Moyen permettant aux webmasters de rentabiliser financièrement leur site internet et de leur permettre de couvrir les coûts d'hébergement et de noms de domaine. Moyen privilégié d'assurer la promotion des services ou produits que propose le site web. Elle s'adresse aux internautes (public idéal pour une telle campagne de promotion). Elle se fait généralement sous forme de campagne publicitaire, grâce à la diffusion de bandeaux publicitaires (bannières publicitaires), sous forme graphique,de liens sponsorisés, ou textuelle. Des entreprises spécialisées, appelées « régies publicitaires » sont généralement le point de passage recommandé pour la gestion des campagnes publicitaires. Elles représentent ainsi un intermédiaire entre les annonceurs (souhaitant diffuser une campagne publicitaire) et les éditeurs (propriétaires de sites internet acceptant de réserver une partie de leur surface d'affichage à la diffusion de bannières publicitaires). Les régies se réservent un pourcentage de la recette des campagnes publicitaires correspondant aux « coûts de régie ». Les coûts de régie sont généralement compris entre 30% et 60%. Traditionnellement Internet est jugé peu rentable pour ce qui est de la publicité. Les dernières évolutions technologiques et l’émergence du web marketing et du e-business ont permis de rationnaliser les campagnes Web. L’utilisation de tous les outils à disposition on permit une forte croissance des investissements publicitaire dans ce nouveau média. Sans mesure d'audience, il ne peut y avoir de marché publicitaire. D'où la nécessité, pour les annonceurs, les supports et les observateurs du marché, de connaître les rouages de la mesure d'audience, et de parler le même langage. Il existe 2 types de mesure sur Internet : - La mesure de fréquentation: utilise des outils appelés "site centric" (côté sites) - La mesure d'audience: recours à des outils appelés "user centric" (côté utilisateurs). Site centric repose sur le comptage des connexions à un site web, effectué grâce à l'analyse des logs sur les serveurs de l'entreprise ou par le biais de tags (marqueurs) placés dans le code source des pages, et s'assimile à la notion de diffusion en presse. Elle s'applique plus spécifiquement à la mesure des volumes de trafic (nombre de visites et de pages vues), dans la mesure où le comptage se fait par poste connecté et non pas individu connecté. User centric repose sur le suivi des navigations d'un panel représentatif de la population de référence, et s'assimile à la notion d'audience en presse. Elle a plus spécifiquement pour but de dénombrer et de qualifier les visiteurs d'un site Web : nombre de visiteurs uniques, profil sociodémographique, etc. Exemple Le panel Médiamétrie NetRatings s'appuie sur un échantillon représentatif de la population âgée de 2 ans et plus et résidant en France. Il est composé, selon la méthode des quotas, de 8.000 internautes, dont environ 6.500 à domicile et 1.500 sur le lieu de travail, certains ne surfant qu'à domicile, d'autres uniquement sur le lieu de travail, et une partie disposant d'un accès au domicile et sur le lieu de travail. Les panélistes acceptent d'installer un logiciel sur leur PC, qui transmet en temps réel et analyse les données de connexion. Le taux de rotation du panel s'élève à 20 % chaque année. Cet échantillon est construit sur la base d'une enquête de cadrage effectuée auprès de 12.000 Français (méthode aléatoire), à raison de 1.000 interviews par mois. Les données sociodémographiques des individus qui déclarent avoir un accès à Internet sont extraites pour qualifier l'univers de référence. Site centric effectue un comptage quel que soit le lieu d'origine de la connexion (pays d’origine ou étranger, domicile, lieu de travail, lieux publics) La mesure colle à la réalité de la fréquentation sur le site. User centric exclut l'audience hors domicile et lieu de travail, de même que l'audience venant de l'étranger, et la réalité est décrite par le prisme de la statistique. Les sites qui ne sont pas visités par les panélistes ne sont pas mesurés. Et bien évidemment, les sites qui ne sont pas mesurés par le panel n'ont pas une audience nulle. Autre point