LOMBALGIE CHRONIQUE À propos de la douleur Vous n'êtes pas seul à lutter contre la douleur chronique D'après la fiche d'information sur la douleur de la Société canadienne de la douleur un Canadien sur cinq souffre de douleur chronique. La douleur chronique touche quatre fois plus de gens que les maladies du cœur et le diabète, et neuf fois plus de gens que le cancer. La douleur constitue l'une des raisons les plus fréquentes des visites chez le médecin, elle est parmi les motifs les plus courants de la prise de médicaments et une cause majeure de l'incapacité professionnelle. Toutes les douleurs sont-elles identiques? La réponse est simple : non. Chaque personne ressentira la douleur différemment. La douleur est un signal qu'il est très difficile de mesurer, car elle relève de l'expérience personnelle. La douleur a été définie comme « … tout ce que la personne touchée évoque; elle existe dès que la personne indique qu'elle est là ». La douleur est une sensation et une émotion. L'« expérience de la douleur » comprend non seulement une expérience sensorielle et émotionnelle, mais également l'effet qu'a la douleur sur une personne. La plupart du temps, la douleur est décrite comme étant aiguë ou chronique. Douleur aiguë • Elle peut se manifester progressivement ou soudainement, mais elle est censée durer peu de temps. • Elle se manifeste généralement à la suite d'une blessure • La douleur est généralement proportionnelle à la lésion tissulaire • Elle disparaît lorsque la blessure correspondante est guérie Douleur chronique • Elle dure plus de trois à six mois. • Elle n'est pas toujours entièrement expliquée par une blessure ou un événement. Douleur aiguë en plus de la douleur chronique : • Il s'agit de brefs épisodes de douleur plus intense qui se manifestent en plus de votre douleur habituelle • Il peut s'agir d'une douleur liée à un nouveau nerf coincé, de spasmes liés à une chute récente ou d'une autre blessure telle qu'un accident de voiture De plus près Douleur aiguë La douleur aiguë est généralement causée par une blessure ou un traumatisme. Ce type de douleur nous avertit du risque de blessure ou de son étendue. La douleur aiguë s'arrête lorsque la blessure est guérie. Les causes communes de la douleur comprennent : • la chirurgie • un traumatisme (comme un accident impliquant un véhicule motorisé, une fracture, une entorse ou une coupure) • une maladie aiguë (comme l'appendicite) • un acte médical (comme une vaccination ou une endoscopie) Douleur chronique La douleur chronique peut être proportionnelle à la lésion tissulaire (comme pour de nombreux cas d'arthrose) ou elle peut être proportionnelle à ce que l'imagerie médicale (telle que les tomodensitogrammes et l'imagerie par résonance magnétique) peut démontrer, comme c'est encore le cas pour de nombreux cas d'arthrose. La douleur persistante peut perturber le sommeil et avoir des répercussions sur la vie quotidienne. Contrairement à la douleur aiguë, la douleur chronique n'est pas forcément liée étroitement à une lésion tissulaire et peut donc être un signe avant-coureur non fiable. La douleur chronique peut être : • neuropathique — elle est associée à des lésions ou à des dysfonctions des nerfs, de la moelle épinière ou du cerveau • nociceptive — elle est associée à des lésions tissulaires, telles qu'une inflammation ou de l'arthrose • pathologique — on pense que cette douleur est due à une anomalie du système de perception de la douleur (fibromyalgie) • une combinaison de certaines des douleurs susmentionnées ou de toutes Il est important de comprendre les différents types de douleur; le traitement peut en effet être différent pour chaque type de douleur. Chez un patient atteint de lombalgie chronique par exemple, les facteurs contribuant à la douleur peuvent être de l'arthrose à la colonne vertébrale, une compression chronique de la racine nerveuse, des spasmes musculaires persistants, un déconditionnement musculaire, les effets du traitement unique de la douleur de la personne et les effets de l'humeur et des circonstances psychosociales. Pour la douleur aiguë, le traitement est axé sur la cause sous-jacente. La douleur doit disparaître avec la guérison de la blessure. Le traitement de la douleur chronique est le traitement de l'expérience de la douleur chronique. Il doit être axé sur les facteurs y contribuant tels que toutes les causes sous-jacentes traitables (irritation nerveuse), sur