Pays baltes Gabija ir Aurelija 2a On appelle pays baltes les trois pays à l'est de la mer Baltique : l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie. Le mot baltes est ici employé dans un sens géographique , limitrophes de la mer Baltique,qui concerne les trois pays, et non dans le sens linguistique qui ne concerne pas l'Estonie. Géographie Les pays baltes s'étendent sur 175 000 km², avec une population de 6 826 000 habitants. Bordés par la mer Baltique à l'ouest, ils partagent leurs frontières avec la Russie, la Biélorussie et la Pologne. L'oblast de Kaliningrad, l'ancienne Königsberg llemande, enclavé entre la Lituanie et la Pologne, appartient à la Russie. Le relief de cette région est relativement peu accidenté, ponctué de nombreux lacs et étangs, notamment au nord, et de collines en Lituanie. Préhistoire La zone, initialement très boisée et marécageuse, est occupée par des populations proto-Baltes. On les a rapprochés des Thraces, des Germains, des Slaves, des Scythes, mais la seule certitude est qu'ils parlaient une langue d'origine indo-européenne et pratiquaient l'agriculture et le commerce de l'ambre. Attirés par cette dernière, les Scandinaves débarquent plus ou moins sporadiquement sur les côtes à partir du viiie siècle. Les ancêtres des Estoniens, d'origine finnoougrienne s'installent aussi dans la région, en même temps que les Finnois, autour du golfe de Finlande, sans que la date puisse être clairement établie, mais en tout cas avant le ive siècle. La région reste cependant peu peuplée jusqu'à l'amélioration climatique du xie siècle. Histoire Articles détaillés : Histoire de l'Estonie, Histoire de la Lettonie et Histoire de la Lituanie. Après la longue période de liberté balte allant de la proto-histoire au xiie siècle, les trois pays ont connu deux histoires différentes : l'Estonie et la Lettonie ont connu de longues périodes de domination étrangère et n'ont connu leur première indépendance qu'en 1918 ; la Lituanie en revanche pu résister à ces ambitions impériales jusqu'au xviiie siècle et a hérité de la longue histoire du Grand Duché de Lituanie et de la République des Deux Nations qui, au Moyen Âge et pendant la Renaissance s'étendait de la Baltique à la mer Noire. Après la défaite suédoise dans la Grande Guerre du Nord, la Livonie (Estonie et Lettonie) est incorporée dans l'empire russe. Néanmoins, par souci d'efficacité, les barons germano-baltes, issus pour beaucoup de l'Ordre Teutonique, mais passés pour la plupart à la Réforme protestante, continuent à exercer leur emprise sur les sociétés baltes pour le compte de l'Empire russe et gardent leur immenses propriétés foncières. En 1795, lors du troisième partage de la Pologne, la Lituanie est elle aussi rattachée à la Russie. Les pays baltes retrouvent leur liberté après la Première Guerre mondiale. Ils ont, au départ, de grandes difficultés à faire reconnaitre leur indépendance par les Alliés qui préfèrent ménager une victoire possible de la Russie « blanche » contre les Bolchéviques. La victoire de plus en plus évidente des communistes pousse les puissances occidentales à accepter les indépendances baltes comme un « cordon sanitaire » en Europe. Le 23 août 1939, l'URSS signe avec le Troisième Reich le pacte germano-soviétique, dont les protocoles secrets délimitent les « zones d'influence » des deux puissances. Lorsque l'Allemagne nazie envahit la Pologne, ce qui déclenche la Seconde Guerre mondiale, l'URSS envahit le reste de la Pologne et les États baltes. En 2003, les trois pays baltes sont admis comme membres de l'Union européenne (avec 7 autres pays). Ils ont pris leur place à partir de 2004 dans les instances politiques de l'Union européenne (UE) et de l'OTAN. Voie balte La voie balte est le nom donné à une chaîne humaine allant de Vilnius à Tallinn, en passant par Riga (560 km en tout) pour demander l'indépendance des pays baltes le 23 août 1989. Entre 1,5 et 2 millions de personnes (sur environ 7 millions) participèrent à cette manifestation qui mena vers un durcissement de l'attitude de Moscou vis-à-vis de ces républiques soviétiques. Le choix de la date est dû à la célébration du cinquantenaire du pacte germano-soviétique. Avec l'arrivée de Mikhail Gorbatchev (1985) au poste de Premier secrétaire du PCUS, commencent le glasnost et la perestroïka. Cette libéralisation entraîne une contestation de la domination soviétique, notamment dans lesPays baltes (annexés en 1940) et qui ont subi une politique agressive de russification et de colonisation de peuplement, de la part du pouvoir central. Le 23 août 1989, près de deux millions d’Estoniens, de Lettons et de Lituaniens se tenant par la main ont formé une chaîne humaine de 600 km de long, traversant les trois pays baltes pour exprimer leur condamnation du passé et leur espoir en l’avenir. Ce fut leur manière de célébrer le 50e anniversaire du pacte Molotov-Ribbentrop. Signé en 1939 par les ministres des Affaires étrangères de l’Union soviétique et de l’Allemagne nazie, le protocole de cet accord secret définissait la répartition des territoires situés entre les frontières deux pays dont les trois États baltes. C’est seulement le 23 août 1988 que le