Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES chapitre 11_Vers la physique quantique THEME COMPRENDRE Sous -thème Energie, matière et rayonnement Chapitre 11 : VERS LA PHYSIQUE QUANTIQUE NOTIONS ET CONTENUS COMPETENCES ATTENDUES Transferts quantiques d’énergie Emission et absorption quantiques. Emission stimulée et amplification d’une onde lumineuse. Oscillateur optique : principe du laser. - Connaître le principe de l’émission stimulée et les principales propriétés du laser (directivité, monochromaticité, concentration spatiale et temporelle de l’énergie). Mettre en œuvre un protocole expérimental utilisant un laser comme outil d’investigation ou pour transmettre l’information. Transition d’énergie : électroniques, vibratoires. - Associer un domaine spectral à la nature de la transition mise en jeu. Dualité onde-particule Photon et onde lumineuse. - Savoir que la lumière présente des aspects ondulatoires et particulaire. Particule matérielle et onde de matière ; relation de de Broglie. - Extraire et exploiter des informations sur les ondes de matière et sur la dualité onde-particule. - Connaître et utiliser la relation p = h / λ. - Identifier des situations physiques où le caractère ondulatoire de la matière est significatif. Interférence photon par photon, particule de matière par particule de matière. - Extraire et exploiter des informations sur les phénomènes quantiques pour mettre en évidence leur aspect probabiliste. SOMMAIRE I. Transferts quantiques d’énergie et LASER. 1. Présentation du LASER. 2. Transitions énergétiques. 3. Emission stimulée. 4. Propriétés et principe de fonctionnement du LASER. Document : Principe de fonctionnement du LASER. II. Dualité onde–corspuscule. 1. Expériences historiques et natures de la lumière. 2. Caractère ondulatoire de la matière. 3. Dualité onde-particule de la lumière ET de la matière. III. Aspects probabilistes des phénomènes quantiques. ACTIVITE Activité documentaire : Effet Compton (1922) EXERCICES 4 ; 21 p 392-399 + 4 p 408 MOTS CLES Niveaux microscopique & macroscopique, quantification d’énergie, photon, transition (émission/absorption) d’énergie, Laser, dualité onde-particule (nature ondulatoire/nature particulaire, relation de de Broglie, aspect probabiliste. M.Meyniel 1/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES chapitre 11_Vers la physique quantique VERS LA PHYSIQUE QUANTIQUE Nous avons déjà évoqué l’importance de bien prendre en considération les limites de nos études en estimant les approximations sous-entendus dans les modèles considérés (représentations simplifiées mais fidèles de la réalité). Les simplifications et approximations se justifient par la précision que l’on souhaite avoir. Nous savons, par ailleurs, que l’observation au niveau microscopique impose l’utilisation de techniques permettant de visualiser ce monde de l’infiniment petit. Les progrès scientifiques permettent alors de voir toujours plus loin au niveau inférieur. A l’instar, des avancées sur le domaine du temps qui a amené les scientifiques à reconsidérer leurs théories sur la relativité du temps et non de la célérité, l’observation toujours plus fine a conduit une nouvelle fois les théoriciens, chimistes comme physiciens, à estimer de nouvelles limites à leurs études puisqu’il s’avère que les petites particules ne respectent plus la mécanique classique. Comment les scientifiques sont parvenus à cette conclusion ? Qu’en est-il réellement, au niveau microscopique, du comportement d’une particule ? des particules ? C’est tout l’objet de ce cours au travers duquel nous reviendrons sur l’usage du Laser pour corroborer notre étude sur le rapport {matière – énergie} et démontrer toutes ses limites avec la dualité onde-corpuscule. La relation de De Broglie liant la quantité de mouvement (aspect particulaire) à la longueur d’onde (aspect ondulatoire) permettra alors de mettre en avant tout l’étrangeté du comportement des petites particules avec un aspect probabiliste, notamment en raison du grand nombre, à prendre en considération ; base même de la physique quantique, là où la mécanique classique de Newton devient insuffisante. Nous en profiterons pour discuter des nombreuses applications actuelles de la physique quantique (énergie nucléaire, IRM, microscope électronique, laser, …) bien que, comme l’évoque Richard Feynman (1918-1988, prix Nobel de physique en 1965) : « Personne ne comprend vraiment la physique quantique » … I. Transferts quantiques d’énergie et LASER. 