Règles d`écriture d`un article,Transformation Digitale : LEGO

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Règles d’écriture d’un article
Il est peut-être temps de rappeler les règles d’écriture d’un article.
Objectif : accrocher le lecteur. Trouver les images libres de droit,
affiner les formules, jouer avec le rythme de la phrase.
Le sujet de l’article
Une bonne information, des témoignages, des chiffres fiables.
Il faut pouvoir répondre aux six questions de référence : Qui, quand,
comment, où, quoi, pourquoi.
L’article doit apporter au lecteur des informations précises, des
détails concrets émanant de sources fiables. Il faut éviter les
généralités que tout le monde connaît.
Ne pas oublier d’utiliser des citations pour faire parler la personne
interrogée.
Le contenu de l’article étant le fruit d’un travail personnel, tout
copier-coller résultant d’internet sera sanctionné par un… 0/20
Le traitement de l’information
Pour que l’article soit intéressant, l’information brute ne suffit
pas. Il faut analyser le contenu et le mettre en valeur par une
écriture claire, précise et soignée.
Le titre doit être soigneusement choisi et parlant. La première phrase
doit donner envie de continuer et l’information doit se trouver au
début de l’article. Utiliser les expressions, les images, les
anecdotes les plus « parlantes ». Ne pas hésiter à rajouter une image
(photo, caricature, schéma…) pour illustrer son propo
Transformation Digitale : LEGO
Lego (stylisé en LEGO) est une gamme de jouets de construction
fabriqués par le groupe danois THE LEGO GROUP. Elle se compose de
briques emboîtables, de figurines et diverses autres pièces. Les
briques Lego peuvent être assemblées et reliées afin de construire des
objets tels que des véhicules, des bâtiments, des robots… Les
constructions peuvent être démontées pour créer de nouveaux montages
avec les pièces. The Lego Group a commencé à fabriquer des briques de
jeu à verrouillage en 1932
Le 17 Février 2015, Lego est classée « entreprise la plus puissante au
monde » par le cabinet Brand Finances et ceci malgrès le tournant qu’a
pris Lego en transformant sa stratégie en digitale !
1 .
Qu’est-ce que le Digital ?
Aujourd’hui nous n’utilisons plus le mot NTIC. La tendance est au mot
« Digital ». C’est devenu un panier dans lequel chacun choisit ce
qu’il y met. Les entreprises, les chasseurs de tête recherchent des
profils à forte expérience « digitale ». En fonction des métiers ou de
la connaissance du sujet, ils sous-entendent réseaux sociaux, ou
création de contenu multimédia, ou CRM, ou bien concept « branding » à
destination du Web, ou encore carrière IT, ou très orientées
technologie, ou encore autre chose. Une divergence sémantique dès le
départ qui biaise la suite des échanges.
En réalité, si nous fusionnons tout ce que chacun y met et tout ce qui
existe dans le domaine, nous nous apercevons que le Digital est
l’ensemble du business des technologies à destination des individus.
Et que, ce que chacun en fait, est parfois limité, au regard de ce que
le Digital a réellement à offrir et au regard de ses enjeux business
et sociétaux.
Ainsi, le Digital n’est pas un simple canal au sein des stratégies
médias. Le Digital est une nouvelle organisation intégrant totalement
la dimension internationale et le décloisonnement
industriel/sectoriel. Ce sont de nouveaux processus, de nouveaux
outils de travail numérisés. Le digital est un nouveau mode de gestion
cross-fonctionnel, potentiellement cross-industriel, et mondial.
2 . LEGO et son changement de stratégie
L’habileté de Lego à convertir son image en valeur commerciale est
avérée. A ce jeu, la marque devance même des noms comme L’Oréal, Red
Bull, Rolex, Walt Disney, Apple, Burberry et Ferrari jusqu’alors 1er
de la classe. Cette distinction trouve aussi ses racines dans la
stratégie digitale sociale mise en place par Lego depuis 4 ans
environ. Explications.
Il y a encore 4 ans, Lego n’avait tout bonnement pas de page Facebook.