contenu de cet accord a été rendu public. Une année plus tard, le 23 août 1989, un rassemblement massif est organisé par les mouvements nationaux des trois pays baltes : le Front populaire d’Estonie (Rahvarinne), le Front populaire de Lettonie (Tautas fronte) et le mouvement réformateur de Lituanie (Sąjūdis). C’est ainsi qu’est née la voie balte, qui a suscité beaucoup d’attention à travers le monde. Elle a montré que les trois pays baltes, indépendamment de leur identité nationale propre, pouvaient unir leurs forces pour trouver le chemin de la liberté. L’impressionnante chaîne humaine, associée à la pression internationale grandissante en faveur de la révélation de la vérité historique, a donné une impulsion décisive au rétablissement de l’indépendance nationale de l’Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie, encourageant dans le même temps les mouvements démocratiques dans toute l’ancienne Union soviétique. Les mouvements nationalistes en profitent pour réclamer l'indépendance des 3 pays qui ont été illégalement annexés à l'URSS (juin 1940) et organisent, le jour de l'anniversaire du pacte, une manifestation pour l'indépendance. La plaque "STEBUKLAS" (qui signifie miracle) à côté de la cathédrale de Vilnius, à l'endroit où la chaîne humaine aurait débuté. Estonie L’Estonie, anciennement orthographié Esthonie, en forme longue la République d’Estonie, en estonien Eesti et Eesti Vabariik, est un pays d’Europe du Nord et un État membre de l'Union européenne, situé sur la rive orientale de la mer Baltique et méridionale du golfe de Finlande. Le pays est bordé au nord par le golfe de Finlande, à l’ouest par la Suède, au sud par la Lettonie et à l’est par la Russie. Ce pays est généralement regroupé avec la Lettonie et la Lituanie dans un ensemble géopolitique appelé pays baltes. Toutefois, depuis son retour à l’indépendance en 1991, l’Estonie cherche à se rapprocher des pays nordiques. L’Estonie fait partie de l’Union européenne depuis le 1er mai 2004 et a intégré la zone euro le 1er janvier 2011. Elle est membre de l’OTAN depuis le 29 mars 2004. L’Estonie est un des trois pays baltes mais la langue utilisée se rattache à une branche complètement distincte de celles parlées en Lituanie et en Lettonie : l’estonien est une langue fennique, comme celles parlées en Finlande ou en Carélie (Russie), les langues fenniques font partie de la famille finno-ougrienne qui inclut les langues sames (Laponie linguistique). Après avoir retrouvé son indépendance en 1991, le pays, qui a opté pour un régime économique libéral, a connu une forte croissance économique grâce à une reconversion réussie de son industrie et la mise en place d’infrastructures modernes. L’Estonie est entrée violemment en récession lors de la crise économique de 2008-2010 avec notamment un taux de chômage supérieur à 14 %. Le gouvernement se fixe comme priorité de réduire l’inflation et de maîtriser les finances publiques. Le pays a, depuis 2009, le plus faible taux d’endettement public de l’Union européenne3, remplit les critères de convergence et intègre la zone euro le 1er janvier Drapeau de l'Estonie Armoiries de l'Estonie Géographie de l'Estonie. D'une superficie (45 227 km2) proche de celle des Pays-Bas (celle définie par le traité de paix de Tartu en 1920 était de 47 549 km2), l'Estonie est le plus septentrional des pays baltes, largement ouvert à l'ouest sur la mer Baltique, au nord sur le golfe de Finlande (3 794 km de côtes), bordé à l'est par la Russie (frontière de 294 km) et au sud par la Lettonie (frontière de 339 km). La côte estonienne est essentiellement rocheuse. 10 % du territoire est composé d'un archipel de plus de 1 500 petites îles situées dans la Baltique dont les deux plus grandes sont Hiiumaa (989 km2) et Saaremaa (2 673 km2). La distance de Tallinn à Helsinki n'est que de 85 km alors qu'il faut 307 km pour aller à Rīga, 395 km pour rejoindre Saint-Pétersbourg et 405 km pour Stockholm. Comtés L'Estonie comprend 15 régions administratives, appelées maakonnad (au singulier maakond) — le -maa signifie pays ou plus précisément terre : Région de Harju (en estonien Harjumaa) Région de Hiiu (en estonien Hiiumaa) Région du Viru Oriental (en estonien Ida-Virumaa) Région de Järva (en estonien Järvamaa) Région de Jõgeva (en estonien Jõgevamaa) Région de l'Ouest (en estonien Läänemaa) Région du Viru Occidental (en estonien Lääne-Virumaa) Région de Pärnu (en estonien Pärnumaa) Région de Põlva (en estonien Põlvamaa) Région de Rapla (en estonien Raplamaa) Région de Saare (en estonien Saaremaa) Région de Tartu (en estonien Tartumaa) Région de Valga (en estonien Valgamaa) Région de Viljandi (en estonien Viljandimaa) Région de Võru (en estonien Võrumaa) Démographie En 2010, la population de l'Estonie s'élève à 1 340 194 habitants, contre 1 372 071 en 200015. La démographie est marquée par une perte sensible de population depuis la fin des années 1990 (4,9/1000 en 1998 ; -3,8/1000 en 1999), en raison du départ d'une partie de la population, comme dans les autres pays baltiques, mais surtout d'un indice de fécondité faible (1,37 enfant par femme en 2000 et 1,64 en 201016). Les principales villes sont : capital