Les medocs / médicaments

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Les medocs / médicaments :
Synthèse
Dopamine Tyrosine=
>tyrosine
hydroxylas
e=>Dopa=
>dopadécarboxy
lase=>Do
pamine
Dégradation
Récepteurs
Rôles
Pathologie
Médocs et substances
- Catéchol-Omethyl
transferase/
COMT
- Mono amine
oxydase / MAO
7 domaines
transmembranaire
+ prot G
- D1 : excitateur
- D2 : inhibiteur
SNP
- Vasodilatation rénale,
mésentérique, coronaires,
cérébrale
- Inhibe la sécrétion de rénine
et aldostérone et donc baisse
de réabsorption NA+ K+
- Baisse du transit
SNC
-Vigilance
-Moteur et comportementale
-Favorise le vomissement
-Anorexie
-Inhibe la sécrétion de
prolactine
Parkinson :
déficit en D
dans les nx gris
centraux du
SNC=>tremble
ment, akinésie
Favorise la présence de dopamine : Indiqué chez les
parkinsoniens
. L-Dopa : augmente la synthèse de dopamine en passant
la BHE
. Entacapone : inhibe la dégradation de la D par COMT
. Sélégine : inhibe la dégradation de la D par MAO
Agoniste dopaminergique : Apomorphine, lisuride
bromocriptine dopexamine : Augmente les effets de la
colonne « rôle »
-A faible dose : augmentation du débit sanguin rénale
(augmentation de la diurèse) coronaire mésentérique et
cérébrale
-A dose moyenne : action ionotrope et chronotrope
positive (beta stimulants) et vasodilatation
-A dose élevé : augmentation de la PA (alpha stimulants)
et diminution de la diurese
Antagoniste dopaminergique :
-Neuroleptique : inhibition D2 traitement des psychoses,
accélération du transit
-Antiémétisant : Métoclopramide Dompéridone
MOTILIUM® en agissant sur l'area postrema
Noradréna Rq :
line
l’adrénali
ne
sécrétés
par les
médullosu
rrénales
est de la
noradréna
line
transformé
COMP et mono
acido
oxydase=>dérivé
s méthylés
Couplé à une
PG
- Alpha1 GP :
excitateur sur
l'organe effecteur
- Alpha2 GI :
inhibiteur sur le
GG
- Bêta1 GS :
excitateur sur
- Glandes sudorales :
sécrétions des extrémités
- Sécrétion bronchiques :
inhibition
- Mydriase : Dilatation
pupillaire
- Piloérection
- Éjaculation : par contraction
du C déférent
- Contraction utérine
- Vasoconstriction : élévation
Alpha2 bloquant : augmente la libération de nora au
niveau central
-Phénoxybenzamine et ergotamine
-Miansérine : antidépresseur
Alpha2 stimulant: diminue la libération de nora au
niveau périphérique
-Clonidine (Catapressan) : Antihypertenseur qui agis
=>sur lesVx en Inhibant la vasoconstriction
=>au niveau de la moelle allongée en ralentissant le
cœur
Tyrosine=
>tyrosine
hydroxylas
e=>Dopa=
>dopadécarboxy
lase=>Do
pamine
=>dopami
ne beta
hydroxylas
e=>Norad
rénaline
l'organe effecteur
- Beta2 GS :
inhibiteur sur
l'organe effecteur
de la PA
- Contraction des sphincter
lisse : vésico anales
- Sécrétions exo et endocrine
du pancréas inhibé
- Péristaltisme intestinal
ralentit
- Vasoconstriction coronaires
et cutanés
- Sécrétions, lipolyse et
glycogénolyse
- Sécrétion de rénine=>
augmentation de la PA
- Diminution du péristaltisme
Cardiaque
- Chronotrope : augmentation
de la fréquence
- Ionotrope : augmentation de
force
- Dromotrope : augmentation
de conduction
- Bathmotrope :
augmentation de l'excitabilité
- Bronchodilatation
- Relaxation du muscle
ciliaire : vision de loin
- Relaxation des sphincter
lisse vésico anales
- Vasodilatation des
coronaires
- Sécrétion d'insuline
Alpha1 stimulant : Utilisé comme vasoconstricteurs
-Locaux : « parfois associé à la xylocaine (anesthésique
local) pour empêcher le produit de diffuser dans tout
l'organisme
. Adrénaline : Stoppe une hémorragie
. Collyre alpha : Mydriase
. Pseudoéphédrine : Décongestionne la muqueuse nasale
(risque de sécheresse nasal voir AVC si passage en
systémique)
-Généraux :
. Phényléphrine : traitement des malaises (CI si
hyperthyroïdie et insuffisance coronarienne)
. Midodrine : traitement de l'hypotension orthostatique
Alpha1 bloquant : Relaxation des muscles lisses
-Prazosine : Hypotenseur à action rapide
-Alpress : hypotenseur à action retard
-Alfuzosine : relâchement du sphincter vésical
-Vidora : prévention de la migraine=>comme la
migraine est du à une vasodilatation brutale on prend ce
médoc pour la prévenir....traitement de l'athérosclérose
Beta1 stimulant
-Isopraline : effet dromotrope positif, utilisé dans les
trouble de la conduction auriculo-ventriculaire
-Dobutamine : effet iono chrono bathmo dromo ET
lusitrope : augmentation de la dilatation ventriculaire, le
cœur se remplit plus de sang et augmente donc son
volume d’éjection systolique
Beta2stimulant
-Isopraline: Bronchodilatation, utilisé dans l'asthme
-Salbutamol : Bronchodilatation et relaxation de l’utérus
lors de contraction précose et risque d'accouchement
prématuré
Bêtabloquant :
.Diminution de l'activité cardiaque et de la PA (puissance
exprimés en PA2)
.Utilisé également au niveau d'autres organes (voir
tableau)
.Globalement contrindiqué si insuffisance cardiaque et
des autre organes cibles...
- Liposoluble : Demi vie très courte car dégradation
hépatique foutrement efficace ; risque d'interaction
médicamenteuse
. Propranolol (Avlocardyl)
. Labétalol : également alpha bloquant
-Hydrosoluble : Demi vie longue car peu dégradés par
le foie ; pas d'interactions médicamenteuses ; pas d'effets
sur le SNC
. Aténolol, nadolol, sotalol
. Sotalol : antiarythmique bloque les canaux potassiques
cardiaque
Acétylcholi Choline et Acétylcholinesthé Nicotinique :
rase=>choline et canaux
ne
acétyl
CoA=>
- N1 : Sodique
acétate
choline
nerveux : SNS,
acétyl
SNV
transféras
- N2 : calcique
e=>ACH
musculaire : SNS