les problèmes secondaires comme des muscles affaiblis en raison d'un manque de déplacement et sur les problèmes émotionnels et sociaux subséquents lorsque la douleur vous empêche continuellement de faire ce qui est important pour vous. Cela peut avoir une incidence sur l'estime de soi et sur les idées et les plans relatifs à la personne que vous pourriez devenir. Lombalgie chronique La lombalgie est très répandue – on estime que jusqu'à 80 % des adultes souffrent de lombalgie à un moment de leur vie. Au cours d'une année, jusqu'à un adulte sur cinq souffre d'un type de lombalgie. Toutefois, la plupart de ces douleurs disparaissent dans les 3 mois – ce sont des exemples de douleur aiguë. Si la lombalgie dure plus de 3 mois sans aucune amélioration, elle s'est transformée en lombalgie chronique. Qu'est-ce qui provoque la lombalgie chronique? Les causes de la plupart des cas de lombalgie chronique ne sont pas bien connues. Bien que nous sachions que certaines personnes souffrent de douleur chronique après une blessure ou une chirurgie, la plupart des cas de lombalgie chronique ne sont pas dus à une seule cause précise. Toutefois, votre médecin vérifiera les causes connues de lombalgie, comme les maladies inflammatoires, les infections ou les fractures. Quelques-unes de ces causes sont indiquées dans le tableau 1. Tableau 1 : Certaines causes de lombalgie Lésion rachidienne Maladie de la moelle épinière Lésion musculaire Fracture Lésion de la moelle épinière ou des racines nerveuses Lésion aux articulations, aux ligaments ou aux disques Arthrite Dégénérescence des disques Inflammation Infection Cancer Autres maladies qui causent une douleur projetée vers le dos Ulcères de l'estomac Pancréatite Néphropathie Maladie de la vésicule biliaire Anévrisme de l'aorte abdominale Comment savoir si mon médecin n'a pas omis de traiter quelque chose? Les médecins de famille et les physiothérapeutes sont formés pour déterminer les causes graves et guérissables de la lombalgie. Même s'il est possible qu'une cause guérissable de votre douleur ait été négligée, cette probabilité s'estompe au fur et à mesure que le temps passe. Dois-je passer des radiographies, une IRM ou des analyses de laboratoire? Aucun test n'indique la présence de douleur. Les tests peuvent indiquer une lésion structurelle ou à l'occasion une dysfonction structurelle, mais il n'y a actuellement aucun biomarqueur cliniquement pertinent pour la douleur. Ni l'imagerie ni aucune autre technique ne peuvent localiser ou caractériser la douleur. La plupart des personnes qui souffrent de lombalgie n'ont pas besoin de faire de tests. Il existe des preuves acceptables indiquant qu'il y a une très faible corrélation entre la douleur et les anomalies structurelles décelées aux rayons X, au tomodensitogramme ou à l'IRM. Votre médecin ne vous demandera de faire des analyses que pour déterminer si un diagnostic précis s'applique à votre cas. Quelle est la première étape pour soulager ma lombalgie chronique? La façon la plus efficace de gérer votre lombalgie chronique est de combiner l'auto-gestion aux soins de professionnels de la santé. Il existe un certain nombre d'étapes que vous pouvez suivre de votre côté : • Les experts recommandent les exercices physiques supervisés comme première approche de traitement. Parlez à votre médecin de la physiothérapie, des cours de sport consacrés aux personnes qui apprennent à gérer la douleur ou éventuellement de quelques exercices simples que vous pouvez pratiquer par vous-même. • Soulagez votre douleur et améliorez votre bien-être en améliorant votre fonctionnement quotidien. Par exemple, essayez de conserver un poids santé et ne fumez pas. • Apprenez à utiliser les stratégies de relaxation et de gestion du stress pour vous aider à contrôler la douleur. • Participez à un programme de rétablissement, à un programme interdisciplinaire sur la douleur et à un groupe de soutien. • Envisagez des thérapies alternatives telles que les massages, l'acupuncture, une machine de neurostimulation électrique transcutanée ou une prolothérapie (si ces deux dernières sont combinées avec un programme d'exercices). • Les traitements tels que la chaleur ou le froid peuvent être appliqués sous forme de crèmes, de gels et de timbres, mais également avec des enveloppements chauds ou froids. • Certaines personnes ont un bon matelas. Que peut faire mon médecin pour m'aider? Votre médecin de famille est la