ORTHO Ortho-Rhumato | VOL 10 | N°5 | 2012 La maladie de Dupuytren en 2012 Ludo Coenen Chef du Service Orthopédie, AZ St.-Maarten, Mechelen En 1831, le baron Guillaume Dupuytren fut le premier à décrire en détail cette affection caractérisée par des contractures digitales, et le premier aussi à les traiter chirurgicalement. La prédisposition génétique de cette maladie est actuellement établie de façon irréfutable. Six gènes en rapport avec la maladie ont été mis en évidence. Ces gènes auraient été hérités des Vikings, qui ont migré non seulement vers l’Europe occidentale mais également vers l’Europe de Est aux 7e et 8e siècles après Jésus-Christ. Outre le traitement chirurgical, nous disposons actuellement d’un traitement médicamenteux, qui offre une alternative valable pour certains patients. Il s’agit d’une collagénase, provenant de la bactérie Clostridium histolyticum, qui peut être appliquée par injection. Figure 1: Guillaume Dupuytren. Le Baron Guillaume Dupuytren Guillaume Dupuytren, né en 1777, devint le plus grand chirurgien français du 19e siècle (Figure 1). Il travailla à l’Hôtel-Dieu à Paris et fut le chirurgien de Louis XVIII et de Charles X. Pas moins de douze maladies, fractures, opérations et instruments portent son nom. Il détestait publier et tous ses travaux furent repris et publiés par ses élèves sous le titre de «Leçons orales de chirurgie de Dupuytren» (1). Le 5 décembre 1831, il fit un exposé très détaillé sur «la contracture des doigts». Toutefois, il ne fut pas le premier à décrire cette affection. Félix Platter en 1680, Henry Cline Jr, de l’Hôpital St. Thomas, en 1808, et Sir Astley Cooper, en 1818, avaient déjà décrit cette déformation. Guillaume Dupuytren fut cependant le premier à la traiter chirurgicalement, sur la personne de son cocher. D’où l’appellation initiale de «maladie du cocher». OR0748F La maladie de Dupuytren Cette affection est liée à une réaction progressive du tissu conjonctif, qui commence par la prolifération de fibroblastes se transformant en myofibroblastes. Elle se manifeste par la production pathologique de collagène, qui se dépose au niveau des faisceaux longitudinaux du fascia palmaire. Des nodules presque invariablement indolores 43 44 Ortho-Rhumato | VOL 10 | N°5 | 2012 sont palpables. Ensuite, les myofibroblastes se rangent longitudinalement et forment des brides qui s’épaississent, se rétractent et causent des contractures en flexion au niveau de la paume et des doigts (Figure 2). Les prostaglandines joueraient un rôle dans ce processus (2). La peau est également impliquée dans ce processus, de façon invasive on non invasive. Dans le premier cas, il s’agit d’une «forme agressive» de la maladie de Dupuytren. Le risque postopératoire de récidive est plus élevé chez ces patients souvent jeunes. Toutefois, la maladie survient également, et de façon classique, à l’âge de 50 ans, plus volontiers chez l’homme que chez la femme. L’annulaire et l’auriculaire sont les doigts le plus fréquemment atteints. Dans le passé, on a souvent pointé du doigt le diabète, l’alcoolisme, l’épilepsie et le tabagisme comme facteurs prédisposants de la maladie de Dupuytren. Mais en vérité, ils ne jouent aucun rôle (3). Par contre, les traumatismes ou microtraumatismes seraient prédisposants (4). Chaque forme de cicatrisation provoquée au niveau de la paume de la main peut favoriser (triggering) l’exacerbation d’une maladie de Dupuytren existante ou le départ d’une maladie de Dupuytren cliniquement non encore perceptible. Ceci explique vraisemblablement pourquoi l’amélioration initiale liée à la technique de la ponction percutanée est souvent anéantie sous forme d’une exacerbation (5). Voilà pourquoi il y a lieu d’éviter la chirurgie pour la maladie de Dupuytren de grade 0, où la main peut encore être mise à plat sur la table et où la maladie ne cause pas encore de gêne fonctionnelle. Une intervention trop précoce pourrait nécessiter une réintervention annuelle. Il est impossible de prédire la sévérité et l’évolution de l’atteinte. Certaines anomalies associées, comme les knuckle pads, la fibromatose plantaire ou l’atteinte principalement radiale