Concours_blanc_2016

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QCM- 1 Pour l’anthropologie
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A : Un individu est une personne qui fonctionne
par le biais d’interprétations.
B : Une société est en partie le produit de la
pensée des individus.
C : Un individu est toujours déterminé par sa
société.
D : La culture trouve des expressions spécifiques
selon les sociétés.
E : La socialisation est un processus social, mais
aussi individuel.
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QCM 2. Questions diverses sur la maladie :
A : Disease est la maladie du médecin : cela signifie
que c’est le médecin qui en construit le contenu à
travers son discours, son savoir.
B : Illness et Sickness sont des synonymes puisqu’il
s’agit à travers ces catégories, de repérer les aspects
sociaux de la maladie.
C : Pour les anthropologues, il faut que les médecins
considèrent le regard des malades sur la maladie,
pour les soigner.
D : « Le feu qui brûle les âmes sensibles », ou «la
maladie des romantiques » : c’est l’aspect illness de
la tuberculose.
E : Sickness, c’est le regard collectif d’une société sur
un problème de santé
QCM 3 Sur le corps
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A : Toutes les formes de savoir sont en partie le
fruit d’une histoire sociale.
B : Les registres du biologique et social, du
naturel et du culturel s’imbriquent pour produire
nos corps individuels.
C : Le corps, comme les manières de penser le
corps, sont en partie sociales et culturelles.
D : Ce qui est spontané est social.
E : Ce qui est spontané est social et culturel :
que ce soit un individu ou plusieurs qui
raisonnent de manière spontanée sur un
phénomène.
QCM 4. Questions diverses sur l’anthropologie
générale
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A : L’anthropologie a pour rôle d’analyser comment les
environnements sociaux et culturels modèlent des
comportements individuels.
B : L’anthropologie a pour rôle d’évaluer des
comportements afin de les rendre plus ajustés aux savoirs
scientifiques.
C : L’anthropologie utilise la comparaison aussi souvent que
possible pour produire du savoir sur les sociétés et les
cultures, depuis qu’elle s’est constituée en discipline
scientifique au 18ème siècle.
D : Pour l’anthropologie, la maladie est une réalité
multidimentionnelle.
E : Chacun de nous occupe durant sa vie plusieurs statuts,
en même temps ou pas.
QCM 5 : Questions sur le corps malade
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A- Le précodage symbolique est un registre
professionnel et profane d’explication possible d’une
maladie.
B- Il y a des normes apprises de manière non
consciente, qui sont mobilisées par les
professionnels de santé lorsqu’ils raisonnent sur le
corps malade.
C- La recherche de sens face à la maladie ou son
diagnostic comporte au plus 4 opérations et
questions qui leur correspondent, selon A.
Zempléni.
D-C. Levi-Strauss et M. Mauss ont travaillé sur le
corps malade.
E- Les savoirs tant professionnels que profanes sur
le corps malade intègrent des processus de
socialisation.
QCM 6. Questions diverses
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A : Le « précodage symbolique » est un registre
professionnel d’interprétation d’une maladie.
B : Les valeurs comme les normes sont relatives,
c’est-à-dire qu’elles peuvent différer selon les
sociétés et les cultures.
C : En méthodologie, nous partons des structures
d’une société pour comprendre les attitudes des
individus.
D : Les outils de l’anthropologie sont : entretiens
qualitatifs, interrogatoires qualitatifs, observations.
E : Toutes les sociétés produisent des normes qui
participent à structurer leur fonctionnement
quotidien.
QCM 7 :Questions diverses :
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A : Les cultures portent en elles des valeurs, qui
nous intériorisons.
B- Les anthropologues analysent le vécu des
individus, parfois malades, parfois pas.
C- Le saturnisme infantile doit être considéré
comme une maladie culturelle.
D- Les anthropologues analysent des expériences
individuelles et collectives, qui sont entre autres,
des formes de savoir.
E- La représentation est une construction à partir
du réel.
QCM 8. Questions diverses
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A : Les cultures dans lesquelles nous évoluons influent sur
nos manières de penser la santé.
B : Les éléments subjectifs renvoient , entre autres, aux
représentations des individus.
C : Les représentations sociales sont des connaissances
pratiques. Ce sont des processus mentaux essentiels dans
nos vies.
D : Pour parler de la maladie, l’anthropologie doit passer
par le discours médical, pour aller ensuite vers les
représentations des personnes malades.
E : L’observation est une des manières pour
l’anthropologue de faire émerger des questions sur des
comportements, qui seront ensuite posées en entretien.
9 Sur les itinéraires thérapeutiques :
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A- La biomédecine recherche en priorité les mécanismes qui
produisent une maladie.
B- Rechercher l’agent à l’origine d’une maladie, c’est
rechercher la cause ultime d’une maladie.
C- Rechercher la cause immédiate d’une maladie, c’est
rechercher les événements qui l’ont produite.
D- Rechercher la cause d’une maladie, revient à rechercher
une cause instrumentale, un mécanisme qui aurait produit
le problème.
E- Rechercher l’origine d’une maladie correspond à la
recherche des événements qui l’ont produite, dans les
médecines « traditionnelles ».
QCM 10 : Sur les itinéraires thérapeutiques
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A : En anthropologie nous cherchons à
reconstituer autour d’une pathologie, les
éléments structurels, conjoncturels, matériels et
immatériels qui la façonnent.
B : Conceptions endogènes et exogènes sont des
modèles étiologiques d’explication d’une maladie.