Une incongruité aujourd’hui réparée magistralement puisque la marque
danoise dénombre plus de 10,4 millions de fans à travers la planète.
Sur Twitter, Lego partait également de rien. Désormais, 236 000
aficionados suivent l’actualité des produits et des temps forts de la
marque.Clairement sous-exploités, Facebook et Twitter sont vite
devenus des piliers dans la stratégie digitale de Lego.
Le reseau social sert évidemment de levier prioritaire pour activer
jeux-concours et opérations promotionnelles autour des nouveautés
pondues par la marque tout en invitant les fans à partager leurs
meilleurs moments de jeu avec le reste de la communauté. A la clé,
Lego peut se targuer d’indicateurs d’engagement bien au-dessus de la
moyenne traditionnellement observée pouvant grimper ponctuellement
jusqu’à plus de 100 000 partages !
3 . La digitalisation des produits et services
Le fabricant de jouet devient en 2014 le numéro 1 du marché du jouet
devant Mattel et s’offre de nouvelles licences, la licence The Simpson
et la licence Minecraft, jeu vidéo à succès souvent qualifié de « Lego
virtuel » et tout juste racheté par Microsoft. En 2014, Lego
enregistre un chiffre d’affaires de 3,83 milliards d’euros (+13 % par
rapport à 2013) et un bénéfice net de 941 millions d’euros (+ 15,6 %
par rapport à 2013)..
Mais comment Lego a pu évoluer aussi rapidement en chiffre d’affaires
?
Il faut savoir que LEGO est a la base un constructeur de jouets mais
qu’ils ont su adopter une stratégie digitale en diversifiant leurs
offres avec la création de jeux vidéos LEGO, de films LEGO,
d’applications smartphones LEGO…
Cette transformation nous montre bien que le Digital ouvre les portes
de la créativité dans le business et permet d’aller puiser de
nouvelles perspectives de développement au-delà de nos environnements
habituels…
D’aucuns objecteront probablement qu’il est sûrement chose plus aisée
pour une marque comme Lego de bâtir de larges communautés mobilisées
que pour d’autres marques aux aspérités moins prononcées ou moins
fédératrices. Cet attribut affinitaire est de toute évidence un atout
que Lego a su faire fructifier avec succès sur les médias sociaux.
Pour autant, la marque s’est donné les moyens. Plus que le dispositif
mis en place pour interagir là où se trouvent les internautes fans de
Lego, c’est avant tout l’implication de l’interne qui est à retenir
comme enseignement majeur de cette stratégie digitale.
L’entreprise a effectivement fait le pari de s’appuyer sur des relais
au sein même de ses équipes et de leur accorder du temps pour agir sur
les réseaux sociaux. Si elle s’appuie évidemment sur des agences pour
concevoir de nouveaux contenus, le tempo est clairement donné par
l’interne. Lars Silberbauer estime d’ailleurs dans ses interventions
répétées que des collaborateurs préalablement formés sont les
meilleurs ambassadeurs qu’une marque puisse disposer, pour entretenir
la relation avec les utilisateurs des produits Lego. La consistance et
la robustesse des résultats obtenus en l’espace de quatre ans et en
partant d’une quasi feuille blanche sur les médias sociaux, ne peuvent
que lui donner raison.
Révolution Marketing : Le SoLoMo
SoLoMo…Qu’est ce que cela veut dire ?
Le terme très peu connu « SoLoMo » ou « Social Local Mobil » désigne
différents supports marketing.
3 facteurs fondamentaux le caractérise : le SOcial, la LOcalisation et
le MObile.
Le social : Il regroupe l’ensemble des réseaux sociaux dans lesquels
les entreprises s’installent.
La localisation : Différents moyens sont employés afin de rapprocher
physiquement les marques et les consommateurs.
Le mobile : Suivi des consommateurs via leur mobile ou tablette dans
leur vie quotidienne.
Afin de mieux comprendre ce concept, l’exemple le plus parlant est
sans doute le fait de publier via son téléphone portable (mobile) sur
Facebook (social) sa localisation (local) dans des lieux commerciaux
tels que les magasins, cinéma, restaurant…
Quelques exemples concrets
Foursquare a marqué la naissance du SoLoMo avec son application créée
dans le but de diriger le consommateur vers un restaurant, un café, un
magasin ou encore un bowling tout près de l’endroit où il se trouve.