important faisant varier les données exprimées en visiteurs uniques : La mesure site centric se base sur la création de cookies qui identifient un poste connecté, alors que la mesure user centric identifie l'individu connecté. Cette fois, la réalité de l'audience n'est mesurée que par les solutions user centric, car plusieurs individus peuvent utiliser le même ordinateur, d'une part, et il existe désormais des logiciels qui détruisent les cookies, ce qui a pour conséquence de comptabiliser un même poste comme plusieurs visiteurs uniques. Le choix dépend avant tout des objectifs et des budget. Pour obtenir et être en mesure de fournir des informations sur le profil de ses visiteurs, la solution user centric s'impose. Par ailleurs, les chiffres étant accessibles à quiconque, moyennant finances, les données des panels ont tendance à avoir plus de poids et d'impact. Du côté des solutions site centric, le coût dépend énormément de la prestation fournie, de la simple mesure de trafic à une analyse fine, jusqu'au suivi de campagnes que proposent souvent les outils de mesure. Clics (ou Adclicks) : nombre de clics effectués sur la publicité. CPC (Coût par Clic) : somme versée pour chaque clic sur la publicité. PAP (Pages avec Publicité) : nombre de fois que la publicité a été affichée. Cela correspond généralement au nombre de pages qui ont été vues sur votre site. CPM (Coût pour Mille) : certains annonceurs rémunèrent au nombre de fois que vous affichez la publicité (et non au nombre de clics sur la publicité). Le CPM est donc la somme que l'on vous verse pour 1000 affichages de la publicité. eCPM (CPM effectif) : rapport entre l'argent gagné et le nombre de fois que la pub a été affichée = Clics / PAP. Un eCPM élevé indique que la pub est efficace et donc qu'une proportion importante des visiteurs visite les annonces publicitaires. CTR : nombre de clics par rapport au nombre d'affichages de la pub. Si vous avez un clic pour 100 affichages de la pub, alors vous avez un CTR de 1%. En pratique, le CTR tourne entre 0,1% et 0,4%. Inscription : (cas d'un parrainage) nombre de visiteurs qui se sont inscrits à un programme de parrainage. Pop-up: provoque suite à un clic sur la bannière, l'ouverture de la publicité dans une nouvelle instance du navigateur. Il est de plus en plus bloqué par les navigateurs des internautes en raison de la gêne qu'il occasionne. Pop-under provoque suite au survol de la bannière par le curseur de la souris, le déploiement de la bannière au sein de la page en cours. Il permet de donner plus d'informations à l'utilisateur sans pour autant gêner la navigation du visiteur. Rich media désigne l'utilisation du Javascript, calques (layers), du Flash, du son et de vidéo dans les bannières publicitaires. Afin d'éviter aux internautes de visionner constamment la même publicité, les régies publicitaires mettent généralement en place un dispositif à base de cookies, permettant de limiter une campagne à un certain nombre d'affichages par visiteur. Eviter de gêner la navigation du visiteur: ne pas utiliser des popups. Ce moyen est dépassé et la plupart des navigateurs les bloquent aujourd'hui. Etre ciblée: être dans les centres d'intérêt du visiteur. Une publicité doit être intelligente et s'adapter au visiteur. La publicité ne doit pas être subie, elle doit au contraire aider le visiteur et lui proposer des liens vers des sites qui l'intéressent. Pas d'ouverture automatique de fenêtres (popups, popunders). Cette méthode a de moins en moins d'avenir car les navigateurs bloquent ces fenêtres intempestives aujourd'hui. A une époque, les popups pour des sites de Casino s'ouvraient toutes les 2 minutes, un vrai cauchemar. Aujourd'hui, on assiste à l'apparition d'un genre nouveau de popups lancées par des animations Flash ou simulées par du Javascript. Evitez les énormes publicités colorées qui clignotent. Quand on essaie de se concentrer sur le texte de la page, on n'apprécie pas que l’œil soit dérangé par un autre élément. Evitez les forts contrastes : Il est préférable que la publicité se "fonde" dans le décor de la page web autant que possible. Attention à ne pas tomber dans l'excès inverse : une publicité