Laboratoire d`Anthropologie Sociale, UMR 7130

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Section des Unités de recherche
Rapport du comité d'experts
Unité de recherche :
Laboratoire d’Anthropologie Sociale,
UMR 7130
du Collège de France
mars 2008
Section des Unités de recherche
Rapport du comité d'experts
Unité de recherche :
Laboratoire d’Anthropologie Sociale,
UMR 7130
du Collège de France
mars 2008
Rapport du comité d'experts
L'Unité de recherche :
Nom de l'unité : Laboratoire d’Anthropologie Sociale (LAS)
Label demandé : UMR
N° si renouvellement : 7130
Nom du directeur : M. Philippe DESCOLA
Université ou école principale :
Collège de France
Autres établissements et organismes de rattachement :
Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales (EHESS)
Date(s) de la visite :
26 février 2008
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Membres du comité d'évaluation
Président :
M. Yves GOUDINEAU, Directeur d’Etudes à l’Ecole française d’Extrême-Orient (EFEO)
Experts :
Mme Roberte HAMAYON, Directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études (EPHE), section des sciences
religieuses
M. Gérard TOFFIN, Directeur de recherche au CNRS
M. Jean-Pierre WARNIER, Professeur émérite à l’Université de Paris 5
M. Jean–Paul WILLAIME, Directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études (EPHE), section des sciences
religieuses
M. Andras ZEMPLENI, Directeur de recherche au CNRS (absent lors de la visite)
Expert(s) représentant des comités d’évaluation des personnels
(CNU, CoNRS, CSS INSERM, représentant INRA, INRIA, IRD…..) :
M. Jean-Yves BOURSIER, Professeur à l’université de Nice, représentant le CNU
Mme Michèle THERRIEN, Professeur à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO),
représentant le CoNRS
Observateurs
Délégué scientifique de l'AERES :
M. Gabriel DUPUY
Représentant(s) des organismes tutelles de l'unité :
M. André MARY (DSA, département SHS, CNRS)
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Rapport du comité d'experts
1 z Présentation succincte de l'unité
Le Laboratoire d’Anthropologie sociale (LAS), fondé en 1960, est actuellement une UMR du Collège de France
(qui l’héberge sur son site), de l’EHESS et du CNRS. L’UMR est rattachée à l’école doctorale de l’EHESS. De
vocation généraliste, ses recherches concernent l’ensemble du domaine de l’ethnologie et de l’anthropologie
sociale et, dans une perspective comparatiste, couvrent une pluralité d’aires culturelles. L’UMR est organisée
en équipes thématiques (dix dans le précédent quadriennal) et est à la tête de plusieurs programmes et
réseaux largement ouverts sur l’extérieur. Elle est responsable d’une bibliothèque de référence pour la
discipline et abrite les structures éditoriales de deux revues et d’une collection. Unité d’excellence, qui a su
maintenir sa renommée internationale, le LAS doit maintenant faire face à la question du renouvellement de
ses membres.
—
Effectif : 39 statutaires, dont 9 enseignants-chercheurs (2 Collège de France, 7 EHESS), 15 chercheurs
(CNRS), 15 ITA/IATOS (7 CNRS, 6 EHESS, 2 CdF), doctorants : 102
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Nombre de HDR : 18 membres du laboratoire ont dirigé des thèses lors du dernier quadriennal (13
membres en activité sont titulaires d’une HDR)
—
Thèses : 23 thèses soutenues lors des 4 dernières années (3 publiées) ; sur 102 doctorants (dont 53 non
français), 28 ont été financés (financements divers, y compris bourses étrangères, et durées variables)
—
Nombre de publiants : 24 sur 24 EC, C
2 z Déroulement de l’évaluation
L’évaluation sur site, commencée à 9h00, s’est achevée vers 13h30, les trois heures prévues s’étant avérées
insuffisantes. Bonne organisation de la visite de la part du laboratoire. Remise d’un document, aux fins de
pallier certaines lacunes du rapport d’activités, détaillant utilement pour les experts les associations et
partenariats scientifiques - nationaux et internationaux - du LAS, et précisant ses différentes sources de
financements. Après une présentation approfondie de l’UMR par son directeur, Philippe Descola, et par la
directrice adjointe, Brigitte Derlon, le comité a pu rencontrer assez longuement une partie des membres du
laboratoire réunis dans la bibliothèque. Il s’est notamment entretenu avec les responsables d’équipes et de
réseaux (présentation synthétique de six programmes), avec les représentants des doctorants et des
personnels ITA/IAOTOS, ainsi qu’avec la responsable des importants fonds documentaires que gère le LAS.
