Fragilité des modes de conduite des troupeaux de petits ruminants

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Fragilité des modes de conduite des troupeaux de
petits ruminants en zones de montagne.
Cas du bassin versant de l’Oued Lakhdar (Maroc)
M. Ibnelbachyr* et M. Mounsif**
*Institut National de la Recherche Agronomique, Centre Régional d’Errachidia (Maroc)
**Ecole Nationale d’Agriculture de Meknès, Meknès (Maroc)
e-mail : [email protected]
Résumé. L’élevage extensif en zone de montagne joue un rôle socio-économique important de source de
recettes et de protéines animales pour les populations locales. Cet élevage est fortement dépendant des
ressources naturelles à travers le support nutritionnel des animaux exploités. Cette dépendance est
perceptible au niveau du temps passé par le cheptel sur les terrains de pâturage. Les caprins séjournent en
moyenne 7,5 à 10 mois dans les forêts et les ovins exploitent les parcours collectifs 6 mois par an en
moyenne. En termes de bilan fourrager, les ressources alimentaires "gratuites" (parcours, chaumes et
jachères) couvrent en moyenne 72 et 96 % des besoins alimentaires respectivement pour les ovins et les
caprins. Cette forte dépendance du pâturage conjuguée à une faible productivité (12,7 kg/femelle
reproductrice/an pour les ovins et 8,9 kg/femelle reproductrice/an pour les caprins) est susceptible de
fragiliser davantage la stabilité de ces systèmes de production.
Mots-clés. Montagne – Petits ruminants – Système de production – Conduite – Productivité.
Weaknesses in sheep and goat flock control in mountain areas. The case of the Oued Lakhdar
watershed (Morocco)
Abstract. Extensive farming in mountain areas plays a social and economic role for the local people as a
source of income and animal protein. However, this production system is highly dependent on natural
resources through nutritional support of animals. This dependence is noticeable at the time that the
livestock spend grazing: from 7.5 to 10 months per year in the forests and rangelands for goats and six
months per year in the rangelands for the sheep. In terms of feed balance, "free" food supplies (forest,
rangelands, stubble and fallow) cover on average 72 and 96% respectively of food needs for sheep and
goats. This strong dependence on grazing coupled with low productivity (12.7 kg/reproductive female/year
for sheep and 8.9 kg/ reproductive female /year for goats) is likely to further weaken the stability of these
production systems.
Keywords. Mountain – Small ruminants – Production system – Herd control – Productivity.
I – Introduction
Le bassin versant de l’Oued Lakhdar est une zone de montagne située au centre du Haut Atlas
dans la Province d’Azilal et s’étend sur une superficie de 260 000 ha. Il appartient à l’étage
bioclimatique semi-aride à hiver froid, le climat est de type méditerranéen. L’activité principale
des populations est l’agriculture associée à l’élevage qui revêt un caractère important dans
l’économie des exploitations agricoles. L’état de dégradation des parcours met en cause les
pratiques des éleveurs à l’égard des ressources naturelles. Une intervention s’avère nécessaire
pour mieux gérer les ressources du milieu, en particulier les ressources sylvo-pastorales dans
une optique de rétablir l’équilibre écologique. Une telle intervention repose sur une
connaissance parfaite du milieu physique et humain, mais aussi sur une compréhension des
modes d’exploitation de l’espace par les populations locales.
Cette étude, réalisée entre 2000 et 2002, vient pour fournir aux décideurs des données
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sustainability in sheep and goat production systems
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actualisées sur les modes d’élevage dans la zone. Elle vise la mise en évidence des traits
généraux de l’élevage, l’établissement des bilans fourragers, la mise en évidence de l’état de
dépendance des troupeaux des ressources naturelles, la détermination des niveaux de
productivité des troupeaux, et enfin la proposition de voies d’amélioration.