Muscarinique
(PS) : 7 DTM +
Prot G
- GP : excitateur
- GI : inhibe
synthèse d'AMPc
- GK : lié à
canaux K,
inhibiteur
- contraction musculaire
squelettique (SNS)
- transmission de l'influx
nerveux (SNS)
Sécrétion glandulaire :
- Lacrymales
- Nasale
- Salivaires
- Trachéo-bronchique
- du Tub dig
- Sudorale (OS)
Oeil :
- Contraction du Muscle
ciliaire : vision de prés
- Myosis : Iridoconstriction=
rétrécissement pupillaire
App trachéo-bronchique :
Bronchoconstriction
App dig :
- Contraction péristaltiques
++
- Relâchement du sphincter
Malaise
vagale : surplus
d'ACH libéré au
niveau
cardiaque
Agoniste:
-Direct muscarinique
. Muscarine Pilocarpine Méthacholine =>en gros
augmente tout les effets de la colonne « rôle »
-Direct nicotinique
. Nicotine/nicorette => baisse de l’éveil, facilitation de la
mémoire ; sevrage tabac
. Curare/Célocurine : =>contraction musculaire initiale,
puis paralysie car impossible à dégager des récepteurs
-Indirect : inhibiteur des cholinestérase
. Néostigmine/Prostigmine : traitement de la myasthénie,
augmente la contraction musculaire
. Tacrine/Cognex : Traitement d'Alzheimer : augmente la
transmission synaptique
. Organophosphoré/ gaz sarin : Augmente le temps de
transmission mais irréversible donc toxique
Antagoniste :
-Direct muscarinobloquant naturel: agissent en
postsynaptique
. Atropine : inhibition du parasympathique se référer à la
colonne « rôle »
-Direct muscarinobloquant de synthèse
lisse=>CACA
Vessie : (on pisse avec son
PS)
- contraction du détrusor
- Relâchement du sphincter
lisse
Cardiovasculaire
- Vasodilatation=>érection
- Nd sinusal et atrioventriculaire
- Oreillettes et ventricules
(OS)
- Ionotrope nég : --fréquence
de contraction
- Chronotrope nég : --force
de contraction
- Dromotrope nég : -conduction
- Bathmotrope nég : -excitabilité
Sérotonine Tryptoph Par la MAO
ane=>Try
ptophane
hydroxylas
e =>5hydroxytr
yptophan
e =>5hydroxytry
ptophane
décarboxy
lase=>Sér
otonine
- 7 DTM + PG :
. 5-HT1
. 5-HT2
. 5-HT4
. 5-HT7
- Canal : 5HT3
Cardiovasculaire :
- Vasodilatation musculaire et
sous-cut
- Vasoconstriction rénale
- Proagrégation plaquettaire
- Ionotrope et chronotrope
négatif
- Vasodilatation coronaire
- Augmentation de la
perméabilité capillaire
- Vasoconstriction veineuse
et artérielle si lésion
SNC
- Antidépresseur
- Anorexigene
. Tropicamide/mydiaticum : entraine une mydriase
. Tiemonium/Visceralgine : antispasmodique, lutte
contre les spasmes musculaires
. Scopolamine/Scopoderm tts : antiémétique
. Oxubutinine/Ditropan : traitement de l'incontinence
urinaire
. Trihéxiphénidyle/Artane Parkinane : traitement
parkinson en inhibant l'effet de l'ACH au niveau de la
substance noire, permettant d'augmenter l'effet de la
dopamine
. Iprotropium/Bronchodual : Antiasthmatique en inhibant
la bronchoconstriction
-Direct nicotinique
. Curare, Pancuronium/Pavulon : empêche la fixation de
acétylcholine sur la plaque motrice, pas de contraction
. Ganglioplégique : Bloque la transmission ganglionnaire
-Indirect : agissent en présynaptique
. Hémicholinium : blocage de la synthèse
. Vésamicol : blocage du stockage
. Opiacées Toxine botulique/botox : blocage de la
libération en hydrolysant les protéines de l'exocytose,
entraine paralysie et atrophie musculaire
-Migraine
-Diarrhée,
vomissement
-Asthme
-Inflammation
- Schizophrénie
Agoniste :
-Direct :
.Triptan : inhibe la vasodilatation=>antimigraineux et
algie vasculaire de la face (douleur horrible du coté de
l'oeil) ; contrindiqué si risque d'infarctus
.Buspirone/Buspar : agoniste partiel ; antidépresseur
-Indirect ;, spécifique des 5-HT ou pas
. Fluoxétine/Prozac : inhibe la recapture dans le neurone
présynaptique, agit sur 5-HT et ISRS
. Imipranine/tofranil : inhibe la recapture dans le
neurone présynaptique, agit sur 5-HT et NAD
. Mirtazapine/Norset : Favorise la transmission
synaptique
. Moclamine : Inhibiteur de la dégradation par MAO :
agit sur 5-HT et NAD
Antagoniste :
Autres:
- Emétisant : stimulation du
Tub dig et area postrema
- Augmentation du transit
- Bronchoconstriction
- Contraction de l’utérus
Histamine Histidine
=>histidin
e
décarboxy
lase
=>histami
ne
Vit.D
Ergostéro
l=>Calcifé
rol/D2 =>
ou 7-
Active une
enzyme IC
- H1 :
. Muscles lisses
. Endothélium
. Cerveau
-H2 : augmente
AMPc
. Muqueuse
gastrique
. Myocarde
. Mastocyte
. Cerveau
-H3 : augmente
AMPc et Ca2+
. Cerveau
. Plexus
myentérique
-H4 : augmente
AMPc et Ca2+
. Lympho CD4
.Pneutrophile
.Peosinophile
- Contraction muscle lisse
viscéral, augmente le
péristaltisme
- Libération de NO
vasculaire=>vasodilatation
- perméabilité vasculaire
augmenté=> risque d'oedeme
- Prurit : excite les
terminaisons sensitives libres
- Inflammation
- Risperdal : Anti 5-HT2 (également anti D2) :
Antipsychotiques
- …...sétron/Zophren : Anti 5-HT3 : Antivomitif par
inhibition vagale intestinal et au niveau de l'area
postrema
- Pizotifène/Sanmigran : antimigraineux non spécifique
- Allergie type
1:
dégranulation
des mastocytes
- Ulcère gastroduodénal
- Sécrétion gastrique
Agoniste :
- Serc : contre les vertiges de ménière
Antagoniste
-Direct : empeche la fixation mais pas la libération
d'histamine
. Lévocetizine/Xyzall : contre la rhinite, conjonctivite,
urticaire (symptôme d'allergie saisonnière)
. Hydroxyzine/Atarax : effet sédatif et antiprurigineux
. Prométhazine/Phénergan : Insomnie
. Diphénhydramine/Nautamine : antinaupathique=mal
des transports
Rq CI : hypertrophie prostatique, glaucome, myasthénie,
sécheresse buccale
. Cimétidine/Tagamet : Antiulcéreux par réduction de
