LIEN 410 - Eglise protestante de Bruxelles

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Trimestriel n° 410• 91ème année
Quatrième trimestre 2013
LE LIEN
Bureau de dépôt
Bruxelles 5
1050 Bruxelles
PP 1 7650
N° d'agrément
P 912 113
Bulletin de l' Église Protestante de Bruxelles - Musée • Chapelle Royale
Chapelle : Rue du Musée, 2 - Administration : Coudenberg, 5 - 1000 Bruxelles
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LE LIEN
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Éditorial
Il y a des paroles
qui annoncent une heureuse nouvelle
et chantent la musique de sa présence
car elles répandent sur la terre humaine
la bienveillance et le pardon
Il y a des gestes
qui annoncent l’heureuse nouvelle
et montrent sa lumière et sa présence
car ils construisent la terre humaine
sur la justice et sur la paix.
Il y a des actes
qui annoncent l’heureuse nouvelle
et montrent sa lumière et sa présence
car ils fondent la terre humaine
sur le droit et la tendresse
Il y a des temps
où les croyants se rassemblent
pour annoncer l’heureuse nouvelle
en célébrant Dieu
définitivement lié à la terre humaine.
L’Avent ?
Je me lève afin que la Bonne Nouvelle
transite par mes paroles et mes actes
Extrait de Terres, de Charles Singer
L’équipe du Lien vous souhaite un Avent riche
en semailles d’action et d’espérance ainsi que des
fêtes de Noël emplies de Sa lumineuse présence.
Une collection de paroles de Jésus :
la source Q
Quel chrétien n’a pas rêvé de remonter à la source même des paroles de
Jésus ? Imaginer une « prise de note » sur le vif des enseignements du
maître et retrouver un manuscrit complet qui permettrait de s’approcher
au plus près de l’homme et du message…
Mais ne nous berçons pas d’illusions : toute collection de paroles de
Jésus, aussi dépouillée soit-elle, a transité par des intermédiaires, des
rédacteurs qui ont interprété et adapté ces paroles en fonction de ce
qu’ils savaient de Jésus mais également en fonction de leur propre
situation.
Lorsque l’on compare les évangiles selon Matthieu, Marc et Luc, on est
frappé par la similitude de leur structure et leurs nombreux épisodes
communs. C’est en 1838 que le professeur Christian Herman Weisse
formula pour la première fois l’hypothèse dite « des deux sources ».
Matthieu et Luc auraient utilisé comme source de travail l’évangile selon
Marc (plus ancien) ainsi qu’une collection de paroles de Jésus. En plus
de ces deux sources, ils disposaient également chacun de traditions
particulières.
En 1907, le théologien libéral Adolf von Harnack proposa une reconstitution critique de la Source des paroles de Jésus. Une autre édition,
bénéficiant des découvertes archéologiques faites au cours du XXème
siècle et d’un travail philologique minutieux, fut publiée en 2000. L’on
s’y réfère par le vocable « Source Q » (de l’allemand « die Quelle », la
source). Frédéric Amsler publia en 2001 une édition française sous le
titre L’évangile inconnu, La Source des paroles de Jésus chez Labor et
Fides.
Cette Source, qui présente Jésus comme un maître de sagesse, est à la
fois étonnante et radicale. Elle s’ouvre sur la personne de Jean qui tient
une place très importante. La Source semble témoigner d’un conflit de
légitimité entre les disciples de Jésus et ceux de Jean. En dehors de quatre
narrations (récit du baptême de Jésus, récit des tentations, guérison du
fils du centurion, et un récit d’exorcisme), la Source ne contient que
des paroles de Jésus qui évoquent son ministère terrestre. Jamais Jésus n’est désigné comme « Christ ».