Bien ancrée dans le SoLoMo, l’application va encore plus loin dans
l’aspect social en incluant l’avis des consommateurs pour l’aider
à faire ses choix.
On trouve également de plus en plus de plateforme de réservation telle
que Booking Tonight qui à l’avantage de proposer aux utilisateurs des
chambres d’hôtels au plus proche d’eux, à la dernière minute avec des
rabais intéressants.
Les rabais… L’une des raisons du succès de ce concept.
En effet, les marques n’hésitent pas à effectuer des rabais
conséquents afin d’attirer le consommateur qui passera à côté de
son point de vente !
Le concept peut devenir très poussé lorsque le consommateur commence
par scanner un QR code puis télécharge l’application de la marque. Il
fini ensuite dans le magasin de celle-ci car il était à proximité et à
reçu une notification pour une promotion.
Comment ça marche ?
Quelques étapes sont indispensables à la mise en place de cette
approche marketing.
Tout d’abord, il est essentiel d’effectuer une segmentation et un
ciblage afin de communiquer des informations personnalisées aux
consommateurs pour être pertinent (one-to-one).
Il est également important de collecter des informations sur les
clients et notamment sur leurs comportement avec la marque et leurs
réactions face aux différents canaux utilisés pour communiquer.
Cette méthode est nommée datamart marketing.
Il faut ensuite établir un moteur d’offres centralisées. Celui-ci
détermine des offres adaptées à chaque client en fonction de ses
besoins et attentes et détecte les opportunités de
communication pour chaque cible.
Une capacité d’exécution cross-canal, production de messages ultrapersonnalisés, standardisés. Elle permet une cohérence des messages
quel que soit le canal.Quel avenir pour le SoLoMo ?
On comptait déjà en 2012 plus de 23 millions d’utilisateurs de
smartphones en France.
On note également que 53% des personnes achetant avec leur mobile ont
scanné des QR code (source lesechos.fr).
Les nouvelles générations très connectées sont l’avenir du SoLoMo.
Ce nouveau mode de communication séduit les jeunes qui ne peuvent
décrocher de leur téléphone.
Les entreprises qui ne commencent pas dès maintenant à s’y intéresser
seront certainement handicapé dans leur développement futur.
Un indicateur de performance majeur: Le taux de conversion.
QU’EST-CE QUE
CALCULER ?
LE
TAUX
DE
CONVERSION
?
ET
COMMENT
LE
D’un point de vue marketing, le taux de conversion correspond au ratio
entre le nombre de personnes ayant effectué une action donnée par
rapport à une population de référence.
On le schématise le plus souvent par le nombre de prospects
transformés en acheteur.
Par exemple, aujourd’hui afin d’évaluer l’efficacité d’une campagne
publicitaire ou d’un site web, nous utilisons le taux de conversion.
Mais d’un point de vue web marketing, le taux de conversion correspond
à l’aboutissement d’une action.
Par exemple:
– De l’inscription à un site internet.
– Le fait de compléter certaines demandes d’information.
– L’inscription a une newsletter.
– La vente d’un produit
…
D’une approche classique, pour calculer ce taux de conversion on
utilise la formule suivante:
( Nombre de clients / Nombre de prospect ) X 100
Mais dans le domaine du webmarketing, même si le taux de conversion ne
peut pas être mesuré sans une configuration préalable (chaque cas
étant particulier), nous pouvons retenir généralement:
( Nombre d’acheteurs / Nombre de visiteurs du site ) X 100
Ce taux représente alors l’élément majeur au sein d’une stratégie
digitale, puisqu’il permet alors d’évaluer l’impact qu’a un site
internet sur ces consommateurs.
QUELQUES
EXEMPLES
:
En ce qui concerne un site web marchand, le taux de conversion sera
calculé en fonction des ventes réalisées par rapport aux visiteurs
ayant consulté sur ce dernier.
Pour un site web non marchand, ce taux correspond au nombre de demande
d’information par rapport aux visiteurs ayant consulté la page.
