Mise en page 1 - Grand Chahut Collectif

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Tract des amis du journal lundi:Mise en page 1 03/05/10 16:33 Page1
epuis 26 numéros, et une bonne douzaine d’années, le journal Les Allumés du Jazz rythme la vie musicale française largement au-delà des contours
convenus des esthétiques définitivement établies. Nous fuyons depuis longtemps le mundillo maudit, ce mal franco-français du jazz jazzo-jazzistique.
D
epuis 26 numéros, et une bonne douzaine d’années, le journal Les Allumés du Jazz rythme la vie musicale française largement au-delà des contours
convenus des esthétiques définitivement établies. Nous fuyons depuis longtemps le mundillo maudit, ce mal franco-français du jazz jazzo-jazzistique.
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Conçu au départ comme un outil de communication au service des labels de jazz indépendants, il s’est vite métamorphosé en journal atypique, au service
de la musique et de ses amoureux, qu’ils soient platoniques, diatoniques, chromatiques ou dodécaphoniques. On y parle de musique… Et donc de musiciens,
d’histoire, de pensée musicale, de philosophie, de temps, de composition, de swing, de groove, de son, de rap, de mood, de mode, de mad, de cinéma, de
polar, de production, de politique, de journalisme, de littérature, de religion, de photographie, d’identités internationales, des Amériques, Afriques, Asies, Australies,
Europe (le seul continent à ne pas commencer par un A), d’arts plastiques, des musiques du Monde, des extra-terrestres, de nature, de jazz, de surnaturel,
de cuisine, d’improvisation, de sciences, de bandes dessinées, de poésie…
Le journal est gratuit, et ce depuis le départ. Mieux encore, l’abonnement est offert ! Cela n’est ni neutre, ni « gratuit »… C’est une prise de position assumée
sur la diffusion de la culture et du savoir, sur la liberté d’expression, sur la musique et sur l’art en général.
Certes, tout a un coût et chaque chose a son prix… Et même ce journal, c’est certain… Mais nous avons fait collectivement le choix de proposer un espace
d’expression aux musiciens, producteurs, mélomanes, diffuseurs, penseurs de la musique et autres bavards impénitents, qui soit accessible à tout lecteur.
Le journal est financé par le budget propre des Allumés du jazz (pourcentage sur les ventes de CD, adhésion des labels…) et aussi surtout par des subventions
diverses (Ministère de la Culture, Sacem, CNV…). La rédaction et une partie de la diffusion sont « militantes ».
La situation économique lamentable de l’édition phonographique, celle, déplorable, de la presse, l’évolution abyssale de l’intervention de l’Etat, la crise
cosmique de l’économie mondiale et celle, pénible, de la cinquantaine - sans Rollex - pour certains d’entre nous, celle, à peine moins difficile, bien que
plus longue, de la sortie de l’adolescence, également nommée « crise de la quarantaine », celle de l’adolescence qui la précède de peu, et celle de la peur
de la sénilité, par nature précoce… Toutes ces crises, aussi concomitantes que virulentes, posent à terme le problème de la pérennité de cette publication.
Conçu au départ comme un outil de communication au service des labels de jazz indépendants, il s’est vite métamorphosé en journal atypique, au service
de la musique et de ses amoureux, qu’ils soient platoniques, diatoniques, chromatiques ou dodécaphoniques. On y parle de musique… Et donc de musiciens,
d’histoire, de pensée musicale, de philosophie, de temps, de composition, de swing, de groove, de son, de rap, de mood, de mode, de mad, de cinéma, de
polar, de production, de politique, de journalisme, de littérature, de religion, de photographie, d’identités internationales, des Amériques, Afriques, Asies, Australies,
Europe (le seul continent à ne pas commencer par un A), d’arts plastiques, des musiques du Monde, des extra-terrestres, de nature, de jazz, de surnaturel,
de cuisine, d’improvisation, de sciences, de bandes dessinées, de poésie…
Le journal est gratuit, et ce depuis le départ. Mieux encore, l’abonnement est offert ! Cela n’est ni neutre, ni « gratuit »… C’est une prise de position assumée
sur la diffusion de la culture et du savoir, sur la liberté d’expression, sur la musique et sur l’art en général.
Certes, tout a un coût et chaque chose a son prix… Et même ce journal, c’est certain… Mais nous avons fait collectivement le choix de proposer un espace
d’expression aux musiciens, producteurs, mélomanes, diffuseurs, penseurs de la musique et autres bavards impénitents, qui soit accessible à tout lecteur.
Le journal est financé par le budget propre des Allumés du jazz (pourcentage sur les ventes de CD, adhésion des labels…) et aussi surtout par des subventions
diverses (Ministère de la Culture, Sacem, CNV…). La rédaction et une partie de la diffusion sont « militantes ».
La situation économique lamentable de l’édition phonographique, celle, déplorable, de la presse, l’évolution abyssale de l’intervention de l’Etat, la crise
cosmique de l’économie mondiale et celle, pénible, de la cinquantaine - sans Rollex - pour certains d’entre nous, celle, à peine moins difficile, bien que
plus longue, de la sortie de l’adolescence, également nommée « crise de la quarantaine », celle de l’adolescence qui la précède de peu, et celle de la peur
de la sénilité, par nature précoce… Toutes ces crises, aussi concomitantes que virulentes, posent à terme le problème de la pérennité de cette publication.
Nous sommes donc aujourd’hui face à un dilemme. L’économie nous imposerait de basculer vers un journal payant - ou financé en partie par de la publicité avec toutes les contraintes, y compris éditoriales que cela comporte ; nos convictions exigent que nous conservions la gratuité et la liberté de ton que nous aimons…
Nous avons imaginé une possibilité : une démarche associative, combinant - selon les souhaits et possibilités de chacun - soutien financier, adhésion et affirmation
d’un intérêt particulier pour ce journal, actions, propositions, échanges d’idées, rencontres, et plus si affinités…
Nous sommes donc aujourd’hui face à un dilemme. L’économie nous imposerait de basculer vers un journal payant - ou financé en partie par de la publicité avec toutes les contraintes, y compris éditoriales que cela comporte ; nos convictions exigent que nous conservions la gratuité et la liberté de ton que nous aimons…
Nous avons imaginé une possibilité : une démarche associative, combinant - selon les souhaits et possibilités de chacun - soutien financier, adhésion et affirmation
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Nous vous proposons d’adhérer à « l’Association Des Amis Du Journal Les Allumés Du Jazz » : l’ADADJLADJ.
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En adhérant à l’ADADJLADJ, amis lecteurs, vous pourrez soutenir notre démarche et permettre à tous ceux qui le désirent de recevoir le journal gratuitement.
Vous contribuerez, si vous le souhaitez, à la diffusion du journal dans votre entourage. Vous pourrez aussi devenir un « lecteur actif » en vous associant
à la rédaction, en proposant des thèmes, des idées d’articles, des commentaires, en donnant des avis…
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De plus, en apprenant simplement à prononcer correctement notre nom, vous perfectionnerez votre diction, prendrez de l’assurance dans toutes les situations
difficiles de la vie (mariage, divorce, enterrements, entretien d’embauche, interview…) et affirmerez avec nous et avec force votre refus permanent de toute
facilité gratuite.
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difficiles de la vie (mariage, divorce, enterrements, entretien d’embauche, interview…) et affirmerez avec nous et avec force votre refus permanent de
toute facilité gratuite.
SAUVONS notre journal commun AVANT qu’il ne soit menacé ! ADHÉRONS À l’ADADJLADJ !
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