Concours poèmes 11 à 15 ans

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Poèmes sur le thème de L’arbre
Catégorie
Jeunes de 11 à 15 ans
Concours
du 1er septembre 2016 au 18 février 2017
Un écureuil mangeait
Des noisettes
Dans un châtaignier.
Maxime Deloince, 13 ans
L'arbre et Ève
Le serpent la tentait,
Dans la pomme elle mordait.
Ce qu'on oublie de dire
C'est que l'arbre riposta :
« Mes beaux fruits! Laisse-les mûrir!
Elles sont vertes, ne les croque pas!
Si tu les cueilles,
Tu ne pourras pas les appréciée.
Si tu les cueilles,
Tu ne sauras pas le mal que je me suis donné. »
À ces mots Ève regarda le serpent.
Elle était tentée par la pomme,
Mais elle devait respecter son serment.
Elle décida de faire un somme.
Lui apparurent Adam et le serpent.
Adam lui parlait, le serpent la tentait :
« Ne la mange pas ! -Si, son goût est succulent !
C’est du poison ! -Son goût est sucré à souhait ! »
Le lendemain, c’est l’arbre qui trancha :
« Tu peux manger mes pommes
Mais ceci dit honte à toi
Tu iras rejoindre les hommes
Et tu seras bannie
Pour une pomme, c’est cela,
Pour une pomme, oui,
Le serpent te tenta,
Tu lui as résisté,
Continue comme cela,
Tu seras épargnée. »
Mais Ève la croqua.
Morgane Cordier, 12 ans
L’art-bre
Âme, beauté de l’arbre qui s’exclame.
Râle du vent qui file dans les feuilles
Magistral.
Source de vie, tu me guides.
Magie.
Ramure fièrement élevée, portant ton feuillage
Liberté.
Cœur, sève glacée ou circulante : vibrante
Gelée.
A toi, l’arbre sacré, c’est six phrases magiques
A toi, ami ensorcelé, mon cher arbre magnifique
Agathe Laporte, 11 ans
Arbres,
Gardiens de temps et de mémoire,
Gardiens d’histoires et de secrets.
Au loin, je peux entrapercevoir,
Ta cime, qui côtoie les cieux orangés.
Emilie Bousquet, 13 ans
L’arbre
Une forêt dort sous le dôme plein d’étoiles,
Plantes luxuriantes et fleurs aux bleus pétales.
L’arbre qui dort le soir dans la forêt sinueuse
Ecoute dans ses branches la brise silencieuse.
Sa haute silhouette se détache du ciel
Ombre noire sur le bleu manteau de Dame Nuit,
Le nid de l’alouette, la ruche emplie de miel
Dorment dans le murmure de l’obscur infini.
Plaine pleine d’argile, observe les vivants
Qui de la main de Dieu sont sortis de ton flanc,
Racines malhabiles, écorce que les hommes,
Peinant à se chauffer, écorchent de leurs paumes,
Arrachant de leurs mains les fruits de la nature
Pour que le lendemain, leur jeune progéniture
Ne sois pas dans la crainte d’entendre sonner l’heure
De quitter ce bas monde, Terre, pardonne-leur.
Et l’arbre attend que viennent les hommes ravageurs,
Qui a grands coups de scies et de haches rageurs
Feront tomber les feuilles qui faisaient sa fierté
Et le prendront pour faire des feuilles de papier.
L’alouette en ses branches ira refaire son nid
Parmi la descendance de cet arbre qui fut
Heureux dans la forêt où jadis il vécut
Et attend sereinement son heure dans la nuit.
Paul Thiollet, 14 ans
Les arbres
Les arbres sont nos amis,
Il y en a des grands et des petits.
Ils poussent dans tous les jardins, dans tous les pays.
Sur chaque photographie, il y a un arbre joli,
Sur chaque dessin, il y a un arbre moyen.
On aime bien l'odeur du saule-pleureur qui ne pousse que
pour le bonheur.
On aime bien le bouleau qui abrite des animaux rigolos,
Et le baobab qui pousse au Tchad.
Il y a aussi des arbres magiques, comme le saule-cogneur
dans Harry Potter.
Avec les arbres, on peut tout faire: du papier pour dessiner et
du bois pour ne pas avoir froid.
Il faut les protéger, car on ne peut pas s'en passer.
Clémence Ruellan, 11 ans
la Forêt Mystérieuse.
