Reproduction chez la femme

Reproduction chez la femme
Th3A – Féminin, masculin
hypothalamus, hypophyse, FSH, LH, gonadotrophines, oestrogène, progestérone, hormones ovariennes,
gamètes, gonades, cycles féminins, pic de LH, ovulation, corps jaunes, follicules, maturation folliculaire,
endomètre, menstruations, myomètre, dentelle utérine, muqueuse utérine, utérus, trompes, vagin, col de
l'utérus, glaire cervicale, période favorable, synchronisation des cycles féminins, rétrocontrôles positif et négatif
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Chez la femme, le fonctionnement de l’appareil reproducteur est contrôlé par un dispositif neuroendocrinien qui fait intervenir l’hypothalamus, l’hypophyse et les gonades : le complexe
hypothalamo-hypophysaire situé à la base du cerveau,
produit les hormones hypophysaires aussi appelées
gonadotrophines que sont LH et FSH. Ces hormones vont
stimuler les ovaires : FSH déclenche la maturation d’un
follicule qui contient un ovule, le follicule en cours de
maturation produit de plus en plus d’œstrogène.
 Une fois le follicule mûr, un pic de LH provoque
l’ovulation, c’est-à-dire que le follicule libère l’ovule dans
les trompes. Le reste du follicule se transforme dans l’ovaire
en corps jaune qui se met à produire de la progestérone
avant de disparaitre. Les oestrogènes et la progestérone
agissent sur la muqueuse utérine en permettant son
développement puis son maintien et sur la glaire cervicale en changeant ses propriétés. La disparition
du corps jaune provoque une chute hormonale qui entraine le décollement de la muqueuse utérine :
ce sont les règles (menstruations).
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Ainsi, on observe chez la femme un cycle de 28 jours en moyenne débutant par les règles, conduisant
à l’ovulation au 14eme jour et où le corps jaune disparait totalement au 28eme jour.
Reproduction chez la femme
Th3A – Féminin, masculin
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La synchronisation des cycles chez la femme (cycle ovarien, cycle utérin, cycle de la glaire cervicale)
permet d’établir une période favorable à la fécondation située aux alentours du 14eme jour afin que
les spermatozoïdes puissent franchir le col de l’utérus, trouver l’ovule à l’embouchure des trompes et
que l’éventuel embryon puisse effectuer sa nidation dans la muqueuse utérine la plus développée
(dentelle utérine).
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Les hormones ovariennes provoquent aussi le développement des caractères sexuels secondaires
féminins comme le développement des seins, elles influencent aussi la libido.