indiqueraient un cours plus agressif de la maladie (6, 7). On sait que la maladie survient le plus souvent dans un contexte familial. Jusqu’à présent, on pensait qu’un gène particulier était responsable de la transmission autosomique dominante de la maladie, mais des travaux récents ont démontré que plusieurs gènes doivent être présents pour permettre l’expression de la maladie de Dupuytren (8). Une étude multicentrique a démontré que certains de ces gènes codent pour des protéines (bêta-caténine) qui, en cas de surstimulation, entraînent une prolifération cellulaire, qui mène à une prolifération de fibroblastes et à la formation de nodules (9). Griffe celtique ou maladie des Vikings? Outre la «maladie du cocher», on parle actuellement également de la «griffe celtique» ou de la «maladie des Vikings» lorsqu’il est question de la maladie de Dupuytren. Les historiens romains, qui n’étaient pas des moindres, n’ont Figure 2: Maladie de Dupuytren. jamais évoqué cette maladie. La fin de l’Empire romain d’Occident se situe au 4e siècle après JC. A ce moment-là commençait le négoce avec les Suédois sur une base pacifique en Europe de l’Est, mais il n’y avait pas encore d’inter­ action sur le plan génétique. Dès le 9e siècle, les Vikings danois et norvégiens ont commencé à semer le trouble avec leurs conquêtes des côtes et rivières d’Europe occidentale (10). Au départ, ils rentraient dans leur pays d’origine avec leurs navires pleins de marchandises. Un demi-siècle plus tard, ils restèrent plutôt sur place et commencèrent une véritable colonisation. Leur premier grand port d’attache fut la Normandie. Il y eut plusieurs dynasties de rois vikings craints dans toute l’Europe occidentale. Le Sud de l’Europe ne fut pas colonisé, mais plutôt pillé, le long des côtes, jusqu’au nord de la Grèce et jusqu’en Turquie. D’autres groupes de Vikings norvégiens ont colonisé l’Angleterre et l’Irlande et y établirent également des dynasties de rois vikings. Pour d’autres Norvégiens, ce n’était pas encore assez loin. Ils colonisèrent l’Islande et le Groenland et finirent par atteindre le Newfoundland, l’Amérique du Nord donc, vers le 13e siècle. En Angleterre et en Irlande, des interactions génétiques eurent lieu avec les Angles, les Celtes et les Saxons. Dans de grandes parties d’Europe occidentale, il en fut de même avec les Celtes, déjà présents en ces lieux. D’où l’expression Ortho-Rhumato | VOL 10 | N°5 | 2012 Figure 3: La technique «open palm». Traitement chirurgical Il existe différentes techniques chirurgicales pour traiter l’affection, partant de la fasciectomie «partielle» pour aboutir à la fasciectomie «totale», ouverte, fermée ou avec greffe cutanée (3). Toutes ces techniques peuvent nous confronter à une lésion neurovasculaire. Malgré les loupes opératoires, il est possible de sectionner un vaisseau ou un nerf. Cela peut arriver au meilleur des chirurgiens. Il est toutefois important de restaurer l’intégrité du nerf ou du vaisseau dominant. Quelles sont à présent les avantages et inconvénients des différentes techniques? La «fasciectomie totale» présente l’avantage que l’accès aux nerfs et artères prisonniers du tissu fibreux est meilleur et plus aisé au départ du tissu sain. De plus, une longue incision guérit tout aussi rapidement qu’une courte incision. Un autre avantage de cette technique est la possibilité d’ôter du fascia voisin non encore atteint via un détachement de la peau. de la «griffe celtique». Par contre, les Vikings suédois se sont déplacés vers l’Est via la Volga, le Dniepr et le Danube, et ils ont fait du commerce avec l’Extrême-Orient via la Route de la Soie. Les colonies des Balkans ont grandi pour former un vaste Empire Suédois appelé «Empire Rusty». C’est ainsi qu’est née la Russie. Une interaction génétique y a eu lieu avec les Slaves. Ni la Russie des Tsars ni l’Union soviétique, ni les nationalistes russes n’ont voulu reconnaître leurs antécédents vikings. Ceci explique que la recherche des racines scandinaves soit très controversée en Russie (11, 12). Nous nous attendons donc à peu d’informations du côté russe. Avec la mondialisation actuelle, la littérature