LA MÉSOTHERAPIE Nouvelle technique d’injection mise au point pas PISTOR il ya quelques années, celle-ci dépasse largement le traitement esthétique de la cellulite bien connue du public. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un traitement injecté dans le mésoderme, zone cutanée située entre l’épiderme et le derme par un système d’aiguilles extrêmement fines autrefois placées sur un multiinjecteur de plusieurs aiguilles, actuellement pour des raisons de stérilité, aiguille unique que l’on déplace à une certaine vitesse en plusieurs points de la zone à traiter. C’est l’appareil locomoteur qui en est le grand bénéficiaire ainsi que la colonne vertébrale avec toutes ses zones de contractures paravertébrales. Un mélange de plusieurs produits dosés au dixième de cc (donc très peu dosés !) est administré dans la zone douloureuse en quelques points d’injection superficiels (donc rien de comparable avec les intra articulaires plus profondes et utilisant souvent les dérivés cortisonés abîmant les surfaces articulaires). Ces produits sont principalement des vasodilatateurs, antiinflammatoires, décontracturant, mélangés entre eux et dilués dans de la porcelaine afin d’enrayer les phénomènes inflammatoires et de contractures réflexe inérant à la douleur de la pathologie sous-jacente. Sauf réaction allergique à un des composants (réaction le plus souvent d’intolérance, parfois générale), ces produits sont parfaitement inoffensifs et peuvent être utilisés régulièrement sans craindre de léser l’articulation ou les tendons avoisinant contrairement à la cortisone. Dans les pathologies aiguës, 3 à 5 séances viennent rapidement à bout de la douleur. Les affections chroniques, elles, bénéficient largement de massages et traitements de physiothérapie en plus du soin mésothérapique, permettant de remettre les produits injectés en circulation et de renforcer l’effet antidouleur tout en espaçant le rythme des séances. Le petit désavantage de la méthode est surtout d'ordre esthétique puisque de légers hématomes sont inévitables … Le grand avantage est de pouvoir assez rapidement réduire les doses orales d'antiinflammatoires ou d'antidouleurs le mal étant soulagé localement. Les indications sont innombrables, vous l'aurez compris : - Lumbagos, sciatiques légères cervicalgies, contractures paravertébrales … - Entorses de la cheville, du poignet, … - Epaules douloureuses, périarthrite scapulo-humérale, périarthrite de la hanche - Arthrose des doigts, des genoux, … - Maladie de DUPUYTREN de la main - Déchirures musculaires tendinites etc … QU’EST-CE QUE L’HOMÉOPATHIE ? Celle-ci s'intéresse à l'individu dans son entièreté, avec l'ensemble de ses maux tant physiques que mentaux, afin de construire un tableau personnalisé correspondant à son terrain. L'homéopathe lui administrera, selon la loi des semblables, un remède unique (homéopathie uniciste) à dose infinitésimale (c-à-d dilué et dynamisé) afin de restituer la force vitale du patient et le rendre plus résistant aux maladies et aux agressions extérieures. Hahnemann s'est en effet aperçu qu'en diluant les médicaments, non seulement il évitait certains effets secondaires, mais qu'il en augmentait la puissance thérapeutique pour autant que le médecin prescrive selon la loi des semblables ! Ainsi, contrairement à l'allopathie pour laquelle le médecin va prescrire un médicament agissant contre un agresseur afin d'éliminer celui-ci (la liste des médicaments "anti" est d'ailleurs longue : antibiotiques, antiinflammatoires, antispasmodiques etc …) l'homéopathie va traiter la susceptibilité du patient à tomber malade dans telle situation (tout le monde n'attrape pas la grippe ; certaines personnes font des complications surinfectueuses alors que d'autres sont des porteurs sains de bactéries !) Pour appliquer la loi de similitude, le médecin prescrit une substance susceptible chez le sujet sain de provoquer les mêmes symptômes que chez le malade. Le fait de s'intéresser à l'homéopathie ne signifie pas pour autant abandonner les principes de la médecine officielle dans les cas lésionnels majeurs et les méthodes de diagnostics cliniques et paracliniques (examens complémentaires) restent indispensables. Une brochure plus détaillée est à votre disposition à la consultation. N'hésitez pas à la demander !