Après les béatitudes, une section importante est dévolue à la mission
et aux difficultés rencontrées par les missionnaires. La Source se clôt
par des paroles sur le Royaume, la venue du « Fils de l’homme » et
le jugement d’Israël. Les auteurs ont manifestement connaissance de
la mort de Jésus (des paroles sur la mise à mort des prophètes en attestent) mais ils ne l’élaborent pas théologiquement : il n’y a aucun
récit de Passion ou de résurrection dans la Source. Pas plus, d’ailleurs, que de paroles consacrées à un « clergé » ou à
l’Église. Être disciple, selon les paroles de Jésus que l’on trouve dans la Source, ce n’est pas confesser sa foi ou effectuer
des rites, c’est mettre en pratique son enseignement. La « bonne nouvelle » est celle de l’irruption du Royaume dans nos
relations chaque fois que nous y parvenons.
Comme le souligne Frédéric Amsler, « bien qu’il ne soit pas le procès-verbal fidèle des paroles du Jésus de l’histoire, le
Document Q est l’héritier le plus direct que nous connaissions du Jésus terrestre. Il nous met en présence d’un Jésus qui
est non pas Dieu, mais un être humain ». Ce document est précieux à plus d’un titre : il témoigne de la toute première
« émancipation » chrétienne du judaïsme (il semble en effet émaner d’un groupe de missionnaires juifs enracinés en
Galilée et en conflit avec le judaïsme officiel de Jérusalem) et nous place devant une question à laquelle nous sommes
appelés à répondre toujours à nouveau : où est le centre de notre foi ?
Laurence Flachon
LE LIEN
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L’oralité juive, quand l'Éternel investit l'humain.
Si la parole de l’Éternel est une vérité explicite,
il faut l’écrire. Son apprentissage n’est que sa
récitation. Que signifient alors dans la tradition
juive l’obligation d’oralité et la suprématie de
l’enseignement oral sur l’enseignement écrit ?
Pour la tradition juive, la parole divine est une
Vérité dont la transposition relève de la responsabilité humaine. L’humain évolue au fil du temps,
la souplesse de l’oralité permet la poursuite du
processus de transposition à chaque génération.
En tant que source du droit, la Torah orale
complète le texte écrit lorsqu’il est lacunaire, arbitre ses contradictions et l’utilise selon ses besoins. Prenons-en un exemple :
La Torah écrite nous alerte : « Ne suis point la multitude pour mal faire ; et n'opine point, sur un litige, en t’inclinant
face à la majorité, pour faire fléchir le droit (‫)תטהל םיבר ירחא‬. » (Ex.23 :2)
La Torah orale utilise ce même texte à d’autres fins : « Rabi Yérémia a dit : … La Torah a déjà été donnée au Mont Sinaï,
nous ne suivons plus l’opinion d’une voix céleste, comme la Torah l’a écrit déjà depuis le Mont Sinaï : « Incliner selon
la majorité ( ‫) תטהל םיבר ירחא‬. »( T. Baba Metsia 59b)
Le verset de l’exode souligne les risques d’abdiquer son libre jugement face à un groupe, sa citation talmudique établit
le caractère primordial du principe de choix à la majorité, en sortant la deuxième partie du verset de son contexte. Rabi
Yérémia peut légitimement procéder ainsi puisque telle est la démarche de la Torah orale, reçue elle-aussi au mont Sinaï,
dans ses principes si ce n’est dans son contenu.
La Torah orale se tient au fondement de la pratique et de l’identité juive.
La Torah écrite est lue à la synagogue, chaque semaine. Les consonnes sont écrites, les voyelles, la ponctuation, les
chapitres, la cantillation sont mémorisées. La lecture se fait non seulement dans le parchemin mais également dans la
mémoire du lecteur.
Celui qui veut entrer dans le judaïsme doit le comprendre. Voyons-le à travers un récit des sages :
« Les sages ont enseigné : Fait d’un non juif qui se présenta devant Chamaï et lui dit : « Combien de torot avez-vous ?
