Collège National de Pharmacologie Médicale (CNPM)

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Collège National de Pharmacologie Médicale
(CNPM)
Ex AEPFM - Association loi 1901 (J.O. du 15 février 1983), Transfert déclaré à la Préfecture de Police de Paris
sous le n° 20010047, le 24 Octobre 2001. Changement de titre et transfert déclaré à la Préfecture de Police
de Lille sous le n°W751151512, le 18 septembre 2008
Correction des QCM tests, formation DPC Nantes 23 & 24/11/2016
Variabilité de la réponse aux médicaments (C. Verstuyft)
1.
La prise de rifampicine
A. Une baisse de l’absorption intestinale d’autres médicaments
B. Ne augmentation de l’absorption intestinale d’autres médicaments
C. L’augmentation du métabolisme hépatique d’autres médicaments
D. Une baisse du métabolisme hépatique d’autres médicaments
E. Une augmentation du passage intestinale de façon passive
Méthodologie des essais cliniques (D Deplanque)
2.
Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ?
A. Les méthodologies en groupes parallèles ou croisés peuvent être utilisées indifféremment.
B. La plupart des critères intermédiaires peuvent être considérés comme des critères de substitution
C. Le choix d'un traitement de référence peut être difficile dans de nombreuses situations
D. La rédaction d'un plan d'analyse statistique est impérative avant la réalisation de l'analyse
E. Les analyses en sous-groupes sont le plus souvent d'un intérêt majeur
Apport de la pharmacodynamie à l’utilisation thérapeutique (JL Cracowski)
3.
Quel(s) paramètre(s) permet(tent) de quantifier la puissance d’un médicament agoniste d’un récepteur
couplé aux protéines G dans une préparation expérimentale de type organe isolé?
A. L’EC 50
B. L’Emax
C. l’IC 50
D. Le Kd
E. Le Ki
Apport de la Pharmacocinétique au STP (F. Stanke)
4.
A propos des paramètres pharmacocinétiques, quelles sont les propositions exactes
A. Le volume de distribution est le volume physiologique dans lequel se répartit la totalité de la dose de
médicament pour que sa concentration plasmatique soit égale à sa concentration tissulaire.
B. La demi-vie d’élimination d’un médicament est fonction de son volume de distribution.
C. La clairance rénale des médicaments est généralement augmentée chez la femme enceinte.
D. Le suivi thérapeutique pharmacologique d’un médicament consiste en la mesure systématique de sa
concentration maximale.
E. Lors d’administrations réitérées d’un médicament, sa dose d’entretien est égale au produit de sa
concentration plasmatique cible par sa clairance.
Collège National de Pharmacologie Médicale
(CNPM)
Ex AEPFM - Association loi 1901 (J.O. du 15 février 1983), Transfert déclaré à la Préfecture de Police de Paris
sous le n° 20010047, le 24 Octobre 2001. Changement de titre et transfert déclaré à la Préfecture de Police
de Lille sous le n°W751151512, le 18 septembre 2008
De la Pharmacovigilance à la pharmacoépidémiologie (A Pariente)
5.
A propos de la pharmacovigilance et de la pharmaco-épidémiologie
A. la pharmacovigilance est inégalée en termes de détection de signaux
B. Affectée par un phénomène de sous-notification et par l’absence de groupe de comparaison
adéquat, la pharmacovigilance ne peut quantifier les risques associés à l’utilisation du médicament
C. La pharmaco-épidémiologie complète utilement la pharmacovigilance par la réalisation d’études
d’utilisation du médicament
D. La pharmaco-épidémiologie permet la quantification des risques associés au mésusage du
médicament
E. Pharmacovigilance et pharmaco-épidémiologie ne peuvent être exercées conjointement
Médicaments et SNC (R Bordet)
6.
A propos des médicaments du système nerveux central, quelles sont les réponses exactes
A. Les antidépresseurs effectuent principalement leurs effets sur la tristesse de l'humeur
B. L'effet neuroleptique est un effet indésirable des antipsychotiques
C. Les antidépresseurs peuvent être utilisés dans le trouble anxieux
D. Les antiépileptiques ne peuvent être utiles que dans l'épilepsie
E. Le baclofène dispose d'une AMM dans la prise en charge de la dépendance à l'alcool
Médicaments et système cardio-vasculaire (J Alexandre)
7.
À propos des médicaments anti-arythmiques :
A. Les anti-arythmiques de classe III de la classification de Vaughan-Williams peuvent entraîner des
allongements de l’espace QT.
B. Les inhibiteurs calciques de type « non-dihydropyridines » appartiennent à la classe IV de la
classification de Vaughan-Williams.
C. Les anti-arythmiques de classe I de la classification de Vaughan-Williams sont recommandés pour
prévenir les troubles du rythme après infarctus du myocarde.
D. L’amiodarone possède une demi-vie très courte.
E. L’amiodarone est pourvoyeuse de nombreux effets indésirables.
Médicaments et système immunitaire (P Marquet)
8.
A propos des médicaments immunosuppresseurs :
A. Les traitements de maintenance actuels comportent le plus souvent un inhibiteur de mTOR et un
antimétabolite
B. Les infections et les cancers sont des effets indésirables spécifiques des inhibiteurs de la calcineurine
C. Les inhibiteurs de la calcineurine ciblent le signal 1 de l’activation des lymphocytes T
D. Le belatacept cible le signal 4
E. Le basiliximab cible le signal 2
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