Laboratoire d`Anthropologie Juridique de Paris MASTER

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UFR 07 – Etudes internationales et européennes
Ecole doctorale de Droit comparé
Laboratoire d’Anthropologie Juridique de Paris
MASTER DE DROIT Mention Droit Comparé
Spécialité Recherche :
‘ANTHROPOLOGIE DU DROIT’
Année universitaire 2008-2009
Dis-moi comment tu penses le monde, je te dirai comment tu penses le droit ». Cette
formule du recteur Michel Alliot, fondateur en France de l'anthropologie du droit, illustre
à la fois l’objet et l'enjeu de la formation proposée.
Son objet consiste, dans une perspective comparatiste, à penser le phénomène juridique dans
sa globalité (historique, géographique, philosophique et technique), en prenant en compte la
diversité culturelle et donc linguistique où il apparaît (approche ethnologique). La formation
repose sur des recherches de terrain que doivent faire les étudiants. Elles consistent à réunir
les textes, les discours, mais aussi les pratiques et les logiques des acteurs du droit
(gouvernants, magistrats, avocats, destinataires des normes, etc.), pour ensuite les analyser.
Son enjeu est de considérer toutes les dimensions possibles de la régulation des sociétés, de
mesurer l'effectivité du droit étatique et d'étudier les phénomènes d'internormativité entre le
droit étatique et les autres modes de régulation. L'anthropologie juridique invite ainsi à
questionner les interprétations ethnocentriques de la juridicité afin de mieux comprendre les
processus dynamiques et aléatoires d'interaction entre le droit et la société que la théorie seule
ne peut saisir.
La formation demande une maîtrise des outils juridiques car l'anthropologie du droit
s'intéresse aux réponses que le droit est à même d'apporter aux défis des sociétés
contemporaines tels que la refondation de l'Etat et de la Justice, la place de la médiation, les
politiques de développement durable, les conflits culturels et sociaux, les problèmes
environnementaux. L'enseignement se doit donc de mobiliser la recherche fondamentale et
appliquée et l'interdisciplinarité.
Historiquement orienté vers l'Afrique (certains enseignements sont communs à la
mention « droits africains »), le master est aussi ouvert sur d'autres aires culturelles. Un
nombre croissant d'étudiants issus d'autres cultures juridiques permet de développer une
anthropologie réciproque et comparative entre les différentes cultures concernées. La
formation vise tout autant à autonomiser les étudiants en mettant l'accent sur leur travail
individuel de terrain, qu'à les insérer dans une dynamique collective. Les échanges entre les
différentes cultures juridiques au sein du Master représentent ainsi une grande part de sa
richesse scientifique et humaine.
Ce master, en inscrivant l'anthropologie dans un cursus juridique est unique en Europe.
2
PREPARATION DU M2 recherche
Conditions d’admission
Le M2 en Droit comparé est ouvert à tout étudiant diplômé du M1 (maîtrise ou équivalent)
après sélection sur dossier puis entretien particulier avec l’équipe pédagogique. Les maîtrises
et équivalents privilégiés sont indiqués dans les notices ci-dessous. Une validation des acquis
professionnels et intellectuels est organisée dans chaque spécialité. Les étudiants ne disposant
pas de titres français doivent transmettre leurs demandes au service des Etudiants étrangers au
plus tard à la mi-mars de l’année académique précédant leur entrée en M2. Cette date est
affichée sur le site de l’Université www.univ-paris1.fr (rubriques « Formations de 3ème
cycle). Elle doit être scrupuleusement respectée. Pour les autres étudiants, les dossiers de
candidature doivent être déposés dans la seconde quinzaine de juin. S’informer sur le site cité
ci-dessus.
Durée : La durée de formation est d’une année académique.
Inscriptions
Les inscriptions administratives sont prises au Centre Pierre Mendès-France, 90 rue de
Tolbiac, Paris 13ème, métro Tolbiac, sur convocation.
Les inscriptions pédagogiques sont assurées par le secrétariat des 3ème cycle de l’UFR Etudes
internationales et européennes, Centre Panthéon, 12 place du Panthéon, Paris 5ème
bureau 304 b, 3ème étage, sur convocation.
Présentation des dossiers de candidature
Les spécialisations de master en M2 sont à numerus clausus et une sélection est organisées sur
la base d’un dossier administratif suivi d’un entretien de vérification si la candidature peut
apparaître recevable.