Enfin, après s’être réunis à huis clos, les membres du comité ont fait part de leurs observations au directeur de
l’UMR, auxquelles ce dernier a répondu point par point.
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3 z Analyse globale de l’unité, de son évolution et de son
positionnement local, régional et européen
Le LAS est, avec le LESC, l’une des deux plus importantes UMR généralistes en anthropologie sociale et
ethnologie. L’unité, liée depuis sa création par Claude Lévi-Strauss à l’existence d’une chaire du Collège de
France dans ce champ d’études, représente depuis plus de quarante ans une manière de figure de proue de la
discipline en France. Cette place particulière est liée à la renommée personnelle de plusieurs de ses chercheurs
mais aussi, sur un plan collectif, au développement de problématiques novatrices, aujourd’hui à la croisée de
l’anthropologie et du cognitivisme, au renouvellement de certains domaines (parenté, anthropologie de l’art,
mythologie…) ou à la notoriété de travaux d’équipe, tels ceux sur l’anthropologie du corps. D’une manière
générale, les membres du laboratoire s’accordent à la fois sur la nécessité d’une réflexion théorique exigeante
et sur l’importance d’un matériel ethnographique constitué avec rigueur.
Le niveau de publication est élevé (31 ouvrages d’auteur, 14 ouvrages dirigés, 135 articles publiés – dont 50
dans des revues internationales), avec un nombre important d’ouvrages dans des collections prestigieuses
(ayant souvent fait l’objet de traductions) ou dans les meilleures revues de la discipline, sans exclure d’autres
valorisations : expositions, supports électroniques, multimédias, etc.
L’évolution de l’UMR en termes de problématiques, d’objets scientifiques ou d’outils, lui permet de se situer
sans conteste sur certains fronts pionniers du champ disciplinaire. La politique scientifique est bien définie,
s’appuyant sur cinq axes prioritaires transversaux aux équipes thématiques, même si son affichage gagnerait en
cohérence si les équipes regroupant un nombre important de membres de l’unité étaient distinguées de celles
oeuvrant plutôt comme têtes de réseaux. En revanche, le devenir institutionnel du LAS apparaît plus
préoccupant, les départs à la retraite de plusieurs membres devant être rapidement compensés par des
recrutements ou des détachements de chercheurs de qualité si l’on souhaite que l’UMR puisse conserver sa
taille et sa dynamique d’équipes actuelles.
Le LAS anime plusieurs réseaux financés de recherche français et internationaux (GDR, GDRI…) et bénéficie
également de plusieurs conventions et contrats de recherche obtenus après sélection sur appels d’offre (ACI,
ANR…). Tous ces financements réunis représentent 36% des ressources de l’UMR, ce qui est appréciable. Son
positionnement local et régional est assurément central dans le dispositif français, et les membres du Comité
auraient souhaité à cet égard que certains partenariats privilégiés (avec le LESC, avec le quai Branly, etc.), ou
la situation de l’UMR au sein de l’EHESS, soient mieux explicités dans le rapport d’activités. La forte activité
d’enseignement de la plupart des chercheurs au sein de plusieurs établissements (EHESS, Paris 5, Paris 8, Paris
10, Paris 13, INALCO, etc.), ajoutée à celle des enseignants-chercheurs (Collège de France et EHESS), contribue
au rayonnement des travaux conduits par l’UMR. Le positionnement international, européen notamment, reste
fort, à travers les nombreuses participations de membres de l’unité à des conférences hors de France ou
l’accueil de chercheurs réputés en provenance de dix pays. Le nombre de doctorants étrangers, plus de
cinquante, vient encore attester la renommée internationale du LAS.