1. Présentation du LASER. (depuis 1958) Le LASER (acronyme de Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) est un amplificateur de lumière fonctionnant grâce à une émission stimulée de rayonnement. Son fonctionnement repose donc sur le concept de quantification d’énergie que nous allons détailler. 2. Transitions énergétiques. Une entité (atome, ion, molécule) possède plusieurs niveaux d’énergie qui ne peuvent prendre uniquement certaines valeurs. => L’énergie d’une particule est quantifiée. Ex : Rq : Niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène * Le niveau le moins énergétique est appelé niveau fondamental. Il s’agit du niveau le plus stable. 0 0,37 0,85 1,51 E (eV) E4 E3 3,39 E2 13,6 E1 * Les autres niveaux correspondent aux niveaux excités. niveaux excités état fondamental Pour qu’une particule passe d’un niveau énergétique à un autre, l’apport d’énergie, amenée par des photons, doit être exactement égal à la différence d’énergie entre les deux niveaux : ∆Ei-j = Ej – Ei = h.ν = M.Meyniel avec h = 6,63.10-34 J.s la constante de Planck 2/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES chapitre 11_Vers la physique quantique Absorption Lorsqu’on apporte de l’énergie (via un photon, une collision, un courant électrique) à une entité, celle-ci absorbe l’énergie et passe à un niveau d’énergie supérieure : c’est l’absorption. E (J) Ej h. Ei E (J) Emission spontanée (= désexcitation) Ej Dans un état excité, une entité n’est pas stable. La durée de vie de cet état excité est limité (quelques nanosecondes [10-9 s] ). La particule va donc perdre son énergie et émettre un photon : c’est l’émission spontanée (dans une direction aléatoire). h. Ei Document 1 : Transitions d’énergie possibles Dans une molécule, les transitions d’énergie font vibrer, tourner ou déforme la molécule. Ces transitions vibrationnelles sont de l’ordre du meV soit un rayonnement infrarouge (Comme l’eau des nuages et le dioxyde de carbone atmosphérique responsables de l’effet de serre ; Principe du micro-ondes ; Obtention de spectres IR par vibration des liaisons d’une molécule). Dans un atome, les transitions d’énergie concernent les électrons. Ces transitions électroniques sont de l’ordre de l’eV soit un rayonnement visible ou UV (Lumière du laser …). Dans un noyau, des transitions d’énergie peuvent aussi se faire par absorption ou émission de photon. Ces transitions nucléaires sont très énergétiques, de l’ordre du MeV soit un rayonnement gamma γ (D’où la radioactivité dangereuse & mutagène des transformations nucléaires). Quelques domaines d’applications des différentes transitions énergétiques : http://www.toutestquantique.fr/animations%20quantiques/2_QUANTIFICATION_FR.mp4 La quantification des niveaux d’énergie intervient dans le fonctionnement d’un four à micro-ondes. Le four contient un générateur d’OEM de fréquence voisine de 2,45 GHz. Cette fréquence a la particularité de correspondre à une transition pour les niveaux d’énergie de rotation de la molécule d’e au. L’eau de ce fait absorbe bien les ondes émises par le générateur et donc l’énergie qu’elles transportent. C’est cette abosrption qui conduit à l’élévation de la température de l’eau présente dans les aliments. 3. Emission stimulée. Idée évoquée par Einstein en 1917 en parlant de photons jumeaux Mise en pratique en 1954 avec le MASER (Microwave) ancêtre du LASER Considérons un atome dans un état excité E2. * Soit il subit une désexcitation par émission spontanée d’un photon de fréquence ν telle que : h.