RAPPORT D’ATELIER « l’Industrie comme moteur du développement économique : comment mettre en œuvre la politique industrielle de l’Etat ? » PLAN - Expériences du succès de quelques pays développés - Bonnes pratiques et leçons apprises - Les conditions pour que Madagascar puisse se transformer en Etat développementiste - L’industrie comme moteur du développement économique de Madagascar - Les recommandations obtenues des travaux de commission ANNEXE Annexe: Les restitutions des travaux de commission Expériences du succès de quelques pays développés Allemagne - Les syndicats font partie intégrante de l'histoire du développement économique de l'Allemagne - Après 1945, les principes directeurs des syndicats en Allemagne se focalisent surtout sur 1) la représentation des travailleurs et la détermination des rémunérations 2) le non alignement politique 3) le financement autonome 4) l'organisation d'une manière démocratique 5) la conception par soi-même comme promoteur de l'ordre sociale et de la paix 6) l'accent sur la légalité - Les principaux rôles des syndicats en Allemagne après 1949 se traduisent par : 1) un partenariat social d'entente dans les affaires économiques, 2) une supervision mutuelle de l'Agence Fédérale du travail par les organisations des employeurs et le gouvernement - Les initiatives corporatistes entre le Gouvernement, les syndicats, les employeurs, et la banque centrale, à travers des "Actions concertées" et des "Alliances de travail", ont conduit aux succès des politiques industriels et à la bonne gestion des crises - Les relations industrielles en Allemagne sont basées sur des cultures de négociation et de coopération, un légalisme et une institutionnalisation de haut niveau, un arbitrage à travers un processus, et une importance accordée à l'ordre sociale et aux progrès collectifs. Singapour - La mondialisation a conduit à une vision selon laquelle chaque pays doit se spécialiser dans les domaines dont il dispose d'avantages comparatifs - L'avènement de la pensée néolibérale fait que le Gouvernement doit rester en dehors des affaires commerciales ; les efforts doivent se focaliser dans la libéralisation du marché, des investissements et du commerce ; la transformation structurelle de la production doit se faire naturellement par une croissance tirée par le marché ; - L'industrialisation est historiquement synonyme du succès d'un développement économique et d'une transformation structurelle - D'après les lois de Kaldor sur la croissance, le développement économique est lié directement à l'accroissement de la production et à l'amélioration de la productivité du travail. - Historiquement, il est survenu une émergence des secteurs non-manufacturiers tels que l'agro-technologie appliquée dans le secteur agricole, la haute productivité dans les services vendables (le transport, les T.I.C, les services financiers et commerciaux, ...) - Toutefois, malgré l'émergence des secteurs non-manufacturiers, la production manufacturière reste toujours inégalée et irremplaçable en matière de capacité d'absorption du travail, la production manufacturière est commercialement plus rentable que les services. - 1 - - Le changement structurel de l'économie asiatique est basé sur la doctrine néo-classique, selon laquelle le développement économique est conduit par l'ouverture commerciale et la spécialisation tenant compte des avantages comparatifs du pays (les enjeux de l'allocation des facteurs de production). - Singapour est une petite économie ouverte avec une demande extérieure qui s'élève à 71,6% de l'ensemble des demandes du pays. - La transformation structurelle de l'économie de Singapour a conduit à une diversification économique et le secteur manufacturier tient la première place avec 27,8% du PIB en 2005. - Le secteur manufacturier s'est lui même diversifié et "l'électronique" domine avec 31% des valeurs ajoutées en 2004 et 27% en 2014. - La manufacture tient une très grande place dans l'économie de Singapour et le Gouvernement le soulève incessamment à travers des défisdans les documents de politique - Singapour a été initialement une économie pauvre, politiquement instable, et économiquement non compétitive. - "L'EconomicDevelopmentBoard" a été mis en place en 1961 et a comme fonctions-clés la promotion de l'investissement, le financement de l'Industrie à travers des crédits à taux préférentiels, et