l'activité des pompes à proton des cellules gastriques
-Indirect : inhibe la synthèse ou libération
. Tritoqualine/Hypostamine : inhibe l'histidine
décarboxylase, l'histamine n'est pas synthétisée
. Kétotifen/Zaditen/Chromoglycate disodiques : inhibe la
libération de l'histamine
- Favorise l'absorption
digestive du Ca2+ et P et sa
fixation sur la matrice
ostéoïde
- Ostéomalacie
et rachitisme :
carence en Vit
D et squelette
Agonistes :
- Stérogyl, Uvestérol : D2
- Uvedose : D3
- Rocaltrol : Calcitriol, indiqué dans l'ostéodystrophie
déhydroc
holestérol
=>UV=>
Cholécalc
iférol/D3=
>foie=>Ca
lcidiol=>r
ein=>Calc
itriol
La
transforma
tion par le
rein peut
être
modulé en
fonction
de l’état
de carence
ou l’excès
de
calcitriol
dans
l'organism
e
Stimulatio
n : PTH,
carence
Ca2+et P
Inhibition
:
calcitonine
, exces
Ca2+ et P,
calcitriol
Vit.A
Origine ali
mentaire :
foie,
peu minéralisé
rénale
- UnAlfa : Alfacalcidiol, indiqué dans les
hypoparathyroïdies
- Dédrogyl : Calcidiol, hypoparathyroïdie et
ostéodystrophie néonatale
EI
-hypercalcémie, hypervitaminose
-Diarrhée, fatigue, HTA, athérosclérose
- Noyau cellulaire - Favorise la vision nocturne Carence :
Agonistes
- Croissance et différentiation - Troubles
- Arovite, Avibon : Carence en Vit A par malabsorption
cellulaire epithéliale
visuel dermato, - Trétinoine : Traitement de l’acné
Vit.
E
viande,
carotène
végétal
Présente
des
dérivés :
- Rétinal
- Ac
Rétinoïque
- Synthèse protéique
ossification et
de résistance
aux infections
- Par
malabsorption :
mucoviscidose,
cholèstase,
Ipanc
- Acitrétine/Soriatane : Traitement du psoriasis
EI
- Hypervitaminose : nausée, vertige, fatigue, anorexie,
confusion, HTIC
- Tératogène ++++++++++++++++++++++ nécessite de
prendre un contraceptif et de faire des tests de grossesse
touts les mois
Origine
alimentair
e : huile
végétale
Synthèse à
partir de
glutathion
et de Vit C
- Favorise la stabilité des
membranes cellulaires en
empêchant la transformation
des AG en peroxyde
Carence :
Ephynal ; toco 500
- trouble neuromusculaires
- Peut etre du à
une
malabsorption
- Hémostase : stoppe les
hémorragie
K
B12
Cobalami
ne
Origine
alimentair
e : foie,
nécessite
le facteur
intrinsèqu
e pour la
resorbtion
digestive
- stimule l’érythropoïèse
- synthèse des bases puriques
- co-facteurs de réactions
chimique
- régénération de THF
Carence :
- Défaut
d'absorption :
anemie de
biermer, par de
FI
- Végétaliens :
Méthformine, glucophage
B9
Folates
Alimentati
on :
Synthèse
par les
plantes
verte
- Synthèse d'ADN
- Hématopoïèse
Carence :
- Prise de
methothrexate
- chez les
femmes
enceintes dont
la demande
augmente
Agoniste : Acide folinique ; lederfoline
Antagoniste : Metotexate
C
B6
Acide
ascobique
apporté à
l'organism
e par les
agrumes
- Synthèse de collagène
- Favorise l'absorption de fer
- Régénère la vitamine E
- Hématopoïèse et agrégation
plaquettaire
Pyridoxine
; origine
endo et
exogène
-cofacteur de réaction
enzymatique
Scorbut :
carence,
entraine :
- asthénie,
douleur osseuse
- hématome et
hémorragie
Agoniste :
- Stimulant système immunitaire
- En prophylaxie : prévention de carence
- Excitant
Ei : calculs oxalique et surcharge en fer
Carence :
Becilan : polynevrite, dermatose
- depression par Isoniazide : antituberculeux, contre les neuropathies
baisse du
metabolisme du
triptophane –
fatigue
- dermatose
Tableau Pharmacologie
CATEGORIE
Dopaminomimétiques
MEDICAMENTS
Traitement de la maladie de Parkinson
SINEMET
MANTADIX
MODOPAR
Agonistes dopaminergiques
APODINON
DELANCE
DOPERGINE
PARLODEL
REQUIP
SIFRO
Inhibiteurs de la COMT
COMTAN
Inhibiteurs de la MAO
DEPRENYL
IMAO B
OTRASEL
Inhibiteurs de la sécrétion de prolactine
AROLAC
DOSTINEX
PARLODEL
Traitement de troubles hémodynamiques
DOPACARD
DOPAMINE
Neuroleptiques
Antagonistes dopaminergiques
Antiémétisants
1ère classe
MACROLIDES
2ème classe
ANTI-H2
TAGAMET (Cimétidine)
3ème classe
Antifongiques
DAKTARIN (Miconazole)
MIZORAL (Kétoconazole)
Inhibiteurs enzymatiques
Autres
Antagonistes calciques
MOTILIUM
PLITICAN
PRINPERAN
VOGALENE
Dihydropiridines
CHLORAMPHÉNICOL
DHE
DISULFIRAM
GYNERGENE
IMAO
QUINOLONES
RIMIFON (Isoniazide)
VIVALAN, PROZAC, FLOXYFRAL
ZYLORIC (Allopurinol)
ADALATE (Nifédipine)
AMLOR (Amlodipine)
CALDINE (Lacidipine)
FLODIL LP (Félodipine)
ICAZ LP (Isradipine)
IPERTEN (Manidipine)
LERCAN (Lercanidipine)
LOXEN (Nicardipine)
NIDREL (Nitrendipine)
ZANIDIP (Lercanidipine)
CATEGORIES
Antagonistes calciques
MEDICAMENTS
Benzothiazépines
TILDIEM (Diltiazem)
Phénylalkylamines
ISOPTINE (Verapamil)
Autres
CORDIUM (Bépridil)
SIBELIUM (Lunarizine)
ALCOOL
ANTIPROTÉASES DU VIH
CARBAMAZÉPINE
DDT
GRISEFULUINE
HYDRATE DE CHLORAL
MILLEPERTUIS
PHÉNOBARBITAL
PHÉNYTOÏNE
RIFAMPICINE
TABAC
Inducteurs enzymatiques
H1
AERIUS
APHILAN
ATARAX
CLARYTINE
DIMELAN
KESTIN
PHENERGAN
POLARAMIDE
PRIMALAN
TELFAST
THERALENE
VIRLIX
XYZALL
ZYRTEC
H2
Cimétidine
STOMEDINE
TAGAMET
Directs
(Inhibiteurs de synthèse et de libération d'histamine)
Cromoglycate
ZATIDEN
TILAVIST
Anti-histaminiques
Oxatomide
Podoxamide
Bêta-stimulants
Questions d'examen.
1) Antagonisme compétitif d'un récepteur pharmacologique. Définir et décrire cette notion.
Les antagonistes compétitifs d'un récepteur pharmacologique se fixent au récepteur, empêchant ainsi le ligand habituel de ce récepteur de s'y fixer, et donc inhibent
l'activation de ce récepteur et ses effets.
2) Propriétés pharmacologiques de l'atropine.
L'atropine est un anti-muscarinique, ses propriétés pharmacologiques sont les suivantes :
SYSTEME NERVEUX AUTONOME







