans le prologue du livre, il est question de «précipités sur précipités», au sens chimique : c’est comme des matérialisations d’éléments qui réagissent les uns sur les autres. Pendant l’écriture du livre, comme toujours, j’ai tenu un journal. Cette fois-ci, finalement, le journal est entré dans le livre. Mais il n’entrera pas forcément dans la pièce. Le journal raconte les ruminations, sous forme à peu près brute, qui ont accompagné un an de travail. Il esquisse des programmes, des choses en cours, des processus en voie de maturation. Il explore quelques pistes à suivre, qui stimulent ou relancent l’écriture ou des murs jamais franchis. Et l’écriture proprement dite ? Ma manière est particulière. J’aime ce mot de manière, qui vient de « main ». J’écris à la main, puis cela est saisi à l’ordinateur par Lola Creïs qui met le manuscrit au propre. La correction d’épreuves est une étape essentielle. Je surcharge, je fais proliférer. J’avance par floraisons. Et l’ordre surgit à la fin. Auparavant, tout est numéroté de façon extrêmement précise. De façon à pouvoir tout chambouler, transformer la disposition, revenir à la première version, en bricolant. Je veux pouvoir agir, profondément et partout sur le livre, en tous points et tout le temps. (…) Cette idée que la structure est la dernière venue, je crois qu’elle provient pour moi de la façon de travailler des acteurs. Ils font beaucoup d’exercices, très patients, gymniques, et quelque chose surgit aux derniers jours. André Marcon m’a dit une chose qui m’a beaucoup frappé. Il m’a raconté que les Anglais, quand ils préparent un Shakespeare, ne répétaient jamais la dernière scène. Cela m’a beaucoup plu. C’est l’art de frôler la catastrophe ! Et peutêtre l’art tout court. Dès que le texte est transcrit en machine, il est affiché au mur et là commencent les corrections perpétuelles des épreuves. Tout ce qui est enlevé, rayé, est quand même là, à vue, exposé… C’est comme une archéologie. Ça me permet de rester au contact avec le fumier, avec les couches souterraines du texte. Croyant pratiquer le premier la littérature pariétale, je déroule le texte en fresques sur le mur, je l’épingle. Et puis, de la fresque, je passe de plus en plus au volume. Je sens qu’il y a une parenté entre la dispersion sur la page et la mise en scène. Le mouvement consiste toujours à aller dans l’espace, à l’ouvrir toujours plus, jusqu’à livrer le texte à d’autres corps. S’il y a une scénographie forte, comme sont toujours celles de Philippe Marioge, cela peut presque être un jeu d’enfant. L’espace devient une portée où les corps se fixent tout de suite en place, comme des notes. Sans qu’on se pose de questions. Finalement, nous faisons tout à l’envers : les acteurs avant la pièce, la scénographie avant le texte. Propos recueillis le 9 novembre 2010 par Daniel Loayza 8 — Le Vrai Sang LE RAPPORT AUX ACTEURS J’écris par les oreilles. Pour les acteurs pneumatiques. Les points, dans les vieux manuscrits arabes, sont marquée par des soleils respiratoires… Respirez, poumonez ! Poumoner, ça veut pas dire déplacer de l’air, gueuler, se gonfler, mais au contraire avoir une véritable économie respiratoire, user tout l’air quon prend, tout l’dépenser avant d’en reprendre, aller au bout du souffle, jusqu’à la constriction de l’asphyxie finale du point, du point de la phrase, du poing qu’on a au côté après la course. Bouche, anus, sphincter. Muscles ronds fermant not’tube. L’ouverture et la fermeture de la parole. Attaquer net (des dents, des lèvres, de la bouche musclée) et finir net (air coupé). Arrêter net. Mâcher et manger le texte. Le spectateur aveugle doit entendre croquer et déglutir, se demander ce que ça mange, là-bas, sur ce plateau. Qu’est-ce qu’ils mangent ? Ils se mangent ? Mâcher ou avaler. Mastication, succion, déglutition. Des bouts de texte doivent être mordus, attaqués méchamment par les mangeuses (lèvres, dents) ; d’autres morceaux doivent être vite gobés, déglutis, engloutis, aspirés, avalés. Mange, gobe, mange, mâche, poumone sec, mâche, mastique, cannibale ! Aie, aie !