4 z Analyse équipe par équipe et par projet
Le projet scientifique de l’UMR proposé pour le quadriennal 2009-2012 comprend cinq axes problématiques
prioritaires : « Percevoir, représenter, connaître », « Identités individuelles et collectives », « Le biologique, le
culturel et le social », « Comparatisme et modélisation », « La vie sociale des objets » dans lesquels viennent
s’insérer, à des degrés divers et selon des modalités différentes, neuf équipes et trois programmes de
recherche, dont le détail est donné ci-après. La présentation du projet, qui a l’ambition de couvrir une partie
importante du champ de l’anthropologie et de l’ethnologie, est bien argumentée et souligne de vraies
cohérences au-delà de la disparité apparentes des thématiques d’équipe. Tout autant que montrer la cohésion
de l’ensemble, exercice méritoire mais forcément un peu factice, il aurait été pertinent d’insister sur certains
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objets nouveaux en partage, même s’ils sont traités différemment selon les équipes : animalité,
anthropomorphisme, etc., ou sur les collaborations avec certaines disciplines : non seulement la linguistique ou
l’histoire, mais aussi la psychologie, la biologie, le droit, les sciences politiques, etc.
Equipes et programmes de recherche :
- « Les raisons de la pratique : invariants, universaux, diversité » : étude de schèmes cognitifs et
comportementaux dans leur articulation à des dispositifs institutionnels concrets. Parmi les « invariants
culturels » étudiés : modes d’identification, mécanismes de catégorisation et de mémorisation, savoirs non
propositionnels (images, gestuelle...), relation humains non–humains, modalités de la figuration, etc.
Recherche pionnière intégrant certains apports récents de la psychologie cognitive et de la linguistique pour
constituer des objets nouveaux ou renouveler l’approche de topiques classiques : tradition, action rituelle,
identité... L’équipe compend 9 membres du LAS et 17 membres associés (dont 2 doctorants).
- « Anthropologie du corps et des affects » : études actuelles autour de la sexualité au cœur d’une recherche
sur les « schèmes invariants », entendus ici comme transcendant la diversité culturelle, liés aux affects,
percepts et conceptions du corps. Travaux sur les représentations de l’homosexualité, de la virginité, de la
virilité, sur les effets de la pornographie, sur l’imaginaire lié au sang ou à la pilosité, comparaisons avec
l’animalité fondées sur des résultats récents en éthologie. L’équipe, dont les travaux ont acquis une grande
notoriété, comprend 11 membres du LAS et 17 membres associés (dont 1 doctorant).
- « Parenté » : domaine longtemps emblématique des travaux du LAS réinvesti à travers un nouveau
questionnement incluant les systèmes dits complexes. Volonté de dégager la parenté des seules formes
« exotiques », et de confronter les analyses de l’anthropologie aux débats contemporains sur l’évolution des
pratiques matrimoniales, parentales, etc. (familles recomposées, PACS…) et aux interprétations des
sociologues, médecins ou juristes. L’équipe comprend 6 membres du LAS et 28 membres associés (dont 5
doctorants).
- « Anthropologie, objets et esthétiques » : étude du regard porté sur les objets par les sociétés – d’origine ou
importatrices – comme constitutif de leur sens. Depuis l’expérience esthétique « locale » (contextes rituels,
etc.) jusqu’aux représentations des collectionneurs occidentaux. L’équipe qui, longtemps au coeur d’un GDR,
comprenait 3 membres du LAS et 27 membres associés (dont 2 doctorants), est désormais composante d’un
GDRI avec le musée du quai Branly.