II – Matériel et méthodes
L’étude a été réalisée dans les communes rurales d’Ait M’hamed, Ait Abbès et Ait Bououlli qui
couvrent l’essentiel du bassin versant de l’Oued Lakhdar, zone d’action du Projet Pilote
d’Aménagement du Bassin Versant de l’Oued Lakhdar. Un échantillon de 143 éleveurs, soit un
taux de sondage de 4,3%, a fait l’objet d’une investigation par questionnaire pour dégager les
caractéristiques techniques des exploitations agricoles afin d’établir une typologie. Les variables
étudiées sont relatives à la terre, le groupe familial, le cheptel animal, la complémentarité entre
les espaces agro-sylvo-pastoraux et la conduite des animaux. En plus, un suivi zootechnique a
été conduit au niveau de quelques élevages représentatifs pour approfondir la conduite
alimentaire et de reproduction et estimer les performances pondérales, les taux de réforme et
de renouvellement et de mortalité.
Les données collectées ont fait l’objet d’une ACP (Analyse en Composantes Principales) à
l’aide du logiciel STAT-ITCF. Les variables retenues, après étude des corrélations, sont : SAU
totale, importance de l’irrigué (% de la SAU), importance de la céréaliculture (% de la SAU),
importance des cultures fourragères (% de la SAU), importance de la jachère (% de la SAU),
nombre d’UGB bovines (Unité Gros Bétail), nombre d’UGB totales et disponibilité de la main
d’œuvre familiale (nombre d’Unité de Travail Humain/SAU).
III – Résultats et discussion
1. Typologie des exploitations étudiées
La typologie des exploitations agricoles étudiées a mis en évidence l’existence de 4 groupes qui
correspondent à 4 différents modes d’exploitation de l’espace :
(i) G1 : Des exploitations moyennes non irriguées (5 ha) à vocation céréalière associée à un
petit élevage essentiellement d’ovins. La taille moyenne des troupeaux bovin, ovin et caprin est
respectivement de 1, 18 et 10 têtes. Ce type représente 29% des exploitations étudiées.
(ii) G2 : Des exploitations grandes non irriguées (7 à 20 ha) à vocation céréalière associée à
un élevage important essentiellement d’ovins et caprins (30-40 têtes). Les principales
différences de ce groupe par rapport au premier sont la taille des troupeaux qui est relativement
élevée. Ce type représente 16%.
(iii) G3 : Des micro-exploitations irriguées (1,5 ha) à vocation céréaliculture-fourrage
associée à un élevage essentiellement bovin laitier. Les troupeaux ovins et caprins sont
constitués en moyenne d’une vingtaine de têtes. Ce type représente 37%.
(iv) G4 : Des petites exploitations en zones irriguées (3 ha) à vocation céréaliculturefourrage associée à un élevage mixte bovin et petits ruminants en extensif (40 ovins et 50
caprins en moyenne). Ce type représente 17%.
2. Conduite alimentaire des troupeaux
Les apports de la forêt constituent l’essentiel de l’alimentation des caprins chez tous les
groupes. Les troupeaux caprins passent sous les forêts en moyenne 7,5 à 8 mois par an chez
les groupes 1 et 2 et 9,5 à 10 mois par an chez les deux autres groupes. Cette légère différence
peut être expliquée par l’importance relative de la contribution des chaumes et jachères dans
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l’alimentation des caprins chez les éleveurs qui disposent de grandes superficies agricoles (G1
et G2). Les groupes 3 et 4 exercent une grande pression sur les terrains de parcours. Leurs
troupeaux ovins y passent 6 mois par an. Alors que les deux premiers groupes n’utilisent les
parcours collectifs que pendant 3 à 4 mois par an. En termes de contribution dans la couverture
des besoins alimentaires, les unités fourragères "gratuites" en dehors de la production ou
d’achat d’aliment couvrent en moyenne 72% des besoins des ovins et 96% de ceux des caprins
avec des différences entre groupes. Les aliments produits sur l’exploitation ou achetés
n’assurent que 28% des besoins totaux des troupeaux ovins. Ce niveau de couverture par la
supplémentation reste intermédiaire aux chiffres rapportés par Allam (1995), Taam (1997) et
Achbani (1997) et qui varient de 6 à 39%.
La paille est une ressource alimentaire utilisée par tous les éleveurs, surtout pour la
supplémentation des ovins en automne-hiver. La durée d’utilisation varie de 1 à 4 mois. Le foin
de luzerne est la forme d’utilisation dominante de la luzerne dans l’alimentation des animaux,
surtout les ovins en engraissement. Le recours à l’achat des aliments pour bétail est très peu
répondu chez tous les éleveurs.
