8-12 Bases des interventions psychothérapeutiques Pr. S. Ionescu Diversification des méthodes et techniques et évaluations des effets. 1- Eclaircissement sur les Terminologies ≠ psychiatrie, psychanalyse, psychologie clinique, psychopathologie. a. La Psychiatrie DEFINITION : PARTIE DE LA MEDECINE QUI S’ OCCUPE DE L ’ ETUDE ET DU TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES = SPECIALITE MEDICALE . C.a.d on cible un type particulier de maladies (= connaissance des causes ou on affirme implicitement qu’on connaît les causes en médecine) Pb : on ne connaît pas toujours les causes . On médicalise l’approche de ces troubles Malades hospitalisation Diagnostique psychiatrique Traitement pharmacologique A l’heure actuelle va vers vision plus large Faut aussi considérer une prise en charge /de l’ insertion et / avec une psychothérapie. Changements en psychiatrie : portes des hôpitaux s’ouvrent, durée hospitalisation en ↘, nb de lits en ↘ Suite au Mouvement antipsychiatrie en Angleterre et en Italie depuis les années 60 modification mode traditionnel prise en charge b. La Psychanalyse 1896 Créée par FREUD dans un article publié en français sur l’étiologie (les causes) des névroses. Il utilise pour la première fois le mot « psychanalyse ». La Psychanalyse est polysémique –plusieurs sens – car le sens a évolué au fur et à mesure des travaux de Freud. 3 temps majeurs : Au début : méthode de traitement (thérapeutique) il part d’une vision organiste de la médecine à la Recherche du fonctionnement du syst. nerveux // certaines maladies que l’on pouvait soigner. Freud écoutait mais était dirigiste dans sa thérapie. Ensuite : la cure analytique permettait d’étudier le fonctionnement psychique des patients Méthode d’investigation Puis : à partir des données élabore théorie fonctionnement psychique normal et pathologique Psychanalyse appliquée Vers la fin de sa vie il étudie les ≠ phénomènes / cet outil : la société en général, comment fonctionne la société ?... DEFINITION : 1ER TEMPS - METHODE PSYCHOTHERAPEUTIQUE INVENTEE PAR FREUD 2EME TEMPS - METHODE D'INVESTIGATION CONNEXE A LA CURE PSYCHANALYTIQUE 3EME TEMPS - THEORIE DE LA CONDUITE ET LA PERSONNALITE NORMALE ET PATHOLOGIQUE QUI A DONNE LA PSYCHANALYSE APPLIQUEE U° THEORIE PSYCHANALYTIQUE c. La Psychologie clinique En Français En anglais Psychologie clinique ≠ Psychopathologie Clinical psychology = Psychopathology DEFINITION : SCIENCE DE LA CONDUITE HUMAINE FONDEE PRINCIPALEMENT SUR L’OBSERVATION ET L’ANALYSE APPROFONDIE DES CAS INDIVIDUELS, AUSSI BIEN NORMAUX QUE PATHOLOGIQUES, ET POUVANT S’ ETENDRE A CELLE DE GROUPE . C ONCRETE DANS SA BASE ET COMPLETANT LES METHODES EXPERIMENTALES D’ INVESTIGATION, ELLE EST SUSCEPTIBLE DE FONDER DES GENERALISATIONS VALABLES. UNE CONCEPTION + ETROITE A LA LIMITE A UNE PSYCHOLOGIE APPLIQUEE AU DOMAINE MEDICAL . Définition selon LAGACHE Pr. de la Sorbonne (1950-60) Psychanalyste Attribue le statut de science à la psychologie débat important toujours existant (est-ce une science ou un art ?) Science = lois, concepts durs Or bcp de concepts sont mous, flous pas facile de définir s’éloigne du domaine scientifique Le sens de la définition de LAGACHE rehausser le statut social de la psychologie clinique ; « science de la conduite humaine « voulait se départager du courant comportementaliste ; Behaviorisme (le grand compétiteur de la psychanalyse) Quelle est la différence entre conduite et comportements ? // Comportementalisme - réactions à la subjectivité de l’introspection individuelle ( psychanalyse)science du comportement (verbal, moteur..) peut mesurer avec des grilles Comment objectiver ? En mesurant , donne l’apparence de la science= « scientifiser » la psychologie // Psychologie clinique Utilise le terme conduite les intérêts sont ≠ Qu’est-ce qu’il y a en dessous de ça ? Donner un sens