QUELQUES POINTS
CONVERSION :
IMPORTANTS
POUR
AUGMENTER
SON
TAUX
DE
Répondre aux attentes des visiteurs, et ainsi leurs apporter ce
qu’il recherche. Si un visiteur recherche à commander un produit, il
faudra alors que le site soit marchand pour ainsi réaliser la
demande de ce dernier.
Ciblage du trafic, pour attirer les consommateurs susceptibles
d’acheter le produit.
Mettre en place une relation de confiance entre le visiteur et le
site web. Un consommateur n’achètera aucun produit si un site web
qui ne lui inspire pas confiance.
L’ergonomie du site, afin que chaque prospect puisse naviguer
facilement sur ce dernier. Un site web facile d’utilisation touche
un plus grand nombre de visiteurs, par conséquent un nombre
potentiel d’acheteurs plus importants.
LES
LIMITES
DU
TAUX
DE
CONVERSION:
De part les nombreuses variétés de produits proposés sur les
différents sites internet ( exemple: domaine d’activité différent…),
l’influence de nombreux acteurs sur le marché (exemple: les variations
saisonnières…) et les nombreuses problématiques de mesures (exemple:
chaque commerçant se base sur une période qui peut être différente de
celle de ces confrères…)…
Au vu de ses différents facteurs, l’utilisation des taux de conversion
pour se situer vis-à-vis d’un concurrent a souvent peu de sens.
Multicanal, cross-canal, omnicanal, comment les différencier ?
La digitalisation de la société
les entreprises à innover
pousse
Quelles sont ces nouvelles stratégies et comment
les différencier ?
La stratégie multicanal, c’est une stratégie marketing combinant
plusieurs canaux de sollicitation et de réponses aux consommateurs
La stratégie cross-canal, stratégie marketing permettant aux
différents canaux de distribution de combiner ensemble
La stratégie omnicanal, stratégie marketing optimisant l’utilisation
simultanée des canaux d’une entreprise
Ces stratégies sont liées elles ne peuvent exister les unes sans les
autres d’où les confusions possibles
le multicanal est considéré comme étant la base de toutes
stratégies digitales
Le but de cette stratégie est de créer de nouveaux points de contacts
de vente avec les clients ceux-ci pouvant être physique ou digital
à l’heure du e-commerce on a très rapidement vu les entreprises brick
and mortar développer leur site de vente en ligne, mais le chemin
inverse click-to-mortar est également possible avec des organisations
pure players qui ouvrent leurs unités physiques
QUELQUES
DÉFINITIONS
QUI
POURRONT
VOUS
AIDER
brick and mortar, désigne les entreprises dites traditionnelles faites
de briques et de mortier
Click to mortar, désigne une entreprise traditionnelle qui à aussi une
activité en ligne
Pure players, désigne une entreprise dont l’activité est exclusivement
menée sur Internet
stratégie digitale désigne les objectifs buts visions organisations et
gouvernances relatives aux technologies numériques et qui maximisent
les performances commerciales de l’entreprise
Sa conception permet potentiellement de répondre à une innovation
technologique un besoin client ou une volonté d’avoir une meilleure
organisation ou une évolution de la stratégie marketing vers le web
Les 10 points clés de sa réussite
Connaître la stratégie marketing actuelle
Connaître les objectifs
Connaître la communication digitale des concurrents
Choisir les valeurs à transmettre sur le web
Choisir le type de design
Définir le support de communication et type de pub
Définir le niveau de technicité
Choisir les outils viraux
Quantifier le budget et les moyens humains disponibles
Choisir un moyen de suivi
Webloyalty indiquait début 2015 que 8 français sur 10 effectuent des
achats en ligne cela montre l’importance de la diversification des
canaux
le multicanal multiplie des points de contact le cross canal crée une
complémentarité et l’omnicanal se concentre sur l’expérience globale
du client complémentarité du digital et des points de ventes
le cross canal permet de développer de nouveaux points de contact avec
le client à l’instar des services de livraison de click-and-collect
est un exemple de stratégie cross-canal
ces innovations répondent à de nouveaux besoins liés à la tendance du
« où je veux quand je veux » augmentent considérablement les
opportunités d’achat chez le client
Les professionnels du marketing doivent optimiser sans cesse afin de
s’adapter aux nouveaux comportement d’achat
voici quelques exemples pour faciliter le discernement des ces
différentes stratégies
Multicanal, CDISCOUNT en 2011 connu pureplayers ouvre sa boutique
physique 74% des mobinautes utilisent leurs mobiles pour rechercher un
produit sur internet 26% l’utilisent pour acheter
boutique-cdiscount
Crosscanal, Selectionst, wheretoget et la plus connue zoomdle qui
inventent le fashion-to-mobile servent à flasher des vêtements dans un
magazine pour les acheter directement sur son mobile
L’omnicanal, le cas Burberry et avant gardiste comme les marques haut
de gamme Burberry transmet les valeurs qui lui sont importantes par
l’ambiance crée dans les magasins et l’attention particulière des
vendeurs portée aux consommateurs.