qu'on ne voit plus est une publicité qui ne rapporte rien. Ne pas placer la publicité au centre de la page : risque de "couper" la lecture du visiteur en mettant la pub au beau milieu du texte. Mettre la publicité de préférence dans un menu ou tout en haut de la page. Si on prend en compte tous ces éléments, une bonne publicité doit donc être: Compatible dans le design du site Placée dans un menu ou en haut de la page Une image ou un texte, mais pas une fenêtre popup ou popunder. Faire une enquête sur le site, essayez de déterminer le profil des visiteurs. Pour cela, il faut récupérer ces informations à l'aide de sondages : - L'âge moyen des visiteurs Le sexe des visiteurs Leur(s) passion(s) principale(s) L'heure à laquelle ils se connectent sur le site en moyenne Grâce à ces informations, on sait à qui on a affaire. On sera plus facilement capables de trouver une publicité adaptée si la publicité est très bien ciblée, les chances de voir les voir visiter les annonces publicitaires augmentent. Affichage (CPM ): rémunération en fonction du nombre d'affichage (modeste somme :en général 1,5 euros pour 1000 affichages). Généralement réservé aux sites à fort trafic (plus d'un million de pages vues par mois). Pour connaitre votre rémunération, il suffit de regarder le nombre de pages affichées dans le mois. Click (CPC): rémunération proportionnelle au nombre de clics uniques sur les bannières diffusées. Contre l'affichage d'un bandeau publicitaire vous êtes payés à chaque fois qu'un visiteur click sur ce bandeau. En général, environ 0,15 euros par click. Généralement un seul click par adresse IP et par période de 24 heures est comptabilisé. CPS ou Lead: nombre de clics de visiteurs ayant abouti à une vente. Affiliation à un site marchands. Le client clique sur le lien dans votre site, et doit acheter immédiatement. Vous recevez ensuite une commission sur ces achats. Toutefois, des systèmes de tracking sont parfois mis en place : vous êtes payé même si le client revient et achète quelques temps plus tard, la période est généralement de 30 jours. On trouve aussi des variantes de ce programme avec l'affiliation au double clics ( l'internaute doit cliquer sur le bandeau publicitaire et ensuite sur un lien du site visité ), ou encore au formulaire ( l'internaute doit remplir un formulaire aprés avoir cliquer sur le lien ) Pour éviter l'inscription à une multitude de sites, il existe des sites ou plateformes d'affiliation. Ces sites regroupent les programmes d'affiliation de nombreux commerçants. Leurs services sont étendus, ils proposent des pourcentage sur vente, mais aussi des programmes aux formulaires, clics, double clics : first coffee, tradedoubler, Affilinet et WiPub programmes variés et serieux de leur équipes XXX: les sites pour adultes. Les hébergeurs pour sites 'adultes' présentent le double avantage de fournir l'hébergement ET de rémunérer. Pour cela c'est très simple, vous ouvrez un compte et vous recevez une commission sur les revenus générés par votre site. Micro Paiement: permet de rentabiliser un peu son site web sur internet: Faire payer une petite somme d'argent à l'internaute pour lui donner accès à une partie réservée de votre site web ou à des fonctionnalités avancées. Cette transaction s'effectue à l'aide d'un numéro de téléphone surtaxé, et donc sans carte bancaire pour garantir la sécurité. Le prestataire propose toute l'infrastructure et la logistique de tel sorte que l'installation d'un tel système est vraiment très simple. Dans la pratique, l'internaute appelle le numéro de téléphone que vous lui donnez, tape un code qui vous est attribué et obtient un numéro. Ce numéro est ensuite saisi dans un formulaire et validé par le prestataire avant de donner accès à la zone privée de votre site web. En connaissant parfaitement vos visiteurs et en choisissant les programmes parfaitement adaptés à votre site il est tout à fait possible de faire un chiffre d'affaire très correct. Le principal est de choisir des commerçants vendant des produits qui correspondent à votre site. Les liens sponsorisés font vendre. Les annonceurs se les arrachent aux enchères, Google en a fait sa fortune, et les agences