Rajoute des éléments / intentionnalité/ du sens. = Veut comprendre pas seulement mesurer. Cette science est fondée sur : L’observation (méthode) Analyse en profondeur de cas individuels Individu= histoire personnelle + spécificité, unicité Tendance en psychologie clinique orientation cas individuels Tendance en psychologie cognitiviste étude de groupe // tel groupe Cette position typiquement française n’est pas étonnante compte tenu de l’influence de la psychanalyse, l’histoire individuelle // Freud (influence française au début de sa vie). « et pouvant s’étendre à celle du groupe… » = développement d’une clinique des groupes// perspectives analytiques ; en mettant les groupes, on atténue l’individu. On met sur le même plan le normal et le pathologique / influence de la psychanalyse. Pas de frontières rigides = continuum ; Comme une droite – point de vue continuiste. Tandis que, la psychopathologie actuelle discontinuiste on parle d’entités comme en médecine = catégories qui se veulent séparées l’un de l’autre. S. Ionescu parie que dans 10 ans tout ce système de classification sera bouleversé. ces catégories sont artificielles. On trouve des parentés, des liens par la recherche. Ce n’est pas aussi rigide qu’il n’y paraît. C’est une idée que la psychanalyse a soutenue. Freud a eu une vision originale. On trouve qu’il a anticipé sur plein de choses. Lagache était pour un rapprochement entre les diff domaines de la psychologie pour l’unicité de la psychologie. Il n’éliminait pas « concrète dans sa base…généralisation valable » Psychologie clinique/ clinique = couché (debout orthostatique) Actuellement domaine structuré = Psychologie de la santé Champ d’application de toutes les branches de la psychologie de la santé. (la dernière phrase de Lagache est dépassée) FAUT RETENIR pour la psychologie clinique (Spécificité française ) Posture clinique = certaine façon de travailler et voir les choses Influencée par la psychanalyse Accent sur l’unicité de chaque personne Attitude à l’égard de l’individu normal ou pathologique Domaine de la pratique : reçoit des personnes, travaille, évaluation et thérapie d. La Psychopathologie DEFINITION : ETUDE DES TROUBLES MENTAUX, TANT EN CE QUI CONCERNE LEUR DESCRIPTION QUE LEUR CLASSIFICATION, LES MECANISMES ET LEURS EVOLUTIONS. Champ sous-disciplinaire de la psychologie Parle de troubles ≠ maladies confusions énormes Si on ne connaît pas les causes Trouble mental Référence à un syndrome Le syndrome est une association –ou constellation- de symptômes et signes. (existence de liens, ce n’est pas dû au hasard car il y a la même configuration pour des personnes ≠ ) On compare le syndrome à une grappe de raisin association des grains = symptômes et signes Référence à l’aspect clinique, ce que je vois, je constate. Diagnostique sur les symptômes et les signes CAD SYMPTOME = plainte de la part du patient ; ce qu’il dit. SIGNES = ce que constate le clinicien, le psychiatre ; il voit de l’extérieur. Ex : chez les enfants autistes –pb de contact social (difficulté à établir le contact social) -pb de communication au plan du langage (parle pas ou néologismes) - rétrécissement des intérêts (stéréotypies) = associations de manifestations = troubles ; Mais on ne se pose pas la question des causes. 