Elle adopte la stratégie omnicanal avec son flashgip à Londresmagasin
le plus connecté du monde, on y trouve
Un gigantesque écran qui diffuse les défilés et actualités de la
marque
Des écrans connectés et interactifs permettant de diffuser une photo
de soi sur les réseaux sociaux
les vendeurs sont équipés de tablettes afin de consulter
l’historique et les préférences d’achat des clients
Plus de 500 hauts parleurs et 100 écrans
Toutes ces stratégies visent à mieux intégrer les nouveaux
comportements des consommateurs avec des contenus adaptés qui leur
rendent un réel service
Cette transition digitale devient nécessaire et les précurseurs
marqueront des points auprès des clients
Les Réseaux Sociaux
Quels sont les risques des réseaux sociaux?
Qu’est-ce que un réseau social ?
Un réseau social désigne, le mode d’interaction sociales qui facilite
la création et l’échange d’informations et de contenus entre des
individus et entre individus et organisation.
Le top 10 des réseaux sociaux dans le
monde
Facebook : 1,8 milliard
Qzone : 653 millions
Tumblr : 555 millions
Instagram : 500 millions
Twitter : 317 millions
Baidu Tieba : 300 millions
Sina Weibo : 222 millions
Pinterest : 150 millions
LinkedIn : 106 millions
Vkontakte : 100 millions
Les entreprises et les réseaux sociaux
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses sur les réseaux
sociaux pour diffuser des informations à moindre coûts, leur offre
d’emploi, nouvelles évolutions, près de 45 % des entreprises utilisent
les réseaux sociaux pour rechercher leurs futurs employé.
Définir une stratégie social média
Afin de développer la présence de son entreprise/ de sa marque sur les
réseaux sociaux, il est primordial
de choisir les canaux adaptés.
Définir les objectifs de communication, les moyens financiers
nécessaire, l’audience, son cœur de cible (âge, sexe, zone
géographique etc.), et enfin comprendre la culture propre à chaque
réseau social.
Les
réseaux sociaux les plus utilisés par les entreprises sont
Facebook Google + et Linkedin.
Sur Facebook les entreprises ont l’opportunité de créer une page
Facebook, Facebook ce conçoit sr le long terme et nécessite une
animation régulière.
Les entreprises qui utilisent Facebook comme réseau social pour leur
stratégies social média
bénéficie d’une très grande communauté
d’utilisateurs, le partage de vidéos, images et textes, ouverture aux
entreprises de différents secteurs, dans la mesure où le domaine
d’activités
de
l’entreprise
est
suffisamment
attractif,
outils
d’animation variés (ex : programmation des publications, création
événements).
Facebook
est
un
réseau
social
simple
et
facile
d’utilisation avec un nombre d’utilisation important et qui laisse un
large choix de communication aux entreprises à moindre coûts.
Tandis que Google + plusieurs outils aux entreprises pour communiquer
: Page Entreprise création outil de visioconférence (Hangouts pour
diffuser des vidéos publiques en direct via une chaîne YouTube). Son
utilisation est particulièrement pertinente pour les entreprises
locales, les éditeurs de blogs ou de sites web, ou les entreprises
produisant du contenu via leurs propres auteurs.
