Des éléments de réponse

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Thème 3 – Chapitre 2 – Activité 4.1
LA LOCALISATION DE LA RÉPONSE ADAPTATIVE
1 ‐ Le médecin évalue la présence de ganglions gonflés au niveau du cou. 2 ‐ Micrographie A : lymphocyte T helper (CD4+) activé. Micrographie B : lymphocyte T CD4+ naïf. Sur la micrographie B, on observe une coopération cellule dendritique/lymphocyte T CD4+ naïf : le lymphocyte T CD4+ naïf reconnaît spécifiquement le complexe CMHII‐peptide à la surface de la cellule dendritique. Cette coopération aboutit à l’activation et à la multiplication du lymphocyte T. Sur la micrographie A, on observe une coopération lymphocyte B/lymphocyte Th : le lymphocyte B présente le peptide antigénique au lymphocyte Th préalablement activé. Si le lymphocyte Th est capable de reconnaître le complexe CMHII‐peptide, alors cette coopération aboutit à l’activation, la multiplication et la différenciation du lymphocyte B. 3 ‐ Suite à l’injection de pneumocoques, la taille des ganglions à proximité du lieu de l’injection a augmenté : elle a plus que doublé par rapport au contrôle négatif (injection d’eau physiologique). Par rapport au contrôle négatif, le nombre de cellules par ganglion a fortement augmenté suite à l’injection de pneumocoques. On peut penser qu’une réaction immunitaire adaptative dirigée contre le pneumocoque a eu lieu dans le ganglion drainant. L’augmentation du nombre de cellules est certainement liée à la multiplication des lymphocytes activés. 4 ‐ Il s’agit de la rate qui reçoit le sang par l’artère splénique et n’est irriguée par aucun vaisseau lymphatique. 5 ‐ Les organes lymphoïdes secondaires sont les sites où se déroule la réponse immunitaire adaptative. Chimie - Biochimie - Sciences du vivant - Terminale STL, CRDP Aquitaine, 2013
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