de l’Europe de l’Est est devenue plus accessible pour nous Occidentaux, et vice versa. Des publications récentes révèlent que la maladie de Dupuytren est fréquente dans des pays comme la Pologne, la Bosnie ou la Croatie (7, 13-16). Il en va probablement de même pour d’autres pays balkaniques et en Russie. L’incidence de la maladie semble augmenter en fonction d’une localisation plus septentrionale des populations en Europe (17). La maladie survient dans d’autres races de façon plus discrète, également suite à la mondialisation (7, 18-20). En guise de conclusion, on peut affirmer que l’appellation «griffe celtique» n’est pas correcte. Il ressort en effet de ce qui précède que la maladie de Dupuytren n’est pas uniquement présente en Europe du Nord et occidentale: elle l’est également en Europe de l’Est. L’appellation correcte est en fait «maladie des Vikings». Quelle est la particularité de la technique «open palm» lorsqu’on parle de fasciectomie totale (Figure 3) (21)? Dans cette technique, on laisse l’incision palmaire oblique ouverte, parce qu’il y a un manque évident de peau suite à l’invasion et au rétrécissement cutanés. Ceci présente deux avantages. Tout d’abord, une mobilisation immédiate est possible; ensuite, la revalidation n’est pas empêchée par un hématome qui pourrait se former au niveau sous-cutané de la paume de la main. Si une greffe cutanée est placée après une fasciectomie ou dermo-fasciectomie totale, il faut nécessairement attendre pour la revalidation. Bien entendu, avec la technique palmaire ouverte, les plaies doivent être soignées plus longtemps. On ne sait pas encore si le risque de récidive est moindre après la technique de la greffe cutanée comparée à l’open palm. Il va de soi que la quantité de tissu Dupuytren non réséquée augmente le risque de récidive. Ceci vaut pour la fasciectomie partielle comme pour la technique d’injection de collagénase évoquée ci-dessous. Quand peut-on parler de «récidive»? Il y a deux interprétations possibles de ce concept. Tout d’abord, il peut s’agir d’une récidive survenant dans un territoire déjà opéré, et la récidive peut ensuite se manifester sous la forme de nouveaux nodules et brides dans une localisation voisine. Cette dernière forme est également appelée récurrence de la maladie. La double signification du concept «récidive» rend très difficile la comparaison des 45 46 Ortho-Rhumato | VOL 10 | N°5 | 2012 Figuur 4: Injectie van collagenase voor de ziekte van Dupuytren. Phalange proximale Graisse sous-cutanée Graisse profonde techniques en ce qui concerne le risque de récidive. Il en va de même pour l’évaluation de l’amélioration fonctionnelle postopératoire. Des différences de classification et d’évaluation pré- et postopératoire à long terme jouent un rôle. Enfin, il est important de mentionner que le résultat fonctionnel final chez chaque patient est déterminé par divers facteurs qui ne sont pas liés à la technique opératoire en elle-même. Nous pensons notamment à l’accompagnement par un kinésithérapeute de la main, aux soins corrects aux plaies, la prise minutieuse des antidouleurs, le port d’une attelle de nuit et surtout la persévérance et la motivation du patient. Le manque de prise des analgésiques peut augmenter le risque d’une réaction de Sudeck chez des patients prédisposés. Traitement non chirurgical Jusqu’à ce jour, les techniques médicamenteuses, radiothérapeutiques et autres n’ont pas livré de données fiables, ni en ce qui concerne le contrôle de la maladie, ni en ce qui concerne l’obtention d’une amélioration fonctionnelle. La technique percutanée à l’aiguille ne fera plus long feu à cause de l’arrivée de la technique de la collagénase (22). Cette technique est appliquée depuis 2009 dans les pays anglo-saxons. Depuis septembre, ce produit est également disponible en Belgique et remboursé par l’Inami, pour une durée de deux ans. On évaluera alors si le nombre d’injections est resté raisonnable et s’il n’y a pas eu de surconsommation. Des formations avancées pour chirurgiens sont organisées pour se familiariser avec cette technique. Le produit utilisé est une collagénase, isolée au départ de la