» Chamaï lui répondit : « Deux, la Torah écrite et la Torah orale. » Il rétorqua : « Pour la Torah écrite, je te fais confiance, pour la Torah orale je ne te fais pas confiance, convertis-moi en m’enseignant la Torah écrite uniquement. » Il le
repoussa et le fit sortir avec des réprimandes. Il se présenta devant Hillel et dit : « Convertis-moi !» Le premier jour il
lui dit : «voici l’alphabet : aleph, beit, guimel, dalet… ». Le lendemain, il lui inversa tout. Il lui dit : « Mais hier, ce n’est
pas ce que tu m’as dit ! » Il lui répondit « Sur ce sujet, tu m’as fait confiance, pour ce qui est de la Torah orale, fais-en
autant ! » » (T. Chabbat 31a)
À titre pédagogique ce passage souligne l’importance fondamentale de la relation à autrui dans l’enseignement juif.
L’enseignement écrit ne peut être lu que dans la confiance et dans la relation : « Fais-toi un maître, acquièrs-toi un compagnon d’étude. » (Michna Avot 1 :5) A PessaH, le livre-guide est nommé « Hagada », « récit » et a pour mission de
susciter des questions, d’ouvrir le dialogue. Le Chéma Israël nous rappelle deux fois par jour nos devoirs : « Ces paroles
que je te prescris aujourd’hui, tu les répéteras/les changeras pour tes enfants. »
La tradition orale est un élément constitutif de l’identité juive. D’autres mouvements tels l’Alliance de Damas, les
Karaïtes ou les courants chrétiens se sont opposés à la vision des pérouchim, les tenants de la tradition orale juive
(pharisiens), tout en se réclamant de la Torah écrite. L’Islam aussi « oublie » l’enseignement oral lorsqu’il prétend
englober le judaïsme.
Le midrach tanHouma (34 :34) explique que Dieu lui-même a enjoint à Moïse de ne pas écrire la Torah orale, pour éviter
son appropriation. Ainsi, le Saint, Béni soit-il pourra répondre à ceux qui prétendent remplacer Israël : « Seuls ceux
qui sont dépositaires de mes secrets (l’enseignement oral) en font partie. » Les oppresseurs du judaïsme détruisant les
précieux manuscrits du talmud au cours des autodafés ne s’y sont pas trompés.
C’est grâce la tradition orale que la Torah écrite trouve son éternité et le judaïsme son identité.
L’oralité juive insiste sur le rôle sacré que le Créateur nous attribue en tant qu’humains dans la fixation des normes
juridiques et dans la transmission des valeurs.
Floriane Chinsky, rabbin
LE LIEN
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Le conte biblique : l'imagination au service de la transmission
« Je vous le dis, si eux se taisent, les pierres crieront ! » (Luc 19, 40)
Hiver 2013. Imaginez-vous, au coin d’un feu crépitant,
une veillée de Noël sans doute. Il fait autant froid dehors
qu’il ne fait chaud dedans. Vous êtes entourés d’amis
pour fêter l’événement. Votre sapin abonde de cadeaux
et vous sirotez votre vin chaud. Chacun s’occupe un
peu dans son coin, un écran en mains.
Soudain ! Coupure d’électricité dans votre ville, on
s’énerve (tu as du réseau toi ? et la télé ?), on panique
(je n’ai plus de wifi ? on n’a plus internet ou quoi?)
puis on rend grâce. On lâche les appareils qui nous
relient à ceux qui ne sont pas là. Faut-il que l’on soit
coupés du reste du monde pour mieux se rencontrer ici et
maintenant ? Le feu est là pour nous éclairer.
Passés l’ennui et la gêne, les visages se détendent et on
commence à raconter pour passer le temps. Vous avez
perdu l’illusion de l’immédiateté de notre vie moderne :
vous allez laisser place au mystère de la vie en prenant
l’initiative de conter la Bible et ses multiples aventures.
Instant de grâce et d’écoute : vous allez vivre un beau
moment de partage car « la Bible n’est pas un conte
mais elle se raconte » 1 révélant un Dieu « qui se montre
et se cache tout à la fois » 2.
