module 4.1 PROF sexualité et IST _Réparé
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Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE Module 4 : SEXUALITE ET PREVENTION. Démarche de résolution de problème : Situation : Camille, 17 ans, fête son anniversaire avec un groupe de copains. En début de soirée, ils font un apéritif dinatoire très arrosé chez un camarade dont les parents sont absents. Ils décident de poursuivre en boîte de nuit. Camille fait la connaissance de Dominique. Le lendemain, ils se réveillent ensemble et essayent de se remémorer la soirée. Que s’est-il passé ? Se sont-ils protégés? 1. Identifier le problème posé : Risque d’IST et de grossesse. 2. Identifier les éléments : - QUOI ? Risque d’ST ou de grossesse sous l’influence de l’alcool. - QUI ? Camille, Dominique. - OU ? Domicile du copain. - QUAND ? En sortant de discothèque. - COMMENT ? Absence de protection. - POURQUOI ? Individu, comportement, environnement. 3. Mettre en relation : Individu Comportement Age Prise de risque Manque d’information Absence de recul Excès de confiance Euphorie Insouciance IST, GROSSESSE Alcool Musique, bruit Chaleur Absence de distributeur ? Environnement 4. Mobiliser des connaissances : Module 4. Attitudes mobilisées : - Responsabilité individuelle et collective. - Respect de l’autre sexe, de soi, des autres. - Conscience de ses droits et de ses devoirs. Problématique : Comment identifiez la méthode contraceptive qui vous sera la plus adaptée pour éviter une IST ou une grossesse non désirée ? Séquence 1 : La prévention des principales Infections Sexuellement Transmissibles. Objectif général de la séquence : être capable d’avoir un comportement responsable en matière de sexualité, prenant en compte sa sécurité et celle du partenaire. 1 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE Séance 1 : Les Infections Sexuellement Transmissibles. Objectif général de la séance : Etre capable de mettre en relation les principaux symptômes des différentes Infections Sexuellement Transmissibles et leurs conséquences. 1. Définition d’une IST : Activité 1 : Objectif opérationnel : être capable de définir une Infection Sexuellement Transmissible. A A partir du document 1, répondre aux questions suivantes. Document 1 : Qu’est-ce qu’une IST ? Les IST sont les infections sexuellement transmissibles. Elles se transmettent lors de relations sexuelles (rapport anal, vaginal ou oral). Certaines IST sont répandues dans la population. La plupart d’entre elles se soignent facilement mais, non traitées, elles peuvent entraîner de graves complications. Source : inpes.santé.fr 1.1. Repérer les modes de transmissions des IST en les surlignant. 1.2. Justifier la nécessité de se protéger des IST. Pour éviter de graves complications pouvant aller jusqu’à la mort. 2. Les organes touchés par les IST : Activité 2 : Objectif opérationnel : être capable d’annoter les schémas des appareils génitaux. 2.1. Replacez dans le schéma de l’appareil génital de la femme les noms suivants : trompe de Fallope – petite lèvre – utérus – ovaire – vagin. Ovaire Trompe de Fallope Utérus Vagin Petite lèvre 2.2. Replacez dans le schéma de l’appareil génital de l’homme les noms suivants : Testicule – prostate – gland – canal déférent – urètre – pénis – vésicule séminale. Canal déférent Vésicules séminales Urètre Pénis Prostate Gland Testicule 2 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE 2.3. Reliez les différents organes avec leur fonction correspondante. Ovaires 0 Trompes de Fallope 0 Utérus 0 Testicules 0 Prostate 0 Canal déférent 0 0 Captent l’ovule et permettent sa fécondation par le spermatozoïde. 0 Produisent des spermatozoïdes et libèrent des hormones. 0 Produisent un ovule et libèrent des hormones. 0 Transporte le sperme des testicules à la prostate. 0 Contribue à former le liquide spermatique. 