Accélération cardiaque
Dépression des centres vaso-moteurs (forte dose)
S'oppose à la vasodilatation par Ach
S'oppose à la bronchodilatation par Ach
Diminution du tonus du tube digestif, de l'uretère et de la vessie
Réduction des sécrétions
Mydriase + augmentation de pression intraocculaire
SYSTEME NERVEUX CENTRAL


Dépression des centres impliqués dans le contrôle musculaire (antiparkinsoniens)
FD : stimulation, délire, hyperthermie
Elle est donc utilisée pour : les douleurs spasmodiques de fibres musculaires lisses, anesthésiologie, en cas de bradycardie, pour les intoxications (digitaliques,
anticholinestérasiques)
1) Caractéristiques et conséquences des intéractions médicamenteuses par inhibition enzymatique. Citer 3 médicaments classés parmi les inhibiteurs
enzymatiques les plus puissants.
C'est un mécanisme qui concerne de nombreux médicaments
Consiste en une compétition entre les substrats du cytochrome P450
Le médicament est inhibiteur ou inhibé selon l'affinité pour le cytochrome P concerné
L'effet est immédiat et peut se produire pour des molécules non médicamenteuses
Médicaments classés parmi les inhibiteurs enzymatiques les plus puissants :
 macrolides (notamment l'érythromycine)
 anti H2 (notamment cimétidine contenue dans le TAGAMET et l'EDALENE)
 antifongiques imidazolés (miconazole (Daktarin) et kétoconazole (Nizoral))
2) A quoi correspond la notion de dépendance physique aux médicaments.
La dépendance physique est un état d'adaptation de l'organisme caractérisé par l'apparition de troubles physiques parfois intenses survenant lorsque l'administration du
produit est brusquement interrompue, ce qu'on appelle syndrome de sevrage (abstinence).
Les signes physiques pevent être sueurs, nausées, vomissements, diarrhées, hypertension, fièvre, amaigrissement.
Elle est à différencier de la dépendance psychique, qui correspond au désir souvent irrépréssible de répéter les prises d'un produit afin de retrouver les sensations
agréables ou particulières qu'il est capable de donner.
3) En vous aidant au besoin d'un schéma, décrire le fonctionnement général d'une synapse et y positionner les interactions pharmacologiques possibles.





La synapse comprend un élément présynaptique (un neurone), un élément post-synaptique (neurone, cellule musculaire ou glandulaire), et une fente
synaptique entre les deux.
L'élément pré-synaptique synthétise un neuromédiateur qu'il va stocker dans des vésicules en attendant sa libération.
La dépolarisation de l'élément présynaptique va entraîner la libération par celui-ci, d'un neuromédiateur dans la fente synaptique.
Ce neuromédiateur pourra :
1) Se fixer à un récepteur de l'élément post-synaptique
2) Etre recapté par un récepteur de l'élément pré-synaptique, ce qui donnera lieu à un rétrocontrôle négatif et diminuera sa propre libération
3) Etre détruit dans la fente synaptique par divers produits
Les interactions pharmacologiques peuvent se faire :
1) par des antagonistes, au niveau des récepteurs post-synaptiques (ce qui diminue l'effet du NM) et au niveau des récepteurs pré-synaptiques (pas de
rétro-contrôle = augmentation de l'effet du NM)
2) par des agonistes, au niveau des récepteurs pré-synaptiques (augmente l'effet du NM) et au niveau des récepteurs pré-synaptiques (augmente le
rétrocontrôle : diminution de la libération, donc de l'effet du NM)
3) par des médicaments ayant une structure analogue, ce qui permet de diminuer la dégradation par les enzymes dans la fente synaptique, et donc
d'augmenter l'effet du NM
4) Effets cardio-vasculaires des bêta-bloquants.


Diminution de la fréquence cardiaque et de la contractilité myocardique
Diminution du débit cardiaque


Pas de diminution de la PA à court terme (après administration chronique oui)
Effet anti-arythmique
1) L'inhibition enzymatique comme interaction médicamenteuse. Décrire son mécanisme, ses caractéristiques, et ses conséquences cliniques.
Ce sont des interactions médicamenteuses liées à la modification du métabolisme d'un médicament.
Ce mécanisme concerne de nombreux médicaments, elle consiste à établir une compétition entre les différents substrats de type Cytochrome P450. Le médicament
inhibiteur aura une plus grande affinité que le médicament inhibé pour le CYP450, qui ne pourra donc pas s'y fixer.
L'effet est immédiat, il est d'empêcher le métabolisme de la molécule inhibée, et donc d'augmenter son effet.
A noter que différents types de cytochromes peuvent également être impliqués dans ce mécanisme (Cytochrome 3A4, 2D6 ...)
2) Les différentes voies d'administration des médicaments : avantages et inconvénients.
Voie orale (digestive)
1. Avantages : préparation « à action prolongée »
2. Inconvénients : notion de premier passage hépatique, problèmes liés à la variabilité d'absorption, ne convient pas encas d'urgence, pour les
substances irritantes ou détruites par les sucs digestifs, les substances instables au pH gastrique et les substances non-liposolubles qui ne diffusent
pas.
Voies parentérales
Inconvénient : nécessitent une asepsie rigoureuse car effraction

Voie sous-cutanée

Voie intra-musculaire
1. Avantages : résorption rapide (15 à 60 minutes)
2. Inconvénients : douleur, voire nécroses

Voie intra-veineuse
1. Avantages : effet immédiat, doses précises et contrôlables (X dose injectée = X dose dans le sang), volumes importants, substances non-suportées
et/ou résorbées par les autres voies
2. Inconvénients : substances uniquement hydrosolubles, danger en cas d'injection trop rapide (coeur et cerveau), ou d'injection de deux solutions non
compatibles qui précipiteraient

Voie intra-artérielle

Voie sous-arachnoïdienne
Voies transmuqueuses et locales

Voie rectale
1. Avantages : évitement du PH1 et d'éventuelles dégradations gastriques
2. Inconvénients : résorption variable

Voie sub-linguale
1. Avantages : évitement du PH1 et des enzymes du TD (produits comme trinitrine à fort effet de PH1 administrés ainsi)
2. Inconvénients : molécules liposolubles non ionisées uniquement

Voie alvéolaire
1. Avantages : grande surface d'échange très irriguée, effets généraux ou locaux

Voie percutanée
1. Avantages : patchs avec libération longue durée
2. Inconvénients : variations de perméabilité
1) Parmi les médicaments suivants, lesquels ont une fixation dans l'organisme supérieure à 90% ?
A) Antivitamines K
B) Sulfamides
C) Fibrates (hypocholestérolémiants)
D) AINS
E) Aminosides
F) Isoniazides
Réponses : ABCD, qui sont des molécules ionisées à forte affinité de fixation (groupe I) et un nombre de sites faible. (Possibilités d'interaction et de saturation fortes)
1) Mode d'action des défixateurs. En citer trois ainsi que les médicaments défixés et leurs conséquences.
Les défixateurs sont des médicaments ayant une très forte affinité pour les protéines plasmatiques, elles s'y fixent et libèrent les molécules précédement fixées dans la
circulation.
 AINS de la famille des fibrates qui défixent les anticoagulants oraux = risque d'hémorragie
 Phénylbutazone qui défixe les sulfamides (hypoglycémiants) = risque d'hypoglycémie
 Phénitoïne qui défixe les antidépresseurs tricycliques = risque de toxicité neurologique
1) Parmi les médicaments suivants, lesquels traversent la barrière hémato-encéphalique par diffusion passive ?
A) Atropine
B) Benzodiazépine et barbituriques
C) Guanétidine
D) Noradrénaline
E) GABA
Réponses : AB qui sont liposolubles et non ionisés, les autres ne passent pas.
1) Définissez la tolérance pharmacologiques

