Physiologie Les Grands Systèmes de Contrôle et de Régulation de L’organisme : Place respective du système nerveux et du système endocrinien. I) Introduction générale sur les systèmes de contrôle et de régulation I)A) Système Nerveux Système nerveux central Système nerveux périphérique Crâne + Colonne Vertébrale Le reste du corps : (cerveau + moelle épinière) Nerfs périphériques I)B) Systèmes hormonaux -Exocrine : ce sont des sécrétions déversées à l’extérieur(tubes digestifs, sueurs…) -Hormone : Sécrétine : découverte par BAYLISS et STARLING (par stimulation du pancréas) en 1902. (le mot d’hormone a été créé en 1905 par HARDY) Une hormone est une unité chimique (endocrine) élaborée par des cellules, déversées dans le milieu intérieur, et transporté par le milieu circulatoire et agissent sur d’autres cellules sensibles à cette hormone. Cellule A Cellule B Courant circulatoire I)C) Autres modes de communication chimique Cellule B Cellule A Paracrine Cellule B Volume de diffusion : quelques mm3. L’hormone agit localement sur des cellules proches des cellules sécrétrices. (Ex : prostaglandine) Cellule A Souvent inhibitrice. Action sur la cellule elle-même. I)D) Notion de neurosécrétion Autocrine rétro-action Neurocrine Neurone A Cellule B (parfois neurone Courant circulatoire Paracrine chez les neurones : neuromodulateur (sérotonite) Les neurosécrétions : neuro-transmetteur (synapse) neuromodulateur (paracrine) neuro-hormone (endocrine) II) Interactions entre système nerveux et systèmes hormonaux II)A) De la périphérie vers le système nerveux central Notion de barrière Hémato-Encéphalique En injectant du colorant vital (bleu de méthylène), on constate qu’il se répand dans le corps sauf dans le cerveau. A contrario, du bleu de méthylène injecté dans le cerveau ne se diffuse pas dans le reste du corps. Existence d’une barrière entre cerveau et périphérie. Cytokine : hormone produite par la périphérie mais qui agit sur le SNC. Sang Barrière Hémo-méningée (plexus choroïde) L.C.R. Barrière Méningo-encéphalique Liquide interstitiel cérébral Neurone II)B) Système nerveux central vers la périphérie Le pancréas élabore l’insuline sur ordre de : -de la périphérie (milieu interstitiel en excès de glucose). -cerveau par l’intermédiaire du nerf vague (pair de nerf crânien n°X) Production de l’insuline par les médulo surrénales sur ordre du cerveau Le cerveau n’est pas seulement un tissu nerveux, il élabore de nombreuses hormones (principale glande endocrine ? …), qu’il déverse par la région hypothalamo-hypophysaire uniquement ! III) Organisation anatomique de la région Hypothalamo-Hypophysaire. III)1) Localisation de l’hypophyse Hypophyse dans l’os sphénoïdale (selle turcique) (1cm de diamètre et 0,5g ; hypothalamus : 4g) III)2) Structure de l’hypophyse -Antéhypophyse (adénohypophyse) : cette partie vient de l’endoblaste et apparaît d’une invagination du pharynx (Cf. Embryologie) glande endocrine de structure classique mais située sous le cerveau. -Posthypophyse : origine ectodermique (comme les neurones) structure différente de l’antéhypophyse, car constituée de terminaisons synaptiques (soma dans le cerveau) structure nerveuse. Passage des axones par la tige hypophysaire. III)3) Rapports avec l’hypothalamus Noyaux de l’hypothalamus supérieur (noyau préoptique, noyau paraventriculaire…) Cf. schéma page précédente. En tout l’hypothalamus compte plus de 40 noyaux répartis sur 9 régions. III)4) Vascularisation : le système Porte hypothalamo-hypophysaire Il permet l’échange de messagers chimiques entre deux tissus vascularisés par des réseaux capillaires successifs. Le premier réseau capillaire reçoit