De ce fait, l’étudiant ne doit pas seulement se préoccuper de la partie administrative de son
dossier. Il doit y joindre les informations personnelles et les motivations qui lui semblent
pouvoir retenir l’attention de l’équipe pédagogique, sous une forme synthétique mettant en
évidence ses qualités d’exposition et d’analyse.
Poursuite des études
La spécialisation « Anthropologie du droit » est un master à mention « recherche », pour
lequel la préparation d’une thèse de doctorat est la phase ultérieure de la formation.
L’attention de l’étudiant est attirée sur la brièveté de la période de préparation (trois ans) et
sur l’obligation du respect de ce délai sous peine de désinscription automatique sauf demande
motivée auprès du directeur de l’Ecole doctorale de Droit comparé et l’avis du directeur de
recherche.
3
Contacts avec les enseignants
Les sorties de cours ou de séminaires n’offrent que des occasions réduites de rencontrer les
enseignants. L’étudiant ne doit donc pas hésiter à solliciter des entretiens particuliers durant
toute l’année universitaire avec les enseignants. Certains enseignants proposent des
permanences. Se renseigner auprès du secrétariat du LAJP.
L’équipe pédagogique est composée de :
Gilda Nicolau (professeure agrégée de droit privé et de sciences criminelles, Paris1)
Alain Rochegude (professeur associé de droit public, Paris 1)
Franck Alvarez-Pereyre directeur de recherche au CNRS, et professeur à l’université René
Descartes Paris 5, M2 recherche d’ethnologie
Camille Kuyu (professeur d’anthropologie et de Théorie du Droit, Institut Universitaire
André Ryckmans, Bruxelles)
Régis Lafargue (professeur associé de droit privé et de sciences criminelles, Paris 10
Nanterre)
Sara Liwerant (maître de conférences de droit pénal et criminologie, Paris 10 Nanterre)
Véronique Duchesne (chargée de cours à l’Université Paris 8, anthropologue)
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Enseignements
Intitulés des enseignements
___________________________________
M2
SEMESTRE 1 :
UE N° 1
- Prérequis anthropologiques et
juridiques
- Concepts et méthodes en
Anthropologie du droit
-
Enseignants
Nbre d’heures
___________________ ______________
M Alvarez-Pereyre Dir
CNRS- P5
Gilda Nicolau Pr P1
(12h)
Sara Liwerant (Mcf
P10) (12h)
- Méthodologie de la recherche I
Gilda Nicolau (12h)
(La construction du projet, l’accès au Véronique Duchesne
terrain)
(CE P1-P8-Cemaf)
(12h)
UE N° 2
au choix :
entre : Anthropologie, pouvoir, droit Gilda Nicolau
et Anthropologie, sacralité et droit
VéroniqueDuchesne
CE Cemaf
12h
24 h
24 h
24 h
24 h
-
Anthropologie des politiques
juridiques. Droit de la terre et des
ressources naturelles
Alain Rochegude
Pr associé P1
24h
-
Langue étrangère
service P.1 - INALCO
18 h
-
Anthropologie des cultures
juridiques
Camille Kuyu.
CE P1
18 h
Régis Lafargue, Pr P10
18 h
SEMESTRE 2 :
UE N° 1
-
Anthropologie juridique des
institutions
-
Analyse critique des pratiques de Gilda Nicolau Pr P1
recherche
UE N° 2
- Méthodologie de la recherche II
Gilda Nicolau Pr P1
(compte rendu du terrain et élaboration du
mémoire)
-
Langue étrangère
service P.1 - INALCO
12 h
18 h
18h
Sigles : Pr = professeur, Mcf = Maître de conférences, CE = Chargé d’enseignement
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Notation des épreuves
M2 Master de Droit comparé - spécialité ‘Anthropologie du droit’
_____________________________________________________________
Semestre 1
UE N° 1 : obligatoires
- Prérequis
CC
- concepts en Anthropologie du droit CC
- méthodologie de la
CC
Recherche I
Sous-total
UE N° 2
Module 1 au choix
a)Anthropologie, pouvoir, droit
EE 2
b)Anthropologie, sacralité et droit
EE
Module 2 : obligatoire
- Anthropologie des politiques
CC
juridiques
Module 3
Langue étrangère
CC
Module 4 : obligatoire
- Anthropologie des cultures juridiques EE
Sous total
coef.
