Clinique UNION

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DOSSIER
Par Aurelie RENNE
Equipement
dans la salle d’opérations, d’un plateau opératoire
dédié à la spécialité, et d’un chariot de transport,
amenant le patient positionné sur le plateau de
l’entrée du bloc à la salle d’opération, et réalisant
le transfert du plateau sur le socle.
Une troisième solution est maintenant disponible.
STERIS propose une nouvelle approche du transfert du patient : la CMax-T2, premier système
transfert motorisé du patient. Dans ce nouveau
concept, c’est la table toute entière qui se déplace.
Il n’y a plus trois éléments, mais un seul.
©Stéris
CMax-T2, premier
système de transfert
mobile motorisé
du patient
DES TABLES
AU TOP DE LA SECURITÉ ET DU CONFORT
La conception et l’exploitation d’un bloc opératoire nécessitent la mise
en commun de compétences variées, pour répondre aux impératifs de
sécurité, d’hygiène et de confort du patient et de l’équipe chirurgicale, et
aux exigences sans cesse renouvelées de la chirurgie moderne.
La table d’opérations est l’un des matériels dont
l’acquisition doit être la plus réfléchie, car au
delà des considérations techniques, cet équipement conditionne l’organisation du bloc opératoire, son infrastructure et la gestion de ses flux.
Deux solutions étaient jusqu’à présent à la
disposition des équipes chirurgicales : les tables dites conventionnelles et les tables à pla-
teaux transfert. La table conventionnelle est,
dans 95% des cas, un équipement autonome,
à plateaux multi sections avec des mouvements motorisés. Elle est toujours mobile.
Introduit en 1960 par la société suédoise Kiffa, le
système transfert innovait dans la prise en charge
du patient à l’entrée du bloc opératoire. Ce système se compose d’un socle restant à demeure
A LA CLINIQUE DE L’UNION
LE CHOIX DE L’INNOVATION ET DU CONFORTPOUR TOUS
GRÂCE AU TRANSFERT MOBILE MOTORISÉ DU PATIENT
De toutes nouvelles tables orthopédiques ont été mises en service à
la fin de l’automne dernier à la clinique de l’Union de Toulouse. « Ces
tables motorisées sont pilotées directement par le personnel soignant »,
explique le Dr De la Doucette. Les infirmières de blocs opératoires, qui manipulent de nombreux patients chaque jour, se fatiguent
désormais beaucoup moins car elles n’ont plus à manier de lourdes
tables. Les conditions de travail s’en trouvent améliorées.
Après plus d’un an d’utilisation, ces tables, fabriquées par la société
STERIS, ont démontré des avantages indéniables dans le positionnement pré-opératoire du patient, une source de satisfaction pour les
utilisateurs.
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Le système est motorisé, ce qui améliore l’ergonomie d’utilisation et la santé des utilisateurs (mal
de dos). Rappelons qu’un transfert conventionnel
n’est pas assisté et que le poids du plateau, du
chariot et du patient peut varier entre 250 et
400 Kg !
Les avantages du transfert traditionnel sont toujours présents, mais améliorés : la sécurité, l’hygiène, le coût d’acquisition et la maintenance.
Dotée d’un vrai plateau opératoire polyvalent, la
CMax-T2 bénéficie d’une longue translation longitudinale, elle offre ainsi une fenêtre radiologique
maximale et permet de répondre à des besoins
de positionnement très spécifiques. Ces avantages
- tranfert motorisé et longue translation - font
l’objet de plusieurs brevets. Cette nouvelle approche du transfert du patient est donc une réponse
adaptée aux besoins actuels du bloc opératoire
tant pour le patient que pour l’utilisateur, et prend
en compte les aspects financiers, techniques
et humains.
Autre point fort souligné par le personnel médical, ces tables sont
d’une stabilité remarquable. C’est un élément essentiel. Lorsqu’il
opère un patient dans une position particulière, le chirurgien prend
des repères dans l’espace. Plus de stabilité évite de perdre ces
repères et offre une meilleure sécurité au patient, notamment lors
de l’implant d’une prothèse. « L’implant, en étant mieux orienté évite
les problèmes postopératoires, et assure une plus grande longévité »,
explique le Dr De la Doucette.
Enfin, les concepteurs de ces tables ont pris en compte les évolutions physiques des patients. « Ces tables ont été étudiées pour tenir
compte du poids et de la taille des patients, aujourd’hui en croissance
notable », conclut le Dr De la Doucette.
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