le messager, et le deuxième réseau transmet le messager au tissu vasculaire cible (Cf. système porte hépatique) IV) Mise en évidence du rôle endocrine de l’hypophyse IV)1) Ablation : Hypophysectomie -Maladie : syndrome de Sheehan (syndrome identique à hypophysectomie) Complication classique non rare suite à un accouchement très hémorragique (choc hémorragique) : nécrose hysquémique (mort des tissus après une hypovascularisation) Apparition d’une poly déficience endocrinienne périphérique associant une insuffisance thyroïdienne, insuffisance surrénalienne (plus de glucocorticoïde ni de minéralocorticoïde), insuffisance des règles, régression des caractères sexuels secondaires, et dépigmentation de la peau et déficience des montées lactées. -Hypophysectomie expérimentale(chez l’animal) : il apparaît un diabète insipide (sans sucre) transitoire (car ensuite il régresse) Chez un animal en croissance, la croissance s’arrête en cas d’hypophysectomie. (nanisme harmonieux) IV)2) Administration d’extraits d’hypophysaires Correction de tous les troubles observés (si administration d’extraits de la même espèce) IV)3) Inefficacité de la greffe Une greffe d’hypophyse ne peut fonctionner que si cette greffe se fait In Situ (à la localisation d’origine. V) Contrôle hypothalamique de l’activité hypophysaire Action de l’hypothalamus direct sur l’hypophyse. V)1) Destruction de l’hypothalamus (expérimentale ou pathologique) Syndrome similaire au syndrome de Sheehan et involution (atrophie) du lobe antérieur de l’hypophyse. V)2) Pathologie. On ne peut pas corriger les troubles par une greffe. Roger GUILLEMAIN a montré que des neurones de l’hypothalamus peuvent déverser des hormones dans le sang. La première sécrétion observée a été celle de la TRH (Thyréophin Releasing Hormon) Tri-peptide : Histidine – Proline – Acide glutamique. L’hormone est transportée grâce au système porte hypothalamo-hypophysaire et traverse les barrières Hémato-Encéphalique. VI) Synthèse : les hormones hypophysaires et le contrôle hypothalamique TSH GH Thyroïde Foie T3/T4 Anté-hypophyse FSH LH Gonades -Somato- Métabolisme médines Post-hypophyse ACTH Prolactine ADH Ocytosine Surrénales Sein Rein Utérus -Hormones -Corticoïde sexuelles (métabolisme) exocrine -Croissance -Reproduction Eau Contraction -Anti- des muscles diurèse lisses (expulsion) Les hormones anté et post-hypophysaires Cf. poly. hypothalamus noyaux ventro-médians et PVN noyau supra chiasmatique éminence médiane noyaux arqués Somatolibérine ADH CRH Ocytocine Dopamine Somatostatine TRH - GnRH + + - + TSH GH + FSH + LH ACTH Proline Tige hypophysaire Thyroïde T3/T4 Métabolisme Foie Gonades -Somato- -Hormones médines sexuelles -Croissance -Reproduction Surrénales Sein -Corticoïde Sécrétion (métabolisme) exocrine Rein -Eau -Antidiurèse Utérus Contraction des muscles lisses (expulsion) VII) Régulation par feed-back négatif et/ou positif : le cycle ovarien 200 Progestérone 16 (ng/ml) 50 150 12 40 100 8 Oestradiol (pg/ml) LH FSH 30 20 50 4 10 0 0 0 7 14 21 28 0 Règles 0 7 14 21 28 Le feed-back négatif qu’exerce LH et FSH sur l’hypophyse est minimum donc il y a stimulation de l’hypophyse et augmentation de LH et FSH pour la préparation des ovaires pic de LH et FSH. (ovulation) On entre alors dans un système de feed-back positif. L’œstradiol produit par le follicule stimule le développement de ce follicule feed-back positif périphérique. Il y a un deuxième feed-back positif périphérique. L’œstradiol augmente par le développement du nombre de récepteur à LH de la granulosa. Bien qu’il y est moins de FSH, il y a plus de récepteurs donc augmentation de FSH. Avant son