C'est une diminution de l'activité et/ou de la toxicité d'un médicament, notamment des substances actives sur le SNC. C'est un phénomène d'adaptation de
l'organisme à une substance exogène entraînant la diminution de la réponse biologique au fur et à mesure de la répétition des administrations de cette substance.
1) Donnez les caractéristiques qui permettent de différencier des médicaments de liste I et de liste II
Liste I :
- étiquette blanche encadrée en rouge
- doivent être conservées à la pharmacie en armoire fermée à clef
- délivrance uniquement sur ordonnance datant de moins de 3 mois
- posologie en toutes lettres
- pas de renouvellement
Liste II :
- moins dangereuses que liste I
- ordonnance de moins de 3 mois
- posologie en chiffres
- renouvellement possible pendant 1 an
1) Interaction médicamenteuse : définition et exemples
Définition : phénomène survenant lorsque l'activité ou la toxicité d'une substance est modifiée par son association avec d'autres substances (lorsqu'elles sont administrées
ensemble), ceci suppose que l'interaction soit assez intense pour modifier de façon significative l'effet attendu.
Exemples de médicaments à risques : antivitamines K, digitaliques, sulfamides hypoglycémiants, contraceptifs oraux, lithium ...
Les différents types d'interactions :
1) Favorables :
 Peuvent améliorer l'efficacité thérapeutique ( association de deux hypertenseurs)
 Diminuer un effet indésirable (anticholinergiques pour corriger les troubles neurologiques induits par les neuroleptiques)
 Antagoniser un surdosage (antagonistes morphiniques et morphine)
1) A risques :
 Associations dangereuses : mise en jeu de la vie du malade, donc interdites (miconazole + anticoagulant)
 Associations déconseillées
 Association nécessitant des précautions d'emploi (anti-vitK + pro-vitK, si on arrêt l'anti-viteK, risque ....)
 Associations à prendre en compte
1) Synergiques : deux médicaments ayant des effets qui vont dans le même sens
2) Antagonistes : deux médicaments ayant des effets qui s'opposent (partiels ou totaux)
3) Pharmacodynamiques : (les plus fréquentes) voir courbe dose/action, l'administration d'un antagoniste déplace la courbe vers la droite, la dose de
substance à utiliser pour atteindre l'effet maximal est plus importante (inversement pour un agoniste)
4) Pharmacocinétiques : antagonisme ou potentialisation liées à des interférences avec les différentes étapes du devenir du médicament dans l'organisme
(résorption, distribution et excrétion)
1) Effets cliniques des antagonistes H1
Effets s'opposants à l'histamine : inhibition de la vasodilatation et de l'augmentation de perméabilité capillaire dans l'allergie
 Sédatifs
 Antivertigineux
 Anésthésiques locaux
 Anticholinergiques
 Antitussifs
 Antiémétiques
1) Effet des récepteurs H1 et H2 sur les différentes parties du corps
H1
H2
Coeur
Ralentissement
Inotrope +
Chronotrope +
Vaisseaux
Dilatation
Dilatation
Coronaires
Contraction
Dilatation
Fibres musculaires lisses
Contraction
Relachement
Estomac
Sécrétion de Hcl +
Allergie
Perméabilité capillaire +
SNC
Vigilance +
Appétit -
2) Caractéristiques principales de la fixation protéique d'un médicament :




Réversibilité (Médoc libre x protéine de transport)/(Médoc lié) = Kd (constante de dissociation en moles)
Affinité
Saturabilité (si faible nombre de protéines plasmatiques)
Compétition (si saturabilité + forte affinité du médoc)
Immuno-régulation

Facteurs de variation :
 Hypoalbuminémie
 Nouveau-né
 Insuffisance de la fixation
 Insuffisance hépatique
MEDICAMENTS A RISQUES TERATOGÈNES IMPORTANTS
Médicament
Mécanisme
Précautions
Antiacnéiques rétinoïdes
(Roaccutane)
Anomalies du SNC.
Risque d'IG
Contraception stricte de 1 mois avant le traitement à 1 mois
après le traitement
Dérivés de la vitamine A
(Sorianate)
Anomalies du SNC et du squelette.
Risque d'IG
Contraception stricte de 1 mois avant le traitement à 1 mois
après le traitement
Anticancéreux
Antimitotiques et cytotoxiques, malformations
graves dans 25% des cas de chimio pendant une
grossesse
...
MEDICAMENTS POTENTIELLEMENT DANGEREUX
Antidiabétiques
Tératogénécité de l'hyperglycémie
Contre indication des antidiabétiques oraux pendant la
grossesse. Seule l'insuline est autorisée.
AINS
(aspirine)
Fermeture prématurée du canal artériel, toxicité
rénale, hémorragies
Contre indiqués
Antalgiques
(Paracétamol)
...
Précautions
Risques d'hypotension, d'hypoglycémie, voire
d'anurie foetale (IEC)
Contre indiqués
Lithium
Malformations cardiaques
Contrôle de la lithémie de la mère et de l'état du coeur foetal
(à partir de la 20è semaine)
Anti-vitamine K
5% des malformations
On utilisera l'héparine
Antiépileptiques
Malformations cardiovasculaires, fentes labiales ...
Utilisés quand même, car les convulsions sont dangereuses
pour la mère et l'enfant
Antirétroviraux (HIV)
...
...
Certains anti-hypertenseurs
- IEC
- ARA2
- Antagonistes calciques
- Bêta bloquants
Exemples de questions:
1) Citer les applications thérapeutiques de molécules interférant avec la neurotransmission sérotoninergique. Préciser le mécanisme d'action et donner des
exemples.
2) En s'aidant d'un schéma, décrire les mécanismes par lesquels des médicaments peuvent modifier le fonctionnement d'une synapse neurotransmettrice.
3) Définition des principaux paramètres pharmaco-cinétiques. Citer et expliquer une relation qui relie trois d'entre eux.
4) Propriétés pharmacologiques non cardiovasculaires des Bêta2-stimulants.
5) Effets pharmacologiques d'une substance parasympatholytique.
6) Elimination rénale des médicaments : description, quantification.
Elle dépend de 3 mécanismes :
 Filtration glomérulaire (dépend de la fixation protéique, seules les molécules de petit PM sont filtrées au niveau du glomérule, et donc éliminées, donc la
défixation protéique augmente l'élimination du médicament par voie métabolique)
 Réabsorption tubulaire : concerne la fraction non ionisée, plus liposoluble, qui peut traverser la membrane, on peut la moduler en modifiant le pH de
l'urine (si on l'augmente, on augmentera la réabsorption des médicaments basiques, et inversement ...). En cas d'intoxication aigue correspondant à un
surdosage en molécules ionisables, on alcalinisera les urines pour empêcher leur réabsorption.
 Sécrétion tubulaire : c'est un mécanisme actif qui va dépendre de la mise en jeu de protéines de transport. On peut établir une compétition entre les
substrat au niveau de ces protéines de transport, afi par exemple de retarder l'apparition de produits dopants dans les urines ...
Quantification : on peut quantifier l'élimination rénale d'un médicament grâce à la clairance rénale, qui correspond au volume de plasma éliminé au niveau
du rein, par unité de temps.
On la calcule grâce à la formule suivante :

Les anti -histaminiques :
Libération à l’intérieur des tissus périphérique il y a pas de récepteur particulier qui vont activer la réaction, ce sont les Ig avec la réponse immunitaire qui déclenche la
libération d’histamine.
Synthèse et dégradation de l’histamine :
Récepteur H1 :
Récepteur H2 : lié à une protéine G
Distribution :
Effets de leur stimulation :


SNC = neurones qui vont agir sur les récepteurs H1 au niveau du
cortex surtout
Endothélium des vaisseaux =sur le tonus musculaire lisse des vaisseaux, au niveau l’endothélium libération du NO =vasodilatateur
puissant

Contraction muscle lisse viscéral




Muqueuse d l’estomac = effet essentiel des antagonistes des H2 pour ma protection de l’estomac
contre les sécrétions acides
Muscle cardiaque
Mastocyes
Cerveau
Mécanisme post récepteur : AMPc