Dans la forêt des chiens, sombre comme le fusain
Un nœud se forme, prend la place de mon estomac
Je me mets à courir, sautant comme un lapin
Au moindre bruit, même un rire, je presse le pas
Une écorce craque, puis un autre bruit soudain
Une petit bruit<< crac>> et mon moral est à plat
Soudain, un grand noisetier me dit <<- :Ce n’est rien !>>
Il poursuivit<<: ça, c’est un couinement de rat>>
conclusion
Ne jamais s’aventurer dans la forêt noire.
Même si elle n’y existe que dans les grimoires
Après, si vous vous contemplez dans un miroir
Votre personnalité n’a plus rien à voir !
Faustin Bessou, 11 ans
L’oiseau se pose sur l’arbre
L’arbre doux comme de la laine
L’oiseau s’endormit.
Paul Asmar, 11 ans
Les chênes enchainés
Les feuilles déchainées
Le printemps ronchonnait.
Louna Bellement, 11 ans
Un jour, un chêne
Fit voler
Les feuilles dans le ciel.
Naïm Bouiski, 11 ans
Le vent poussa
Les oiseaux migrateurs
Jusqu’à l’arbre du bonheur.
Armand Cayssalier, 11 ans
On peut entendre au loin,
Les petits poussins jolis,
Qui viennent d’apparaitre sur le magnifique hêtre.
Emie Cliquotaux, 12 ans
L’arbre donne la vie
Il nous protège du soleil
Il nous donne de l’air.
Jonathane Cochin, 14 ans
Du chêne déchainé
En pleine automne
Les feuilles tombaient.
Baptiste Coudert, 11 ans
La feuille tombe
Mais s’accroche dans l’arbre
En volant.
Samuel Dubourg, 11 ans
Les arbres du printemps,
Les feuilles tombent
puis repoussent.
Mathéo Estève, 11 ans
Son corps, c’est le tronc
Un tronc, des branches et feuilles
De très grandes feuilles.
Morgane Froment-Fages, 13 ans
Dans le chêne se cachent
Les animaux qui ont froids
Pour s’endormir dans les feuilles de l’arbre.
Charlotte Goncalves, 11 ans
L’œuf s’ouvre et éclot sur l’arbre
Entendre les oiseaux chanter
Surtout au printemps.
Marine Mercier, 12 ans
Les bateaux glissent
Sur les flots et emportent avec eux
L’arbre, sa douleur, sa peur et sa tristesse.
Emeline Pasecki, 11 ans
Dans la forêt, les arbres
Perdent leurs feuilles et forment
Un tapis immense.
Nola Personnat, 12 ans
Quand l’automne approche
Les feuilles de l’arbre jaunissent
Et les écureuils grandissent.
Blandine Portebois, 11 ans
C’est une petite branche
Avec la neige c’est joli
Sapin, bouleau, chêne.
Julien Potier, 13 ans
Les oiseaux arrivent
L’hiver s’en va
Et l’été arrive.
Madeleine Reichenbach,
12 ans
Marron en automne
Au printemps, les feuilles repoussent
Tout vert en été.
Anthony Rodrigues, 13 ans
Les arbres s’agitaient
Les oiseaux piaillaient
Et le vent mugissait.
Mathis Rossetto, 11 ans
Dans la forêt, un arbre
Perd ses feuilles
Pour en faire une cabane à écureuil.
Inès Thevenin, 11 ans
L'arbre oublié
N'as-tu jamais ressenti le vent souffler
Qui se promène dans tes cheveux ondulés
Il a vu la terre mûrir, un jour il la verra mourir
Oubliant son importance à nos vies
Il nous guide parmi nos désirs
Ébloui par sa beauté, de son humeur qu'il peut rejeter
Impressionné par sa grandeur, que seuls nos yeux prennent
peur
Qu'il soit lui-mêmeou décoré, j'en serai son fidèle associé
Le temps s'écoule
Je ne lui demanderai plus pourquoi il court
Guidé par le ruisseau que laisse couler la Nature
Les sapins retrouvent l'émeraude du Printemps d'Or
Je soigne mes pas, mes pensées fusent
Sous chaque ombre un esprit muet se cache
Observé comme une étoile au cœur du ciel noir
Ou même absorbé par l'odeur de la pluie
Sous les branches qu'il me tend enfin
Le temps s'écoulera
Serein
Zacharie Diaz, 15 ans
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