Tallinn (400 378 habitants), Tartu (101 169 habitants), Narva (74 572 habitants), Pärnu (51 927 habitants). Population Les Russes représentent la minorité la plus importante d'Estonie (environ 350 000 personnes) et la plus ancienne. Elle est loin d'être homogène car elle est constituée de plusieurs sous-groupes dont l'arrivée sur le sol estonien est échelonnée dans le temps. Tout au long de l'histoire de l'Estonie, des Russes se sont installés dans les villes pour occuper des métiers d'artisans et de commerçants : environ 40 000 Russes étaient présents ou sont descendants de Russes présents avant l'invasion soviétique de 1939. Parmi ceux-ci, les vieuxcroyants forment une communauté d'environ 15 000 personnes qui, attachée à un rite ancien de l'Église orthodoxe, a été pourchassée par le pouvoir tsariste et l'église officielle, et s'est installée au XVIIe siècle sur les rives du lac Peïpous. Le reste de la communauté s'est installé durant la période soviétique pour occuper les emplois générés par la construction en Estonie d'importants complexes industriels. Cette partie de la communauté russe, qui représente environ 20 % de la population et qui est de plus fortement concentrée dans les villes industrielles du nord-est (Narva) et dans la capitale, est généralement mal intégrée. Peu parlent l'estonien et, vivant en communauté fermée, ils ont peu de contacts avec les Estoniens qui ne cherchent de toute façon pas à les fréquenter. Malgré tout, 70 000 ont opté depuis l'indépendance pour la nationalité estonienne après avoir passé avec succès un examen linguistique et culturel tandis que 100 000, souvent âgés, choisissaient la nationalité russe. Environ 170 000 russophones n'ont pas voulu trancher et sont depuis reconnus par l'État estonien comme étant des « non-citoyens ». Aujourd'hui encore, ils sont apatrides puisque leur pays d'origine, l'Union soviétique, a depuis disparu17. Peu à peu, une partie de cette minorité russe quitte le pays18. D'autres minorités sont présentes : Biélorusses, Ukrainiens, Setus, juifs Langues La langue officielle de l'Estonie est l'estonien, qui est la langue maternelle de 69 % de la population du pays ainsi qu'une langue étrangère maîtrisée par 14 % de la population, ce qui fait que 82 % des habitants du pays savent parler estonien. Le russe est également très présent avec 30 % des habitants l'ayant comme langue maternelle et 42 % comme langue étrangère, 72 % des habitants comprennent ainsi le russe. La troisième langue la plus connue du pays est l'anglais, qui, bien qu'elle ne soit uniquement parlée comme langue maternelle par une infime minorité (0,07 %) est comprise par 38 % des habitants du pays. De nos jours, les jeunes Estoniens privilégient l'anglais pour le plus grand nombre, comme langue étrangère. L'allemand vient en seconde position et est très présent chez l'élite, et dans les domaines culturels et le tourisme. Pour des raisons culturelles et historiques, les langues suédoise et finnoise sont aussi étudiées. Monnaie À l'issue de la Première Guerre mondiale, plusieurs monnaies circulaient en Estonie, dont le mark allemand et le rouble soviétique. Elles furent remplacées en 1918 par le mark estonien, à parité avec le mark allemand. Après plusieurs dévaluations, celui-ci fut remplacé le 1er janvier 1928 par la couronne estonienne au taux de 1 couronne pour 100 marks. Cette première couronne estonienne fut à nouveau dévaluée en 1933 lors de la crise économique. À la suite de l'invasion soviétique de 1940, la couronne estonienne se trouva remplacée par le rouble soviétique au taux de 1 rouble pour 0,8 couronne. Après l'indépendance, une nouvelle couronne estonienne (eesti kroon ; abréviation internationale EEK), fut introduite en juin 1992 à parité fixe avec le mark allemand (1 DEM = 8 EEK). Cette nouvelle monnaie rejoint le mécanisme de taux de change européen II (MCE II) le 28 juin 2004, en vue d'une adoption de l'euro initialement prévue en janvier 2007 (1 euro = 15,6466 EEK, ± 15 %). Mais une inflation trop importante (environ 4 % sur 12 mois) retarde le passage à l'euro jusqu'à 2011. Depuis le 1er janvier 2011, la monnaie nationale est l'euro, avec une parité fixe de 1 EUR = 15,6466 EEK. Les pièces en euro de l'Estonie représentent toutes la carte du pays. Relations avec l'Union européenne Le 22 novembre 1995, l'Estonie présente la question d'adhésion. Le 10 décembre 1999, l'Estonie ouvre des négociations d'adhésion, terminées le 13 décembre 2002. Le 14 avril 2003, le Conseil européen approuve l'adhésion. Le 16 avril 2003, l'Estonie signe le Traité d'adhésion, en vigueur à partir du 1er mai 2004. Le 14 septembre 2003, 68,9 % des Estoniens approuvent l'adhésion par référendum. Le 1er mai 2004, entrée dans l'Union européenne. Le 21 décembre 2007, l'Estonie entre dans l'espace Schengen6. Le 8 juin 2010, l'Union européenne prévoit de faire entrer l'Estonie dans la zone euro en 2011. Le 1er janvier 2011, la monnaie de l'Estonie devient l'Euro. Culture De tout temps, l'Estonie s'est trouvée dans la sphère de culture européenne. Tallinn (Reval à l'époque) était, au Moyen Âge, la ville la plus orientale de la ligue hanséatique. Forte des diverses cultures