Rôle physiopathologie :
Libération NO (endothélium vasculaire )
Relâchement muscle lisse vasculaire
Augmentation de la perméabilité , les liquides vont sortir du secteur
vasculaire pouvant entraîner des œdèmes
Prurit par stimulation terminaisons libres des nerfs sensitifs
Inflammation
Allergie type 1=Ig E qui vont dé granuler les mastocytes
stimulation de la sécrétion de l’acide gastrique
Rôle physiologique : pour la sécrétion gastrique physiologique
Pour prévenir les ulcères gastro-duodénaux
Récepteur H3 :
 Cerveau
 Plexus myentérique= contrôle la motricité intestinale
 Autres neurones
Mécanisme post récepteur : Augmentation AMP c , CA ²+
Les médicaments :
Agonistes : substances qui agissent directement pour stimuler les récepteur histaminergique , surtout pour certaines explorations immuno -allergiques , c’est une
substance mineur comme ttt d’appoint comme anti vertiginaux
H3 : béta histidine mais efficacité pas très grande Peu d’intérêt pharmacologique
Antagonistes : substance inhibant les effets el stimulation des récepteurs H
Direct :
 Anti H1 : surtout phénomène immuno-allergique
 Anti H2 : anti ulcéreux
Indirect sur le système histaminergiques , en s’opposant à la libération d’histamine en amont de la production .
Anti H1 :substances douées d’une affinité mais dépourvues d’efficacité pour récepteurs HA = empêchent les effets de l’histamine mais pas sa libération , donc le taux
d’histamine reste le même
Effets périphériques :
Effets centraux :

Vasoconstriction , anti œdémateux (car histamine augmente la perméabilité
de vaisseaux donc bloque cette perméabilité pour éviter la sortie de liquides
vers le secteurs interstitiels pouvant former des œdèmes )
Les plus anciens première génération : passe dans la BHE , très efficaces :




Variables selon le degré de passage de la BHE
Effet sédatif important
Anti émétique
Anti vertigineux

effets anticholinergiques inapproprié chez le sujet âgé = modification de la vidange vésicale , bouche sèche , effets centraux = troubles confusionnels car la
BHE est moins imperméable donc plus grand effet)
 Sédatifs
Indications des H1 :
Allergies :
Manifestations mineures de l’anxiété :
Insomnies occasionnelles ou transitoires (indications
discutée en cours réévaluation )




Rhinites allergiques saisonnières et perannuelles
Urticaire
Conjonctivite allergique
Ex : lévocetirizine , desloratidine



Hydroxyzine (atarax )
Effet sédatif , autres effets : anti prugineux +effet anti cholinergique
Utilisé en prémédication avant anesthésie générale , avant certaines explorations


Prométhazine
Alimémazine
CI :
Liées à l’action anti cholinergique :
 Antihistaminique première génération
 Hypertrophie prostatique, et vésiculaire
 Glaucome = par augmentation de pression dans le globe oculaire
 Myasthénie
 Grosses allaitement en l’absence de données fiables
EI :
Somnolence :
 Liée à la stimulation du récepteur H1 cérébral impliqué dans le contrôle de la vigilance
 A priori identique au récepteur H1 périphérique
 5 10% des patients avec nouveaux anti H1
Effet anti cholinergique
 Glaucome
 Adénome prostate
 Sécheresse buccale = diminution marquée de la sécrétion salivaire
 En particulier : atarax
Récepteur H2 :
Les cellules entéro gastriques agissent sur la régulation de la pompe à proton qui envoie des protons dans la lumière gastrique , notamment par l’intermédiaire de la
fixation des H2
Utilisé en thérapeutique pour effet de réduction de la sécrétion acide mais IPP sont plus efficaces plus facile sà manier donc anti H2 moins utilisé maintenant
Chef de file : cimétidine (tagamet) mais à la différence des autres anti H2 interaction inhibitrices enzymatique (avec phénytoïne ; AVK , théophylinne ) , élimination
rénale , effet anti –androgène (impuissance)
Autres : ranitidines.. Moins d’interactions et métabolisme hépatique
Médicaments ayant un effet anti H2 indirect :
Inhibiteurs de la synthèse :
 Tritoqualine : hypostamine : anti histidine , décarboxylase , pas d’effet sédatif et anticholinergique , traitement d’appoint des manifestations allergiques , rhinites ,
conjonctivites , urticaire
Inhibiteur de libération :
 Cromoglycate disodiques diminution de libération de médiateurs de l’histamine à partir des cellules bronchiques
Mécanismes d’action des anti-infectieux :
Grands principes d’utilisation des antibiotiques :
Bactériologie : si infection grave : la documentation bactériologique de l’infection s’impose : ECBU, hémoculture, ponction pleurale, LCR
Prescription adaptée :
Au germe : sensibilité in vitro
A l’ATB : paramètre pharmacodynamique & pharmacocinétique
Au patient : terrain ( âge localisation de l’infection )
Choix de l’AB :
 Avant l’administration
- Cas de l’antibioprophylaxie : pour prévenir un acteur de risque :
- Probabiliste, on choisit l’AB en fonction du geste chirurgical
- Elle est de courte durée
- Le patient est indemne de toute maladie à l’origine : rôle de prévention
Définitions générales :
Antibiotique concentration dépendante :
 Effet bactéricide puissante et rapide
 Dépend de la concentration, très forte posologie sur le lieu de l’infection en une administration
 Effet post anti biotique : phénomène ou l’on remarque que même après la disparition de l’antibiotique dans l’organisme l’effet antibiotique de non-prolifération
bactéries continue ex : fluor quinolone (effet post antibiotique sur bactérie gram -)
Atb temps dépendant
 concentration constante efficace, donc pas une administration posologie forte, mais plutôt perfusion continue de 24h à posologie moyenne
selon le type de bactérie une molécule peut agir en antibiotique concentration dépendante ou temps dépendant (fluoroquinonlone )
Dans une bactérie =
 une paroi
 une membrane