le développement industriel. - Un conseil pour l'éducation technique et professionnelle a été instauré en 1978 pour assurer le lien entre la politique industrielle, l'éducation et la formation professionnelle. Le conseil garantit la répartition de la force de travail dans tous les besoins de l'économie. Maurice - L’économie de l’île Maurice est une économie en croissance qui a commencée par la culture sucrière dans les années 1970, s’est étendue par l’avènement des industries sucrières, textiles, et tourisme vers les années 1980, s’est transféré dans le commerce de services (TICBPO, services financiers, …), et actuellement (courant 2014) entame des innovations orientées vers l’éducation, la stratégie africaine, l’énergie renouvelable, le développement immobilier, la santé et la science de la vie. - L’environnement économique de l’île Maurice fait de ce pays une destination privilégiée et très attractive pour les investisseurs. On peut citer, en effet, les procédures d’ouverture d’une société qui sont très allégées, pouvant s’effectuer en une journée, la fiscalité allégée avec un taux unique de 15% pour les impôts des sociétés et impôts sur le revenu, l’inexistence d’impôt sur les gains en capital, la circulation libre des capitaux, l’acquisition de propriété foncière possible pour les non-citoyens, …. - La politique économique du pays bénéficie d’un soutien important de la part du gouvernement. On peut citer, entres autres, le régime fiscal très compétitif, le régime spécial de remboursement pour les PME (encouragement des PME à participer à des foires internationales grâce à des soutiens financiers), la tarification préférentielle des couts de l’électricité (économies allant jusqu’à 50% pour les entreprises du secteur TIC-BPO), …. - 2 - - Le capital humain de l’île Maurice est très actif, talentueux, bilingue et rentable grâce à des efforts surprenants dans l’éducation. En effet, le niveau pédagogique du pays est reflété dans l’accroissement exponentiel du nombre des diplômés. La maitrise parfaite de l’Anglais et du Français, ainsi que l’affinité aux cultures internationales, offre une capacité d’adaptation surprenante, ainsi qu’une efficacité accrue des ressources humaines du pays. - L’économie du pays a su s’adapter aux contextes économiques mondiaux, et a su profiter des opportunités et avantages dont le pays dispose. Actuellement, l’île Maurice tient une place importante dans le système économique mondiale, grâce à la spécialisation dans le commerce de service TIC-BPO. - Le système législatif de l’île Maurice est assez robuste pour l’investissement grâce à la sécurité et la protection de la propriété intellectuelle Bonnes pratiques et leçons apprises: - Tous les acteurs économiques du pays devraient être convaincus de la nécessité d’un changement radical et ainsi avoir une vision commune des transformations à entreprendre. En effet, le développement du secteur industriel devrait s’accompagner d’un patriotisme et relever d’une affaire nationale ; - L’économie de Madagascar devrait se tourner davantage vers la production et l’exportation de biens tout en considérant les avantages comparatifs que le pays dispose ; - La manufacture, plus précisément l’Industrie est le secteur qui dispose du plus grand potentiel pour tirer la croissance et le développement d’un pays. En effet, d’après les expériences des pays développés, tout développement doit passer par une promotion industrielle ; - Le changement structurel de la production devrait s’opérer tout en considérant l’ouverture du pays, la demande intérieure et extérieure, ainsi que le principe de spécialisation et d’avantages comparatifs ; - Le partenariat entre l’Etat et le secteur privé est une formule gagnante et garant de l’efficacité des politiques économiques adoptées ; - Les négociations et dialogues entre l’Etat et le secteur privé, dans le respect total de la légalité et le principe « gagnant-gagnant », devraient servir de référence dans les prises de décisions d’ordre économiques ; - Compte tenu de la nécessité d’une stabilité politique pour le développement du pays, la continuité de l’Etat est souhaitable et même vivement recommandée (considération et capitalisation des réalisations des régimes précédentes en matière de politiques économiques) ; - Le système éducatif de Madagascar devrait s’adapter à la structure économique du pays pour que le