de marketing spécialisées dans le domaine se font racheter. Les spécialistes de cette forme particulière de publicité lui ont donné un nom, le search engine marketing (SEM). Derrière cette nouvelle branche du marketing, des algorithmes compliqués ont remplacé les "4P" du mix, et renvoient les techniques du médiaplanning traditionnel à des parties de campagne. Tous les réseaux de liens sponsorisés fonctionnent selon un système d'enchères, amenant les annonceurs à fixer euxmêmes les prix des mots-clés, sachant que l'annonceur paie ce prix chaque fois qu'un internaute clique sur le lien sponsorisé. Le principe général consiste à choisir le prix au clic maximum que l'on est disposé à payer pour tel mot-clé, la position dans l'affichage résultant du prix plafond des autres annonceurs sur le même mot-clé. Ce type d'algorithme mêlant prix et taux de clic tend à se généraliser, car il est plus lucratif pour les réseaux de liens. En effet, mieux vaut pour le réseau une annonce moins chère qui génère du clic que l'inverse. Au final, la gestion des prix et des positionnements devient excessivement complexe, et la qualité de l'annonce s'avère prépondérante. L'annonceur en est souvent réduit à fixer un prix maximum puis, à attendre de voir ce qui se produit, l'ajustement et la réactivité devenant des variables essentielles. Ce système favorise par ailleurs les annonceurs qui maîtrisent le mieux les campagnes, en termes de création d'annonce et de suivi. Toutes choses égales par ailleurs, le taux de clic dépend du positionnement de l'annonce. Yahoo expose sur son site que l'annonce située en 1ère position dans la liste des recherches obtient en moyenne 3 fois plus de clics que l'annonce située en cinquième position. Les annonces mises en exergue en haut de la page, sur fond bleuté sur Google et Yahoo, génèrent également plus de clics : 10 à 13 % en moyenne contre 1 à 4 % sur les liens en colonne de droite. Les termes liés au crédit, au voyage et au matériel high-tech sont d'ordinaire les plus chers. "Très cher", pour un mot-clé, signifiant jusqu'à 4 ou 5 euros du CPC. Les moyennes se situeraient en dessous de 0,20 euro pour des mots-clés peu valorisés, entre 0,20 et 0,80 euro pour des mots-clés de valeur moyenne, et au dessus de 0,80 euro pour les mots clés les plus recherchés. Remise pour les nouveaux clients, remises sur volumes… Dans les médias traditionnels et Internet, les annonceurs sont habitués à voir les tarifs nets de leurs campagnes atteindre des niveaux très inférieurs aux tarifs bruts, en raison de multiples remises et négociations. En matière de liens sponsorisés, la situation est tout autre. "Les agences bénéficient d'une remise de 15 % sur MSN, Yahoo et Miva. Google a supprimé cette remise le 1er janvier 2006. Depuis, c'est un système de remises sur volume par trimestre. Google a perdu un procès en appel contre Vuitton, pour avoir permis à des annonceurs n'appartenant pas au groupe LVMH, maison mère de Vuitton, d'acheter le mot-clé Vuitton pour faire de la publicité sur Google Adwords. La faiblesse des contrôles et son système de sélection étendue de mots-clés (le moteur propose automatiquement des mots-clés proches aux annonceurs à partir d'un mot-clé initial) seraient à l'origine de ces dérives, plus fréquentes sur Google que sur les autres réseaux de liens. Les condamnations de Google et les efforts dont font preuve ses concurrents sont un signe positif pour le marché, qui réclame avant tout plus de transparence et de sécurité, ce qui se comprend pour un produit basé sur la performance mesurable au centime près. Autre dérive liée à l'explosion du marché des liens sponsorisés, la fraude au clic. Elle consiste notamment à cliquer en masse sur les liens d'entreprises concurrentes, afin de plomber artificiellement leur budget promotionnel, pour un taux de transformation nul. Google et Yahoo, aux Etats-Unis, proposent de dédommager leurs clients victimes de fraude au clic dans le cadre de procédures en class action. Ce phénomène, à terme, et si la tendance se poursuit, pourrait donner un sérieux coup de frein à la croissance du marché. Certes, le taux de fraude reste difficile à mesurer, et seuls les