personne la mieux placée pour vous aider à naviguer parmi le système de santé et sera en mesure de vous dire lorsqu'il faudra que vous passiez des tests supplémentaires ou que vous fassiez d'autres consultations : • Il peut déterminer des problèmes connexes liés à votre humeur et vous aider à les gérer. • Il peut vous aider à définir des objectifs précis, puis à déterminer les obstacles et les ressources pour atteindre ces objectifs. • Il peut vous aider à explorer différentes options thérapeutiques pour atteindre vos objectifs. • Il peut défendre vos droits si vous avez besoin d'aide avec les formulaires, les demandes d'invalidité, un plan de retour au travail ou si vous avez besoin d'accéder à d'autres ressources. Aucun traitement unique ne peut faire de miracle et la plupart du temps les gens tirent profit à combiner plusieurs approches à la fois. Prendre le contrôle de votre douleur chronique Quels médicaments me permettent de contrôler la douleur? On a découvert qu'un certain nombre de types de médicaments aidaient les personnes souffrant de lombalgie chronique. Il est très important de prendre votre médicament exactement comme votre médecin vous l'a prescrit, ce qui dans certains cas signifie de le prendre tous les jours. Il est possible que vous ne ressentiez pas d'amélioration immédiate, ou bien que la douleur disparaisse à certains moments; néanmoins, discutez toujours avec votre médecin avant d'arrêter votre médicament. Certains médicaments sont destinés au traitement de la lombalgie chronique et certains médicaments sont uniquement prescrits pour une courte durée en cas d'exacerbation de la douleur chronique. Les médicaments pour la douleur dorsale sont les suivants : • Les AINS (« médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens » tels que l'ibuprofène et le naproxène) et les analgésiques légers tels que l'acétaminophène. • Les relaxants musculaires pour un soulagement à court terme des spasmes musculaires • Certains antidépresseurs (certains de ces médicaments généralement utilisés pour traiter la dépression se sont montrés efficaces pour soulager la douleur, que vous soyez déprimé ou non) • Les médicaments opioïdes pour la douleur intense, sous surveillance médicale étroite Qu'en est-il des injections, de la chirurgie ou d'autres traitements pour m'aider à contrôler la douleur? Il existe un certain nombre de traitements plus invasifs. Parmi ceux-ci, on retrouve : • Les injections épidurales de stéroïdes si votre douleur provient d'un nouveau nerf pincé ou d'une sténose spinale • Les injections de stéroïdes dans la facette articulaire, les blocs de branche médiane avec anesthésiques locaux ou les traitements par impulsions de radiofréquence peuvent aider à diminuer la douleur aux facettes articulaires douloureuses. • On recommande parfois la chirurgie pour soulager la pression sur les nerfs ou la moelle épinière ou pour offrir une stabilisation vertébrale. • Les traitements tels que les remplacements de disques, la thérapie électrothermique intradiscale ou les stimulateurs de moelle épinière sont encore à l'étude et ne sont généralement pas disponibles au Canada. Bougez! Selon le Guide d'activité physique canadien, pour ressentir des bénéfices sur la santé, les adultes de 18 à 64 ans doivent effectuer au moins 150 minutes d'activité physique d'aérobie, d'intensité modérée à énergique (activité au cours de laquelle les grands muscles bougent en rythme pendant une période soutenue, telle que la marche rapide, la course, la natation, le cyclisme), chaque semaine, par séances de dix minutes minimum. Il est également utile d'ajouter des activités de renforcement musculaire et osseux, qui font appel aux groupes de muscles principaux, au moins deux jours par semaine. En fonction de votre niveau de douleur, il sera peut-être nécessaire d'ajuster le type d'activité physique choisi et le temps passé à le pratiquer. Il est fondamental que vous en parliez avec votre médecin ou avec un professionnel de la santé avant de débuter votre programme d'activité physique. Le Guide d'activité physique canadien recommande également que les adultes de 18 à 64 ans pratiquent des activités de souplesse, telles que le yoga ou les étirements, trois à quatre fois par semaine. Discutez avec votre médecin ou un professionnel de la santé avant de débuter un programme régulier d'étirements. Il pourrait en effet vous donner des conseils ou des instructions sur