- « Anthropologie comparative des sociétés musulmanes » : travaux récents, entre autres, sur le droit de la
famille dans les sociétés musulmanes ou sur le vécu du mois du ramadan. Equipe existant de longue date autour
d’un séminaire mensuel, à la tête d’un important réseau (issu d’un GDR) de membres extérieurs. L’équipe, qui
connaît aujourd’hui une transmission de relais, comprend 5 membres du LAS et 47 membres associés (dont 11
doctorants).
- « Altérité, sexualités, santé » : l’équipe, organisée autour d’un séminaire, s’est principalement intéressée à
la prostitution en France puis en Afrique et en Asie. Son maintien après le départ en retraite de ses deux
animatrices est incertain. L’équipe comprend 2 membres du LAS et 18 membres associés (dont 10 doctorants).
- « Sociologie comparative des institutions » : réflexion méthodologique sur la caractérisation des rapports
sociaux et sur la classification des sociétés sans écriture. Entre autres, travaux sur le clientélisme, et, projet
financé ANR sur la guerre avec des archéologues spécialistes des pratiques funéraires. L’équipe, qui comprend
4 membres du LAS et 2 membres associés, poursuivra-t-elle après le départ en retraite d’un de ses membres en
cours de quadriennal ?
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- « Anthropologie de la perception : production d’altérité par les médias, les sciences et les acteurs
concernés » : étude de l’expression « indigéniste », prise dans un réseau de discours qui lui échappe
(humanitaires, médias, politiques, anthropologues…) et de son recours à de nouveaux essentialismes pour créer
un espace de résistance. Equipe née en 2006 en coopération avec plusieurs universités australiennes. L’équipe
comprend 5 membres du LAS et 26 membres associés (dont 7 doctorants).
- « Mythologie, mythes d’origine et sexualité » : investigation du domaine mythologique dans d’autres
directions que l’analyse structurale lévi-straussienne - la « mythologie » comme construction historique;
mythes personnels (confrontation avec la psychanalyse) ; rapports mythes / écriture, signes, image, etc.
Equipe nouvelle qui comprend pour l’instant 3 membres du LAS.
A ces équipes il convient d’ajouter, pilotés depuis le LAS, le GDRI « Nomadismes, sociétés et religions dans
l’espace turco-mongol sibérien » (14 chercheurs français et étrangers extérieurs au LAS).
5 z Analyse de la vie de l'unité
—
En termes de management :
La direction de l’UMR est assurée par le directeur et la directrice-adjointe. Le Conseil de laboratoire, qui se
réunit plusieurs fois par an, comprend, outre les deux membres de la direction, 8 membres issus du collège des
checheurs (5 élus et 3 nommés) et 5 membres issus du collège des ITA/IATOS (3 élus et 2 nommés). Le pilotage
de la recherche se veut incitatif plutôt que dirigiste, et une grande latitude est laissée aux responsables
d’équipes et aux porteurs de programmes, ce qui semble de bonne politique compte tenu de la qualité des
pesonnalités scientifiques que le laboratoire regroupe. Il en résulte cependant des dynamiques de recherche
très variables selon les équipes, allant de véritables collaborations à des travaux conduits isolément. L’accueil
de plus d’une centaine de doctorants pose des problèmes particuliers de gouvernance à l’unité qui ne peut leur
faire bénéficier, faute d’espace sur le site du laboratoire, d’un lieu propre où se rencontrer. Il a été observé
qu’ils ne sont que très minoritairement intégrés dans une équipe et ne sont pas représentés au Conseil de
laboratoire.
Les représentants du personnel rencontrés par le Comité ont exprimé leur pleine satisfaction concernant la
manière dont l’UMR était dirigée et les rapports entre la direction et les personnels des différents services.