pic, l’œstradiol exerce un feed-back négatif, mais quand elle devient trop concentrée, il y a un effet de feed-back positif et les cellules hypophysaires vont être beaucoup plus sensible à la GnRH, ce qui va expliquer le pic de LH qui entraîne la ponte ovulaire. L’éclatement du follicule entraîne un arrêt de la production et la chute du taux d’oestradiol. La montée de progestérone est stimulée par le développement du corps jaune et cette augmentation de progestérone exerce un feed-back négatif sur l’hypophyse, d’où la baisse de LH et FSH vers le 16 e ou 17e jour. Si en revanche, il y a eu fécondation, une nouvelle hormone entre en action et remplace LH et FSH. VIII) Métabolisme hormonal VIII)1) Classification des hormones Les hormones Les hormones Les hormones Les hormones aminoacides peptidiques protéiques stéroïdes -catécholamines (adrénaline…) -TRH (3 AAs) -hormones thyroïdiennes (1 AA) -sérotonine -Calcitonine -Insuline (51 AAs) -GH (190 AAs)/ LH / FSH -hormones sexuelles -cortisol / aldostérone -vitamine D3 (dopamine) Quelques chiffres : Hormone Nombre d’acide aminé (AA) Hormone Nombre d’acide aminé (AA) Hormone Nombre d’acide aminé (AA) T3, T4 1 GnRH 10 ACTH 39 T.R.H. 3 Somatostatine 14 Insuline 51 Ocytosine 9 Glucagon 29 Hormone de croissance (GH) 190 VIII)2) Biosynthèse Prépro-opiomélanocortine (molécule précurseur peptidique). Sa coupure va libérer des fragments qui s’avèreront être des hormones actives. En effet, une hormone est très rarement sécréter sous sa forme active (d’où le découpage d’une protéine). Elle donne entre autre : l’ACTH, β-LPH précurseur à son tour de β-endorphine qui agit sur le processus d’inhibition de la douleur ( sous structure : enképhaline) VIII)3) Stockage Très peu de stockage hormonal dans le corps, sauf au niveau des hormones thyroïdiennes stockées sous forme de vésicules qui contiennent l’hormone active (ou son précurseur rapidement utilisable). VIII)4) Sécrétion Trois types de sécrétion : -sécrétion nerveuse avec une stimulation nerveuse. -stimulation hormonale et humorale (cellules anté-hypophysaires, lorsqu’elles sont stimulées par d’autres hormones). -stimulation métabolique : c’est l’état métabolique des cellules sécrétrices (la teneur métabolique du milieu environnant) par exemple la sécrétion de l’insuline par le pancréas se fait de façon nerveuse, mais également la présence de glucose en forte concertation. VIII)5) Transport Les hormones sont souvent transportées par des protéines transportrices non-spéciques (comme l’albumine) c'est à dire des protéines vectrices pour plusieurs hormones. Il existe également des protéines vectrices spécifiques qui ne transportent que les hormones pour lesquelles elles ont été crées. (TBG : transport de T4) Loi d’action de MASSE. [Hl] + [P.V. ect] [H-P.V.] forme libre = forme active VIII)6) Inactivation -possibilité d’élimination (fécale ou rénale). Pour le maintien de l’homéostasie, il faut que la production suive l’inactivation. Notion de clairance métabolique et de demi-vie. La clairance métabolique exprime le volume de plasma théoriquement totalement épuisé de l’hormone active par unité de temps. C’est une notion théorique car les entrées et sorties ne sont en réalité pas quantifiables. Technique de dilution : pour suivre le devenir de la quantité d’hormone donnée à un individu, on utilise les hormones dites marquées en leur substituant un atome radioactif. On mesure la quantité d’hormone thyroïdienne dans tout l’organisme (en fait dans le sang) et au bout d’un certain temps, il existe une homogénéité dans tout le corps. Phase de décroissance liée au catabolisme At = Ao.e-kt ln At = ln Ao – ln e kt