ν = E2 – E1 * Soit on peut induire cette désexcitation en le soumettant à un rayonnement incident de même fréquence ν. Dans ce cas, l’émission est dite stimulée (ou induite). Les photons émis ont même fréquence ν et même direction de propagation que le rayonnement incident. Ce processus, qui permet d’amplifier une onde lumineuse, est à la base du fonctionnement des lasers. Résumé : M.Meyniel 3/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES chapitre 11_Vers la physique quantique 4. Propriétés et principe de fonctionnement du LASER. LASER red pour exemple L’émission stimulée d’un atome ou d’une molécule induit des photons de même fréquence ν et de même direction que le photon incident. Dans un LASER, il en va de même et ce, à très grande échelle, sur un très grand nombre d’entités. En conséquence, un LASER : * est directif (directivité du photon incident), * est monochromatique (une seule raie de fréquence ν émise), * présente une concentration spatiale et temporelle de l’énergie (les photons émis possèdent la même fréquence et la même phase, les interférences entre eux peuvent alors constructives). Dangerosité : * Le faisceau LASER étant directif et présentant une concentration de l’énergie, la puissance surfacique est élevée et dangereuse en conséquence ! Ex : Document 2 : PLASER de chirurgie = 4.106 W.m-2 > PSoleil = 100 W.m-2 Principe de fonctionnement du LASER Pour obtenir un effet d’émission stimulée sur un grand nombre d’entités, ces dernières doivent déjà se trouver dans le niveau d’énergie excité E2. Pour cela, il faut fournir de l’énergie aux entités initialement dans leur état fondamental E1. Cela s’appelle effectuer une inversion de population. L’inversion de population étant réalisée, lorsqu’une entité excitée émet un photon de fréquence ν [ ν = (E2 – E1)/h ] par émission spontanée, le photon va déclencher une émission stimulée, à l’issue de laquelle on obtient deux photons identiques et en phase. Ces deux photons vont à leur tour donner lieu à deux émissions stimulées induisant deux nouveaux photons et ainsi de suite. Le nombre de photons de même fréquence ν, de même direction et en phase qui traversent le milieu se multiplie très rapidement. => C’est l’effet LASER, c’est-à-dire l’amplification du rayonnement. Pour obtenir un effet LASER efficace, on place le milieu optiquement actif (= les entités qui subissent l’inversion de population et l’émission stimulée, on peut parler d’oscillateur optique) dans une cavité entre deux miroirs disposés face à face. Ainsi, chaque photon fait plusieurs allers et retours, d’où un nombre plus important d’émissions induites par ce photon. Il reste à aménager une « ouverture » pour qu’une partie du rayonnement s’échappe de la cavité, formant ainsi le rayon LASER. Pour ce faire, il suffit qu’un des deux miroirs soit partiellement réfléchissant. La longueur d’onde λ, ou la fréquence ν, du faisceau émis dépend des dimensions de la cavité. En effet, la longueur d’onde des ondes lumineuses allant et venant dans la cavité et donnant lieu à l’effet LASER doit être un diviseur entier de la longueur de la cavité. Sans cela, il se produirait des interférences destructives entre les ondes se propageant dans un sens et celles se propageant dans l’autre. Utilisation du LASER au quotidien Particule excitable Lecteurs CD, DVD, blu-ray, Domaine de la Santé, Usinage de pièces et découpages, Télécommunications, Analyse spectrale (e.g Robot Curiosity sur Mars), Radar (utilisation effet Doppler grâce à monochromaticité du LASER), Métrologie, … http://www.toutestquantique.fr/animations%20quantiques/laser_FR.mp4 M.Meyniel 4/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES II. chapitre 11_Vers la physique quantique Dualité onde-particule. Au début du XXème siècle, la nature ondulatoire de la lumière est presque unanimement admise. Il est solidement établi qu’il s’agit d’une onde électromagnétique OEM. Pourtant, de nouvelles expériences et observations viennent bouleverser cette certitude. 