qui se sont côtoyées et succédé du fait des occupations successives, l'Estonie s'est forgé une culture particulière faite de tolérance et de respect envers l'étranger, quels que soient son pays ou sa culture. L'Estonie compte de nombreuses minorités : les Russes représentent 25,7 % de la population. Viennent ensuite les Ukrainiens : 2,1 % de la population ; 1,2 % de la population est biélorusse et 0,8 % finnoise... L'importance de la population russophone vient naturellement de l'occupation soviétique et de l'industrialisation forcenée dont l'Estonie avait fait l'objet à l'époque. Que voir en Estonie Les remparts de Tallinn La capitale Estonienne, Tallinn, a une longue histoire. Dès le XIè siècle, une forteresse de bois occupa la colline de Toompea : un centre de commerce était né, qui n'a jamais cessé d'être actif. A quelques encablures de la grève, la ville haute, à statut défensif, rayonna durant tout le Moyen Age. Sur la route des comptoirs russes, Tallinn, maillon vital du commerce hanséatique, prospéra. Les vestiges de cette époque sont soigneusement mis en valeur, et le touriste du XXIè siècle plonge avec délices dans une atmosphère puissamment médiévale. Les remparts de pierre épousent fièrement le relief, régulièrement ponctués de fines tourelles que coiffent des tuiles roses. Le visiteur retrouve les images colorées de ses livres d'histoire. A l'ouest les remparts sont extérieurement bordés d'un parc paysager où l'on donne des concerts en été. La principale entrée est la porte de Viru qui débouche sur une artère commerçante de la vieille ville. Les remparts entourent la partie médiévale de Tallinn. Aujourd’hui développée au-delà des limites de ceux-ci, l’attrait de la ville reste pourtant clos dans ces murs de pierres grises, hauts et massifs. Jalonnés de tourelles, ils participent forcément à l’atmosphère moyennageuse qui rythme la vie du cœur de la petite capitale. Une balade le long de ces murs est une manière de bien s’imprégner de cette atmosphère, avant de pénétrer dans le cœur de la bête. Cité fortifiée Tallinn est une ville fortifiée du XIIIe siècle, l'augmentation de son historique au XIV. On sait que dans le Moyen Age était indispensable à la défense des villes fortifiées étant fortifications qui aideraient à détecter la visite des attaquants. Une importante sont les entrées de la ville et les douves qui entourent la ville. Au XIXe détruit une grande partie de ces murs en raison de la prise de la ville par les Russes siècle, ils ont décidé de remplir les stands et j'ai vu la ville n'est pas fortifiée. Maintenant, ils ont reconstruit de nombreux pans de murs et de tours qui le rend particulièrement médiévale et le charme de visiteurs nous, marchant à travers eux, il se sent épique vous déplacez à la magie du Moyen Age. Murs Talln Il ne fait aucun doute que Tallinn pas la même sans ses murs, les murs qui sont l'essence de la ville et également conservés avec tout le soin et l'attention. Il est même difficile de maintenir toits pointus qui sont si conte de fées, et de conserver autant de mètres et en bon état, même dans les parties les moins fréquentées par les touristes et les habitants. La plupart d'entre eux ont été construits au XIVe siècle, alors que la richesse de la Ligue hanséatique et devrait protéger et une protection accrue. Tout ce qui n'est pas entré dans le p.m. neuf est resté en dehors des murs jusqu'au lendemain. Les murs de 16 mètres de haut, est couronnée de tours qui semblent transférer le visiteur à l'extatique passé médiéval. La place de la mairie La place de la mairie a été et est le centre de la vie en ville pendant des siècles. Elle conserve l’un des monuments les plus importants de toute d’Estonie: Le Conseil municipal, ainsi que les maisons environnantes. Vous y trouverez des restaurants, des terrasses... Il y a aussi une place de marché. C’est un beau site au cœur de Tallinn. Portes Tallinn Entouré d'un parc de verdure à l'entrée de la cité médiévale Talln trouver une grosse tour fixé au mur entourant la ville, 24 mètres de diamètre et 4 mètres d'épaisseur. Autrefois un point clé dans les défenses de la ville, en particulier contre des agresseurs potentiels arrivés par bateau car il est près de la côte de la ville. Actuellement, les maisons intérieur du Museo Maritimo en Estonie, où nous avons trouvé des documents, des photos, de vieux bateaux et des instruments de navigation qui font partie de la culture et de l'histoire de la martima de pays. Visuellement, ce est incroyable parce que autntica, grâce aux fenêtres que vous avez, vous apprécierez rapidement l'épaisseur de ses murs et de la magnificence du lieu. Ce était la première Rincn que je ai découvert dans Talln et déjà laissé entendre merveilles architecturales médiévales et je trouver ... Et ce est ainsi! Tartu Tartu est une ville dans la deuxième ville de l'Estonie du pays en termes de population avec 84 747 habitants. Il est situé sur les rives de la rivière Emajõgi et abrite une ancienne et prestigieuses universités. A ne pas manquer: - la fonction place de la mairie (Raekoja Plats) - la maison de Michael Andreas Barclay de Tolly - la maison de maître néoclassique de l'Université