capital humain soit efficace et adéquat à la politique économique adoptée et à la - 3 - structure de croissance choisie (investir davantage dans la spécialisation sectorielle et la professionnalisation). Les conditions pour que Madagascar puisse se transformer en Etat développementiste : Divers facteurs permettent de dire que Madagascar est encore actuellement un Etat faible postcolonial. Toutefois, pour que le pays puisse se transformer en Etat développementiste, les actions suivantes doivent être entreprises : transformer le "chef et patron politique" en "élite politique visionnaire et prodéveloppement" transformer le "bureaucrate" en "manager public compétent, efficace et efficient" transformer le "secteur privé frileux" en "secteur privé dynamique et entrepreneurial" transformer la "connivence" en "alliance pour le développement" transformer la "culture procédurière" en "culture de performance et de résultat" - Pour que le changement soit effectif et efficace, son pilotage doit parvenir à la fois du sommet vers le bas et la base vers le haut (initiatives mutuelles basées sur des coopérations entre le secteur public et le privé) L’industrie comme moteur du développement économique de Madagascar : Selon la loi de Kaldor sur la croissance, l’Industrie est un facteur déterminant du développement économique d’un pays. D’après une étude effectuée par le CREAM, une relation d’équilibre de long terme entre le secteur industriel et la croissance économique existe pour le cas de Madagascar. Il est également important de souligner que la relation de causalité entre les deux variables est bidirectionnelle. En d’autres termes, la croissance économique favorise le développement industriel et l’industrie, à son tour, peut influer sur la croissance économique du pays. Les contraintes du développement de l’Industrie à Madagascar peut se résumer par : - les crises politiques cycliques pénalisant la continuité des politiques économiques entamées la fragilité de la croissance économique l’absence de vision commune entre l’Etat et le secteur privé concernant le développement de l’industrie Les recommandations pour que l’Etat puisse jouer un rôle proactif sont les suivantes : - L’Etat devrait mettre en place uncadre réglementaire pour remédier aux défaillances du marché et aux défaillances de coordination des politiques ; L’Etat devrait assurer un rôle d’informateur et de guide du secteur privé dans l’identification de nouveaux secteurs susceptibles de profiter à l’économie du pays ; - 4 - - - - L’Etat devrait assurer le rôle de catalyseur de développement de nouvelles industries par la création d’incubateurs d’entreprises et/ou l’instauration de mesures incitatives favorisant la compétitivité et l’attractivité du pays face aux investisseurs nationaux et étrangers ; L’Etat devrait privilégier le dialogue avec le secteur industriel et les investisseurs lors de l’adoption de stratégies et politiques économiques, plus particulièrement dans le secteur industrie ; L’Etat devrait garantir néanmoins une stabilité économique motivée par une volonté politique ferme de faire de l’industrie son moteur principal de développement économique. Les recommandations obtenues des travaux de commission : En vue d’instaurer un environnement concurrentiel équilibré et impartial, il convient de prendre les dispositifs suivants : - Par rapport à la concurrence déloyale, il convient d’instaurer un système de triage des importateurs et d’opérationnaliser le conseil de la concurrence ; Il convient également de renforcer le contrôle à tous les niveaux, à savoir : le contrôle des ventes sans factures, le contrôle à la frontière de tous les produits importés, le contrôle des normes et qualités, le contrôle physique des conteneurs ainsi que leurs pays d’origine. En vue de disposer des ressources humaines adaptées aux besoins de l’industrie, les actions suivantes sont à préconiser : - Adapter les formations académiques aux besoins de l’économie en général et du secteur industriel en particulier ; Développer les formations de type « professionnelle » ; Valoriser les compétences ouvrières et certifier chaque potentialité. En vue de disposer des ressources financières nécessaires au développement de l’Industrie, il convient d’entreprendre les actions suivantes : - - Au niveau du financement, ont été préconisés comme actions à court termes toutes formes