… Beaucoup du texte doit être lancé d’un souffle, sans reprendre son souffle, en l’usant tout. Tout dépenser. Pas garder ces p’tites réserves, pas avoir peur de s’essouffler. Semble que c’est comme ça qu’on trouve le rythme, les différentes respira- tions, en se lançant en chute libre. [...] Le spectateur vient voir l’acteur s’exécuter. Cette dépense inutile lui active la circulation des sangs, pénètre à neuf ses vieux circuits. Un spectacle n’est pas un bouquin, un tableau, un discours, mais une durée, une dure épreuve des sens : ça veut dire que ça dure, que ça fatigue, que c’est dur pour nos corps, tout ce boucan. Faut qu’ils en sortent, exténués, pris du fou-rire inextinguible et épatant. [...] Faut des acteurs d’intensité, pas des acteurs d’intention. Mettre son corps au travail. Et d’abord, matérialistement, renifler, mâcher, respirer le texte. C’est en partant des lettres, en butant sur les consonnes, en soufflant les voyelles, en mâchant, en mâchant ça fort, qu’on trouve comment ça se respire et comment c’est rythmé. Semble même que c’est en se dépensant violemment dans le texte, en y perdant souffle, qu’on trouve son rythme et sa respiration. Lecture profonde, toujours plus basse, plus proche du fond. Tuer, exténuer son corps premier pour trouver l’autre corps, autre respiration, autre économie – qui doit jouer. Le texte pour l’acteur une nourriture, un corps. Chercher la musculature de c’vieux cadavre imprimé, ses mouvements possibles, par où il veut bouger : le voir p’tit à p’tit s’ranimer quand on lui souffle dedans, refaire l’acte de faire le texte, le ré-écrire avec son corps. Valère Novarina, Lettre aux acteurs, éditions P.O.L Le Vrai Sang — 9 LE THÉÂTRE DE NOVARINA Le texte de théâtre est inquiet. Jamais il ne connaîtra le repos du livre : une fois écrit, il va écrire encore avec la chair, avec l’espace, avec la matérialité des accessoires. C’est toujours un texte à venir : sa force est devant. Il garde en lui le pouvoir de transformer le monde matériel, de métamorphoser tout ce qu’il croise. Le théâtre est plus court que la pensée : parce qu’il passe par tous les méandres à la fois – et instantanément par les lacis de l’espace. D’un drame, il ordonne le chaos. Le théâtre ordonne le chaos dans tous les sens du terme ordonner. Dans chaque scène est un piège, une capture, une délivrance par l’embrasement et la syncope respiratoire. À chaque page ou demipage, le rythme doit passer par son effondrement. Le langage est traité tactilement comme s’il était la matière vraie : un fluide hors des hommes, les agissant. Le comique n’est pas de surface, comme on croit (une agitation par dessus, qui amuserait) ; il va au plus profond de la langue dans son abîme (son sans-fond) de destructions et reconstructions : il sourd une énergie renversante. Non représenté mais commis en vrai, l’acte théâtral vivifie parce qu’il déstabilise ; il vient nous remettre en mouvement – nous enlève sous les pieds le sol des certitudes, ôte notre stabilité apprise. Les scènes parfois fouillent des zones terrifiantes, mais le comique toujours l’emporte – et la délivrance par le comique. Ce théâtre est là pour vivifier : vivifier celui qui a écrit, vivifier l’acteur qui l’a joué, redonner de la force au public. Ce n’est pas du théâtre totalitaire, comme souvent aujourd’hui, du théâtre punitif où l’assemblée des spectateurs est mortifiée, culpabilisée, abasourdie et rendue sourde – non, tout au contraire ! chacun doit en ressortir neuf et nettoyé par une table rase et un débarrassement du monde. Lavé par le rire. Si ce théâtre produit quelque chose d’utile, c’est quelque chose de l’ordre de la joie. Et une sorte de bénéfique sortie provisoire, un désengagement humain. Valère Novarina, septembre 2009 10 — Le Vrai Sang Il y a une perspective et un point