constante 1 ln At = -kt + ln Ao donc du type linéaire y = ax + b. ln de la concentration sanguine : ln [At] ln [Ao] Ln [At] = -kT + ln [Ao] ln [At ½ ] ln At k Temps de demi-vie : temps On appelle demi-vie le temps tel que la concentration est égale à la moitié de la concentration initiale : [At ½] = [Ao]/2 ln[At ½] = -kT ½ + ln [Ao] k est la pente de la droite décroissante (cf. schéma précédent) kT ½ = ln [Ao] – ln [At ½] kT ½ = ln ([Ao]/[At ½]) = ln 2 = 0,693 T ½ = 0,693/k = ln 2/k. Notion de volume de distribution Quantité de traceur injecté Volume de distribution= Concentration du traceur dans l’espace au temps 0 Pool Total= Espace de distribution x concentration de l’hormone endogène S Physiologie Systèmes de Régulation et de Communication I) Notion de constante en biologie Existence de constante d’1 individu à l’autre, plus la valeur se situe au sein des bornes, plus l’individu est sain par rapport aux maladies caractérisées par l’intervalle. (sortie de celle-ci). Combien ? Comment ? Pourquoi ? Combien ? Par exemple 1g/L (ou 5,5 mmol) Volume=20L Mglucose=20g dans le liquide extracellulaire (dont le sang) Comment ? - Exercice musculaire de 400W - 1g de glucose 17KJ mais : - le rendement musculaire maximum est de 40% donc : - 1g de glucose 6,8KJ (d'énergie restituée) d’où : - 400W consomment 3,5g de glucose par minute… 20 g de Glucose ! … L’épuisement est total en 6 minutes Notion de taux de renouvellement : Définition : fraction de pool renouvelé (ensemble), c'est à dire entrant/sortant du compartiment par unité de temps. Pourquoi ? Notion d’homéostasie : Définition : cela signifie le maintien des caractéristiques biologiques à un niveau stable du milieu intérieur. Elément baignant l’ensemble des cellules du corps et permettant de les laisser en vie. Milieu intérieur en permanence réajusté, modifié pour maintenir les caractéristiques du milieu intérieur Assure la survie de l’organisme. Les caractéristiques du milieu intérieur sont plus ou moins stable. Elles évoluent, varient, oscillent dans des limites. II) Notion de système : En biologie les systèmes sont ouverts, c'est à dire qu’ils échangent des matières et informations avec d’autres systèmes situés en amont et en aval. E Entrée S Système physiologique Sortie S = f (E) f = fonction de transfert ou loi du système. Entrée Sortie Trois démarches intellectuelles 1) La recherche scientifique : avec la mesure des entrées et sorties, on détermine la fonction du transfert : la loi du système. 2) Le diagnostic médical : connaissant la fonction de transfert, et à partir sorties observées anormales (= maladies), on en étudie les entrées elles-mêmes anormales, c'est à dire les causes de la situation pathologique. 3) Le pronostic médical : connaissant la fonction de transfert, on modifie les entrées anormales (action thérapeutique) et on peut prédire les effets (= prédiction scientifique) de l’évolution de la maladie. III) Systèmes thermodynamiques fermés et équilibrés. Lorsqu’un système est ordonné, on dit qu’il gagne en entropie. ET = EL + ΔS Energie Totale = Energie libre + Entropie C’est la partie de l’énergie du système qui peut être transformé en un autre produit ou une autre énergie. Température absolue : quand le système perd de l’énergie libre, il gagne en entropie Loi de la constante d’énergie totale du système. IV) Systèmes thermodynamiques ouverts. La vie permet de ré augmenter l’énergie libre, mais avec des échanges. Pourquoi et comment la glycémie reste-t-elle stable malgré les échanges permanents de glucose entre ces différents systèmes ? Tube digestif Reins Glucose du milieu Intérieur Foie Muscles Système ouvert en interaction