0 Muscle qui abrite le fœtus pendant neuf mois. 3. Les principales IST : Activité 3 : Objectif opérationnel : être capable de comparer les principales IST d’origine bactérienne et virale. A partir du transparent (Les IST les plus courantes et leurs symptômes des cahiers de FOUCHER), 3.1. Lister les différentes familles de micro-organismes responsables des IST. - Bactérie. - Virus. - Protozoaire. 3.2. Identifier les symptômes communs à la plupart des IST devant amener l’individu à consulter son médecin. - Fatigue. - Fièvre. - Brûlures en urinant. - Petits boutons. - Perte, écoulement. 3.3. Formuler une hypothèse qui expliquerait le fait que certaines IST soient plus difficilement détectables chez la femme. Pas de symptôme (exemple : blennorragie). 4. La conduite à tenir en cas d’IST : Activité 4 : Objectif opérationnel : être capable de déduire la conduite à tenir suite à une prise de risque ou à une contamination. A partir des documents 2 et 3, 4.1. Indiquer les personnes ou organismes à consulter en cas de doute sur une éventuelle contamination. Médecin, Centre d’information, de dépistage et de diagnostic des IST. 4.2. Justifier la nécessité de consulter et de ne pas se soigner soi-même. Pour éviter de transmettre par méconnaissance de la maladie. Pour éviter la surinfection. 4.3. Citer trois comportements « responsables » pour interrompre la chaîne de transmission. - Prévenir la ou les partenaire (s). - Suivre intégralement le traitement prescrit par le médecin. - Toujours utiliser un préservatif en cas de rapport sexuel. 4.4. Justifier la nécessité d’interrompre la chaîne de transmission. Une personne ayant été atteinte par une IST n’est pas immunisée contre celle-ci, elle peut être atteinte plusieurs fois de suite par une même infection. 3 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE Document 2 : IST conduite à tenir. Quand faut-il consulter un médecin ? Même si les symptômes que vous constatez ne sont pas toujours dus à une infection sexuellement transmissible, il faut au moindre doute consulter rapidement un médecin et obtenir un diagnostic, sans tenter de se soigner soi-même (n’utiliser ni crème, ni pommade, ni antibiotiques, sans prescription médicale préalable). Où aller consulter ? Chez son médecin, dans un centre d’information, de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles (CIDDIST), dans un centre de planification ou d’éducation familiale. Que va faire le médecin ? Le médecin est tenu au secret professionnel. Il écoute la description de vos symptômes, vous informe et s’efforce de vous aider. Il procède à un examen génital et général. Il demande souvent des examens de laboratoire (prélèvements au niveau de la lésion ou des sécrétions, prise de sang). Il recommande et prescrit le traitement le plus adapté. Source : http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/ Document 3 : Comment interrompre la chaîne de la transmission ? En cas d’infection, prévenir le, la ou les partenaires pour qu’ils se fassent examiner et éventuellement traiter le plus tôt possible. La chaîne de transmission est ainsi interrompue. Suivre intégralement le traitement prescrit par le médecin. En cas de rapports sexuels pendant le traitement, toujours utiliser le préservatif. Une personne qui a été atteinte par une IST n’est cependant pas immunisée contre cette maladie. On peut être atteint(e) plusieurs fois de suite par une même infection sexuellement transmissible, surtout si son, sa ou ses partenaires n’ont pas été examinés ni traités. Source : http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/ 5. Une IST : le SIDA : Activité 5 : Objectif opérationnel : être capable de mettre en œuvre une conduite adaptée pour éviter une IST : le SIDA. A partir des sites internet www.sida-info-service.org et www.inpes.sante.fr, 5.1. Donner la signification de VIH : Virus Immuno déficient Humain. 5.2. Indiquer les voies de contamination du SIDA : - Transmission de la mère au fœtus. - Voie sexuelle. - Voie sanguine. 