1. Description - On décrit, dit ce qu’on constate Seméiologie(sémiologie)= tableau clinique signes et symptômes 2. Classification - comment on les regroupe ? en famille = nosographie 3. Mécanismes - comment se produisent ces troubles ? Mécanismes qui les fabriquent ? + complexe demande une vision + large Actuellement on pense qu’il est difficile d’utiliser une seule explication. Par ex pour l’autisme composante génétique mais elle n’explique pas tout (pas un seul gène) dernière théorie polygénique (3-5 gènes) + d’autres facteurs (sociaux, psychiques…) 4. Evolution - le devenir de ces troubles ? C’est ce qui est passionnant le devenir de ces troubles, ce qui se passe avant l’entrée dans la psychose (le vestibule de la maladie)- important pour la prévention- ensuite le trouble et son évolution. Par ex : cas de l’hystérie d’Anna O. étudiée par Freud. On a su qui elle était (ce qui n’est pas déontologique)et qu’elle était très proche de Freud Bertha Papenhaum ( ?) de son vrai nom. Elle est devenue la première travailleuse sociale impliquée dans le pb des femmes, missions en orient en Urss, a écrit des pièces de théâtre --> troubles pas statiques Relation entre sa souffrance et ce qu’elle a fait dans sa vie. livre de jumelles 1 schizophrène l’autre psychiatre. Connaissance de la souffrance de l’intérieur de la maladie et de son évolution. On apprend énormément en étudiant le devenir des patients = cycle de vie 2- Les troubles mentaux – Etudes des différentes approches de la PSYCHOPATHOLOGIE. Suivant l’approche on met l’accent sur certaines choses. Or Multitudes d’approches troubles mentaux compliqués au regard des diff prismes. Rechercher le + d’infos vision + globale A- PSYCHOPATHOLOGIE ATHEORIQUE Préfixe privatif = sans théorie Approche où l’on refuse toute considération par rapport à une quelconque théorie. L’idée générale ets que chaque approche a sa terminologie pb de langage et de communication entre les différentes approches volonté de créer une sorte d’espéranto de la psychopathologie. Création d’un corpus de connaissances trans-écoles (par dessus les écoles) par l’association américaine de psychiatrie. Groupes de travail manuel DSM I (diagnostic and statistical manual) 1952 Puis DSM II/ DSM III/ DSM IV/ DSM IV-TR Se voulait a-théorique sauf que dans la réalité cet a-théorisme est une utopie : Trouve des références à toutes sortes d’approches Propose un grille pour l’étude des mécanismes de défense (système centraux de la psychanalyse) En annexe e introduit des facteurs culturels -25 syndromes liés à la culture La souffrance s’exprime en fonction de leur culture ; facteurs socioculturels A-théorisme = poly-théorisme Le projet a été rattrapé par la complexité des troubles. Ils réfutent en disant que ce qui est introduit dans le DSM ce sont des choses prouvées dont il faut tenir compte. Ex : Thèse d’une étudiante sur les Congo ( ?) Croyances des certains troubles = résultats sorcellerie étiologie traditionnelle A Paris ils n’ont plus la possibilité de faire les rituels – qu’est-ce qui se passe avec ceux qui viennent ici ? Même l’accent que l’on peut avoir à son importance. Pendant onze ans S. Ionescu a dirigé une clinique universitaire. Quand qqun téléphonait (angoisse ou dépression) après avoir parlé une heure ça allait mieux. Etes-vous haïtien ? pas l’accent habituel . Dans la relation – même l’accent à son une importance. Faire toujours référence à sa culture- le fait culturel. La classification de l’OMS CIM-10 est très proche du DSM – même façon de voir les choses. Critiquable mais on ne peut pas le laisser de côté. Dans la recherche on utilise les critères du DSM . Causes de la résistance en France : Vieille tradition psychiatrique française (antiaméricanisme) capacité de critique inouïe// au pragmatisme américain (politique néo-impérialisme) = guerre de colonisation d’idées Système dérageant pour 3 ou 4 raisons : -basés sur des symptômes (or en psychanalyse on préfère ce qu’il y a en dessous) - Le sexisme du DSM 80% d’hommes dans l’association (militantisme contre un sexisme non avoué/ syndrome dysfollique prémenstruel/ trouble de la personnalité dépendante -+ fréquente chez les femmes-…) Obsolescence planifiée = vieillit très vite ; on sait d’avance que l’édition actuelle est remplacée par le suivant DSM. On impose un cadre très rigide ; le clinicien français veut une certaine marge de liberté. Les anglo-saxons sont plus