d’incitation des banques commerciales à allouer une partie importante de leurs fonds aux crédits à longs termes. Il convient également d’accompagner les banques dans la gestion des risques en renforçant les fonds de garantie ; A moyen terme, la création de fonds propres à l’entreprenariat et l’allocation de fonds de développement industriel, avec la contribution de tous les acteurs du secteur ont été évoquées ; A long terme, la mise en place d’une banque de développement, accompagné de gestion et de gouvernance sérieuse est indispensable pour garantir l’expansion du secteur privé en général, et dans un même élan, le secteur industriel. - 5 - En vue de disposer d’un système fiscal propice au développement industriel, les actions suivantes doivent être entreprises : - Assurer la stabilité du régime fiscal pour sécuriser les investisseurs ; Fixer un maximal de 30% pour la pression de taxe pour les entreprises ; Proposer des taux de taxation différents selon la nature des activités des entreprises ; Mettre en place des taxes sur la publicité des produits importés qui concurrencent les produits locaux ; Exonérer les biens d’équipement et les matières premières à la frontière ; Stabiliser la taxation des produits semi-finis importés afin de garder la compétitivité des industries locales (exemple : bondillons de savon à 20%). En vue de tisser une relation industrielle adaptée aux contextes du pays, ils conviennent à court terme de : - Formaliser le Dialogue entre le secteur public et le secteur privé par un « Acte réglementaire » (Décret sur le Dialogue Public-Privé) ; Etablir les règles selon lesquelles les décisions prises au niveau du Comité de Pilotage doivent être publiées et exécutées par qui de droit. - 6 - ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION Groupe 1 : Problèmes concurrence déloyale importation des produits finis: n'importe qui importe des produits ex: boissons alcoolisés ils sont en dehors des normes, vente sans facture vente sans facture les informels sont toujours compétitifs gasynet: juste contrôle documentaire fausses déclarations des opérateurs au niveau de la douane importation massive des produits concurrençant les produits locaux sans apport de valeur ajoutée, sans création d'emploi…… Recommandations triage des importateurs instaurer un système de licence : ref de la société: NIF, stat opérationnalisation effective du conseil de la concurrence un statut particulier pour les vrais importateurs professionnaliser les commercants traitement égalitaire pour tous les industriels pénaliser les grossistes qui vendent des produits sans facture contrôle à la frontière de tous les produits importés par les administrations concernées appliquer les arretés de contrôle de norme et qualité contrôle physique des conteneurs aussi dans les pays d'origine dénoncer au nom du SIM s'il y a des produits hors norme sur le marché l'administration devrait réagir après dénonciation d'un acte frauduleux relier les producteurs des matières premières et les industriels reduction ou exemption des droits de douanes des matières premières importées par les industriels mettre en place un cadre juridique approprié: ex: min, santé - commerce application des textes existants i ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION Groupe 2 : Ressources humaines (création d’une classe entrepreneuriale nationale malagasy, système de formation professionnelle adapté aux besoins de l’Industrie, etc…) Problématique Solution Manque de dialogue entre l’Etat chargé de la formation et le secteur privé utilisateur Instaurer ce dialogue systématiquement, mise en place d’un comité paritaire permanent (état, secteur privée, établissement de formation) Adapté les formations académiques au besoin Capacité de détermination de besoin en technique et en management Adapté les formations académiques au besoin industriel Manque des mesures incitatives pour la création d’emploi aménagement du code de l’emploi Manque d’éducation ouvrière et civisme Formation professionnelle Manque de formation professionnelle Essayer de trouver des points d’ententes au niveau des formations Pas d’apprentissage Partage de formation technique et professionnelle Y pas de suivi des ouvriers spécialisés Valorisation de compétence et certification de chaque potentialité Insuffisance de budget ministériel Multiplier les budgets et essayer de balancer selon