Œuvre de Référence

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Classe de 3ème
Séquence 2
A la découverte de la ville à travers la musique du XXème siècle
Comment un compositeur met il la ville en musique ?
Dans le domaine de la forme : j’apprends
Par argument extra musical (musique à
programme)
Œuvre de Référence
Titre :
Compositeur :
Epoque :
Dans le domaine du successif, simultané : j’apprends La répétition d’un motif et la
construction par accumulation.
-Par la récurrence varié d'un motif (variation)
- Le simultané: agrégats, accord, clusters.
Steve ..........., né le 3 octobre ............ à New York
est un ........................................de musique
contemporaine et en particulier de
musique.........................................., plus connu en
France par musique ................................. .
Cette œuvre fut composée en ......... après le premier attentat du World Trade Center en ......... Elle se
présente comme un .....................................de New York et de Manhattan. On y retrouve des bruits
de ...............(klaxons, sirènes, cris, lances incendie...) ........................... puis.................... par le
compositeur.
Quelle est l'instrumentation ?
2 phrases sont échantillonnées :
L’œuvre est écrite pour :
•
•
•
•
•
•
Les sons sont enregistrés dans les ......................................................qui peut ainsi ............................et
....................... certaines syllabes au tempo choisi par le compositeur. On dit alors que les syllabes sont
échantillonnées.
Qu'est ce que la musique minimaliste ?
Qu'est ce que la musique minimaliste ?
Et les procédés de composition ?
Le compositeur utilise comme
procédé de développement :
• La
• Le
• La
Courant de musique contemporaine apparu dans les
....................................aux États-Unis. En France,
le courant est appelé musique ........................., utilisant la
répétition comme.................................................... Les
principaux compositeurs de musique minimaliste sont
Terry Riley, Steve Reich, Philip Glass, et John Adams. Le
courant est surtout caractérisé par l'utilisation
d'une ...............................régulière et la répétition
de ..........................évoluant lentement. Après des débuts
difficiles, la musique minimaliste vient parfois d'univers
différents comme le jazz, le rock, les musiques
improvisées, ou la musique électronique. La télévision et
le cinéma ont utilisé abondamment cette musique.
Parmi ces trois musicogrammes, quel est celui qui correspond à ce que vous entendez dans la première
partie ?
Vocabulaire de référence
Echantillonneur (ou Sampler) :
.
Canon :
Pattern :
Evaluation formative: Retrouver les procédés de composition dans ces œuvres :
Extrait 1 : ____________________
Extrait 3 : ____________________
Extrait 5 : ___________
Extrait 2 : ____________________
Extrait 4 : ____________________
Œuvres complémentaires
Titre : La VILLE
Compositeur : Pierre Henry
Nationalité : Français
Epoque : Les Temps Modernes
A) Découverte de l’extrait :
Qu’est-ce que vous avez entendu ?
Il n’y a pas d’instrument ?
Qu’est-ce que l’on entend du début à la fin de l’extrait ?
Quel est son rôle ?
La musique concrète : Cette méthode de composition originale va du concret (matière
sonore brute) vers l'abstrait (structures musicales). Elle utilise bruits et sons les plus divers,
provenant d’objets sonores. Ceux-ci sont enregistrés, manipulés en studio par des moyens
électroacoustiques permettant accélérations, ralenti, déformations diverses avant d’être organisés selon
les principes structuraux de l’oeuvre musicale.
Devoir Maison
Combien de passage d'escalier comptez vous ?
Un survivant de Varsovie est une œuvre pour narrateur,
chœur d'hommes et orchestre composée en 1947 par
Arnold SCHÖNEBERG.
Complétez le tableau pour chaque passage à l'escalier:
La narration développe l'histoire d'un survivant du ghetto de
Varsovie durant la Seconde Guerre Mondiale, dans un camp de
2ème passage
3ème passage
concentration. 1er passage
4ème passage
Exécution sommaire
Dans
cet œuvre, on remarque que la musique n’a aucune raison d’exister sans le texte.
VITESSE
En effet, la musique semble au premier abord, désordonnée, sans rythme, sans mélodie. Ce
chaos musical est volontaire et représente le chaos du monde de l’époque.
