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D O S S I E R
D E
P R E S S E
Stand DESIGN PAR NATURE
Hall 6 – T80-U79
SALON MAISON&OBJET
Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte
Les arbres,
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DE
Plantes
Arbres
Végétal
Fleurs
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Tendance
Editorial
En 2013, la tendance est au végétal. Les résultats du panel consommateurs
en végétaux d’ornement réalisé par TNS Sofres pour Val’hor et FranceAgriMer
le confirme. Les Français affectionnent les végétaux puisque 79% des
ménages interrogés déclarent avoir effectué en 2012 au moins un achat en
végétaux d’ornement soit une estimation de 21,6 millions de foyers.
Parmi eux 63% ont acheté des végétaux d’intérieur, 48% pour le jardin,
le balcon et la terrasse et 44% pour un deuil pour un panier annuel moyen
de 55€ pour les achats de cadeaux, fleurs ou plantes et 34€ pour les achats
de fleurs ou plantes pour la maison. Les Français aiment offrir des fleurs
et s’en offrir. Ils semblent en ces temps de crise avoir adopté plus que jamais
les végétaux pour embellir leur vie quotidienne tant à l’intérieur
de leur habitat qu’à l’extérieur. Des végétaux qui séduisent par leurs formes,
leurs couleurs, leurs textures. Des végétaux sources d’inspiration
pour de nombreux créateurs d’objets, concepteurs, architectes et designers.
“Si le design, c’est l’alliance du fonctionnel et du beau, alors le végétal l’est
sans conteste : véhicule d’émotion et de sentiments, source de bien-être,
décoratif, nourricier et... naturellement beau !”
Maxime François,
Président Délégué à la Commission Distribution Val’hor
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Dossier de presse - Septembre 2013
Sommaire
Design par Nature : quand le végétal s’inscrit dans l’univers du design
P. 5
Design par Nature : une pause végétale à Maison&Objet
P. 7
Côté botanique : le mystère de l’amour-en-cage…
P. 8 et 9
Val’hor : l’Interprofession française de l’horticulture,
de la fleuristerie et du paysage
Dossier de presse - Septembre 2013
P. 10 et 11
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Design par Nature :
quand le végétal s’inscrit
dans l’univers du design
Avec Design par Nature, Val’hor, l’Interprofession française de l’horticulture, de la
fleuristerie et du paysage, souhaite favoriser le retour des végétaux dans les intérieurs et propose de porter un nouveau regard sur les arbres, les plantes et les fleurs.
Une représentation du végétal qui s’inscrit dans le monde du design comme pour
mieux épouser son époque, pour inciter les jeunes générations à passer au vert et
faire succomber les 25-49 ans au « vert tige ».
L’alliance entre le végétal et le design permet d’inscrire les arbres, les plantes et les
fleurs dans un environnement contemporain, un monde dynamique, à l’écoute des
tendances et en perpétuelle évolution.
Si le végétal est tendance dans les univers de la mode, dans la décoration où
textiles, luminaires, vaisselles sont parsemés de motifs fleuris ou encore dans les
assiettes où cupcake à la rose et macaron à la violette s’invitent, depuis toujours les
designers puisent aussi leur inspiration parmi les richesses de la Nature. Séduits par
les formes éblouissantes et la variété des couleurs ils s’en inspirent pour imaginer et
concevoir objets et mobilier. C’est ainsi que sont apparues des tables basses dont
la forme est directement inspirée de la vue aérienne d’une forêt tropicale, des
canapés dont le design et la couleur rappellent des pins parasols, des chaises dont
le dossier est en forme de feuille et des hybrides de lampes et pots de fleurs. Avec
ces créations, les designers rendent hommage à la créativité foisonnante du plus
inspiré des designers : la Nature.
Au quotidien, le végétal est design. On le compose, on l’expose, on le coordonne
à son univers et on lui confère une place de choix dans la maison, sur le balcon, la
terrasse ou le jardin. En cette période de crise, une révolution s’opère dans le monde
du végétal. Le jardin tient désormais une place importante, il se décore, s’anime, se
pare de couleurs et de fleurs. Dans la maison, les végétaux apportent une dimension
esthétique à l’espace intérieur. Peu importe l’habitat, en appartement comme dans
une maison le végétal est roi.