5.3. Certaines idées reçues persistent en ce qui concerne la transmission du virus du SIDA. Cochez la case VRAI ou FAUX pour chaque affirmation dans le tableau ci-dessous. CONDUITE VRAI Les échanges de seringues entre drogués augmentent les risques de contamination. Les moustiques peuvent transmettre le VIH. On peut être contaminé par le virus du SIDA quand on boit dans le même verre qu’une personne séropositive. Le SIDA peut se transmettre par la peau. Pour se protéger du SIDA, il vaut mieux mettre deux préservatifs l’un sur l’autre. Lorsqu’une femme prend la pilule, elle a moins de risque d’être contaminée. On peut être infecté par le virus du SIDA en s’asseyant sur la cuvette des WC. Avec les nouveaux médicaments, on peut guérir du SIDA. Il n’y a que les homosexuels qui transmettent le virus du SIDA. Lors d’une pénétration, il n’y a aucun risque lorsque l’homme n’éjacule pas. 5.4. Indiquer la conduite à tenir en cas de doute ou de prise lors d’une relation sexuelle. Se rendre chez son médecin ou dans un centre de dépistage. Appeler Sida Info Service (0 800 840 800). 4 FAUX X X X X X X X X X X Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE 5.5. Enoncer les moyens de prévention du SIDA : er - Moyens de prévention primaire : campagnes d’information, journée mondiale le 1 décembre. - Moyens de prévention secondaire : consultations médicales. 5.6. Indiquer les démarches à effectuer en cas de résultat positif. Prévenir son ou ses partenaires, mettre un préservatif et se faire soigner. 5.7. Lister les situations où le dépistage est obligatoire. - En cas de rapport sexuel non protégé. - Contamination par seringue contaminée chez les toxicomanes. - Pour le nouveau-né si la mère est porteuse du virus VIH. - Lors de la visite prénuptiale, avant le mariage. 5.8. Lister au niveau national les structures d’accueil, d’aide et de soutien. - Ligne d’écoute SIDA INFO SERVICE (0 800 840 800). - S.O.S Amitié NORD (03.20.55.77.77) - AIDES (Association de lutte conte le SIDA). Conclusion : Les IST se transmettent essentiellement par voie sexuelle. Toutefois, elles peuvent aussi se transmettre par voie sanguine et par voie fœto-maternelle. Après une prise de risque, il convient de consulter rapidement un médecin avec son ou ses partenaires et, surtout utiliser un préservatif. Séance 2 : Les moyens de prévention des Infections Sexuellement Transmissibles. Objectif général de la séance : Etre capable de répertorier les moyens de prévention et les structures pour lutter contre les Infections Sexuellement Transmissibles. 1. Les moyens de prévention : Activité 1 : Objectif opérationnel : être capable de différencier les moyens de prévention des soins. 1.1. Complétez la frise en indiquant les démarches à effectuer et les premiers signes observables des IST, en fonction du temps, à l’aide de la liste suivante : vaccin – préservatif – dépistage SIDA – boutons – urgences à l’hôpital – écoulements – douleurs – consultation médicale – démangeaisons. Voir correction sur transparent. 1.2. Conseiller un ami qui a eu un « accident de préservatif » à l’aide de la frise ci-dessus. Se rendre très vite aux urgences de l’hôpital (moins de 48 heures après le rapport), accompagné du partenaire. 1.3. Citez trois autres moyens de prévention individuelle. - Limiter le nombre de partenaires. - Eviter les tatouages et piercings sauvages. - Désinfecter toutes les plaies rapidement. 1.3. Listez les principales conséquences des IST. - La stérilité. - Certains cancers. - La mort. - L’atteinte de l’enfant pendant la grossesse. - Cirrhose du foie. - Problèmes neurologiques et cardiaques. 5 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE 2. Les structures d’accueil, d’aide et de soutien : Activité 2 : Objectif opérationnel : être capable de repérer, au niveau local, les structures d’accueil, d’aide et de soutien. 