VOLUME
Le
compositeur met en évidence certains aspects psychologiques du personnages,
SONORE
(l’inconscience = harpe, la peur, le cœur qui bat fort = grognements aux cordes grave ,
l’irrégularité du comptage) certains mots (Abzählen = 3 syllabes / 3 notes…), l’ambiance
général, les contrastes entre les ordres et leur exécution…..
LE SLAM ET GRAND CORPS MALADE
Fabien Marsaud alias Grand Corps Malade est un auteur et
slameur français.
Le slam est un art d'expression populaire oral, déclamatoire, qui
se pratique dans des lieux publics sous forme de rencontres et
de joutes oratoires.
Le mot slam désigne en argot américain « la claque »,
« l'impact ». Dans le cadre de la poésie orale et publique, il s’agit d’attraper l’auditeur par le col et de le « claquer » avec les
mots, les images, pour le secouer, l’émouvoir.
Dans le morceau « Saint Denis » Le texte est sans cesse mis en évidence par des ambiances
TITRE les
: mots. On pourrait presque se passer du texte et avoir l’histoire
sonores qui accompagnent
de la ville simplement
avec la musique.
COMPOSITEUR
:
NATIONALITÉ :
DATES :
EPOQUE
:
Ce slam est comme
une parenthèse
: on commence par 4 vers avec des ambiances de rue et
le carillon de laINSTRUMENTATION
basilique et on termine :par les mêmes ambiances de rue avec les 4 mêmes
vers qu’au début
mais présentés
a cappella en guise de conclusion.
GENRE
:
L’artiste a fait des choix pour mettre en évidence certains passages de son texte.
On observe l’utilisation de la technique de tuilage (la fin du carillon correspond avec le
début de la sonnerie du métro).
Dans
morceau un
« Saint
»............
est sansqui
cesse
mis en
des
Onleremarque
long Denis
passage
sur le marché
permet
deévidence
« faire lepar
tour
du.............................
monde » par les
langues
utilisées,
l’évocation
des senteurs
mélange
social
et racial.
quidifférentes
accompagnent
les mots.
On pourrait
presque
se passeretdudu
texte
et avoir
l’histoire
de la ville
simplement avec la musique.
L’artiste a fait des choix pour mettre en évidence certains passages de son texte.
Ce slam est comme une parenthèse : on commence par ................avec des ambiances de rue et le
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basilique
et on termine par les mêmes
ambiances de rue avec les 4 mêmes
vers
qu’au début mais présentés .......................en guise de conclusion. On observe l’utilisation de la
...........................................(la fin du carillon correspond avec le début de la sonnerie du métro).
On remarque un long passage sur le marché qui permet de « faire le tour du monde » par
les.................................................., l’évocation des senteurs et du mélange social et racial.
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0
2
Histoire des Arts : les rapports entre le Slam et un art de rue :
LE GRAFFITI
Graffiti writing tags
« graffs » (Keymi)
Graffs sur le mur de Berlin
LE GRAFFITI : issu de la culture hip hop, signifie écrire, dessiner ou peindre sur des supports qui ne sont pas
prévus à cet effet (mur, porte, métro, camions, trains) au moyen de peinture aérosol, ou de marqueurs. Le graffiti
dans un lieu public est toujours condamné par la loi. Le graffiti, tel qu’on le connaît, apparaît à la fin des années
60 aux USA où des adolescents affichent leur nom sur les murs de leurs quartiers pauvres de New York : il s’agit
du « graffiti writing » qui rassemble des tags comme de simples signatures (une façon de s’affirmer, de prouver
son existence dans la société). Puis les tags vont être plus élaborés et colorés : ils vont devenir des « graffs ».
Keymi, graphiste clermontois, cherche à provoquer l’éternité, l’histoire, le souvenir, du moins le « non oubli ».
L’écrit étant pour lui, avec la pierre et les édifices, les seules preuves de notre passage sur terre... Le graffiti peut
être employé pour communiquer un message politique et social : ex. graffs sur les murs de Berlin. En 1980, le
graffiti entre dans le monde de l’art avec une 1ère exposition à New York.
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