de Tartu - les ruines de la cathédrale (Toomkirik) XIIIe siècle. L'île de Saaremaa L'île de Saaremaa, la plus grande d'Estonie, est une des destinations touristiques les plus prisées du pays. On l'atteint en ferry depuis le continent (port de Virtsu), puis on accoste sur la petite île de Muhu, elle-même reliée à Saaremaa par une digue. L'île est restée coupée du monde pendant la période soviétique : les autorités la considéraient comme un lieu trop propice à l'évasion et y avait uniquement établi une base militaire. Du coup, on trouve l'île comme un sanctuaire naturel sans aucune pollution industrielle. Maintenant c'est une destination estivale. On peut presque parler de grands espaces, prairies fleuries et forêts, côtes sauvages, un grand bol de nature. "Une île, entre le ciel et l'eau, une île ..." Là haut, dans le nord , fermant le golfe de Riga. Pour des vacances nature, loin des foules, on prend le ferry à Virtsu et vogue pour la grande île estonienne. De vastes espaces s'offrent alors, paysages naturels emplis de sérénité : champs jonchés de fleurs ; de la forêt aussi, des plages désertes, et un soleil très vaillant en été, avec les longues journées. De ci, de là, une chaumière du bon vieux temps car l'habitat est clairsemé en ce plat pays du nord. Calme et sérénité. Le musée du jouet Le Musée du Jouet est situé dans un des plus anciens bâtiments de tartu (daté de 1770). Ce bâtiment est énorme ! On peut y voir des jouets de toutes sortes : des poupées faites à la main, des jouets en papier, des trains miniatures, des petits soldats, des marionnettes de théâtre...Il rappellera de bons souvenirs aux plus âgés comme il ravira les plus petits ! Lettonie La Lettonie, en forme longue la République de Lettonie, en letton Latvija et Latvijas Republika, est un pays d'Europe du Nord et membre de l'Union européenne. Situé sur la rive orientale de la mer Baltique, c'est l'un des trois pays baltes et est bordé par la Lituanie au sud et par l'Estonie au nord. La Lettonie a aussi des frontières terrestres à l'est avec la Russie et au sud-est avec la Biélorussie. La Lettonie est un État membre de l'Union européenne depuis le 1er mai 2004, et de la zone euro depuis le 1er janvier 2014. Entre 1991 et 2011, la Lettonie a perdu plus de 23 % de sa population en raison d'un taux de fécondité (nombre d'enfants par femme) extrêmement faible et d'un solde migratoire négatif. Drapeau de la Lettonie Armoiries de la Lettonie Géographie de la Lettonie La Lettonie est située sur les côtes de la mer Baltique. Elle est bordée au sud par la Lituanie (453 km), au sud-est par la Biélorussie (141 km), à l'est par la Russie (217 km) et au nord par l'Estonie (331 km) soit un total de 1 150 km de frontières. Elle fait partie des pays baltes. La Lettonie s'étend du 55°04'N dans le Valmieras rajons au 55°37'N près de Daugavpils et du 20°57'E à côté de Liepaja à 28°15'E dans le Ludzas rajons La capitale est Riga (753 000 hab.) ; les autres principales villes sont Lielpilseta, Daugavpils (112 000 hab.), Liepaja (84 000 hab), Jelgava, Jurmala, Ventspils, Rezekne. Régions historiques Elle est divisée en quatre grandes régions géographiques et historiques : La Sémigalie qui couvre la grande partie sud, elle est essentiellement agricole de par son passé d'une part mais également grâce à la fertilité de ses terres. Le Kurzeme qui couvre la partie ouest, est une région côtière dont les deux principales villes sont d'anciens ports de pêche. Le front de mer est plat avec cependant quelques collines dans l'arrière pays. Le Latgale qui couvre la partie sud-est ; les terres argileuses de cette partie du pays ne permettent que peu l'agriculture. L'économie n'est malheureusement pas très florissante. L'autre particularité de cette région est la forte proportion de catholiques. Le Vidzeme au nord ; c'est la partie la plus montagneuse ; l'agriculture s'oriente principalement vers l'élevage mais le secteur qui semble percer est bien le tourisme. Outre les régions précitées, la Lettonie est subdivisée en Rajons (cantons). Ces entités sont elles-mêmes divisées en pilsetas (villes), pagasts (communes) ou novads (communautés de communes). Le territoire compte par ailleurs sept villes au statut spécial ; il s'agit des lielpilsetas. Chaque subdivision a une sphère d'influence sur les différents aspects du service public et perçoit une partie des impôts sur le revenu payés par les personnes étant été enregistrées dans la subdivision. D'une superficie de 64 589 km2, la Lettonie dispose d'une superficie comparable à celle du Danemark, de l'Estonie, des Pays-Bas ou de la Suisse. Histoire Les premières lois pour la conservation de la nature remontent aux XVIe et XVIIe siècles. Au XIXe siècle plusieurs projets furent entrepris pour consolider les dunes le long de la mer Baltique et le golfe de Riga. Au début du XXe siècle de zones enforestées possédant des traits culturels, historiques ou / et naturels ont été protégées. La première réserve naturelle a été établie en 1912 à Moricsala (une île du lac Usmas, à environ 50 km à l'ouest de Riga). Langues La langue officielle de la Lettonie est letton. Formation L'aspect physique de la Lettonie comme des