Les entreprises privilégie, Facebook avec 1,8 Milliards d’utilisateurs
qui est Leader des réseaux sociaux pour leur stratégie social média.
Google + 300 millions d’utilisateurs et Linkedin 106 millions
utilisateurs sont suiveur sur le marché des réseaux sociaux
professionnel.
Le profils des utilisateurs selon les plateformes
La Majorité des utilisateurs de Facebook , Twitter, Instagram et
SnapChat sont les 19-29 ans. Tandis que la majorité des utilisateurs
de Likedin sont les 30-49 ans.
Malgré le fait que les réseaux sociaux soient des moyens intéressant
pour se faire des amis, garder contact, s’exprimer, se faire
connaître. Ils présentent aussi une face caché qui peut-être négative
voire dangereuse. Les plus vulnérables sont les adolescents car ils
sont les premiers à avoir
adopter les réseaux sociaux. Ils sont de
plus en plus nombreux c’est pour cette raison qu’ils en sont les
premières victimes (le vols d’identité et la fraude,mauvais buzz,
piratage etc.).
Certaines informations photos, vidéos ou des statuts des utilisateurs
mal interprétés peuvent
être compromettants si ses informations sont
vues par l’employeurs, cela risques de compromettre votre candidature.
Mais pourquoi
entreprises ?
les
internautes
surfent-ils
sur
les
pages
des
Les internautes surfent sur les pages web des entreprises, afin de
rechercher des offres d’emplois. Souvent grâce au bouche à oreilles
les pages web des entreprises sont simples d’utilisation, gains de
temps. De plus, les internautes n’ont pas à se déplacer, ces derniers
récoltent plus d’informations que si il s’étaient déplacés et enfin
les pages web permettent aux internautes d’anticiper avant de
contacter les entreprises.
Les réseaux sociaux sont de plus en plus nombreux grâces aux nouvelles
technologies et au fort taux d’audience de certains réseaux sociaux,
les entreprises peuvent communiquer en masse à moindre coûts et
facilement pour atteindre le but de leur stratégie social média.
Liens hypertexte :
https://twitter.com/?lang=fr
https://www.instagram.com/
http://www.blogdumoderateur.com/chiffres-reseaux-sociaux/
https://fr-fr.facebook.com/
« C’est mieux d’avoir 100 Personnes qui vous aiment
énormément plutôt qu’un million de personnes qui vous
aiment un peut de loin.»
Une nouvelle tendance numérique:
le Marketing Viral.
QU’EST-CE
QUE
LE
MARKETING
VIRAL
?
La technique du marketing viral consiste à promouvoir une entreprise,
ses services ou ses produits à travers un message convaincant qui se
diffuse par l’intermédiaire des destinateurs de l’offre.
Ceci correspond à une recommandation d’un éventuel consommateur à son
entourage et qui permettent ainsi la diffusion d’un message élaboré
par une marque.
COMMENT
LE
METTRE
EN
PLACE
?
Les réseaux sociaux sont de nos jours de plus en plus utilisés pour
élaborer une stratégie de marketing viral, en effet on utilise ces
derniers pour inciter les clients à donner leurs avis sur les
entreprises, leur communication, leurs produits et ainsi partager les
différentes informations.
Actuellement, le consommateur est le principal facteur de la
communication pour une entreprise, c’est pourquoi le marketing viral
doit avant tout être attractif, et susciter l’envie de relayer
l’information à son entourage.
Par exemple, Evian en 2013 décide de partager sur les réseaux sociaux
une pub mettant en scène des enfants réalisant une chorégraphie devant
une vitrine. Cette vidéo fut le buzz, puisqu’elle atteind le nombre de
3.340.000 partages pour 65 millions de vues. (Evian- Baby&Me- 2013)
Cette technique doit donner envie aux consommateurs de cliquer, de
répondre et de faire circuler ce message.
LES
MÉTHODES
LES
PLUS
UTILISÉES
PAR
LES
ENTREPRISES.
