Un • Contacts presse : Thibaut Fontenoy GSM +32 499 98 75 84 [email protected] t hr i ép o l l er f a n us t ou f t a s ti q lan t ! ue Un jour d'automne sans vie, ni soleil, une pluie d'hommes nus troue les nuages et s'abat comme une malédiction sur un village isolé. La Pluie des Corps (one­shot) Dessin : Anaïs Bernabé ­ Scénario : Florian Quittard Anne et Paul habitent une petite maison délabrée, au sommet d’une colline surplombant un village isolé. Il est malade, elle s’occupe de lui. Un après-midi d’automne comme les autres, tous deux attendent sur le porche de leur maison que le temps passe, que quelque chose se produise. Et, justement, en ce jour sans vie ni soleil, une pluie d’hommes nus troue les nuages et s’abat comme une malédiction sur le village. Le choc et la confusion sont tels que le maire et les villageois décident d’enterrer au plus vite ces corps mutilés dans un autre cimetière, loin du village, sur la colline. Anne et Paul en sont les gardiens désignés d’office, eux qui rechignent à aider à la communauté, face au drame qui la frappe, alors qu’ils ont besoin d’argent pour payer le traitement du malade. Les corps anonymes sont ainsi enterrés à la sauvette dans ce cimetière de fortune. Bien vite, cependant, contre l’avis de son mari et, surtout, du maire, Anne se met à placer des croix de bois, puis à y apposer des noms. Un beau matin, Paul et sa femme découvrent que les villageois ont entouré leur maison et son cimetière privé d’une palissade aussi haute que le toit de leur demeure. C’est leur punition pour avoir bravé les ordres du maire. Le couple se retrouve alors prisonnier, avec pour seul horizon un champ improvisé de croix branlantes et pour tout ciel d’épais nuages aux couleurs étranges. Mais il n’y a pas que les nuages qui s’avèrent étranges. En effet, les hommes du village disparaissent les uns après les autres, il neige sur tout le paysage, mais pas sur l’enclos. Et un matin, Anne découvre sur chaque tombe, les pousses naissantes d’une plante inconnue. Celle-ci grandit rapidement et, avec elle, le malaise entre Anne et Paul. Car le couple se fissure, tout comme la terre du cimetière dont émerge cette végétation surnaturelle qui l’obsède, elle, et l’effraie, lui. Peu à peu, elle s’éloigne de Paul qui dépérit de plus en plus, jusqu’au jour où les mystérieuses plantes donnent vie à des fruits qui, un à un, se détachent pour s’élever vers le ciel et disparaître dans les «La Pluie des Corps» (one-shot) Dessin et couleur : Anaïs Bernabé Scénario : Florian Quittard 96 pages couleur Grand format 23,5 * 31 cm Dossier inédit pour la 1ère édition Couverture cartonnée. Parution : 1/2/2017 20 EUR 978-2-39014-184-6Code-barre : 9782390141846 nuages. Le destin du couple bascule alors à jamais. Pour l’empêcher de goûter au fruit défendu, Paul enferme sa femme dans la cave, mais une nouvelle attaque virulente de sa maladie l’oblige à la libérer. Anne sort et cède alors à la tentation. Une seule bouchée du fruit suffit. Elle s’évanouit. À son réveil, elle n’est plus la même. C’est du moins ce que ressent son mari quand, à son tour, il se retrouve enfermé dans sa chambre, après une ultime nuit d’amour et l’horrible cauchemar qui s’en suit. Anne est désormais différente et Paul en aurait presque peur, si, tout à coup, comme par magie, il n’avait retrouvé force et vigueur. Il se sent mieux, beaucoup mieux… Il est désormais prêt à sortir de cette chambre dont il était prisonnier. Mais, ce qu’il va découvrir au-dehors changera sa vie à jamais. •Par la nouvelle dessinatrice de la série-culte "Sasmira". • Un thriller inquiétant, en forme de huis-clos, avec une tension dramatique qui s'installe immédiatement et s'intensifie tout au long du récit. • Un dessin époustouflant par une auteure dont les talents multiformes (illustration, design de jeu vidéo, sculpture, publicité, bande dessinée) témoignent d'une personnalité graphique exceptionnelle. • Un scénario fantastique original, unique, admirablement mené par un scénariste maître des effets de suspense. • Complété, dans la première édition, d'un cahier spécial "making of", avec des illustrations inédites d'Anaïs Bernabé.