—
En termes de ressources humaines :
Tandis que plusieurs de ses membres, et parmi eux des responsables d’équipe, sont partis ou partent bientôt à
la retraite, l’UMR n’a bénéficié que de peu de recrutements ces dernières années, notamment de la part du
CNRS. Aux questions du comité à ce sujet, le directeur a répondu qu’il était parfaitement conscient de cette
situation mais qu’elle devrait évoluer dans un sens favorable avec, en plus de recrutements attendus
prochainement, le rattachement progressif au LAS de chercheurs titulaires d’autres unités ayant émis le souhait
de le rejoindre.
Par ailleurs, compte tenu de la taille de l’UMR et de l’importance des services dont elle a la charge
(documentation, publications…), il apparaît nécessaire qu’elle puisse bénéficier d’un recrutement affecté à la
gestion administrative.
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En termes de communication :
Le LAS possède un fonds de documentation exceptionnel pour l’anthropologie et l’ethnologie au plan national.
En plus de sa bibliothèque (près de 30 000 ouvrages, 400 périodiques dont 190 vivants), constamment enrichie,
ce fonds comprend des archives personnelles de chercheurs, une photothèque ainsi que le Human Relations
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Area Files dont il est le dépositaire pour l’Europe en version papier. L’UMR participe au réseau documentaire
« ethnologie » en collaboration notamment avec les services du LESC de Paris 10-Nanterre.
Le LAS héberge les revues « L’Homme » et « Etudes rurales », revues de premier plan dans le champ
disciplinaire, pour lesquelles il met à disposition 4 personnels techniciens et administratifs, tout en garantissant
l’autonomie scientifique de ces revues. Il a également lancé ces dernières années une collection qu’il gère
directement, les « Cahiers d’anthropologie sociale ».
En plus des enseignements, participations à réseaux scientifiques, conférences et nombreuses valorisations
indiquées précédemment (punlications, expositions, multimédias, etc.), l’UMR possède un site qui renseigne de
façon détaillée sur les travaux qui y sont conduits.
6 z Conclusions
—
Points forts :
. Le haut niveau de publications, le caractère novateur des problématiques et des outils mis en œuvre au sein
de plusieurs équipes, la pluridisciplinarité, l’insertion dans de multiples réseaux scientifiques qui permettent
au LAS de maintenir sa renommée d’excellence dans le domaine de l’anthropologie et de l’ethnologie au plan
national et international.
. L’activité soutenue de formation, en matière d’enseignements et d’accueil de nombreux doctorants,
étrangers notamment.
. La responsabilité de fonds documentaires exceptionnels, et le portage de revues phare dans le champ
disciplinaire.
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Points à améliorer :
. Le renouvellement de la dynamique institutionnelle qui devrait prendre en compte le vieillissement de
certaines équipes et la fermeture de programmes, et mieux distinguer les équipes effectives des réseaux.
. L’insertion des doctorants dans les projets d’équipes et leur participation à la conduite de la vie de l’UMR.
. La présentation des différentes modalités de partenariats scientifiques en et hors de France.
—
Recommandations :
. Le comité recommande une politique institutionnelle volontariste de la part de l’UMR afin de rééquilibrer au
plus vite les pertes d’effectifs liées aux départs à la retraite, par recrutements si possible, ou bien par
transferts d’autres unités ou établissements universitaires.
. Il suggère un affichage plus réaliste de la structuration et du partenariat scientifiques, d’une part distinguant
mieux les équipes, les réseaux et les projets individuels au sein de l’UMR, et d’autre part précisant les
dynamiques de partenariats avec d’autres unités ou établissements (LESC, quai Branly) afin de mieux faire
apparaître le positionnement national du LAS.
. Il estime souhaitable que les doctorants soit plus intégrés dans les programmes de l’unité et puissent jouir
d’une forme de représentation dans le conseil de laboratoire.
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