Pour cela, différentes méthodes sont utilisées afin de réaliser une
communication de marketing viral :
– La plus pratiquée, étant l’e-mailing qui consiste a envoyer un
courrier électronique à un groupe d’individus. Le but est de persuader
les membres de ce groupe de faire suivre ce courriel à leur entourage.
– La réalisation de jeux et concours.
– Les campagnes vidéo virales (exemple avec Evian)
– La création de sites parodiques.
– …
Paid media, Owned media et Earned
media : un beau POEM
En marketing, les techniques de communication diffèrent selon les
canaux, la taille des cibles et les moyens de communication classiques
(médias et hors-médias). A l’ère du
numérique, une nouvelle classification
voit le jour et distingue 3 catégories de
médias : ceux que vous payez, ceux qui
vous sont propres et ceux que vous
gagnez.
Le Paid media :
Les médias payés, appelés aussi « paid media », sont les médias
achetés pour que votre communication soit plus efficiente.
On y regroupe tous les types de médias en ligne, autrement dit :
la publicité en ligne comme les displays (bannières, vidéos) et les
searchs (liens) ;
les e-mailing sur les fichiers…
et hors ligne, c’est-à-dire :
la publicité dans les grands médias comme la télévision, la presse,
l’affichage, la radio ;
la communication sur les points de vente ;
le marketing direct…
Le plus souvent, ce sont des personnes étrangères à l’entreprise qui
accèdent aux médias que vous payez pour véhiculer un message.
Ces personnes étrangères font ensuite parti d’un autre type de média
→ les médias propres.
Owned media :
Les médias propres ou « owned media » sont les médias qui vous
appartiennent et que vous contrôlez. On parlera plus facilement de
supports que de médias pour décrire les outils du owned media.
On y regroupe certains types de médias en ligne, notamment :
les sites de la marque et ses newletters ;
les applications mobiles ;
la présence sur les réseaux sociaux…
et hors ligne, autrement dit :
éditions publicitaires de la marque telles que les brochures, les
catalogues, magazines ;
le packaging d’un produit ;
les points de vente lorsqu’ils sont contrôlés par la marque…
Les owned media sont du contenu dynamique dans un environnement que
vous contrôlez. C’est une expérience supplémentaire que vous offrez à
votre communauté, principalement composée de vos prospects et clients
dans ce type de médias.
Earn media :
Les médias que vous gagnez, ou « earned media », sont créés par des
tiers (souvent des consommateurs ou des fans) qui véhiculent votre
message à travers les médias en ligne et hors médias. C’est donc
l’audience générée par les conversations et les leaders d’opinion.
On y retrouve sur les médias en ligne :
les commentaires sur les blogs, forums, avis de consommateurs ;
les vidéos YouTube ;
les réseaux sociaux…
et hors ligne, c’est-à-dire :
le bouche-à-oreille ;
les leaders d’opinion comme les journalistes ;
les influenceurs telles que les stars…
Vous l’aurez compris, ces 3 médias qui forment donc le POEM, sont
aujourd’hui indispensables pour une bonne stratégie digitale, même si
le paid media restera prépondérant dans la communication marketing
pour avoir toujours plus d’audience.
Panda, Pingouin et Opossum sur
Google
Rappel sur le du web-marketing :
Tout comme en marketing classique, la première étape est d’attirer le
publique vers son organisation, produit ou service, mais de façon
dématérialisée. Ainsi, on parle de « trafic », ou de « visiteurs
unique » sur un site internet. Sur le web, les techniques sont très
évolutives et permettent par exepmple de générer des offres en temps
réel selon un « tracking » de l’utilisateur, ou encore d’être le site
le mieux positionné lors d’une recherche. Mais à nouveau, comme en
marketing classique, le but est d’avoir un retour sur investissement.
Quels outils ?
Les techniques utilisés sur la toile, sont nombreuses et en constantes
évolution. Ci-dessous quelques exemples :
Le mailing
La publicité en ligne
La web analytique
Le marketing viral et social
L’e-merchandising
Le SEM ou le référencement publicitaire
Le SEO ou le référencement naturel
FOCUS SEO
Le SEO (Search Engine Optimisation) désigne le placement d’un site
internet à la place la plus haute, l’objectif étant d’être le n°1 des
résultats des moteurs recherches. Le lieux de la bataille est Google.