un ADN
un ribosome
constituent des cibles
Mécanisme d’action : 4 cibles :
Paroi bactérienne
: biosynthèse du peptidoglycane : beta lactamines & glycopeptides
Membrane interne
: dégradation des phospholipides
: on diminue la mobilité et fluidité de la membrane : polymyxine
Synthèse protéique
Action sur le ribosome bactérien
: macrolides , tétracyclines &
aminosides
Paroi bactérienne
Différentes molécules
Béta -lactamines =Deux sous familles : les pénicillines & les
céphalosporine ( plus prescrit & efficaces )
Généralités
Pénicillines :
Ces substances ont un index
thérapeutique large (entre
efficacité et toxicité )
Mode d’action
Agissent sur la paroi bactérienne (mb + coque de protéoglycanes , les pénicillines
Céphalosporine :
Génome bactérien
: ARN polymérase :
Acides nucléique pour l’ARN : rifampicine , quinolones
Acide folique pour l’ADN: triméthoprime, sulfamide
Synthèse protéique
Aminosides
Macrolides
Bactériostatique , ne tue pas les bactéries, mais empêchent la dissémination ,
Classé en fonction de leur
voie IV et seconde attention voie orale ,
arrivée sur le marché , se
spectre plus ou moins celui de la péniGroupements de sucres et de groupedistinguent par l’évolution
cilline G, tropisme intracellulaire +++ :
ments
amines
,
d’origine
naturel
puis
mi
de leur spectre antibactérien.
immunodéprimé intérêt d’avoir cette
–synthétique
Cycle à 6 carbones au lieu
molécule .
de 5 précédemment.
Inhibent les cytochromes P450 => IM
Présentations : érythromycine : éryVoie locale = néomycine
Choix très large : selon le
Action systémique agissent sur bactérie thromycine ( plus ancienne ) & roxipatient et la posologie, très
thromycine : rulid ( plus utilise )
gram - :
peu sont non métabolisé par
 Gentamycine
le foie, dans l’ensemble de Tobramycine
mi vie très courte,
 Amikamycine ++
Inhibition de la biosynthèse protéique
Inhibition de la biosynthèse protéique
SU 30s du ribosome
SU 50s ribosome
=Antibiotique bactéricides
Structures différentes des béta lactamines
Substance en particulier
vont s’y fixer et la dénaturer ,
Très actif sur les BG –
la bactérie ne sera plus capable de résister aux tensions
osmotiques crées par le milieu intérieur de l’hôte effet
bactéricide (tue les germes
++)
Les pénicillines :
Pénicilline G : par Flemming en 1944 essayée sur les soldats
américains = vrai recul de la mortalité due aux infections
bactériennes
Groupe M = pénicilline anti staphylococcus : spectre antibactérien ( bactéries sur lesquels la pénicilline est capable
d’agir ) : non inactivés par la pénicilline anti staphylocucus=
résistance : molécules : oxacilline& cloxaciline
Groupe A : modifications chimique : molécules capables
d’agir sur gram positif , amoxicilline ++
Carvapénemes : spectre large, grande stabilité vis-à-vis des
beta lactamases : imipénéme : on l’utilise en dernier recours,
pour ne pas re-créer de nouvelles résistances. Car cette molécule détruit la bactérie sans qu’elle puisse produire de pénicillases
Effets indésirables
Réaction d’hypersensibilité :
-systémiques ( choc anaphylactique ) ou plus localisé (
œdème de Quincke )
-Cutanée : rash ou érythème
urticaire
-Neurotoxicité : risque de
surdosage surtout si cas d’IR
++ : convulsion & donc adaptation de posologie : on diminue la posologie
Avant prescription, on se
Hypersensibilité qui peut
être croisé avec les pénicillines, si personne sensible
pénicilline 20% de chance
d’être hypersensible aux
céphalosporines. Même
risque de neurotoxicité.
: très importante
Ototoxicité : au niveau de l’oreille interne, atteinte nerf sept : atteint de la
cochlée & vestibule, faire très attention
si le patient se plaint de bourdonnements d’oreilles etc…Pas forcement
réversible après arrêt du traitement
photo toxicité
: toxicité cortex rénale/ Néphrotoxicité :
gentamycine & tobramycine : IR aigue
réversible à l’arrêt du traitement mais
peut provoquer des séquelles cellulaires
- en général bien tolérés
– troubles digestifs : lieu des bactéries
donc quand l’AB agissent => effet indésirables
-Toxicité hépatique avec
l’érythromycine
renseigne sur les ATCD du
patient ++
Résistance
Vient d’un champignon pénicilinium
En commun :
Cycle béta lactame fragile
Hydrolase =faible stabilité
per os
Faible résistance au pénicillinases (la bactérie synthétisent
des enzymes capables de détruire la pénicilline), donc
pénicilline G a vu son activité
diminué car résistance mise
ne place par beaucoup de
bactéries
Aminosides ne sont pas résorbés par
voie orale , pas passage dans la voie
générale , donc uniquement par voie
systémique = IV
Elimination rénale = AB très toxique
chez les IR adapter la posologie en
fonction de la clairance à la créatinine
Diffusion pratiquement nulle dans
LCR et tissus adipeux : posologie adaptée au poids maigre : aminosides pas
traiter dans les méningites, patient en
surpoids : on adapte au poids maigre =
sans sa graisse, car la molécule ne va
pas dans la graisse
Pharmacocinétique
Association
Aujourd’hui utilisé en association avec inhibiteurs des
beta lactamases = pénams :
activité antibactérienne faible,
Absorbés par voie orale, inhibiteur
enzymatique P450 interaction avec
Carbamazépine , ciclosporine , warfarine .
Elimination hépatobiliaire.
Contre-indication
Molécules
Généralités
inhibent la majorité des pénicillases
OXAPENAM : acide clavulanique + amoxiciline :
AUGMENTIN +++
Hypersensibilité
Synthèse protéique (suite)
Tétracyclines
= cyclines
1ère génération : pommade
2ème génération : doxycycline
Rentre très facilement à l’intérieur de la cellule
:d’où une indication : germes à développement
intracellulaire : notamment manifestations génitourinaires et respiratoires.
Mode d’action
Génome protéique
Quinolone
Fluoroquinolones, structure cyclique , ou on
ajoute un fonction fluor qui a permis
l’augmentation de l’activité et de la stabilité , bactéricide avec activité rapide &
spectre large , elles sont très lipophiles,
capable de passer les barrières cellulaires
très facilement, pour traiter des atteintes
profondes ex : l’os très utilise .
Différentes générations :
Première : cystite
Deuxième et troisième génération : systémique
Médicaments existants : ofloxacine ;oflocet
; lévofloxacine : tavanic : contiennent
toutes les deux du floxacine mais modification de la molécule dans l’espace , moxifloxacine.
Bloquent la synthèse protéique au niveau de la sous Blocage de l’ARN gyrase, empêche le suunité : 30ss du ribosome bactérien
renroulement de l’ADN (topo isomérase II)
perte de la conformation spatiale de l’ADN,
supprime fonction du génome bactérien
IM : par inhibition enzymatique : taux de
théophylline (asthme) à adapter la posologie
Antiacides : diminution de la résorption du
système digestif vers la circulation : diminution de l’effet des quinolones car moins
Sulfamides
Premier traitement antibactériens à visée
systémique :
Spectre d’action extrêmement large :
mais aujourd’hui résistance acquise, apparu
très rapidement , aujourd’hui que 5 associations : cotrimoxazole = sulfaméthoxazole +
triméthoprime
Fansidar pas affection bactérienne
mais paludisme
synthèse d’acide folique ( réparation
d’ADN ) , en se substituant à l’acide para
amino-benzoïque
Association au triméthoprine : renforce l‘action des sulfamides, blocage de
l’étape suivant
Effet temps dépendant mais quand
même effet post antibiotique
bien diffusé
Substance en particulier
Glycopeptides : vaccomycine vancopine
,téicoplanine targocid
-AB de réserve utilisés exclusivement en milieu
hospitaliser car aucune résistance contre les
straphylococciques
-Antistraphylococciques de référence
Mécanisme d’action : inhibiteurs de la synthèse du
peptidoglycane de la paroi bactérienne
Effets indésirables
