Sujet numéro 20: Rappelez les arguments qui permettent aux géologues d'identifier une paleosubduction dans certaines chaines de montagnes. Qu’apportent ces informations dans la formation de ces chaines? Introduction : Une paleosubduction est un glissement de plaques tectoniques témoignant d'une très ancienne activité géologique. C'est pourquoi ces paleosubductions sont souvent la source de la création de montagne datant de plusieurs millions d'années. Maintenant l'objectif est de savoir comment utiliser ces paleosubductions afin de pouvoir donner des informations sur la chaine de montagne en question. Dans une première partie nous étudierons les paleosubductions leurs origines et comment les définir puis dans un second temps nous étudierons en quoi celle ci nous donnent des informations sur les chaines de montagnes. I- ORIGINES ET IDENTIFICATION DES PALEOSUBDUCTIONS Dans cette première partie du sujet nous allons redéfinir qu'est ce qu’une paleosubduction ses caractéristiques est comment ces paleosubductions se forment t'elles et quelle sont leurs origines ? A) les zones de subduction La création des chaines de montagne et donc de relief positif et le résultat d'une collision entre deux plaques continental ou océanique. En effet ces chaines de montagne se trouve proche des zones a haute activité sismique et donc a proximité des plaques en activités. Lors de la rencontre de deux plaque on assiste a un chevauchement d'une d'entre elle : La plaque océanique va plonger (plaque plongeante) sous la plaque continental et donc celle ci va s’élever. (Schéma B P193) B) Les caractéristiques des marges actives Une paleosubduction se trouve sur les zones de hautes activité qui sont en quelque sorte des marqueurs de ces paleosubduction. Parmi c'est marqueur on retrouve un grand nombre de chaines de volcans et d'activité sismique. C’est pour cela qu’elles sont qualifiées de marge active toujours active. Ces paleosubductions montrent aussi des reliefs assez important comme des fosses très profondes ou des chaines de montagne. On retrouve par exemple des roches océaniques à la surface de la terre grâce à la subduction. La morphologie des zones de subduction et donc une juxtaposition entre les grands reliefs et les fosses sous-marines. C) Les subductions, zones de magmatisme intense Les flux de chaleurs sont aussi des indices qui permettent de retrouver et de qualifier les zones de paleosubduction. On retrouve en effet une différence de température entre la plaque plongeante et la plaque chevauchante. Cette intensité magmatique est du a une fusion partielle du manteau de la plaque continental et non océanique. On remarque aussi la déshydratation de la plaque plongeante en effet lors de la descente de la plaque, on assiste à une déshydratation progressive des roches car les minéraux formés sont de plus en plus démunie d'eau. Le schiste vert est transformé en schiste bleu puis en éclogite. II - les informations apportées par les paleosubductions Comme vue dans la première partie plusieurs indices tel que le relief ou la température permettent d'identifier les paleosubductions. Une fois celle si identifiée il faut maintenant montrer quels renseignements nous donne ces paleosubductions sur les chaines de montagne données. A) l’étude des roches sédimentaires L'étude des roches sédimentaires permettent de livrer beaucoup d'indice sur les chaines de montagne, par exemple on trouve une sédimentation très importante dans les alpes ce qui témoigne donc qu'à la place des alpes ce trouvait une fosse, car un tel nombre de roche sédimentaire peuvent se former quand milieu marin. Les roches sédimentaires permettent aussi la fossilisation, les scientifique se servent donc de ces fossiles pour retracer l'histoire d'une montagne, par exemple un tel fossile peut vire que dans un certain milieu, grâce a ces roches on peut alors définir le climat, biodiversité qui régner avant la paleosubduction. B) l’étude des différents type de roche Les différents types de roches rencontrés nous donnent aussi d’important indices sur l'origine de la formation des montagnes. En effet chaque roche est caractéristique d'une certaine plaque ou température les étudier permet alors de connaitre l'origine des plaque qui se chevauche. par exemple l’étude en France du massif Chenaillet on rencontre trois type de roches sur les trois versant du massif, on retrouve des basaltes, gabbros, péridotites et de tel association de roche sans très courant dans le massif ( appelé complexe ophiolitique) cela témoigne de la rencontre entre la plaque européenne et africaine. C) Étude du relief L’étude du relief permet aussi de retrouver l'origine de la montagne. En effet les marge étant activent, les plaques ce sont chevaucher et cela a crée des reliefs tel que des plissements faille ou faille inverse qui font remonter les roches d’ancien temps géologique a la surface. L’étude du terrain en profondeur par sonde émetteur et récepteur d'onde est aussi très utilisée pour retrouver la composition du terrain intérieure. L'épaisseur de ces roches permet alors de déterminer l'origine du chevauchement des plaques. Conclusion : Les paleosubductions sont donc le résultat de l'activité interne de notre planète, quand des plaques se rencontrent il y a formation de relief tel que des grandes fosses ou des chaines de montagne. Étudier ces subductions permet alors de retrouver l'origine de la formation de ces montagnes par divers méthode tel que l'analyse des roches ou même l’étude du relief. Autre Proposition I. Les témoins d’une paléosubduction. Exemple des Alpes. A. B. Les types de roche et leur disposition. Série Ophiolitique (roches du plancher océanique). Série Métamorphique (schiste vert à l’éclogite) (doc 4 p.213). Les structures géologiques particulières. Des failles normales. Plissements, épaississements: convergence. Mouvement horizontaux / verticaux. Ces indices la permettent de reconstituer la formation d’une chaine de montagne. II. La formation d’une chaine de montagne. Exemple de Le triangle des Afars. Schémas page 221 A. B. C. D. Ouverture d’un océan. Mettre en relation avec les arguments correspondants.* Expansion de l’océan. Formation du plancher océanique. Subduction. Métamorphisme. Collision continentale. Plissements, failles, reliefs Conclusion :