120 PAUL. PAHMENTIER. Moelle en partie résorbée. Plan ligneux des Onothera. 3. EPILOBIUM (50 e s p è c e s e n v i r o n ) . L . , Gen., n. 471. — J., Gen., 319.— G A E R T N . , Fruct., I, 157, t. 31.— LAMR., Dict., I I , 3 7 3 ; Supplém., I I , 5 6 8 ; 11L, t. 2 7 8 . — D C , Prodr., I I I , 4 0 . — SPACII, in Nouv. ann. Mus., I V , 4 0 3 ; Suite à Buff., I V , 3 9 8 . — E N D L . , Gen., n . 6 1 2 1 . — P A Y E R , Organogr., 4 5 0 , t. 9 4 . - B . H . Gen., 4 7 1 . — H . U N . , Hist. des Pl., V I , 4 6 4 . — HAUSSKNECHT, Monogr. des Gattung Epilobium, Iena, 1 8 8 4 . — P . PABMEM-IER, Rech. sur les Epil. de France,in Rev. génér. bot., t. V I I I , p . 2 3 ; France Le Monde des plantes; 1 8 9 6 . — D GILLOT, Rech. sur les Epil. de (Analyse), i n Rull. Monde des Pl., 1 8 9 6 . — H . LÉVEILLÉ, Les Onothéracées françaises ( G e n r e Epilobium), in Monde des Plantes; 1896-97. r Morphologie. — Plantes herbacées ou suffrutescentes. Feuilles alternes ou opposées, entières ou faiblement dentées. Fleurs roses, blanches ou jaunes, régulières ou irrégulières, isostémones ou diplostémones, à pétales entiers, émarginés ou 2-lobés. Étamines dressées ou réfléchiesarquées; stigmates 4-fides ou entiers. Rhizome pérennant ou racines annuelles ou bisannuelles. Hab. — Les deux continents. Anatomie. — a. Feuille. — Poils simples, 1-cell., incolores, à parois minces, lisses ou légèrement verruqueuses, aigus ou claviformes, abondants ou n'existant que sur les nervures et les bords du limbe, ou nuls. Epidémies ordinairement onduleux, plus rarement subonduleux ou recticurvilignes; cuticules minces, lisses ou striées, stomates à cellules annexes, irrégulièrement disposées, en nombre variables, 3 à 6 ; plus petits que les cellules épidermiques, existant sur les deux épidermes, mais plus nombreux sur l'inférieur, s'ouvrant ordinairement au niveau épidermique, rarement inclus [E.] Dodonœi) ou exserts [E. hirsatum). Mésophylle bifacial, rarement homogène ou subcentrique, à lacunes nulles, renfermant toujours vers son milieu, rarement dans toute son épaisseur, des cellules à raphides. Nervure médiane à faisceau bicollatéral, non immergé, sans tissu mécanique, rattaché à l'épiderme supérieur par du parenchyme clair, fortement collenchymatoïde à la périphérie. Pétiole fréquemment nul ; faisceau libéro-ligneux