En effet près de 9 requêtes sur 10 passent par le géant du web
selon Buisness Insider. C’est ainsi que pour arbitrer cette guerre est
née Google Panda, puis Penguin et enfin Opossum.
Google Panda
Né en 2011 aux USA, Google
Panda,
parfois
qualifié
le
de
filtre,
est
premier
arbitre
du
référencement
naturel.
Il
sanctionne
le
contenu pauvre ou duppliqué en
influant sur le positionnement.
Ainsi, Google « dépolue » ses
résultats. L’algorithme complet reste secret, mais sont touché les
sites à la ligne éditoriale pauvre, les fermes de contenus ou encore
les sites plagiant d’autre sites. Le mot d’ordre est la qualité du
contenu. Ceci à pour but de maintenir la position de leader de la
recherche de Google, avec des résultats de qualités.
Google Pinguin
Né en 2012, Google Pinguin s’attaque a
l’utilisation frauduleuse de liens vers
un site web. En effet, plus un site fait
l’objet
de
augmentera.
liens,
plus
sa
position
Certains sites en font un
usage artificiel destiné à augmenter
leurs popularités, et ainsi Pinguin les
sanctionne en les de-référençant. Depuis
septembre dernier, il est mis a jours
continuellement et intégré à l’algorithme Google. Au travers de cet
outil, Google va s’efforcer d’appliquer le référencement le plus
naturel possible, et sanctionner les sites ne respectant les bonnes
pratiques définis par Google.
Google Oppossum
Né en 2016, Opossum est la dernière mise à jours de l’outil Google. À
la différence des ses aînés, il n’influence pas le référencement
naturel, mais l’ordre des résultat est géolocalisé. Concrètement, la
recherche « magasin de sport » réalisée par une même personne à Paris,
n’aura pas les mêmes résultats que cette même recherche à Marseille.
Google souhaite ici adapter le référencement et ainsi proposer les
résultats les plus pertinents selon la position de l’internaute et
aussi permettre la mise en valeur d’entreprises en périphérie.
Quels limites?
Un site sanctionné doit attendre la prochaine mise à jours de
l’algorithme avant d’être re-positionné. Le problème réside dans le
fait qu’en 2013 il a fallut attendre 1 ans, ce qui a suscité beaucoup
de critiques de la part des professionnels du secteur. Par ailleurs,
Google a aussi été critiqué pour avoir sanctionné des sites
concurrents tels que des comparateurs de prix ou de vols. Ceci peutêtre critiquable sur le plan éthique.
Comment réussir son SEO ?
« La notoriété web est un processus de « continual
service improvement » pour garantir la monétisation. »
Kozi Vuti – Directeur Conseil :
Digital Usages & Big Data &
eCommerce – Midrange
Clients : Volvo France, General Motors France, BNP
Paribas
En effet, comme l’indique Kosi Vuti qui à accepté de me recevoir : Il
est essentiel pour une organisation qui souhaite réussir sur le web de
répondre aux critères définis par Google. De plus, ces critères sont
en perpétuels évolutions, il faut sans cesse s’adapter. Ainsi, pour
être visible sur la toile, la première étape est de proposer un
contenu de qualité et soigné. De plus, abuser des mots clef sera aussi
sanctionné par Panda, tout comme les les sites au contenus pauvres ou
inutile pour l’internaute. Il faut ensuite ne pas utiliser de moyens
douteux tels que l’abus de lien pour se positionner, car Pingouin les
sanctionne. Et pour finir, être en adéquation avec la position de
l’internaute selon Opossum à condition d’avoir bien renseigné son
adresse exacte. En bref : proposer un contenu de qualité, sans plagiat
ni trafic artificiel. Google garanti ainsi un web propre et qualité.
Si ces codes sont respecté, le référencement naturel se chargera de
vous positionner en tête. Mais attendre le référencement naturel peut
s’avéré long au lancement d’un site internet, c’est pourquoi google
propose de l’acheter, c’est le SEM ou référencement publicitaire.
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