annonceurs dotés d'outils de tracking puissants sont en mesure de le faire. Afin de pouvoir encaisser les revenus publicitaires générés, il est nécessaire, (au moins en France), d'être déclaré à la chambre de commerce et d'industrie, que ce soit en tant que travailleur indépendant ou bien sous la forme d'une structure entrepreneuriale. Préférez dans l'ordre : la rémunération à l'affichage puis la rémunération au clic. Ne perdez pas votre temps avec les rémunérations au chiffre d'affaire réalisé, sauf si votre site est spécialisé dans un domaine précis Avant de tenter de gagner de l'argent, pensez à ne pas en dépenser! Les retours sur investissements sont rarement rentables pour les petits sites : préférez les échanges de bandeaux de pubs gratuits, les échanges de liens de partenariats, et travaillez votre référencement. Pour la rémunération au clic, si vous êtes affiliés, essayez de mettre en place un lien texte plutôt qu'une bannière. Les bannières sont moins cliquées parce que les internautes ne les voient plus (ou ne veulent plus les voir) et savent que c'est de la publicité. Tentez d'atteindre la taille critique (Environ 100 000 Pages par mois) qui vous permettra de lier un partenariat avec de grandes régies publicitaires. Avant de choisir une régie ou un partenaire d'affiliation, vérifiez les points suivants : Acceptent-ils des particuliers (si vous en êtes un) ? Quel est le montant de la rémunération ? Quelles sont les conditions spécifiques pour que le clic soit pris en compte le cas échéant (minimum de pages vues, inscription du visiteur, etc.) ? A partir de quel montant le partenaire verse-t-il vos commissions ? Le partenaire est-il connu, fiable? Bandeau Bandeau avec navigation Demi-bandeau Bandeau vertical Vignette/vignette carrée Micro-vignette Carré Rectangle/vertical/moyen/large Rectangle Gratte-ciel/ étendu Demi gratte-ciel Il existe de nombreuses régies publicitaires : entreprises qui font le lien entre les gens qui veulent diffuser leur publicité (les annonceurs) et ceux qui affichent ces publicités (les webmasters : vous) Aujourd'hui, il y a une régie publicitaire qui se détache des autres: la régie publicitaire de Google. A la base Google n'était qu'un simple moteur de recherche. Aujourd'hui, ils offrent de très nombreux services comme un webmail (Gmail), un service de cartographie (Google Earth) etc. Lorsque Google s'est lancé dans la publicité il y a plusieurs années, ils ont touché juste : aujourd'hui la publicité est probablement ce qui rapporte le plus à Google. La régie publicitaire de Google s'intitule Google Adsense. C'est le meilleur choix car cette publicité respecte tous les principes qui font une bonne publicité. La publicité est entièrement paramétrable, que ce soit au niveau de la taille ou des couleurs. Vous pouvez donc l'adapter au design de votre site. C'est une des rares régies à proposer cela. Les publicités sont le plus souvent sous forme de texte Les publicités sont ciblées : gros point fort du système. Google analyse le contenu de la page actuellement visitée. En fonction des mots-clés que Google y trouve, des publicités adaptées sont diffusées. Le code source des publicités est valide XHTML. La plupart des autres régies utilisant des <iframe> qui cassent la validité de votre belle page web. C’est relativement simple. Vous rentrer vos coordonnées ainsi que l'URL de votre site web. Si vous possédez plusieurs sites web, une seule inscription pour tous les sites suffit. Dans la page qui s'ouvre à vous, vous cliquerez sur le bouton "Cliquez ici pour vous inscrire" au milieu de l'écran. Vous aurez un court formulaire à remplir pour vous inscrire. Une fois cela fait, l'équipe de Google passera analyser votre site et vérifier s'il convient. Notez que ce n'est pas un robot mais un humain qui ira visiter votre site! Google Adsense n'impose pas de minimum de visiteurs (contrairement à d'autres régies). Vous pouvez donc mettre de la publicité sur votre site perso sans problème. Notez que Google n'accepte pas les sites en construction. Il faut que votre site soit terminé pour qu'il passe la validation. Normalement vous recevrez au bout de quelques jours un e-mail qui vous