avec d’autres systèmes ouverts. IV) A) Etat stable. Un état stable, est une grandeur maintenue constante par les lois physico-chimique naturelles. IV) B) Régulation. D in D in H D out Action en arrière sur les entrées rétro-action négative « Feed back » négatif. H D out Action en avant sur les sorties anté-action positive « Feed forward » positif. L’effet de la rétro action et de l’anté action est identique : celui de ramener le niveau à une constante maintenue feed back négatif = rétro action positive. Effet inverse : rétro action positive feed back positif Un dispositif qui lorsqu’il est activé aggrave le processus, c’est ce que l’on appelle un cercle vicieux. En revanche, il n’entraîne pas toujours l’autodestruction du système et donc pas forcément la mort. Cf. réaction hémostatique. IV) B1) Grandeur régulée. V) B2) Capteur. Ici le capteur est le flotteur grandeur régulée H. qui mesure la hauteur du niveau, donc la IV) B3) Boucle informative. (de rétrocontrôle) C’est le retour d’information du capteur sur le système. Dans l’exemple, la boucle informative est matérialisée par la tige : IV) B4) Valeur de consigne. (set point) Il existe dans toute régulation, une valeur caractéristique liée au système qui détermine la valeur de niveau : valeur de consigne. Ici H est fonction de C (comme le thermostat variable). IV) B5) Comparateur. IV) B6) Signal d’erreur. IV) B7) Représentation schématique d’une régulation. Comparateur Signal Valeur de d’erreur + Consigne - Capteur LOI du SYSTEME Valeur de Sortie Boucle informative (feed back négatif) IV) B8) Gain. Une régulation ne fait qu’optimiser le mécanisme de maintien d’un état stable. On appelle gain d’une régulation le rapport entre l’écart observé sur la grandeur de sortie du système en réponse à une perturbation donnée en l’absence de régulation, au signal d’erreur observée avec la même perturbation lorsque la régulation fonctionne correctement. V) B9) Loi du système. PERTURBATIONS : Variable régulée Proportionnelle Transitoire Continue Signal d’erreur R=axE Dérivée R = b x dE/dt R = réponse régulée Proportionnelle + dérivée temps IV) C) Notion de variable contrôlée. Energie Consigne Entré e + Signal d’erreur Perturbation Action de contrôle Contrôleur - Système Passif Sortie Capteur et Boucle de rétro-action SYSTEME CONTRÔLEUR SYSTEME CONTRÔLE IV) D) Servomécanisme et notion d’homéoreusie. Le matin, notre température corporelle est de 36,7°C conformément à thermorégulation, et le soir de 37,2°C il y a donc eu changement de la valeur de consigne. Ce réglage de la valeur de consigne est appelé HOMEORHESE. (Cf. une fois de plus le système du thermostat d’ambiance) V) Systèmes thermodynamiques ouverts. V) A) Régulations autonomes. Régulations comportementales. Les régulations autonomes mettent en jeu l’ensemble des organes (cœur, foie, reins) et sont contrôlées par le système nerveux dit autonome régulation intérieure de l’individu. Les régulations comportementales passent par un seul et même effecteur, représenté par l’appareil locomoteur (musculaire). Elles sont exclusives les une des autres (une seule à la fois) d’où la notion d’urgence de priorité. Par exemple lorsque l’on a froid : le système autonome réagit par des frissons, et une vasodilatation. le système comportemental nous incite à mettre un vêtement ou par exemple de monter le chauffage. Il apparaît ici le rôle primordial du système comportemental, qui se retrouve être le plus important. le système comportemental supplante donc les réactions autonomes. Le système nerveux dit de la vie de relation représente ≈ 90% du total de l’espace occupé par le système nerveux autonome.