« Abraham, celui qui a confiance en Dieu » (4)
Antérieurs à l’apparition de l’écriture, les contes portent en eux des messages émotionnels et philosophiques qui ont
pour vocation d’être transmis oralement 3. Mais le conte biblique n’est pas seulement la petite histoire de l’école du
dimanche ou celle que les parents lisent aux enfants avant d’aller dormir. Il s’agit ici d’une manière de narrer une
Parole vivante, de rendre témoignage de cette dernière à l’épreuve du vécu. Le conte est un genre littéraire qui permet de
mettre en scène véritablement la Bible pour viser notre intériorité, un récit qui fait écho dans le cœur de tous : le conte
touche à l’universel 4.
Ainsi, l’éphémère oral côtoie des racines profondes, celles que la Bible ne cesse d’interroger perpétuellement. L’idée
du conte est bien celle de transmettre, de toucher, d’interpeller dans un style qui fait référence à notre quotidien et à nos
problèmes existentiels tout en faisant appel à notre imaginaire.
Le feu crépite toujours, on vous écoute, et si vous possédez l’art de conter, on voyage avec vous, avec vos mains qui
parlent, avec vos intonations, vos lenteurs et vos suspenses. On fait de la place pour la Parole, pour un Dieu qui nous
touche. Vous faites parler les oliviers et la vigne, Moïse est interpellé par les pierres, Jésus monte dans un avion, Adam
téléphone à Ève. L’imagination va bon train et soudain ! L’électricité est revenue. Mais on ne rallume rien, si ce n’est ce
feu qui commence à se fatiguer.
Raconte-nous encore une histoire !
Élisabeth Vandenheede
Brigitte Blaise, « Et si la Bible m’était contée ? », http://laparoleestcontee.com/crbst_9.html, page consultée le 2 novembre 2013.
David Marguerat, “Supplique contre l’obésité des récits”, De bouche à oreille, Cahiers de la Bible contée, n°1, Noël 1998.
3
Jeanne Deumers et Lisa Gauvin, “Autour de la notion de conte écrit: quelques définitions”, Études françaises, vol. 12, n° 1-2, 1976, p. 157-177
4
Martine Laffon et Dialiba Konate, Le récit des origines, Paris, Seuil Jeunesse, 2005
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LE LIEN
GRAND ANGLE
Le Conseil Œcuménique à Busan
(Corée du Sud) : un appel à élargir
notre horizon.
Du 30 octobre au 8 novembre les délégué(e)s des 349
Églises membres du Conseil Œcuménique des Églises
(COE) se seront retrouvés à Busan (Corée du Sud) à
l’occasion de la 10 ème Assemblée Générale du COE.
Notre Église y sera représentée par son Président
Steven Fuite. Le nombre de délégué(e)s dépend de
l’importance numérique de chaque Église. L’EPUB est
en droit d’envoyer 2 délégué(e)s, mais des contraintes
financières n’ont pas permis à l’EPUB de remplir ce quota.
Il est vrai que la Corée du Sud c’est loin, que les frais de
transport et de séjour sont chers. Mais est-ce là la raison
principale, cette participation réduite ne traduit-elle pas un
manque d’intérêt ou un manque d’information? Les deux
sans doute. L’EPUB est pourtant, par le biais des Églises
dont elle est issue, membre fondateur du COE. Nous étions
présents lors de la première Assemblée qui s’est tenue à
Amsterdam en 1948. Des membres de notre Église ont été
membres du Comité Central du Conseil, l’organe chargé de
mettre en œuvre les décisions prises lors des Assemblées
générales, et de préparer celles à venir; d’autres encore
ont participé aux travaux des différentes Commissions
nommées à l’occasion des A.G.
Rappelons que l’origine du COE a ses racines dans le
monde des étudiants. À la fin du XIXème siècle, venus
du large horizon des diverses confessions protestantes,
appelés à vivre ensemble à l’Université, ils apprennent à
(re)connaître ce que, au-delà de ce qui les différencie, ils
partagent en commun. En 1910, se tient la Conférence
Mondiale des Missions à Édimbourg qui réunit des
Églises protestantes de l’Amérique du Nord et de l’Europe
du Nord Ouest et des Sociétés missionnaires.