informera si votre site est validé non Google Adsense, comme la plupart des régies, propose un panel d'administration qui vous permet de surveiller vos revenus publicitaires. Il faudra vous logger (login / mot de passe) pour pouvoir y accéder. Votre page d'accueil de l'administration ressemble à ceci : La première chose à faire est de se rendre dans l'onglet "Configuration AdSense" pour choisir les différents types de publicités que vous désirez utiliser. En cliquant sur un lien et en répondant à quelques questions, Google vous construira le code XHTML à insérer dans votre site web pour afficher les publicités. AdSense pour les pages de contenu : pubs classiques de Google, généralement sous forme de texte. Il arrive quelque fois que des publicités sous forme d'images apparaissent mais vous pouvez les désactiver si vous le désirez. - Les annonces directes : pub pour un ou plusieurs sites qui s'affichent, avec l'URL des sites en question. - Pubs par catégorie : système assez nouveau. Au lieu d'afficher directement la publicité, Google affiche des "thèmes" en rapport avec la page. Si le visiteur clique sur un thèmes, il est amené sur une page contenant une dizaine d'annonces publicitaires en rapport avec le thème. Ce type de pub est relativement nouveau. AdSense pour les recherches : vous placez un formulaire de recherche Google sur votre site. Si un de vos visiteurs fait une recherche par ce formulaire ET qu'il clique sur une des annonces publicitaires, vous touchez de l'argent. Parrainages : vous pouvez participer à des opérations de parrainage. Si vos visiteurs s'inscrivent à certains services, vous serez rémunéré en conséquence. Vous pouvez prendre tous les 3 types de publicités à la fois. On vous demandera la taille et la couleur de la publicité. Une fois que ce sera fait, on vous donnera le code XHTML à placer dans votre page Web. Et voilà, votre page commencera à afficher de la publicité et vous serez rémunéré à chaque fois qu'un visiteur ira sur un des sites affichés en publicité. Les premières heures, Google affiche généralement des annonces humanitaires. Ce sont des annonces qui ne rapportent pas d'argent. Les premières vraies publicités finissent par s'afficher au bout de quelques heures ou quelques jours A la fin de chaque mois, Google vérifie si vous avez gagné au moins 100$. Si tel est le cas, Google vous rémunèrera vers la fin du mois suivant. Allez une première fois dans l'onglet "Mon compte" pour choisir si vous voulez recevoir votre paiement par chèque ou par virement. Utilisez de préférence le virement car il y a moins de frais de banque. Si vous avez gagné moins de 100$ pas de panique. La somme sera rajoutée le mois suivant. Si le mois suivant vous cumulez au moins 100$ vous serez rémunéré, sinon il faudra attendre encore le mois d'après Vos gains sont toujours calculés en Dollars. Dans l'onglet "Mon compte", vous pouvez choisir d'être payé en Euros. Dans ce cas, Google vous paiera en convertissant les Dollars en Euros. Ne vous étonnez donc pas si la somme que vous recevez est plus faible que la somme indiquée en Dollars. Cela dépend des publicités que vous affichez : certaines rémunèrent plus que d'autres. Par ailleurs, Google prend une commission à chaque clic. Google n'indique pas combien ils prennent, mais on estime que cette commission est comprise entre 40% et 60%. Tout d'abord, il est interdit au webmaster de cliquer sur ses propres pubs. Ensuite, Google analyse qui clique sur les pubs. Ils utilisent des techniques spéciales pour repérer les tricheurs. Si vous êtes repéré en train de tricher, vous serez banni du système Adsense et vous ne toucherez pas l'argent que vous avez accumulé jusque-là. Oui. Mais ce n'est pas un obstacle pour autant En effet, Google vous autorise à passer par vos parents : dans ce cas il faudra vous inscrire sous le nom d'un de vos parents. Il n'y a rien à faire de spécial. Vous devez utiliser exactement le même code XHTML pour afficher la pub. http://www.journaldunet.com/0604/060414 -mesureaudience.shtml http://www.journaldunet.com/0607/060712 -qr-liensponso.shtml http://www.siteduzero.com/tuto-3-4912-1gagner-de-l-argent-grace-a-lapublicite.html#ss_part_1