Les grains (orge et seigle) sont les seuls aliments concentrés qui proviennent de l’exploitation
agricole. Leur utilisation ne concerne généralement que les ovins sur une durée de 1 à 3 mois.
Les brebis gestantes et allaitantes et les agneaux destinés à la vente sont les catégories
d’animaux qui peuvent recevoir ces deux aliments à la bergerie. Les quantités apportées ne
dépassent guère 0,25 kg/tête/j.
3. Conduite de la reproduction des troupeaux
La totalité des éleveurs enquêtés pratiquent un mode de lutte libre; les mâles restent en
permanence avec les femelles. Par conséquent, les naissances sont étalées sur toute l’année
avec toutefois une concentration entre octobre et juin. Deux pics de naissances peuvent être
mis en évidence; le premier en octobre-novembre (naissances précoces) et le deuxième en
mars-avril (naissances tardives). Dans la région de Zaouit Ahansal, El Hidaoui (1979) a signalé
aussi l’existence de deux saisons de chevrotage chez les caprins et qui s’étalent sur mars-avril
et août-septembre et une seule saison chez les ovins d’octobre à janvier. Cette pratique de lutte
libre nous a été justifiée par les éleveurs par le fait que les brebis et les chèvres peuvent mettre
bas une deuxième fois dans l’année et de la difficulté de séparer les géniteurs mâles du reste
du troupeau à un certain moment de l’année. Toutefois, plusieurs auteurs (Fares et Ghalim,
1982 ; El Ourak, 1995 ; Hassani, 1997 et Caïdi, 1995) ont signalé que la saison des luttes est
étalée de juillet à octobre chez la plupart des populations caprines locales.
Les taux de fertilité varient selon les groupes d’éleveurs entre 75 et 82% pour les ovins et entre
67 et 73 % pour les caprins. Ces taux sont nettement inférieurs aux chiffres rapportés dans le
Haut Atlas par Bourbouze (1981) (96%), Chami (1982) (86%) et Benjelloun et Boulanouar
(2007) (97%). Chez les caprins, la fertilité est de l’ordre de 70,5%. Ils restent intermédiaires par
rapport aux chiffres obtenus chez la chèvre noire de montagne dans le Haut Atlas et qui varient
de 61% (Jebari, 1988) à 99% (Bourbouze, 1981; Belhassan, 1976). Toutefois, la faiblesse
relative des taux de fertilité obtenus dans la présente étude semble être due aux conditions de
sécheresse qui a sévi dans la région pendant presque 4 années successives. Les caprins sont
les plus atteints par les effets de cette sécheresse du fait qu’ils ne reçoivent pas de la
suplémentation en périodes de disette alimentaire.
Les mortalités sont très fréquentes chez les jeunes animaux; le taux de mortalité est
respectivement de 16 et 18,3% chez les ovins et caprins de moins d’un an. Chez les adultes,
les taux de mortalités varient de 1,5 à 4,2% chez les ovins et de 2,5 à 3,9% chez les caprins.
Ces chiffres sont supérieurs aux valeurs rapportées par El Hidaoui (1979) (11%), Hachi (1990)
(15%) et Benlakhal et Tazi (1998) (17%) chez les chevreaux de moins d’un an. Par contre
d’autres auteurs (Hacib, 1994 ; Balafrej, 1999 ; Chami, 1982 ; Caïdi, 1995) ont signalé des taux
variant de 19 à 41%.
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4. Productivité pondérale
Les niveaux de productivité sont en moyenne de 12,7 kg/femelle reproductrice/an pour les ovins
et 8,9 kg/femelle reproductrice/an pour les caprins. Pour les ovins, ce chiffre est nettement
meilleur par rapport à ce qui a été signalé par Kabbali et Berger (1990) pour les écosystèmes
montagnards et arides (6,8 kg), mais reste inférieur aux valeurs rapportées par Benjelloun et
Boulanouar (2007) (17,9 kg). Pour les caprins, ce paramètre est en deçà des valeurs moyennes
retenus pour le Haut Atlas et qui sont de 8,6 à 14,7 kg (Direction d’Elevage, 1994).