le type d'étirements à réaliser et la manière de les effectuer correctement, et vous orienter vers un autre professionnel de la santé capable de vous assister. En apprendre davantage Optimiser votre traitement de la douleur Il est difficile de l'accepter, mais toutes les douleurs ne peuvent pas être guéries. La plupart du temps, même la médecine moderne ne peut pas trouver un moyen d'éliminer complètement la douleur. Cela n'empêche pas de la soulager. Il existe pratiquement toujours un moyen d'aider à contrôler la douleur et à diminuer l'effet qu'elle a sur votre vie. Il est très important que vous communiquiez ouvertement avec votre médecin à propos de votre douleur. Si vous avez l'impression que votre douleur pourrait être mieux contrôlée, dites-le. Pensez à demander du temps supplémentaire lorsque vous prenez rendez-vous, afin de vous assurer que vous pourrez discuter de tous vos besoins avec votre médecin. Soyez patient et faites le suivi de vos progrès Même si vous vivez avec une douleur chronique, vous pouvez apprendre à la gérer correctement et, souhaitons-le, à diminuer son incidence sur votre vie quotidienne (rôles et responsabilités au travail et à la maison, relations avec les amis et participation à des activités que vous aimez). Prenez en main la gestion de votre douleur. Utilisez ce tableau pour inscrire quelques objectifs simples et discutez-en avec le professionnel en charge de votre douleur. N'oubliez pas : commencez modestement; chaque pas en avant vous permet de jouer un rôle plus actif dans votre traitement. Activité physique/activité quotidienne (p. ex. faire le tour du pâté de maisons à pied, faire les courses) J'aimerais être capable de : Alimentation (p. ex. manger des repas équilibrés, davantage de fibres, de légumes) J'aimerais intégrer X dans mon alimentation : Rester en contact avec quelqu'un (p. ex. aller boire un café, envoyer un courriel) J'aimerais aller vers : Autres soins de santé possibles (p. ex. spécialiste, physiothérapeute, acupuncteur, massothérapeute) J'aimerais en savoir plus sur : Médicament (p. ex. posologie adaptée) Je vais prendre mes médicaments comme me les a prescrits mon médecin; cela a des effets sur ma douleur et mes fonctions… Recommandations de mon professionnel de la santé Le professionnel en charge de votre douleur aura peut-être des idées pour que vous atteigniez les objectifs fixés. Inscrivez ses suggestions. Activité physique/activité quotidienne Alimentation Rester en contact avec quelqu'un Autres soins de santé possibles Médicament Tirez le maximum de votre visite chez le professionnel de la santé Partagez les renseignements de ces pages avec votre professionnel de la santé; vous lui fournirez ainsi des renseignements importants. Ces derniers pourront l'aider à déterminer s'il est nécessaire de modifier votre traitement. N'ayez pas peur de poser des questions au professionnel de la santé. Prenez la peine de noter ici vos questions et réflexions; ainsi, vous vous en souviendrez pour en discuter avec lui lors de votre prochaine visite. Questions que je souhaite poser à mon professionnel de la santé :________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ Choses que j'aimerais faire mais ne peux pas :________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ Ce que je continue de ressentir :___________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ Questions pour lesquelles je ne sais pas à qui m'adresser :_______________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ Autre : _______________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ Ressources complémentaires à consulter La Société canadienne de la douleur <http://www.canadianpainsociety.ca/en/index.html / http://www.canadianpainsociety.ca/fr/index.html> soutient le traitement de la douleur comme droit humain fondamental. Elle pense que les gens ont le droit d'accéder aux meilleurs soins possible pour traiter leur douleur, qu'il s'agisse d'une douleur aiguë, d'une douleur causée par un cancer ou d'une douleur chronique non cancéreuse. La Coalition canadienne contre la douleur <http://www.canadianpaincoalition.ca/ / http://www.canadianpaincoalition.ca/index.php/fr/ > est un partenariat qui allie des groupes de patients qui souffrent, des professionnels de la santé spécialisés dans le traitement de la douleur et des scientifiques qui étudient de meilleures façons de la soulager. L'Association canadienne de la douleur