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Dossier de presse - Septembre 2013
Design par Nature :
une campagne d’annonces-presse
très design, très nature
Parole de designer
"A travers mes créations, je rends hommage à la
beauté et aux formes premières des végétaux"
Tom Rossau
Dossier de presse - Septembre 2013
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Design par Nature :
une pause végétale
à Maison&Objet
Val’hor renouvelle son partenariat avec le salon Maison&Objet et invite fleuristes
et jardineries à découvrir les nouvelles tendances déco et design. Des idées à cueillir
pour les mises en scène de ces professionnels du végétal dans le carrefour de tous
les arts de vivre, du design et de la décoration.
Du 6 au 10 septembre 2013, l’Interprofession propose une mise en scène extraordinaire autour de « l’Amour en cage » (Physalis), plante ornementale qui avec son
orange flamboyant n’est pas sans rappeler la thématique de cette nouvelle édition
autour de l’énergie. Près de 40 000 calices de Physalis, associés à la lampe TR12
du designer Tom Rossau animent l’espace Design par Nature pendant ces 5 jours.
La présence de végétaux à Maison&Objet, qui, par leurs couleurs, leurs formes et
leurs odeurs animent et habillent les intérieurs, prend tout son sens dans ce temple
des nouvelles tendances.
Le végétal rythme les allées du salon avec Design par Nature
Salon Maison&Objet
Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte
Hall 6 – Allée T80-U79
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Dossier de presse - Septembre 2013
Côté botanique :
le mystère de l’amour- en- cage…
ou
raconté par Nadia de Kermel
Physalis alkekengi
Des traces de graines relevées en Franche-Comté ou dans le Dauphiné, l’at-
testent : on a croqué du Physalis, en France, dès le néolithique. Physalis
alkekengi, dit alkékenge a donc fait son entrée dans le monde il y a fort
longtemps, du moins côté cuisine.
Côté pharmacie, un peu plus tard, la plante ne manqua pas non plus de
briller : le médecin suisse Paracelse (1493-1541), l’inventeur de la « théorie
des signatures »*, a de fait été jusqu’à conclure que le calice
étant en forme de vessie, le petit fruit rond qui s’y trouve
accroché à l’intérieur était forcément indiqué pour
traiter toute sorte de problèmes qui se rapportait au dit
organe. Dans ce cas précis, il avait raison : la baie du
Physalis est diurétique, entre autres vertus. Reste qu’on
l’appelle couramment amour-en-cage !
Fermons la porte de la pharmacie pour nous interroger : serait-ce
une allusion à une pratique amoureuse du Moyen-Age par exemple ?
A quelle cage faudrait-il se référer ? A un lit clos ? A une toilette faite de
dentelle qui soit aussi légère que celle dont se pare le calice, tard en saison,
et dont se seraient enveloppées quelques amoureuses ?
D’aucuns, que les suppositions fatiguent, préfèrent trancher : cette remarquable vivace tiendrait son nom vernaculaire du goût amer de son fruit
lorsqu’il est cru ou à peine mûr, amers comme le deviennent les malheureux
animés d’un amour devant rester secret.
*théorie qui s’appuie sur le fait que les plantes soignent les parties du corps auxquelles elles ressemblent
Dossier de presse - Septembre 2013
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Ne vous laissez cependant pas
gagner par la tristesse ! Et renoncez
plutôt aux contes de fées qu’à cultiver
cette belle plante : elle est rustique
et facile à vivre en tous sols, s’avère
Physalis alkekengi est le plus couramment cultivé.
Originaire d’Europe, il est parfaitement rustique à
l’instar de Physalis alkekengi var.franchetii,
originaire du Japon, dont les feuilles et les fruits sont
juste un peu plus grands.
Mais d’autres espèces existent encore,
plus d’une centaine. Un des plus goûteux est le Physalis peruviana (ou coqueret du Pérou) mais celui-ci
gèle sous –10°C ; semez-le sous abri,
repiquez les jeunes plants après les gelées et considérez-le comme une plante annuelle.
être un excellent couvre-sol, capable même de protéger les sols pentus de
l’érosion.