Il s’agit pour ces Églises de s’entendre sur les délimitations des territoires confiées aux sociétés missionnaires
afin d’éviter qu’entrées en concurrence, elles ne viennent
brouiller leur message. En 1925 se tient en Suède à l’initiative
de l’archevêque Natha Söderblom, prix Nobel de la Paix,
la Conférence Chrétienne Universelle “ Life and Work “
à laquelle participent des Églises venues de 37 pays avec
ce double objectif: montrer qu’au-delà des différences
doctrinales, les Églises peuvent s’unir dans l’engagement
social et contribuer à panser les plaies d’une Europe
dévastée.
Ce sera le premier pilier sur lequel sera fondé plus tard
le C.O.E. Toutefois, dès la rencontre à Édimbourg, les
Églises sont conscientes que le mouvement œcuménique
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doit mettre à son agenda les questions doctrinales et
constitutionnelles qui les divisent. Après une longue
préparation, se tient à Lausanne en 1927 la première
conférence Foi et Constitution qui met les bases du second
pilier sur lequel s’appuiera à partir de 1948 le COE. La
troisième Assemblée du Conseil (1961) marque la véritable
percée du mouvement œcuménique; elle se tient à la Nouvelle Delhi; c’est l’entrée des Églises du “Tiers Monde”.
C’est aussi l’entrée des Églises Orthodoxes, le COE élargit
ainsi sa plateforme confessionnelle. Que le COE ait choisi
en 2013 l’Asie pour son Assemblée traduit la préoccupation,
constante depuis le début, de suivre l’évolution en cours
dans le monde.
Malheureusement les médias belges auront accordé peu
d’attention à ce qui s’est passé à Busan. Saluons, le fait
que 2 mensuels protestants (Mosaïque) y ont consacré
quelques articles. Le COE, pour sa part, a encouragé les
paroisses à participer à la préparation de cette A.G. Sur le
site www.protestants.org (FPF) vous trouverez une documentation ciblée parmi laquelle un questionnaire destiné
aux paroisses et 6 études bibliques qui seront le support
des célébrations et des travaux de l’Assemblée à Busan.
L’internet nous offre le moyen de participer. Ainsi, bien
que post eventu, nous pourrons nous associer à la rencontre
de Busan et nous savoir, tout en étant membres d’une
Église minoritaire, partie intégrante de l’Église universelle.
Marc Lenders
LE LIEN
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Prières
Seigneur, enseigne-nous le silence et l'humilité
le silence de la sagesse
le silence de l'amour
le silence qui parle sans paroles
le silence de la foi.
Seigneur, enseigne-nous le silence de nos cœurs et de nos esprits
pour que nous puissions écouter le mouvement du Saint-Esprit en nous
et sentir ta présence au profond de notre personne.
Louanges et prières à l’usage de la Sixième Assemblée du Conseil œcuménique des Églises. (Vancouver 1983)
LE LIEN
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À vos agendas !
Décembre
Formation pour adultes :
Le 7, Samedi théologique de 10h à 12h30 suivi d’un repas animé par le pasteur Christian Rouvière sur le thème : « le
bouddhisme, une voie de salut ? »
L’Atelier d’écriture :
Le samedi 14 de 10h à 12h30
Concert :
Un avant goût de Noël : Vous appréciez les « Christmas carols » ? le 12 décembre, à 19h, venez écouter la chorale du
Sidney Sussex College de l’Université de Cambridge.