Pharmacocinétique
+++++
Digestifs
Photosensibilisation : interdiction exposition solaire
Altérations osseuses et dentaires : fixation
trame osseuse en phase croissance et email dentaire
jaune indélébile
Bonne résorption intestinale mais diminué si en
même temps que le repas, diffusion tissulaire très
bonne ; passe le placenta et dans le lait , passage
dans le BHE très insuffisant
Elimination mixte : filtration glomérulaire rénale et
excrétion biliaire : augmentation de la posologie
-Gastro intestinaux
-SNC : maux de tête , vertiges
-Hématologiques : hémolyse, neutropénie,
thrombocytopénie
-Augmente espace QT
-Neurologiques : insomnies, troubles visuels, hallucinations, dépression, convulsions & réversible à l’arrêt.
-Dermatologique : phototoxicité : éruption
érythémateuse maculopapuleuse
-Tendinopathie : 2 à 42 jours après le début
du traitement, régressent 1 à 2 mois après
l’arrêt du traitement dans 2/3 des cas ++
-+++++ sujets âgé, IR, stéroïdes au long
cours
Absorbé par VO, très lipophiles, peu liées
au protéines plasmatiques : pas trop
d’interaction médicamenteuse, élimination
urinaire : explique leur utilisation dans la
cystite
Action antibactérienne : effet bactéricide :
concentration dépendant & effet post AB
marque
Tolérance bonne aux faibles doses
Réactions d’hypersensibilité : atteintes cutanées graves entre différents sulfamides, voir même sulfamides
Troubles hématologiques : anémie
hémolytique aigue, agranulocytose & anémie
: corrigé par l’apport d’acide folique par voie
orale pour compenser le déficit
Surveillance du traitement :
NFS
STP
Surveillance clinique attentive : éviter
les accidents allergiques graves : arrêt immédiat devant toute manifestation cutanée
: pas tous résorbés par voie intestinale =>
utilisation pour lumière intestinale
Excrétion principalement par le rein
sous forme inchangée => infections urinaires
: forte variabilité interindividuelle en fonction de l’âge et de l’IR
Résorption orale trop faible : voie injectable &
élimination rénale , ajustement posologie chez IR ,
bonne pénétration tissulaire
Association
Contre-indication
Utilisation des glycopeptides :
Utilisés en association : association médicaments
néphro et/ou ototoxique à éviter
Surveillance de la toxicité : concentration plasmatique & fonction rénale et auditive
- grossesse ( 2 & 3 trimestre )
Allaitement
Enfant de moins de 8 ans
En cas d’hypersensibilité
Traitement par les rétinoïdes par voie générale
Antiviraux :
Cycle des ANTIVIRAUX :
- cycle de multiplication du virus : Attachement, Fusion, Décapsidation, Intégration, Réplication, Assemblage ou libération, Synthèse d’ARNm viral
On va pouvoir agir à tous ces différents niveaux
Principales cibles :
Enzymes virales nécessaires à la réplication
La majorité des AV inhibent les enzymes impliques dans la synthèse des acides nucléique ou protéine de maturation des protéines virales
Inhibition de la décapsidation :
Inhibition de la réplication :
Action de INTI :
Inhibition de l’assemblage et de
la libération :
Par mécanisme d’inhibition de la
pompe à protons de la protéine
M2 des virus de la grippe A
Amantadine : mantadix & rimantadine : flumadine
Enzyme clés de la réplication :
reverse transcriptase ( VIH ) ou
ADN polymérase virale :
Inhibiteur nucléosidique de la
transcriptase inverse du VIH
•
AZT : analogue thymidine
dépourvu de 3’ OH remplace par
le radical azide N3
•
Triphosphorylé par ki-
Etape tardive : nouvelles cibles
anti VIH et anti grippe ,
VIH : Oseltamivir : tamiflu
Actif sur virus grippe A seulement
le virus ne peut plus se décaspuler
: le génome est bloquer dans la
capsule
Ce mécanisme est statique, on ne
tue pas le virus mais on l’empêche
d’agir
Analogues nucléosidiques : modification du sucre ou base purique
ou pyrimidique
Pro médicaments : triphosphorylation : par les kinases
de la cellule humaines
Aciclovir : Zovirax : anti
HSV
Anti VIH : AZT
Analogues nucléotidique : pas de
première phosphorylation : moins
spécifique & plus toxique néphro-toxicité
Acide phosphonoformique ( PFA)
: agit directement sur le site de
l’ADN polymérase sans transformation préalable , analogue de
pyrophosphate
Analogue de la guanosine : dépourvue de 3’OH , phosphorylé
par la thymine kinase du virus
Très peu toxique : active uniquement sur les cellules infectées par
le virus
Arrêt d’élongation de la chaine,
manque radical 3’ OH nécessaire
à l’accrochage d’un autre nucléotide *
Inhibition de la synthèse d’ARNm
:
Inhibe la formation et la maturation des ARNm produits lors
cycle multiplication des virus a
ARN. Grippe …
Les antirétroviraux :
•
nases cellulaires
Inhibe action de la reverse
transcriptase en inhibant
l’élongation…
Actif contre virus grippe A et B,
inhibe la neuraminidase : libération des virions néoformés à la
surface cellulaire , arrêt diffusion
des virus de cellule à cellule , action préventive et curative si administration précoce
TCD4+ < 350 /mm^3 : début du traitement
Association d’ARV de différentes classes
Objectif :
* restaurer un nombre suffisant de lymphocytes pour lutter contre les infections opportunistes
* ARN plasmatique indétectable en 3 à 6 mois après début de traitement, on considère que l’on a une stase du virus, mais il reste tous les virus quiescents, on n’a pas
guéri mais traiter
Inhibiteur TI (transcriptase inverse ) : analogue dépourvus de 3’OH
Toxicité mitochondriale : inhibition non spécifique ADN po=> arrêt élongation
lymérase mitochondriale
Inhibiteur non nucléotidiques de la TI : INNTI
-
Inhibition non compétitive de la TI : fixation poche hydrophobe
près du site de fixation
Inhibiteur des protéases :
Bloquent la phase tardive de la maturation : à protéase clive les
polypeptides précurseurs : produits par les gènes codant pour les protéines de structure et les enzymes d virion : virions immatures incapables …
Associé à des inhibiteurs de la TI
Nouvelles classes d’AV :
Inhibiteur des récepteurs aux chimiokines : antagonistes d
esCCR5 :fixation dans la région TM du récepteur CC5 : le rétrovirus
ne pourra pas rentrer dans la cellule , car n’est plus reconnu
Inhibiteurs de fusion : on empêche la fusion avec la membrane
et pénétration du virus : fuséon = molécules
Inhibiteur de l’intégrase : raltégravir ++ : empêche l’ADN pro
viral de s’intégrer dans la cellule
Les interférons :
Cytokines : antivirales, antiprolifératives : virus de l’hépatite B
& C , beta infection VHC
Les antifongiques
: traitement infection dû à des champignons
Généralités
Espèce fongique pathogène : levure : candida & champignon
filamenteux : aspergillus
Deux lignes de défense : barrière cutanéo-muqueuse & système
immunitaire de l’hôte
Toute altération de ces mécanismes de défense favorise la dissémination systémique des mycoses
Infections systémiques graves
Mortalité très importante si elles ne sont pas traite : si immunodéprimé : très grave
dermatophytes
Indications :
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Mycoses superficielles à dermatophytes
Mycoses septicémiques et profondes ++ : forte mortalité
Polyènes
Azolés
Antimétabolites
Echinocandines
Mode d’action des antifongiques :
altération de la membrane plasmique : ergostérol
Amphotéricine B : interaction avec l’ergostérol membranaire :
néphrotoxicité ++
Azolés : inhibition de la synthèse de l’ergostérol membranaire :
inhibition de la 14- alpha inaostérol …
Flucytosine : en association, inhibition synthèse ARN ADN
fongique : toxicité dermatologique
Echinocandines : inhibition de la beta 1-3 glucane synthétase :
nouvelle famille, peu d’Effet Indésirable, moins toxique et efficaces.
Altération de la paroi fongique
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