5. Voies d’amélioration
La superposition du calendrier de reproduction au calendrier alimentaire met en évidence des
défaillances qui se résument à la coïncidence des périodes de besoins accrus en aliments avec
des périodes de disette alimentaire. Les voies d’amélioration reposent sur la supplémentation
des femelles et des jeunes pendant une période de l’année. Mais cette option est coûteuse et
n’est pas à la portée de tous les éleveurs. Il s’avère donc nécessaire d’adapter le cycle de
reproduction aux disponibilités alimentaires sur les parcours à travers le choix de saisons de
lutte bien définies. Cette deuxième option, malgré ses besoins supplémentaires en travail en
matière de gardiennage, d’alimentation et d’abreuvement des géniteurs en dehors des saisons
de lutte, reste tout de même peu coûteuse du fait que la main d’œuvre familiale n’est payée
directement comme les aliments achetés. En plus, son opportunité réside dans le fait que le
raccourcissement des périodes de lutte est pratiqué déjà par certains éleveurs, notamment
dans la commune des Ait Bououlli; les boucs sont retirés du troupeau à partir du mois d’avril et
ne le rejoignent qu’en octobre pour éviter les problèmes d’hypothermie et d’insuffisance
alimentaire chez les naissances d’hiver. Balafrej (1999) a rapporté que dans la région de
Chefchaouen les éleveurs attachent une sorte de poche en cuir ou en caoutchouc (‘’gouma’’) à
la partie inguinale du bouc pour l’empêcher de saillir les chèvres pendants les 3 à 4 mois après
mise-bas. De même, un rythme d’un agnelage par an a été testé à chez la population ovine dite
Rahalia à Ait Bougemaz et la race Sardi à Demnate (Azilal) par Benjelloun et Boulanouar
(2007) et a consisté à limiter la lutte à une seule période de l’année qui est respectivement maijuin et juillet-aôut. Cette technique a permis une meilleure organisation de la conduite et des
améliorations au niveau de la productivité des troupeaux. La technique de lutte contrôlée peut
être donc conseillée aux éleveurs de la zone d’étude.
Pour les ovins, la saison de lutte doit être située en novembre-décembre, de ce fait, la fin des
gestations coïncidera avec le début de la production des jachères et les naissances peuvent
bénéficier de la disponibilité de l’herbe disponible dans les champs cultivés et sur les jachères.
Les agneaux ainsi nés au printemps démarreront bien leur croissance grâce à l’amélioration de
la production laitière des brebis permise par disponibilité de l’herbe. Ils vont bénéficier par la
suite du pâturage des chaumes et peuvent être vendus immédiatement à un âge de 4 à 5 mois
ou finis dans des ateliers d’engraissement pendant le mois de septembre.
IV – Conclusion
L’élevage des petits ruminants au niveau du bassin versant de l’Oued Lakhdar, comme zone de
montagne repose essentiellement sur l’exploitation des terrains de parcours et des forêts. Deux
grands modes de conduite peuvent être mis en évidence. Un mode où l’élevage est intégré à
l’agriculture selon un système de production céréaliculture-élevage et un autre mode d’élevage
purement extensif où la contribution des parcours et forêts dans la couverture des besoins des
animaux est plus 82% pour les ovins et environ 98% pour les caprins.
Les niveaux de productivité des troupeaux ovins et caprins restent faibles. La productivité
annuelle de la femelle reproductrice est l’ordre de 12,7 kg de poids vif chez les ovins et 8,9 Kg
chez les caprins. Cette faiblesse semble traduire, d’une part, les faibles performances de
croissance de jeunes, et d’autre part, la répercussion de certaines pratiques des éleveurs (très
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peu de supplémentation, absence de sevrage, ventes précoces des agneaux et chevreaux non
finis).
Remerciements
Les auteurs remercient les cadres et agents du projet pilote d’aménagement du bassin versant
de l’Oued Lakhdar pour leur soutien logistique et leur facilitation du travail de terrain ainsi que
tout le personnel de la Direction Provincial d’Agriculture d’Azilal.
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