Réservation et prévente au 022134940 (l’après-midi) ou 0473330294 : 10€, tickets le soir même : 15 €
Cultes de l’Avent :
Thème : « Tu diras à tes enfants » (Dt 6) : Transmettre pour pouvoir accueillir
1er décembre
8 décembre
15 décembre
22 décembre
25 décembre
Pr L. Flachon, Brussels Philarmonique et Y. Wataya, orgue
Pr L. Flachon , Emi Shiraki, Flûte à bec et Y. Wataya, orgue en présence des membres de l’ordre des Chevaliers de Saint-Jean,
Culte des Noël animé par les enfants et l’équipe de l’école du dimanche, Pr L. Flachon , Jessica
THEMELIN, Saxo et Y. Wataya, orgue
Pr D. Vanescote , Maud Leroy, Flûte et Y. Wataya, orgue
Culte de Noël, Pr L. Flachon, Sophie de Tillesse, Mezzo et Y. Wataya, orgue
Janvier
Formation pour adultes :
Le 11, Samedi théologique de 10h à 12h30 suivi d’un repas : « L’évangile selon Matthieu comme vous ne l’avez jamais
lu ou entendu ». Invité : Jean Mossoux, auteur de Ras le bol ou paraboles.
Le jeudi 16, étude biblique de 15h à 16h30 suivi d’un café. Thème : « Jésus, maître de sagesse, une étude sur la « Source Q »
par la pr L. Flachon.
Activités jeunesse :
le dimanche 19
Atelier d’écriture :
le samedi 18 de 10h à 12h30
Février
Formation pour adulte :
Le jeudi 20 de 15h à 16h30 étude biblique suivie d’un café. Thème : « Comment parler du jugement de Dieu aujourd’hui ? »
par la pr L. Flachon.
Activités jeunesse :
le dimanche 16
Atelier d’écriture :
le samedi 15 de 10h à 12h30
Actes pastoraux
Baptêmes : Kai Niser le 13 octobre, Théodore Seiki Congan le 10 novembre
Baptême d'adulte : Henry-Emmanuel Hublet le 13 octobre
Service Funèbre : Lydia De Groof, le 15 novembre
LE LIEN
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ÉGLISE PROTESTANTE
DE BRUXELLES - MUSÉE
Administration : Coudenberg, 5
B - 1000 Bruxelles
SECRÉTARIAT
Anne RICHARD
Mardi et mercredi de 15h30 à 18h30
Jeudi de 10h à 12h et 14h à 18h
Vendredi de 15h à 18h
[email protected]
TEL : 02-213 49 40
FAX : 02-502 59 56
DIACONAT :
M. Christophe Berück , secrétaire
M me Laurence Flachon, pasteure
M. Daniel Steen
M. Yvon Choul
M me Françoise Nimal
M. Luc Payfa, modérateur
M me Anne Richard
M me Gersende Adan
M. Baptiste Thollon
PASTEURE :
Laurence FLACHON
02-213 49 41 - 0479-20 36 91
[email protected]
PASTEUR(E):
Poste vacant
CONSISTOIRE :
Nous vous le faisons parvenir bien volontiers gratuitement…
et acceptons avec gratitude tout don volontaire de votre part au numéro
de compte suivant :
Les œuvres de l’Église du Musée :
M Fabienne Apt
M me Gersende Adan
M me Laurence Flachon, pasteure
M me Anne Joué
M me Tamar Joulia, trésorière
M me J. Lombart, modératrice
M. Jean-Philippe Muyle
M me Françoise Nimal
M. Adrien Nzeusseu
M. Luc Payfa
M. Tibor Scharf
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avec la mention « Le Lien ».
COMITÉ DE RÉDACTION
DU LIEN
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M me J. Joué
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CCP Diaconat :
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M. Julien Baudouin
M me Laurence Flachon, pasteure
M. Thibaut Raucq
Mme Elisabeth Vandenheede
M me Jacqueline Lombart
M me Françoise Nimal
M me Amaya Ricouard-Lartigue
Bibliothèque :
M. A. Hennebicq
Le jeudi de 10h à 15h
Le dimanche de 9h 30 à 10h 20
et sur demande.
Le Lien - Éditrice responsable : Mme Laurence Flachon, Avenue des Capucines 27, 1030 Bruxelles.
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Impression : Impribourse.
4ième Trimestre
2013 n° 410
91ème année
Église Protestante de Bruxelles - Musée
Coudenberg, 5 - B - 1000 Bruxelles
Bureau de dépôt
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1050 Bruxelles
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N° d'agrément
P 912 113
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