1. Expériences historiques et natures de la lumière. Document 3 : Evolution des idées sur la nature de la lumière au cours des siècles Pour beaucoup, la lumière est formée de grain. Pour d’autres, la lumière est ondulatoire. Voici quelques repères historiques : * Au XVIIème siècle, Christian Huygens (astronome et physicien néerlandais) interprète la lumière comme la propagation d’une onde dans son Traité de la Lumière. * En 1802, Thomas Young (médecin anglais) réalise envoie de la lumière à travers deux fentes, il observe des franges d’interférences comme pour des ondes mécaniques qui s’ajoutent ou s’annulent en intensité dans des directions privilégiées. => Il en déduit la nature ondulatoire de la lumière. * En 1850, Heinrich Hertz étudie l’effet photoélectrique. Au voisinage d’un arc électrique produit, une plaque de zinc est déchargée par de la lumière UV mais non visible. La nature ondulatoire ne permet pas d’expliquer ces observations. Pour Hertz, l’interaction matière-lumière impose que la lumière se propage sous forme de grains d’énergie différente selon le domaine considéré => Il en déduit nature particulaire de la lumière. * En 1864, James Maxwell (Scottish) démontre la nature ondulatoire et électromagnétique de la lumière capable de se propager à une vitesse finie « c » et dans le vide. * En 1905, Albert Einstein introduit de nouveau la notion de photon (= particule de lumière) pour expliquer les expériences de Hertz car seules certaines énergies permettent de décharger la plaque de zinc. Donc la lumière doit être transportée par des grains possédant exactement ce quantum d’énergie (concept de Max Planck, 1900) d’où la nature particulaire de la lumière. (Cette introduction de quanta d’énergie de rayonnement lui valut son prix Nobel de 1921) Quelques liens : Expérience des fentes d’Young avec des électrons : http://www.youtube.com/watch?v=7f14cVCpvDc http://www.youtube.com/watch?v=JlsPC2BW_UI http://www.canal-u.tv/video/science_en_cours/quelques_experiences_d_initiation_a_la_microscopie_electronique.3436 http://www.toutestquantique.fr/ Selon les conditions de l’expérience, la lumière se comporte tantôt comme une onde (diffraction, interférences), tantôt comme une particule (interaction avec la matière). On parle alors de la dualité onde-particule pour désigner ce double comportement. Cf Métaphore du cylindre. M.Meyniel 5/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES chapitre 11_Vers la physique quantique 2. Dualité onde-particule de la lumière ET de la matière. Louis de Broglie admet que tous les objets microscopiques de la matière (électron, proton, …) présentent, comme la lumière, un double aspect ondulatoire et corpusculaire (ou particulaire). Pour tenter d’unifier ce double comportement de la matière, de Broglie introduit la notion d’onde de matière. Il imagine une relation permettant de lier onde et particule : avec Rq : h = 6,63.10-34 J.s la constante de Planck p : la quantité de mouvement en kg.m.s-1 λ : la longueur d’onde de matière en m. * La longueur d’onde fait référence au comportement ondulatoire de la lumière. La quantité de mouvement fait référence au comportement particulaire avec un transport de matière. 3. Caractère ondulatoire de la matière. Après le postulat de de Broglie, les chercheurs ont réalisés des expériences afin d’éprouver ses dires. Ainsi, ils ont réussi : - à diffracter des électrons en 1927 et des neutrons en 1946, - à faire interférer des atomes de néon froids en 1992 et des fullerènes (molécules C60) en 1999, La lumière est considérée comme une onde dans les expériences de diffraction ou d’interférence. Il en va de même pour toute matière qui subit ces phénomènes. Rappel : Le comportement ondulatoire des objets est significatif lorsque : a ≤ λ en o.g a : dimension de l’obstacle Rq : * Ces ondes de matière (électrons, neutrons, atomes d’hélium 2He) sont utilisées de nos jours afin de sonder la matière à l’échelle moléculaire et atomique. En