bactérie Clostridium histolyticum. Cette collagénase dissout les collagènes de type 1 et 2. Les brides Dupuytren sont précisément composées de ce collagène. On obtient ainsi une fasciotomie chimique. Les «nodules Dupuytren» sont d’une composition différente et ne constituent pas une indication pour ces injections. Par conséquent, il est particulièrement important que le chirurgien de la main établisse, sur base de l’examen clinique, si le patient entre en ligne de compte pour la chirurgie ou une injection. La présence de brides sous-cutanées et/ou de nodules est donc déterminante pour cette décision. Chaque patient atteint de la maladie de Dupuytren n’entre donc pas en ligne de compte pour une injection. Par ailleurs, il existe d’autres contre-indications, à savoir les contractures en flexion de plus de 80° pour l’articulation PIP et de plus de 100° pour l’articulation MCP. Il est évident que des contractures articulaires de longue date ne peuvent se «vaporiser». La technique consiste à introduire une fine aiguille à injection dans la bride, suivi de l’injection sous pression de la collagénase, sans anesthésie locale (Figure 4). Nous évitons ainsi les lésions nerveuses et tendineuses. Après 24 à 48 heures, le patient se présente à nouveau. Ortho-Rhumato | VOL 10 | N°5 | 2012 On effectue une anesthésie locale ou locorégionale, et 10 minutes plus tard, les doigts atteints sont manipulés en extension. Le plus souvent, la bride se rompt de façon audible. Des plaies par déchirure cutanée peuvent survenir en des endroits où le tissu Dupuytren est étroitement fusionné avec la peau. Les soins post-intervention comportent donc des soins aux plaies comme dans la technique «open palm». La revalidation sera immédiate et on prescrira une attelle de nuit. Les effets secondaires les plus fréquents après l’administration de la collagénase comportent une tuméfaction, la formation d’ampoules et des douleurs. Les analgésiques et anti-inflammatoires seront de préférence prescrits dès la première consultation. Après l’injection, la collagénase serait encore présente dans la main pendant 1 mois. Concernant l’injection, on ne saurait suffisamment souligner l’importance d’évoquer longuement ses avantages et désavantages avec le patient avant de la réaliser. L’injection de collagénase ne peut en aucun cas être considérée comme une panacée. Comme il a déjà été mentionné, le risque de récidive est plus grand avec cette technique, parce qu’une quantité non négligeable de tissu Dupuytren 47 reste en place. Toutefois, il est vrai aussi que l’injection de collagénase ne provoque pas de réaction de cicatrisation, parce que le produit reste en place durant un mois et réduit ainsi le risque de réactivation de la maladie. Les patients qui viennent vous demander spontanément cette technique sont souvent ceux qui n’envisagent pas une opération, par manque de temps dans le cadre de leurs activités professionnelles ou par peur générale d’une intervention chirurgicale. Mais, comme nous l’avons déjà dit, il importe de bien informer les patients, car ils n’entrent pas tous en ligne de compte pour cette technique. Nous estimons qu’une indication chirurgicale sur trois entre en ligne de compte pour une injection. Références sur www.ortho-rhumato.be Retrouvez Ortho-Rhumato sur internet www.ortho-rhumato.be ProjetDolA5ok2012_DOLENIO_210X150 25/06/12 09:36 Page1 1 cp par jour Glucosamine 1178 mg FR/Dol 10 613 / 06/2012/06 sous forme de sulfate de glucosamine 1500 mg é 1 compjorium r par Soulagement des symptômes de l’arthrose légère à modérée du genou 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT DOLENIO 1178 mg, comprimés pelliculés 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un comprimé pelliculé contient 1884,60 mg de sulfate de glucosamine stabilisé par le chlorure de sodium, correspondant à 1500 mg de sulfate de glucosamine ou à 1178 mg de glucosamine. Excipient : Sodium 151 mg. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Comprimé pelliculé. Comprimés pelliculés, ovales, biconvexes, de couleur blanche ou blanc cassé, portant une barre de cassure sur une face. La barre de cassure n’est là que pour faciliter le fractionnement du comprimé en vue de son ingestion sans problème et non de le diviser en deux doses égales. 