2.1. Surligner dans le document ci-dessous, les structures d’accueil, d’aide et de soutien en cas d’IST. 2.2. Repérer au niveau local, les structures d’accueil, d’aide et de soutien sur les IST en utilisant Internet ou en contactant la mairie et le CODES (Comité Départemental d’Education pour la santé) le plus proche. - ADIS (Association pour le développement des initiatives contre le sida hépatites) Siège : 38 rue Salle-le-Comte 59300 Valenciennes Tél. : 03 27 30 22 12 - CDAG (Unité territoriale de prévention et d'action sociale) . Sans RDV : 3e mercredi de 14h à 16h30. 38 rue Gambetta 59490 Somain . Sans RDV : 1er mercredi de 14h à 16h30. 3 rue Domisse 59580 Aniche - ESPOIR CONTRE LE SIDA (Information, prévention, aide aux malades). Permanence lundi, mardi et vendredi de 14h à 16h. 94 rue du Béguinage 59500 Douai Tél. : 03 27 95 35 10 - 06 64 18 10 56 - Centre de Prévention Santé : lundi de 16h à 18h, mardi et mercredi de 13h30 à 16h30, jeudi de 16h15 à 18h15, vendredi de 12h à 15h. 57, Avenue Faidherbe 59300 Valenciennes Tél. : 03 27 33 55 62 (secr.) Conclusion : La prévention passe par l’information, l’usage correct du préservatif, la limitation du nombre de partenaires et la vaccination pour l’hépatite B. Les structures permettent d’être conseillé 24h/24 Gratuitement en restant anonyme. 6 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro Nom : Prénom : PSE Classe : Date : Evaluation formative : Les IST. NOTE : / 20 1. La prévention du SIDA : Document 1 : La conférence internationale sur le SIDA insiste sur le rôle primordial de la prévention. Publiés, il y a sur deux semaines, les derniers chiffres sur l’état de la pandémie (extension d’une maladie contagieuse sur une zone géographique étendue) due au VIH, montrant que le nombre de nouvelles infections et de décès a diminué, pourraient faussement rassurer. « La fin du SIDA n’est pas en vue. Chaque jour, il y a près de trois fois plus de personnes nouvellement infectées que de malades mis sous traitement anti - rétroviral (empêchant le développement du rétrovirus du SIDA) » a mis en garde Peter Piot, le directeur de l’ONUSIDA. Il a appelé à la mise en place d’une prévention combinée qui associe différentes modalités (préservatif, réduction du nombre de partenaires…). La lutte contre la discrimination est la base de la prévention. Comme l’a expliqué Ban KI– MOON, le secrétaire général des Nations Unies, « Dans les pays qui n’ont pas de loi pour protéger les prostituées, les usagers des drogues et les hommes ayant des rapports homosexuels, seule une partie de la population a accès à la prévention. Ce n’est pas seulement contraire à l’éthique de ne pas protéger ces groupes, c’est un contresens sanitaire ». Le président mexicain, Felipe CALDERON, insistait en rappelant qu’il fallait « affronter non seulement le virus responsable de cette terrible maladie, mais aussi l’homophobie, les préjugés, la discrimination, qui provoquent tant de dégâts sociaux ». D’après Paul BENKIMOUN, Le Monde, 6 août 2008. 1.1. Indiquer la signification du sigle SIDA. S YNDROME I MMUNO D EFICIENT A CQUIS / 2 pt (4 X 0,5) Ensemble de symptômes et de signes. Affaiblissement important du système immunitaire. Non héréditaire mais dû à un virus (acquis) rencontré par le malade au cours de sa vie. 1.2. Relever et justifier chaque moyen de prévention cité dans le document 1. - préservatif pour éviter la transmission du virus VIH. - réduction du nombre de partenaires pour éviter la multiplication du virus VIH. 1.2. Proposer une action qui pourrait modifier les préjugés et les discriminations. Développer la prévention. / 1 pt (2 X 0,5) / 1 pt 2. La recrudescence des infections à chlamydiae : 2.1. Commenter l’évolution des infections à chlamydiae entre 1990 et 2004, et proposer une explication. / 2 pts (2 X 1) Le nombre de cas d’infections à chlamydiae est en augmentation depuis 2001. Car la femme n’a aucun symptôme dans trois quart des cas. 2.2. Indiquer les moyens de prévention qui éviteraient l’infection par les chlamydiae. / 2 pts (2 X 1) - Le préservatif. - Eviter de multiplier les partenaires. 