pays voisins est dû en grande partie à la période de glaciation du Pléistocène qui eut lieu durant le Quaternaire. Elle a donné, par le mouvement des glaciers, le paysage légèrement vallonné d'aujourd'hui et qui couvre 75 % du pays. Que voir en Lettonie Les têtes noires La place de l'Hôtel de Ville est au coeur du centre historique de la vieille cité de Riga. Les volutes cristallines de quatre flûtes s'élèvent, graciles, tourbillonnantes, sans cesse renouvelées ; les sonorités charmeuses emplissent le volume de la place, et s'en échappent. Tels les enfants d'Hamelin, nous sommes séduits et attirés au centre d'un véritable décor de théâtre à dimension urbaine. Mais ce n'est pas le bâtiment municipal qui joue le premier rôle dans ce décor. En fond de scène, l'église Saint Pierre dresse la flèche de son clocher à plus de 64 mètres ; la vedette revient, sans conteste aux pimpantes façades de la "Maison des têtes noires". Savamment restauré, ce joyau médiéval fut le siège de la corporation des marchands célibataires de la Ligue hanséatique. Cathédrale de Riga Doms Riga ou la cathédrale de Riga, a commencé à construire dans la Saint-James, 1211, par Albert von Buxhoeveden, devenant ainsi le premier évêque. Construire avec un mélange de styles roman et gothique. Le musée avec des expositions illustrant Riga interne dans l'entre-deux guerres, ainsi que des cartes et des cartes postales d'antan. En vedette sur la tournée est l'organe de renommée mondiale créé entre 1883 et 1884 par la société allemande Waclker & Co, qui a des sculptures en bois des XVIIe et XVIIIe siècles. Comme une curiosité, qui est le bâtiment le plus photographié de la ville. Musée de l'occupation de la Lettonie Hautement politique, ce musée est probablement le plus visité de Lettonie. Dans un pays où les tensions ethniques sont palpables, ce musée retrace l'histoire de la Lettonie de 1940 à 1990, les 50 ans d'"occupation" du pays, successivement par les soviétiques, par les nazis, puis par l'armée rouge à nouveau. Posé comme une verrue sur la place de l'hôtel de ville, au bord de la Daugava, ce musée propose une interprétation de l'histoire à laquelle peu de Russes adhèrent. Il n'en reste pas moins que le musée retrace une belle tranche du 20ème siècle letton et les étapes de l'accession à l'indépendance. Le musée est gratuit et des visites guidées sont proposées. Des classeurs en plusieurs langues (dont le français) permettent de se plonger dans l'histoire de la jeune république balte. Eglise de Saint Pierre Riga est une ville impressionnante qui vaut la visite. Elle présente un éventail des monuments d’architecture, des lieux insolites, des ruelles sympas. L’un des symboles les plus connus de Riga est l’église Saint-Pierre. Elle est très haute, sa tour mesure 123,5 mètres. Il y a la possibilité d’accéder en haut de la tour pour profiter du panorama de la ville. Aujourd’hui l’église a été rendue au culte luthérien. Cette église est l'un des monuments d’architecture les plus visités par les touristes. Château de Turaida A Turaida, on visite un château médiéval, construit tout en briques, qui date de 1214. On parcourt de nombreuses pièces où des expositions retracent l’histoire de la région et le quotidien de ses habitants. Le domaine comprend le château lui-même avec sa tour-donjon offrant une vue en plongée fort intéressante, mais également une des très rares églises en bois de Lettonie, et aussi un vaste parc et son mystérieux “Jardin des dieux”, aux sculptures contemporaines qui constituent un intéressant musée de plein air. Une légende situe dans ce parc la tombe de Maija, la Rose de Turaida. Plus loin dans le domaine, une bibliothèque "municipale" où, comme toujours dans les pays baltes, internet est en accès libre ! Parc National de Kemeri Un endroit merveilleux où vous pourrez trouver de nombreuses espèces naturelles, des chevaux sauvages ou des libellules d'une taille particulière. Plage de Jurmala A 30 minutes en train ou bus de Riga, Jurmala est une station balnéaire qui jouissait et jouit encore d'une notoriété exceptionnelle en URSS, notamment à l'époque de Brejnev. Plus de 30 Km de sable fin au bord de la Baltique font de ce lieu l'un des endroits préférés des Rigois. Chaque 1/2h, un train quitte la gare de Riga pour desservir les stations de la côte (Dzintari, Majori, Dubulti...). Majori est l'endroit de la plage le plus fréquenté. Pour plus de calme, descendez aux stations suivantes.... Lituanie La Lituanie (en lituanien : Lietuva), en forme longue la République de Lituanie (Lietuvos Respublika), est un pays d’Europe du Nord et un État membre de l'Union européenne, situé sur la rive orientale de la mer Baltique, au nord-est de la Pologne, au nord de la Biélorussie et au sud de la Lettonie. La Lituanie compte un peu moins de trois millions d’habitants. Sa capitale est Vilnius, sa monnaie l'euro, sa langue officielle le lituanien, langue indo-européenne. La Lituanie est le plus méridional et le plus grand des trois États baltes. C'est aussi le plus peuplé et le plus touristique. La République de Lituanie est membre de l’Union européenne depuis le 1er mai 2004 et fait partie de l’Espace Schengen depuis le 21 