les besoins Problème de financement de la formation professionnelle 3P avec assortit des allégements fiscaux Manque de culture entrepreneuriale Education de base adaptée à la formation Manque de main d’œuvre qualité au niveau de la région Adaptation à la réalité locale et régionale Code de création de l’emploi ii ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION GROUPE 3 : financement (création d’une banque de développement,…) ANIMATRICE : Mme Ranaivo Rakotoarisaina De Manatoa Zafimanga PSDT DE GRP : Mr Ranjeev Types de financement nécessaire pour les entreprises BESOINS EN FINANCEMENT OBSTACLES PROPOSITIONS DE SOLUTIONS PRIORISATION Fonds propres Insuffisance de fonds propres Crédit mutuel MT Chambre d’arbitrage non opérationnel Mettre en place des arbitres spécialisés pour les industries Quasi fonds propres Pas suffisamment de société de capital risque Création de fonds propres MT à l’entreprenariat (par l’Etat ou par le secteur privé Dettes à MLT Difficulté d’accès aux crédits à Long terme du fait de l’insuffisance de garantie -Inciter les banques à consacrer un certain montant de leurs ressources aux prêts à LT. CT -Accompagner les banques dans la gestion des risques en renforçant les fonds de garanties Dettes à CT Avec un taux élevé Bonification des taux CT Accès au financement pour la création des entreprises Absence de banque de développement Création de banque de développement LT Fonds de développement industriel Absence de fonds Création d’un fonds de développement industriel (contribution de tous les acteurs du secteur) Moyen et Long terme iii ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION Groupe 4 : FISCALITES Thèmes : 1) Incitations fiscales Problèmes/situations Propositions/observations Pertes pour l’Etat ou gain Stabilité du régime fiscal Taux de Pression fiscale total acceptable pour les industries Pression de taxe maximale de 30% pour l’entreprise (taxe directe et indirecte) mais en général 11% pour l’ensemble du pays Proposer : taux différents selon la nature des activités des entreprises : IR 20% TVA 20% IRSA 20 Impôt synthétique 5% - qui veulent réinvestir qui existent déjà qui veulent s’installer qui utilisent les matières premières locales - qui investissent dans les formations professionnelles continues déduire du résultat avant impôt IR Intermittent DA sur produits alcooliques et cigarettes (13% pour cas de STAR) Application IS en place de lR Concertation préalable avant toute prise de décisions importantes (Loi de Finances, application de décret et lois) Installer des surveillants du fisc pour contrôler quotidiennement dans les usines Gestion rationnelle des fréquences de contrôles fiscaux Réduire le taux à 5% la TVA sur les PPN Taxe sur la publicité des produits importés qui concurrencent les produits locaux iv ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION 2) Régime douanier 3) Protection des industries - Exonération sur les biens d’équipements et matières premières - Stabilité de taxations des produits semi-finis pour garder la compétitivité des industries locales (exemple : bondillons de savon à 20%) - Application du circuit vert pour les importations des industries qui présentent les garanties fiscales et douanières - Contrôle des valeurs des produits importés (sous facturation) Application stricte des normes et lois sur étiquetages Surveillance des ports secondaires Mise à jour de la liste des produits sensibles (manufacturés à Madagascar) Augmentation de la taxation des produits finis qui concurrencent les produits locaux pendant un temps déterminé selon Accord OMC Défiscalisation du GO utilisé dans la production industrielle Remarque : Régime fiscal seulement dans le CGI pas dans le code de l’Industrie v ANNEXE: LES RESTITUTIONS DES TRAVAUX DE COMMISSION Groupe 5 : GESTION DES RELATIONS INDUSTRIELLES (dialogue Etat-secteur privé) PROBLEMATIQUES RECOMMANDATIONS TIMING Développer le dialogue PP Formaliser le dialogue PP par un acte règlementaire (décret sur DPP) A court terme L’application des décisions prises par le comité de pilotage Les décisions prises au niveau du Comité de Pilotage doivent être exécutées par qui de droit. A court terme Les décisions doivent être publiées En cas de désaccord Soumettre le dossier à la plateforme A court terme Les modalités de prise de décision du Comité de Pilotage A définir (Vote, consensus,…..) A court terme vi