de fuite sur la scène – et il y a un autre point de fuite dans le public : le point de fuite de la conscience de chacun. Une salle de théâtre est un lieu de contradiction des sens. C’est là que s’expérimente, s’éprouve et pourrait s’étudier toujours de plus près l’optique du langage : son entrée dans l’espace et comme il le transforme. Le tracé des langues et des lignes de sens dans l’espace, le combat des temps, des respirations – la diffraction, la réflexion, le surgissement balistique des mots qui sont des traits lancés par la bouche – l’attraction projectile des phrases, la gravitation de tous les sens. J’ai toujours eu le sentiment qu’il faudrait s’immerger dans les traités d’optique pour comprendre quelque chose au théâtre. C’est un enclos où l’on vient tous ensemble voir très singulièrement. Extrait de L’Envers de l’esprit, Valère Novarina, P.O.L éditeur, 2009 Le Vrai Sang — 11 POUR PROLONGER LA SOIRÉE Bibliographie sélective, à emprunter dans les bibliothèques et médiathèques. Informations pratiques sur les sites des bibliothèques de Clermont-communauté : bibliotheques-clermontcommunaute.net et de la Bibliothèque communautaire et interuniversitaire de Clermont-Ferrand : bciu.univ-bpclermont.fr TEXTES DE VALÈRE NOVARINA • L’Acte inconnu, Paris – P.O.L, 2007, 180 p. médiathèques Hugo-Pratt (Cournon) et René-Guy Cadou (Beaumont) • Devant la parole, Paris – P.O.L, 2010, 176 p. médiathèque de Jaude • L’Inquiétude, dit par André Marcon, Tristram, 1993, CD médiathèque de Jaude et Amélie-Murat (Chamalières) • Pendant la matière, Paris – P.O.L, 1991 B.U. lettres Lafayette • Le Théâtre de paroles, Paris – P.O.L, 1999 et 2007, 249 p. Recueil de textes dans lesquels l’auteur s’exprime sur le théâtre, les acteurs et la littérature. Des conceptions peu conformistes axées sur la libération des forces vitales et créatrices de l’écrivain et de l’acteur. B.U. lettres Lafayette et médiathèque Hugo-Pratt (Cournon) • Le Vrai Sang, Paris – P.O.L, 2011, 300 p. médiathèque Amélie-Murat (Chamalières) LES SPECTACLES À VENIR MANTEAU LONG EN LAINE MARINE PORTÉ SUR UN PULL À ENCOLURE DÉTENDUE AVEC UN PANTALON PEAU DE PÊCHE ET DES CHAUSSURES POINTUES EN NUBUCK ROUGE de et avec Nadine Fuchs et Marco Delgado du 19 au 21 avril à 20:30 maison de la culture SAD FACE||HAPPY FACE, UNE TRILOGIE DE JAN LAUWERS ET NEED COMPANY textes, mises en scène, scénographies Jan Lauwers LA CHAMBRE D’ISABELLA mercredi 11 mai à 20:30 LE BAZAR DU HOMARD jeudi 12 mai à 20:30 LA MAISON DES CERFS vendredi 13 mai à 20:30 maison de la culture, salle Jean-Cocteau Pass spécial trilogie 30 euros renseignements à la billetterie direction Jean-Marc Grangier www.lacomediedeclermont.com rue Abbé-de-l’Épée 63000 Clermont-Ferrand t : 0473.170.180 / f : 0473.170.196 Licence diffuseur n° 146287, Siret 41389314000017, APE 9001Z EN ÉCHO ITINÉRANCE EN AUVERGNE L’Opéra du dragon, dernière création de Johanny Bert, metteur en scène associé à la Comédie, reprend son aventure nomade dans les communes et communautés de communes de la région. Vous pouvez la découvrir pendant le festival Puy-de-Mômes de Cournon-d’Auvergne samedi 30 avril, salle polyvalente à 18:00 réservation au 0473.69.90.40 Les Boîtes à dragon, conçues par l’association Formes et couleurs de Beaumont, investissent la ville en amont de la représentation et donnent un avant-goût du spectacle, tel un savoureux cabinet de curiosité autour de l’image du dragon et de la thématique du pouvoir. PINA un film de Wim Wenders pour Pina Bausch À l'occasion de la sortie nationale du film dédié à la chorégraphe, disparue en juin 2009, le cinéma Les Ambiances propose aux abonnés de la Comédie un tarif préférentiel à 5,50 €. Photos et vidéos du film sur www.filmsdulosange.fr RAPPEL : Kontakthof de Pina Bausch, un livre édité par la Comédie et le Tanztheater de Wuppertal, en vente à la Comédie. Plus d'informations sur notre site. 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