conformistes ≠ les français. (ex : relation à l’image en France et l’enregistrement d’une photo pour un trombinoscope refus de certaines personnes) Pourtant c’est une approche pragmatique qui peut servir. EX : La psychanalyse américaine – lit tout au courant de tout au niveau biologique Le sens de l’humour = mécanisme de défense ceux qui l’utilisent jeunes vieillissent mieux. Ça préserve moins de troubles mentaux (avec sublimation et anticipation). La psychanalyse américaine est adaptée. Les critiques françaises sont sans arguments solides : (caractère typiquement français) On ne peut pas réduire le fonctionnement psychique seulement à l’inconscient Communication de conscient à conscient. Beaucoup d’actes sont régis par le conscient. Tendance à l’interprétation selon ce qu’on veut défendre. Existence d’un marché d’influence // compétition idée de territoire et d’argent. L’évolution se fait à partir des poussées de mode. Les allemands ont créé un outil avec un système dynamique ( comment prendre en charge ?) Ils ont fait un pont avec la CM-10 . Intéressant de proposer des choses ≠ critique Le vrai combat = proposer des choses. B- PSYCHOPATHOLOGIE BEHAVIORISTE Behavior = comportement Analyse détaillée des comportements des personnes. Théorie : comment se produisent les symptômes ? Les apprentissages On apprend les symptômes : - Comportements renforcés symp. s’installent, deviennent permanents. Accent sur l’environnement stabilise des symptômes THERAPIE = désapprentissage Bcp de critiques // travaille seulement en surface. Seconde grande théorie après Freud. B- PSYCHOPATHOLOGIE BIOLOGIQUE : Organogenèse des troubles : S’intéresse au cerveau Attention de ne pas oublier les autres S’intéresse à l’hérédité plans Il y a des résultats clairs / / recherches. Ex: le mongolisme – le syndrome de Down Enfants ; modification du visage ; les a comparé avec les mongols, on dit aussi trisomie 21 (1950) Maladie de Fölling ( ?) : trouble du métabolisme //phénylalanine hydroxylase la diétothérapie. Attention de ne pas tout réduire à l’approche biologique C- PSYCHOPATHOLOGIE COGNITIVISTE : S’occupe des distorsions du traitement de l’information. Autisme= pb de traitement de l’information – théorie de déficit de la théorie de l’esprit A partir d’une série d’indices, nous sommes en mesure de connaître les états mentaux des autres. Les autistes n’arrivent pas à coder cette information Thérapie =Aider les patients ex : la dépression, le thérapeute essaie de leur apprendre à améliorer traitement de l’info à corriger leur erreurs D- PSYCHOPATHOLOGIE DEVELOPPEMENTALE : Evolution des troubles mentaux 1943 Kaenner décrit l’autisme pour la première fois (les 1ers onze cas) 28 ans plus tard que sont-ils devenus ? évolution contrastée – certains sont bien insérés ; d’autres ont régresséSyndrome Asperger bien au niveau du langage, diff contact social, bonne capacité intellectuelle E- APPROCHE ECOSYSTEMIQUE : Sujet placé dans son monde, son système On voit ce qui se passe entre le patient et le système = interactions Thérapie systémique = on tient compte des autres . Ecole Palo alto T. familiale ; T.de couple E- ETHNOPSYCHOPATHOLOGIE : Replacer le patient dans son contexte culturel Culture / tradition/ explication/étiologie traditionnelle Thérapies traditionnelles En plein essor // contacts circulation des personnes de ≠ cultures. E- PSYCHOPATHOLOGIE ETHOLOGIQUE Etude des comportements des animaux dans leur milieu naturel Etudes / bébés humains Bowlby Après la 2nde guerre mondiale rencontre Etudes / bébés rhésus Harlow Ce qui était découvert chez l’humain / mère et le bébé Harlow le décrivait chez le singe o Théorie de l’attachement A partir de ce moment éthologie étude à l’humain ensuite appliqué à la clinique Etudes ou parallèles // monde animal Ex/Pb de certains parents énurésie ; études faites qui montrent