décembre 2007. La Lituanie a intégré la zone euro le 1er janvier 2015. Drapeau de la Lituanie Armoiries de la Lituanie Histoire L'histoire de la Lituanie commence par l'unification des tribus lituaniennes par Mindaugas, au milieu du XIIIe siècle, en vue de lutter contre les Chevaliers teutoniques et les Chevaliers porteglaives. Cette période est aussi celle de la christianisation de la population, qui passe du paganisme au catholicisme ou à l'orthodoxie par la conversion de son élite politique. Le pays est ensuite marqué par les règne de Vytenis (en) à partir de 1290 et de Gediminas de 1316 à 1341. Le Grand-duché de Lituanie profite du déclin de la Rus' de Kiev pour étendre fortement ses frontières vers l'est et le sud, dans tout le bassin du Dniepr, jusqu'à la Mer Noire. En 1386, le grand-duc de Lituanie, Jogaila, se marie avec la princesse de Pologne, Hedwige, ce qui crée l'Union de Pologne-Lituanie qui aboutira en 1569 à la création de la République des Deux Nations. Cette union conduit à une forte acculturation de l'élite politique qui adhère à la culture et à la langue polonaise. Le Grand-duché de Lituanie perd alors peu à peu de son autonomie dans la fédération jusqu'à être complètement intégré à la Pologne par la Constitution polonaise du 3 mai 1791. Après les trois partages de la Pologne à la fin du XVIIIe, le pays cesse d'exister politiquement en 1795. L'actuel territoire de la Lituanie est alors intégré à l'empire russe, jusqu'à son indépendance le 16 février 1918, deux semaines avant la signature du traité de Brest-Litovsk, par lequel la Russie reconnaît la perte des États baltes. Cependant, la guerre russopolonaise de 1919-1920 lui fait perdre la partie est de son territoire avec sa capitale historique, Vilnius, qui devient donc une ville polonaise sous le nom de Wilno. De plus, elle avait une forte population polonaise, et le maréchal polonais Pilsudski héros de l'indépendance polonaise de 1918 y était très attaché, c'est Kaunas qui fut la capitale de la Lituanie de 1918 à 1940, date à laquelle déjà sous l'occupation soviétique les agresseurs organisèrent un "plébiscite" pour légitimiser l'annexion de Lituanie et son rattachement à l'URSS sous le pacte de MolotovRibbentrop du 23 août 1939. La nouvelle république disparait en 1940, à la faveur de l'occupation de l'Union soviétique, au début de la Seconde Guerre mondiale et conformément au pacte germano-soviétique d'août 1939. Après une occupation allemande de quatre ans (de juin 1941 à juillet 1944), suffisante pour détruire toute la présence juive du pays, l'une des plus importantes d'Europe, la Lituanie est à nouveau absorbée par l'Union soviétique de 1944 à 1990. Elle n'a donc retrouvé son indépendance que depuis le début des années 1990. Géographie générale La Lituanie est délimitée au nord par la Lettonie, à l’est et au sud par la Biélorussie, au sud-ouest par la Pologne et par Kaliningrad (l’ancienne Königsberg) appartenant désormais à la Russie, et à l’ouest par la mer Baltique. La majeure partie du territoire, située dans le bassin du Niémen, ne dépasse pas 250 m d’altitude. Le pays possède également de vastes étendues de marais, en particulier au nord et à l’est, dont un grand nombre a été drainé. Principales villes de Lituanie et habitants 1 Vilnius Apskritis de Vilnius 540 318 11 2 Kaunas Apskritis de Kaunas 361 274 12 3 Klaipėda Apskritis de Klaipėda 187 442 13 4 Šiauliai Apskritis de Šiauliai 129 075 14 5 Panevėžys Apskritis de Panevėžys 115 604 Démographie Tableau récapitulatif de la population selon l'ethnicité : Recensements Lituaniens 1923 1970 80,1 % 80,1 % 2001 83,45 % Allemands 4,1 % - 0,1 Polonais 3% 7,7 % 6,74 % Russes 2,3 % 8,6 % 6,31 % Biélorusses 12 % 1,5 % 1,23 % Ukrainiens - 0,8 % 0,65 % Total 2 028 971 3 128 000 3 483 972 En 1923, la région de Vilnius, dont la ville était peuplée majoritairement de Polonais et de Juifs, faisait partie de la Pologne, qui avait annexé la République de Lituanie centrale en 1922. Aujourd'hui, dans beaucoup de fiefs de la région de Vilnius (Trakai par exemple), les Polonais restent majoritaires. À Vilnius, il existe encore beaucoup d'écoles polonaises et russes. Il est probable que la catégorie « Russes » en 1923 incluait des Biélorusses et des Ukrainiens (officiellement 43). L'importante minorité juive de Lituanie a été totalement anéantie par les nazis, la Lituanie ayant été occupée par l'Allemagne de 1941 à 1945. La minorité allemande ou germanisée (« Memelliens » dans le recensement de 1925), surtout présente à Memel (Klaipėda), a été expulsée par l'Armée rouge en 1945, à l'instar de celle de Prusse-Orientale (actuel territoire de Kaliningrad). La religion prédominante est le catholicisme à 79 %, mais l'orthodoxie (4,07 %), le protestantisme, le judaïsme et l'islam existent aussi, en tant que religions minoritaires. On trouve également à Trakai les derniers karaïtes d'Europe. Le néo-paganisme est renaissant. Monnaie Jusqu’en 2015, la monnaie nationale était le litas (LTL : 3,45 litas pour 1 euro, taux de change fixe). Le mercredi 4 juin 2014, la Commission européenne, ainsi que la Banque centrale européenne ont donné leur feu vert pour l'entrée de la Lituanie