2.3. Préciser la conduite à tenir suite à une prise de risque ou à une contamination. / 1 pt Se rendre aux urgences à l’hôpital, accompagné de son partenaire. 7 Madame BULTE Fabienne Seconde Bac Pro PSE 3. Le cancer de l’utérus : 3.1. Nommer les micros – organismes responsables du cancer du col de l’utérus. / 1 pt Le papillomavirus humain. 3.2. Indiquer les modalités à respecter pour que la vaccination contre le cancer du col de l’utérus soit efficace. / 2 pts (2 X 1) - Injection de trois doses de vaccin. - Ne pas avoir eu de rapports sexuels. 3.3. Nommer l’examen de dépistage du cancer du col de l’utérus. / 1 pt Frottis (examen gynécologique simple et indolore qui recherche la présence de cellules anormales au niveau du col de l'utérus). Indiquer sa fréquence. / 1 pt Les 2 premiers frottis doivent être réalisés à un an d’intervalle. Si leur résultat est normal, la surveillance passe à un frottis tous les 3 ans, jusqu’à l’âge de 65 ans. Document 2 : « Le cancer du col de l’utérus, on peut toutes agir pour l’éviter ». Le saviez – vous ? ème En France, le cancer du col de l’utérus est le 2 cancer le plus fréquent chez les femmes de moins de 44 ans. Il est causé par un virus très répandu (le papillomavirus humain) : on estime que 70% des femmes rencontrent ce virus au cours de leur vie, le plus souvent entre 15 et 24 ans. Ce virus se transmet par contact sexuel et peut parfois être à l’origine de cancers du col de l’utérus. Parlez – en à votre médecin, c’est important. En France, la vaccination contre les papillomavirus humains pas est recommandée aux adolescentes et jeunes femmes de 14 à 23 ans qui n’ont pas encore eu de rapports sexuels ou au plus tard dans l’année suivant le début de leur vie sexuelle. Trois doses de vaccin doivent être injectées : Une première. Une deuxième 2 mois plus tard. Une troisième 6 mois après la première. Source : HACHETTE TECHNIQUE – Seconde Bac Pro. 4. Repérer les conduites à risques d’IST : Indiquer le risque encouru dans chaque situation ci-dessous en cochant la bonne case. / 2 pts (08 X 0,25) X X X X X X X X X X X 5. Les principales Infections Sexuellement Transmissibles : Lister les différents modes de contamination et proposez des moyens de prévention. 8 X Aucun risque A. Maxime a eu un rapport sexuel non protégé (sans préservatif) ; il n’est pas vacciné contre l’hépatite B. B. Vincent est toxicomane ; lors d’une crise de manque, il s’est piqué avec une seringue déjà utilisée. Il n’est pas vacciné contre l’hépatite B. C. Suzanne multiplie les flirts ; elle échange avec ses partenaires baisers et caresses et n’a aucun contact sexuel. Elle est vaccinée contre l’hépatite B. D. Maria, infirmière, s’est piquée accidentellement avec une seringue qu’elle venait d’utiliser pour faire une injection à un malade atteint du SIDA ; elle est à jour dans ses vaccins. E. Olga a eu un rapport sexuel protégé ; elle est vaccinée contre l’hépatite B. F. Sandra s’est assise sur la cuvette des WC publics. G. Haziz s’est baigné dans la piscine municipale. H. Non vaccinée contre l’hépatite B, Sonia boit très souvent dans les verres de ses copains « pour connaître leurs pensées ». Autres MST Hépatite B X Situations Papilloma virus SIDA Risques X X X / 4 pts Madame BULTE Fabienne IST Blennorragie Rapports sexuels Moyens de prévention individuelle Préservatif. Syphilis Rapports sexuels Préservatif. - Rapports sexuels. - Risque de transmission pendant l’accouchement. Préservatif. Faire des frottis régulièrement pendant la grossesse. Préservatif. Herpès génital Chlamydiae Modes de contamination Seconde Bac Pro Rapports sexuels. 9 PSE Moyens de prévention collective Ne pas multiplier partenaires. Ne pas multiplier partenaires. Ne pas multiplier partenaires. Ne pas multiplier partenaires.