Votre sol est sec ? Ou pauvre ? Quelle aubaine ! Vous aurez plus de fleurs
mais surtout -les fleurs restant très discrètes- plus de fruits et la garantie,
l’automne venu, d’illuminer vos parterres de leurs lanternes oranges, mais
aussi vos talus ou le pied de quelques murs ou grillages, où le Physalis
pourra tracer à l’envi. Cueillez les tiges fleuries quand les calices commencent
à se teinter pour en faire de généreux bouquets ou des guirlandes. Les fruits
ensuite sèchent très bien et se conser vent longtemps. Mais si vous êtes
gourmands, n’oubliez pas que les baies se mangent : récoltez-les à partir du
mois d’août lorsqu’elles sont bien oranges et que le calice est quasi sec
pour en faire de merveilleuses confitures, des gelées, des liqueurs ou des
tartes. Il suffit même de les confire dans du sucre et de les plonger dans du
chocolat fondu, pour fondre à son tour de bonheur : n’est-ce pas là un
premier pas vers l’amour… au grand jour ?
"Dans le langage traditionnel des fleurs,
c'est une passion secrète vécue par des amants qui
ont besoin de se protéger"
Patrick Mioulane, extérieurs design
janvier-février 2013
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Dossier de presse - Septembre 2013
Va l ’ h o r :
l’Interprofession française de l’horticulture,
de la fleuristerie et du paysage
Val’hor est l’Interprofession française de l’horticulture, de la fleuristerie et du
paysage reconnue en 1998 par les pouvoirs publics. Elle représente les professionnels
du végétal et fédère 9 familles professionnelles.
Ces dernières sont regroupées en 3 collèges : production, commercialisation et
paysage, avec pour objectif commun de valoriser les professionnels du végétal et
répondre à une tendance d’une société en manque de verdure.
Les missions de l’Interprofession :
• Développer la consommation de produits et services en modernisant l’image
du végétal.
• Valoriser les métiers et les savoir-faire pour sensibiliser les jeunes générations
à ces métiers.
• Réaliser des programmes d’expérimentation en matière d’innovation technique.
• Élaborer et mettre en oeuvre des règles et disciplines de qualité et de certification.
• Développer la connaissance du marché et la synergie entre les opérateurs.
Val’hor en quelques chiffres
• 50 000 entreprises
• 160 000 employés à temps plein
• Un chiffre d’affaires de 11 milliards d’euros
Dossier de presse - Septembre 2013
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Une Interprofession dynamique
dans un monde
de plus en plus urbain
« Le monde de demain sera celui des villes. On ne peut aller contre cette tendance, mais
notre rôle est de nous assurer que les jardins ne seront pas oubliés dans ces paysages
urbains, car ils sont essentiels pour nombre d’entre nous. Ce sont des lieux de vie, de lien
social, de santé… »
Dominique Douard, président de Val’hor.
Afin de répondre à ses ambitions et de remplir au mieux ses missions, Val’hor met
en place un certain nombre d’actions tout au long de l’année parmi lesquelles :
• La Cité verte
pour la végétalisation des communes, espaces de vie du citoyen
• Design par Nature
pour renouveler l’image du végétal auprès des jeunes générations
• Parole de fleurs
pour donner envie d’offrir des fleurs lors des fêtes calendaires
• Plante bleue
pour une production de plantes d’ornement respectueuse de l’environnement
Et d’autres encore comme La Semaine du jardinage pour les écoles, Les Victoires du
paysage, Les Olympiades des métiers, l’Oscar des jeunes fleuristes, Les Rencontres
André Le Nôtre, le Concours de reconnaissance des végétaux... à découvrir sur
www.valhor.fr !
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Dossier de presse - Septembre 2013
Contact presse :
40 degrés sur la banquise
Charlotte Herbaux
Tél. : 01 40 92 71 43
E-mail : [email protected]
44 rue d’Alésia - 75682 Paris cedex 14
www.valhor.fr
www.designparnature.fr
40 degrés sur la banquise
Interprofession française de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage
- Crédit photo : Tom Rossau
Val’hor
Mélie Lamblin
E-mail : [email protected]
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