dans la zone euro. Le 1er janvier 2015, l’État balte est devenu le 19e membre de la zone euro Que voir en Lituanie Place de la Cathédrale La place de la Cathédrale est le cœur historique de Vilnius. Ici, dans la confluence des rivières Neris et Vilnia, la ville a été formé. Maintenant, il y a des tas de rues où avant seuls les rivières coulaient. C’est sur cette place que les autorités militaires, politiques et administratives de la Lituanie se sont réunis durant des siècles. Le décor central de la place est la Cathédrale (Basilique) de Vilnius. On a aussi construit trois châteaux pour défendre la terre: Les Châteaux Haut, Bas et Courbe. Les carreaux de granit rose incrustées dans la place rappellent où était, autre fois, la muraille défensive avec sa Porte Ouest, les tours et le Palais de l’Evêque. Sur cette même place se trouve la statue du fondateur de la ville. Tour de Gediminas Tour de Gediminas, situé sur le dessus de la «colline du même nom à côté de la cathédrale de Vilnius, est l'un des symboles ainsi que l'un des monuments les plus importants de la capitale de la Lituanie. Du haut de la tour en briques rouges, de forme octogonale, vous pouvez voir toute la ville, contraste très marqué entre la ville nouvelle et la vieille ville. La tour est facilement accessible avec un funiculaire, ou avec un sentier plus évocateur, mais raide. La tour est nommé d'après le premier grand grand-duc de Lituanie, et intègre un grand musée, où vous pouvez voir quelques objets médiévaux et regarder des films sur l'histoire de l'indépendance du pays. Il est dit que la tour a été créé et mis en place le drapeau tricolore vert-jaune-rouge représente aujourd'hui le drapeau national, qui, depuis 1991, après l'indépendance de l'Union soviétique se démarque de la colline dans les vents glacés de la Baltique. Aussi de la colline de Gediminas semble jouer le célèbre «Via Baltica», la chaîne humaine fait en Août 1989, qui a ouvert à l'indépendance des trois pays baltes, qui pour environ 600 km, rejoint Vilnius, Riga et Tallinn en signe de protestation contre la 'occupation soviétique. Porte de l’Aurore Bienvenue au centre historique de Vilnius. A l'extérieur, il est décoré sur le dessus par une symbologie chevaleresque de la capitale. A l'intérieur, il y a un balcon sur lequel la messe est souvent donnée. Les paroissiens se placent tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la rue. Le quartier Užupis Le quartier Užupis est le quartier artistique de Vilnius. C'est un peu une ville dans la ville, où les bâtiments à l'abandon ont été réhabilitée. En entrant vous pourrez lire la constitution d'Uzupis comme s'il s'agissait d'un état indépendant, écrit en plusieurs langues avec les droits de chacun, dont le droit "d'être heureux", «Le droit de pleurer, de rire..." . il y a plein de galeries d'art, de boutiques d'artisanat, de cafés.... au bord de la rivière. C'est vraiment très sympa et des plus pittoresque. Monument à Gediminas Gediminas a vécu entre 1275 et 1341 et a gouverné le Grand-Duché de Lituanie durant 25 ans. C'est le fondateur de Vilnius, la capitale, et de Trakai. Il était connu pour entretenir de bonnes relations diplomatiques avec l'Europe. Il a élargi les frontières à l'est et au sud. Ce monument dédié au grand-duc de Lituanie a été créé par l'américano-lituanien Vytautas Kasuba. Château de Trakai Trakai est une petite ville située 28 km à l’ouest de Vilnius, elle est accessible en train ou mieux encore, en bus. Elle est littéralement bâtie sur l’eau, c'est pour cela qu'elle est entourée de lacs. Le château se dresse sur une île située à 2 km de la ville. Pour éviter la trotte, il est préférable de louer un vélo pour s'y rendre. Il paraît que c'est le seul château d’Europe bâti sur une île entourée par le lac Galve. L'unique accès est une passerelle flottante sur ce lac. Le château est construit en briques rouges, il est de style gothique. Il fut fondé par le héros national de Lituanie, le Grandduc Gediminas, au XIVe siècle. Puis, il fut reconstruit au XXe siècle pour abriter le musée historique qui existe encore aujourd'hui. Il dispose de plusieurs salles dans lesquelles sont exposées les différents objets relatifs à l’histoire de Trakai (tels que les pièces de monnaie, les timbres, les manuscrits, les cartographies, les objets en céramiques, les vestiges archéologiques, etc.). Il a aussi une église qui se caractérise par le tableau de la Sainte Mère de Dieu, datant du XVe siècle et considérée par les historiens comme l'un des objets les plus précieux du patrimoine de la Lituanie. Tous les samedis, des mariages sont célébrés dans ce château ainsi que des festivals et d'autres événements. Si vous voyagez en Lituanie, ne manquez pas l'occasion de visiter le parc naturel de Neringa. C'est un espace sensationnel, avec ses dunes, ses plages et le désert dans la région de la Baltique. C'est un lieu classé à l'Unesco. La meilleure ville pour se loger est Nida. Dunes de Neringa Il faut faire un trajet en ferry depuis Klaipeda, puis prendre un bus local qui vous emmène à Nida, les dunes sont dans la partie droite de la ville, vous avez les plages, les dunes, un endroit sensationnel où se perdre.