chronique <http://www.chronicpaincanada.com/> offre son soutien aux personnes souffrant d'une douleur chronique en faisant progresser le traitement et la prise en charge de la douleur chronique récalcitrante, en fournissant un enseignement et un soutien aux personnes souffrant d'une douleur et en faisant la promotion de l'autogestion de la douleur chronique. People in Pain Network < http://www.pipain.com/ > est un organisme sans but lucratif dont la vision consiste à relier les gens et leurs familles à de l'éducation, du soutien et des solutions afin de les aider à prendre en charge leur douleur persistante. L'Association Québécoise de la douleur chronique (AQDC) (Quebec Association for Chronic. Pain) ,< http://www.douleurchronique.org/index_aqdc.asp?node=115&lang=en / http://www.douleurchronique.org/> a pour mission d'améliorer la condition et de réduire l'isolement des personnes atteintes de douleur chronique au Québec. Le Canadian Institute for the Relief of Pain and Disability <http://www.cirpd.org/Pages/Default.aspx > a pour mission de prévenir et de réduire la douleur chronique et la souffrance et l'incapacité liées à la douleur chronique en créant et en partageant des ressources et renseignements fondés sur des preuves. Bien manger avec le Guide alimentaire canadien <http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/food-guidealiment/index-eng.php / http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/food-guide-aliment/index-fra.php> Guide d'activité physique canadien <http://www.phac-aspc.gc.ca/hp-ps/hl-mvs/pa-ap/indexfra.php> Bref inventaire de la douleur (questionnaire abrégé) Nom : _________________________________________ Date : _______________________ 1. Tout au long de notre vie, nous ressentons, pour la plupart d'entre nous, de la douleur de temps à autre (comme des maux de tête mineurs, des entorses et des maux de dents). Avezvous déjà ressenti une douleur autre que ces types de douleur de la vie de tous les jours? [ ] Oui [ ] Non 2. Sur le diagramme ci-dessous, ombrez les zones qui vous causent de la douleur. Placez un « X » sur la partie où la douleur est la plus forte. 3. Veuillez évaluer votre douleur en encerclant le chiffre qui décrit le mieux votre douleur à sa pire intensité au cours des 24 dernières heures. (Aucune douleur) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Pire douleur imaginable) 4. Veuillez évaluer votre douleur en encerclant le chiffre qui décrit le mieux votre douleur à sa plus faible intensité au cours des 24 dernières heures. (Aucune douleur) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Pire douleur imaginable) 5. Veuillez évaluer votre douleur en entourant le chiffre qui la décrit le mieux en moyenne. (Aucune douleur) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Pire douleur imaginable) 6. Veuillez évaluer votre douleur en entourant le chiffre qui décrit le mieux celle que vous ressentez tout de suite. (Aucune douleur) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Pire douleur imaginable) 7. Quels traitements ou médicaments prenez-vous pour soulager votre douleur? ____________________________________________________________________________ ____________________________________________________________________________ 8. Au cours des 24 dernières heures, quel a été le degré de soulagement de la douleur grâce aux traitements de la douleur ou aux analgésiques? Veuillez encercler le pourcentage qui montre le mieux le degré de soulagement que vous avez ressenti. (Aucun soulagement) 0 % 10 % 20 % 30 % 40 % 50 % 60 % 7 0 % 80 % 90 % 100 % (Soulagement total) 9. Encerclez le chiffre qui décrit la façon dont, au cours des 24 dernières heures, votre douleur a entravé votre : A. Activité générale : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) B. Humeur : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) C. Capacité à marcher : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) D. Travail normal (y compris le travail en dehors de la maison et les travaux ménagers) : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) E. Relations avec les autres : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) F. Sommeil : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) G. Satisfaction envers la vie : (N'entrave pas) 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 (Entrave complètement) © 1991 Charles S. Cleeland, Ph. D., Pain Research Group. Tous droits réservés.