4.1. Indications thérapeutiques Soulagement des symptômes de l’arthrose légère à modérée du genou. 4.2. Posologie et mode d'administration Adultes : Un comprimé par jour. La glucosamine n’est pas indiquée pour le traitement des symptômes douloureux aigus. Le soulagement des symptômes (de la douleur en particulier) peut n’apparaître qu’après plusieurs semaines de traitement, voire plus longtemps dans certains cas. En l’absence de tout soulagement au bout de 2 ou 3 mois, la poursuite du traitement par la glucosamine doit être reconsidérée. Les comprimés peuvent être pris pendant ou en dehors des repas. Autres informations concernant certaines populations : Personnes âgées : Aucune étude spécifique n’a été réalisée chez les personnes âgées, mais, compte tenu de l’expérience clinique, aucun ajustement de la dose n’est requis lors du traitement de patients âgés, mais sains par ailleurs. Enfants et adolescents : L’utilisation de DOLENIO est déconseillée chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans en raison de l’insuffisance des données relatives à sa tolérance et son efficacité. Insuffisants rénaux et/ou hépatiques : Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale et/ou hépatique, aucune recommandation posologique ne peut être formulée car auMedDRA des classes Fréquent Peu fréquent Fréquence indéterminée cune étude n’a été réalisée de systèmes (≥1/100, <1/10) (≥1/1000, <1/100) (ne peut être estimée sur la base dans cette population de pad’organes des données disponibles) tients. 4.3. Contre-indicaAffections du système Céphalées – Vertiges tions DOLENIO ne doit pas nerveux Fatigue être utilisé chez les patients Affections – – Asthme / Aggravation de allergiques aux crustacés respiratoires, l’asthme car la substance active est thoraciques et médiastinales extraite de ceux-ci. HyperAffections gastroNausées – Vomissements sensibilité à la substance intestinales Douleur abdominale active ou à l’un des exciDigestion difficile pients. Enfants de moins de Diarrhée Constipation 2 ans. 4.8. Effets indésiraAffections de la peau – Eruption cutanée Œdème angioneurotique bles Les effets indésirables et du tissu Prurit - Bouffées Urticaire les plus fréquemment assosous-cutané vasomotrices ciés au traitement par la gluTroubles du – – Diabète sucré mal contrôlé métabolisme et de Hypercholestérolémie cosamine sont les nausées, la nutrition les douleurs abdominales, Troubles généraux et – – Œdème / les troubles de la digestion, anomalies au site œdèmes périphériques la constipation et la diarrhée. d’administration Des cas de céphalées, de fatigue, d’éruption cutanée, de prurit et de bouffées vasomotrices ont également été rapportés. Les effets indésirables rapportés sont généralement légers et transitoires. Le tableau ci-dessous présente tous les effets indésirables liés par une relation de causalité, listés par classe d’organe et par fréquence (très fréquent ≥ 1/10 ; fréquent ≥1/100, <1/10 ; peu fréquent ≥1/1000, <1/100 ; rare ≥1/10000, <1/1000 ; très rare <1/10000 ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)). Des cas d’hypercholestérolémie, d’aggravation de l’asthme et de contrôle insuffisant du diabète sucré ont été rapportés, mais aucune relation de cause à effet n’a pu être établie. Dolenio peut induire une élévation des enzymes hépatiques et, dans de rares cas, un ictère. Patients atteints de diabète sucré Détérioration du contrôle glycémique chez les patients atteints de diabète sucré, dont on ne connaît pas la fréquence. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE BIOCODEX Benelux NV/SA – 16A Rue Des Trois Arbres – 1180 - Bruxelles – BELGIQUE 8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Dolenio 1178 mg, comprimés pelliculés – flacon : BE333444 Dolenio 1178 mg, comprimés pelliculés – plaquette thermoformée : BE381227 9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION Février 2009 10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE Date d’approbation : 04/2012 MODE DE DELIVRANCE : DELIVRANCE LIBRE