le rapprochementchez les aniamux pour préserver leur territoire = marquage Quand l’enfant est devenu propre énurésie secondaire à l’arrivée petit frère ou sœur -> perd le monopole de l’affection. On transpose formule des hypothèses Qu’est-ce qu’on peut faire ? E- PSYCHOPATHOLOGIE EXISTENTIALIS TE Essayer de comprendre comment le fait de vivre son existence- le sens – à un impact sur la santé mentales ? Comment ils vivent, ils décrivent leurs troubles - santé mentale • Distorsion fonctionnement de la société Palette de psychothérapies existentialistes E- PSYCHOPATHOLOGIE EXPERIMENTALE Utilise méthode expérimentale Laboratoire à Paris 1930 de psychopathologie expérimentale Série d’expériences sur une forme de la schizophrénie catatonique (maintien de postures inconfortables, le signe de l’oreiller psychique, mis en relation- quel est le sens ? (éthologie parallèleen situation de menace font le mort) ont un d° d’angoisse tel que c’est insupportable . Quand ils atteignent un certain seuil adopte cette position. Ont voulu créer un modèle animal de la catatonie = état similaire provoqué expérimentalement.(racines d’une plante) P- PSYCHOPATHOLOGIE PHENOMENOLOGIQUE + philosophique piste originale Donner la parole aux patients Comment ils vivent la maladie, la décrivent, leurs troubles… Ex : témoignage sous un autre angle. Tout le monde a des hallucinations. La majeur partie de l’entretien une bonne relation avec leurs hallucinations – même sous psychotiques- ils les gardent. Dans ma solitude le fait d’entendre ces voix, c’est rassurant. Découvert= la relation des symptômes Qu’est-ce qu’on peut apprendre en écoutant les écoutant ? Témoignages de causes de leurs troubles Etiologie du patient – comment expliquent-ils les troubles qu’ils présentent ? P- PSYCHOTHERAPIE PSYCHANALYTIQUE Prototype de l’approche psychogénétique/ origine troubles = conflits psychiques Se passe dans l’intrapsychique Bettelheim mère frigidaire (autisme) bcp de pb avec les mères , les familles Grand mouvement dans les années 80 contre cette vision. Kaenner quand il avait décrit les 11 cas en 1943. Il avait décrit chez les parents un froideur d’intellectuels – pas de sentiments 4 des pères étaient psychiatres erreur d’échantillonnage. Les cas sur lesquels il a décrit l’autisme pb de communication. immutabilité – sameness- ne veulent pas que leur environnement change. (rationalisation = mécanisme de défense) C’est le champ des névroses S- PSYCHOPATHOLOGIE SOCIALE Contexte social = sociogenèse Comment les facteurs sociaux ont un impact sur l’apparition des troubles Ex : l’impact du chomage – relations chomage/ suicide. Prévalence +++ Décalage dans le temps // malaise collectif Manque d’espoir difficulté qd il n’y a pas d’espoir. Intérêt pour l’optimisme variable très importante Convalescence ++ / optimisme Camps , prise d’otage garde espoir donne la force ;de l nrj Passage du travail au chômage existence de plusieurs stades : - Moment critique qd on a intériorisé l’identité de chomeur. - Chômage chronique – tout ce qui rappelle le travail perçut comme menaçant Evitement Changement identitaire !! S- PSYCHOPATHOLOGIE STRUCTURALISTE Création d’un mode de fonctionnement psychique comme une structure On considère dans le dvp deux grandes structures // ≠ facteurs. Il ya des personnes qui se structurent sur le mode névrotique avec lequel ils peuvent bien vivre sauf si accident de vie Organisme décompense névroses Idem pour le mode psychotique Si décompensation psychose Si bonne thérapie retour équilibre 2 structures et en plus des états limites non structurés (mode inachevé- oscillation entre psychose et névrose/ DSM personnalité borderline) difficile de travailler avec eux Borderline – besoin de qqun pour s’appuyer – interprétation des relations avec l’autre (angoisse/ perte) pb identitaire p. en charge très difficile