KENNELLY. - High-frequency telephone circuit tests (Essais des circuits téléphoniques à haute fréquence). Communication au Congrès international de Saint-Louis, 1904 C. Tissot To cite this version: C. Tissot. KENNELLY. - High-frequency telephone circuit tests (Essais des circuits téléphoniques à haute fréquence). - Communication au Congrès international de Saint-Louis, 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1905, 4 (1), pp.664-666. <10.1051/jphystap:019050040066401>. <jpa-00241046> HAL Id: jpa-00241046 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241046 Submitted on 1 Jan 1905 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés. 664 maximum de transmission pour un poste de réception donné et une force électromotrice donnée au départ. Si l’on désigne par L la longueur de la ligne en kilomètres ; par r, c, 1, la résistance, la capacité et l’inductance kilométrique de la ligne; par g, la conductance kilométrique de l’isolement, la constante a du câble est : et l’inipédance an départ : L’impédance en - , à l’arrivée devient : désignant par Z2 l’impédance propre de l’appareil récepteur. De sorte que l’amplitude du courant reçu a pour valeur : L’auteur montre le parti avantageux que l’on tire de l’emploi des fonctions hyperboliques dans la solution des questions de propagation dans les lignes. La discussion de la relation précédente le conduit aux conclusions suivantes. Pour réaliser la plus grande vitesse de transmission possible dans un câble donné, on doit : 1° Placer au départ un condensateur de grande capacité ; 2° Employer au départ la tension maximum ; 3° Rendre l’impédance du récepteur égale à l’impédance au départ, mais décalée de 90° par rapport à cette impédance au départ. C. TISSOT. KENNELLY. 2014 téléphoniques de High-frequency telephone circuit tests (Essais des circuits Communication au Congrès international fréquence). à haute Saint-Louis, - 1904. On fait l’essai des lignes télégraphiques terrestres en appliquant à l’une des extrémités une force électromotrice constante connue Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019050040066401 665 le courant reçu par un milli-ampè re mètre intercalé ligne et la terre. Pour une ligne homogène de L kilomètres de longueur, présentant une résistance kilométrique r et une fuite ou conductance kiloet mesurant entre l’autre bout de la métrique égale à y, on a : i étant l’intensité du courant reçu par cette l’appareil récepteur. Dans relation, et est la résistance ohmique propre du récepteur. Tout se passe à l’extrémité de la ligne comme si cette ligne présentait une résistance apparente RI égale au dénominateur de la fraction. Pendant l’état variable qui résulte d’une transmission rapide (d’une transmission téléphonique par exemple), la résistance apparente de l’extrémité réceptrice peut différer notablement de celle qui existe dans l’état permanent. Bien que la mesure de la résistance apparente du circuit en régime permanent puisse fournir d’utiles indications sur les conditions de travail de la ligne, il paraît désirable d’obtenir par mesure directe l’intensité du courant reçu dans les conditions mêmes d’utilisation. Les dispositifs imaginés par l’auteur ont pour objet de satisfaire à ces desiderata. On ne peut songer à employer des électrodynamomètres, car les électrodynamomètres sensibles et capables de se prêter à la mesure de courants téléphoniques présentent une inductance beaucoup trop considérable pour l’objet en vue. On se sert d’un appareil thermique de faible résistance et d’induc- Rrz tance négligeable. Le procédé consiste à enregistrer les variations de résistance d’un fil de platine très fin échauffé par le passage du courant téléphonique. L’un des filaments employés avait un diamètre de 1,7 ~. et Comme la masse d’un pareil fil est de une longueur de 6.10 ~ grammes, on voit qu’une quantité de chaleur équivalente à i erg suffit à élever sa température de 120,3. , 666 disposé dans l’une des branches d’un pont de l’équilibre est réalisé en intercalant dans les Le filament fin est Wheatstone dont autres branches des résistances à faible coefficients de variation. Les résistances sont inductives afin de localiser dans le filament fin l’action du courant de haute fréquence. Avec le filament de 1,7 IL de diamètre, on pourrait, selon l’auteur, déceler un courant de 7 microampères. I,’auteur a opéré sur une ligne artificielle et déterminé le courant reçu pour différentes valeurs de la longueur de la ligne. Le courant varie très sensiblement en raison inverse du carré de la longueur de la ligne, et les résultats concordent avec ceux que fournit le calcul de la relation obtenue par l’auteur et donnée précé- demment : , Le a par M. Kennelly, et auquel il de « barretter », est tout à fait dispositif employé donné, d’après Fessenden, le nom dispositifs bolométriques que nous avons signalés (1), utilisons pour la mesure des courants de haute fréquence reçus par les antennes. L’appareil ne paraît différer de nos bolomètres que par la manière d’établir l’équilibre, qui n’est ici réalisé qu’à l’aide de résistance à faible coefficient de variation au lieu d’être obtenu par un filament identique, et par l’absence de précautions spéciales pour assurer l’isolement thermique du système, toutes circonstances qui doivent certainement en diminuer la précision. C. TISSOT. analogue et que aux nous KENNELLY. 2014 A motor tifs). working diagram of the alternating-current synchronous (Un diagramme de travail des moteurs synchrones à courants alternaCommunication au Congrès international de Saint-Louis, 1904. - Ce diagramme est la représentation graphique des équations vectorielles qui donnent la valeur de la puissance dépensée dans un synchrone monophasé ou triphasé. peut être considéré comme la modification moteur Il (1~ J. de Phys., 4e série, t. 111 - p. 524, 1904. d’un diagramme