C : Le registre des conceptions endogènes
contient des représentations, pas le registre des
conceptions exogènes, basé sur le savoir médical.
D : Dans la recherche d’une cause à une maladie,
la recherche du pourquoi correspond à la
recherche de la cause efficiente.
E : La question « qui ou quoi a produit la
maladie », renvoie à la recherche de l’agent.
QCM 11 : Questions diverses
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A : Normes, valeurs, règles, sont des synonymes.
B : La culture matérielle, comme la culture
immatérielle, sont deux entrées possibles pour
interroger les phénomènes culturels.
C : L’art s’inscrit dans la culture matérielle.
D : On peut penser que la culture participe à faire
l’être humain. Elle participe à distinguer l’homme
de l’animal.
E : La culture comprend une dimension
matérielle, une dimension immatérielle, une
dimension corporelle.
QCM 12 : Questions diverses :
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A : Sickness et illness peuvent s’articuler quand
un individu construit une représentation.
B : Les grands cadres d’une société sont d’abord
collectifs avant de devenir individuels.
C : Les cadres sociaux qui façonnent nos
manières d’être et de penser sont d’abord
individuels ; ils deviennent collectifs par le biais
des socialisations.
D : En anthropologie, nous considérons l’autorité
des professions de santé comme une relation.
E : M. Arliaud a travaillé sur la profession
médicale en France
QCM 13 : Sur la profession médicale
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A : Des luttes sociales ont été nécessaires pour que les
docteurs en médecine retrouve nt le monopole de l’exercice
médical après la Révolution française.
B : C’est au 20ème siècle que la plus grande partie de
cette lutte a eu lieu.
C : L’autorité de la médecine est avant tout liée à
l’acquisition de savoirs théoriques.
D : C’est la loi de 1892 qui pose le cadre légal de la
médecine contemporaine.
E : Les officiers de santé ont cohabité avec les
docteurs en médecine pour délivrer des soins en ville
et dans les campagnes en France durant environ cent
ans.
QCM 14 : Questions diverses
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A : Le corps est un reflet et un instrument du
social.
B : Les normes sont un reflet et un instrument du
fonctionnement des sociétés.
C : La socialisation est un processus.
D : La socialisation est un moyen et un état.
E : La socialisation concerne tous les domaines
d’une vie.
QCM 15 : Questions diverses
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A : Le processus de socialisation des étudiants en médecine
a été étudié par les sociologues et les anthropologues.
B : A travers les représentations sociales, chaque être
humain vivant en société va intégrer une part de ce qu’il vit
pour en faire sa réalité.
C : La maladie est une menace dans toutes les sociétés.
D : Pour l’anthropologie, le corps est avant tout une base
matérielle et naturelle.
E : Les symboles sont très présents dans les cultures.
16 Pour l’anthropologie :
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A : Le corps est considéré par les anthropologues
comme un élément privilégié sur lequel le social
vient s’inscrire.
B : Le corps est parfois un objet du travail de la
pensée, parfois pas.
C : Le corps incorpore le social tout au long de sa
vie.
D : Norbert Elias a travaillé sur les processus de
civilisation.
E : M. Mauss a travaillé sur les processus de
construction de la distinction.
17 Questions diverses
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A : D. Memmi a travaillé sur l’alimentation.
B : Se représenter quelque chose, c’est lui attribuer une
signification.
C : Les dynamiques sociales interviennent dans le contenu
d’une représentation, pas dans son élaboration.
D : Les critères médicaux qui permettent de définir les
limites entre normal et pathologique sont en partie le fruit
d’une histoire sociale.
E : Dans le contenu d’une représentation, on trouve des
éléments structurels et conjoncturels, ou des facteurs
« contingents »
18 Sur les auteurs
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A : S. Fainzang a étudié la circulation de
l’information entre médecins et malades.
B : G. Vigarello a étudié un geste technique:
l’inoculation face à la tuberculose.
C : E. Hughes a étudié la profession médicale aux
Etats-Unis.
D : E. Freidson a étudié la profession médicale en
France.
E : N. Elias a travaillé sur les processus de
civilisation et la construction de la distinction.
19 Questions diverses :
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A : Pour l’anthropologie, il n’y a de vérité que
dans la construction de ces vérités par les
individus.
B : La relation de soin n’est pas symétrique car
elle est conditionnée par un besoin, celle
d’obtenir des soins du côté des personnes
malades.
C : Chacun de nous fonctionne avec une identité,
qui est, entre autres, un regard porté sur soi.
D : Dans les soins, l’identité d’un individu peut
être mobilisée par le soignant pour interpréter
des attitudes d’observance ou d’inobservance.
E : La différence du vécu de la séropositivité
selon le genre relève du disease.
20 Questions diverses
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A : Selon D. Fassin, l’autorité de la profession médicale
s’analyse en termes de relations entre ceux qui détiennent
l’autorité et ceux qui la délèguent aux soignants.
B : SI le rôle du médecin est socialement défini, il n’en va
pas de même pour celui du patient.
C : En anthropologie, le corps est considéré comme un
reflet du fonctionnement culturel, social, politique des
sociétés. Il est aussi considéré comme un vecteur de ces
processus sociaux.
D : Les expériences de la maladie sont en partie normées
par les attitudes des professionnels de santé.
E : La socialisation professionnelle conduit, notamment, à
faire acquérir aux futurs médecins des représentations, des
savoirs, et sans doute aussi des croyances.
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