effet, les figures de diffraction obtenues lors de l’interaction matière-onde permettent d’accéder à une image des molécules ou des réseaux cristallins à l’instar des microscopes électroniques. For fün : Une onde de matière est très peu affectée par la rencontre d’objets de dimension très supérieure à sa longueur d’onde. D’où le comportement ondulatoire indécelable pour les objets du quotidien. (A cause de la valeur extrêmement faible de la constante de Planck !) Ex : Un élève, pressé d’aller en cours et avançant alors à une vitesse v = 2,0 m/s, subit-il une diffraction en passant le portail du lycée, sachant que sa masse m = 60 kg ? Calcul de λ = h/p = 5,5.10-36 m << 5 m => pas de déviation de trajectoire ! M.Meyniel 6/7 Terminale S_Thème 2_COMPRENDRE : LOIS ET MODELES III. chapitre 11_Vers la physique quantique Aspect probabiliste des phénomènes quantiques. Les phénomènes quantiques sont des phénomènes où interviennent des objets microscopiques de la matière et qui ne s’expliquent pas par la mécanique classique de Newton. Revenons sur l’expérience des interférences : on ne peut pas prévoir la position exacte de l’impact du photon sur l’écran. Mais, lorsque le nombre d’impact est important, les photons ont plus de chances de se retrouver à certains endroits ; ils suivent alors une loi probabiliste. * Si on envoie un faisceau de photons à travers des fentes d’Young, on observe des franges d’interférences ; ce qui s’explique par le caractère ondulatoire de la lumière. N < 2000 * Maintenant, si on envoie sur ces fentes photon par photon sur : - après 100 photons, on ne peut observer que des impacts aléatoires, - après 1 000 photons, il en va toujours de même, - après 10 000 photons, on observe alors des franges d’interférences. N > 6000 On peut conclure que le comportement d’un photon est aléatoire et peut se comporter comme une onde ET comme une particule. Néanmoins, face à un grand nombre, on peut prévoir avec une certaine probabilité son comportement. => Rq : Les phénomènes quantiques ont donc un aspect probabiliste. * Le grand nombre considéré permet de limiter l’incertitude et alors d’amener une plus grande précision. * En radioactivité, on retrouve le même caractère aléatoire et probabiliste : Le carbone 14 n’est pas stable, il a tendance à se désintégrer de manière spontanée et aléatoire. On ne sait donc pas, pour un atome donné, quand il va subir sa transformation. Néanmoins, pour un échantillon contenant un grand nombre de carbone 14, on sait que la moitié se sera désintégrer au bout de 5370 ans. On retrouve ici le caractère aléatoire et probabiliste (sur un grand nombre) au niveau microscopique. Conclusion : La recherche de la compréhension des phénomènes observés au niveau macroscopique trouve ses réponses au niveau microscopique. Mais en allant toujours plus loin dans la précision des mesures, le chercheur se retrouve confronté à de nouvelles limites, remettant sans cesse ses théories à l’épreuve. Quoi qu’il en soit, il en profite toujours pour agir et réinvestir ses savoirs et nouvelles connaissances dans de nouvelles technologies, mises au point, perfectionnements autre améliorations. Compétences - Connaître le principe de l’émission stimulée et les principales propriétés du laser (directivité, monochromaticité, concentration spatiale et temporelle de l’énergie). - Associer un domaine spectral à la nature de la transition mise en jeu. - Savoir que la lumière présente des aspects ondulatoires et particulaire. - Extraire et exploiter des informations sur les ondes de matière et sur la dualité onde-particule. - Connaître et utiliser la relation p = h / λ. - Identifier des situations physiques où le caractère ondulatoire de la matière est significatif. - Extraire et exploiter des informations sur les phénomènes quantiques pour mettre en évidence leur aspect probabiliste. - Mettre en œuvre un protocole expérimental utilisant un laser comme outil d’investigation ou pour transmettre l’information. M.Meyniel 7/7