note
crédits
1
2
2
/20
/20
/20
4
6
6
100
16
/20
5
2
/20
5
1
/20
2
/20
140
2
14
240
30
/20
5
/20
60
3
8
/20
/20
/20
140
4
2
16
22
200
30
440
60
2
Total général semestre 1
Semestre 2
UE N° 1
Module 1 - Anthropologie juridique des institutions
EO
2
Module 2 - Analyses critiques des
pratiques de recherche
CC
1
Sous total
UE N° 2 (axée sur la rédaction du mémoire)
Module 1 – méthodologie Recherche dossier
2
Module 2 – langue étrangère
CC
1
Module 3 – mémoire
soutenance 4
Sous total
Total général semestre 2
Total M2
Calcul des mentions sur 20 : à 13 assez bien
15 bien
17 très bien
Ces mentions sont attribuées dans le cadre du M2
Pas de compensation entre les semestres
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Contrôle des connaissances
Outre la soutenance du mémoire devant un jury, le contrôle des aptitudes et des connaissances
peut reposer sur
- un contrôle continu
(CC)
- des épreuves écrites anonymes
(E.E.)
- des examens oraux
(E.O.)
Les programmes d’enseignements indiquent la nature du contrôle et ses conditions
particulières. Les modalités du contrôle continu des aptitudes et des connaissances sont
laissées à l’appréciation de l’enseignant qui en informe les étudiants lors de ses premiers
cours.
Préparation du mémoire
La préparation du mémoire est au centre de l’année universitaire en semestre 1 pour les
enseignements, en pratique de recherche pour le semestre 2.
Le thème du mémoire est choisi en début d’année en concertation avec l’enseignant qui
acceptera d’en suivre la préparation au titre de directeur de mémoire. Sa préparation repose
sur la réunion et l’analyse d’une documentation écrite, sur la pratique d’une recherche de
terrain d’au minimum un mois et de la pratique d’une langue de travail dite « étrangère ». Le
mémoire peut être soutenu devant un jury lors de deux sessions en juin-juillet et septembre de
l’année en cours. Il est recommandé aux étudiants de soutenir leur mémoire lors de la session
de juin.
Issues du Master
La formation s’adresse à tous les métiers, les professions et organismes qui interviennent sur les
pratiques juridiques sur le terrain, en particulier dans des contextes multiculturels. L’anthropologie du
droit est l’outil privilégié pour apprendre à connaître et évaluer les réalités juridiques, les pratiques du
droit et l’application concrète des règles.
Coopération au développement
L’expertise dans l’analyse des cultures juridiques en présence est adaptée à la réussite de projets de
développement qu’ils soient internes ou internationaux. Les offres standardisées « d’aide » peuvent
ainsi être reformulées (co-développement) afin d’atteindre les objectifs qui peuvent légitimement en
être attendus.
Fonction publique
- Fonctions de direction et de médiation dans les établissements accueillant des personnels et des
usagers en contexte de cultures différentes
- Médiation et traduction dans les cours et tribunaux.
- Fonction publique à l’étranger ou internationale (en part. coop. Bilatérale/ multilatérale).
- Préparation au concours d'accès à l'Ecole Nationale de la Magistrature ou au concours de
commissaire de police et aux concours des institutions européennes (pour ceux qui parlent plusieurs
langues européennes). Ces concours voient depuis ces dernières années croître le taux de réussite
des étudiants en science politique par rapport aux étudiants en droit. Ce paradoxe apparent tient à
l’importance de l’épreuve de culture générale et à l’épreuve de note de synthèse auxquelles la
formation juridique prépare peu ou prou. L'anthropologie juridique, en ce qu'elle favorise l'approche
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critique et comparative des concepts juridiques, la contextualisation du droit et l’analyse des
rapports dynamiques qui lient le droit aux sociétés, offre une solide préparation aux candidats des
concours de haut niveau.
- Fonction de greffier des cours et tribunaux internes et internationaux (concours voir supra)
- Organismes public : municipalités, Conseils généraux, Conseils régionaux
- Institutions internationales de coopération en matière de développement.
- Enseignement et recherche public (voir poursuite d’études)
Secteur privé
Développement : ONG nationales et internationales
Professions libérales
- Cabinets d’avocats généralistes et spécialisés
- Bureaux de consultants et d’experts en charge d’évaluer l’impact des réglementations et du droit et
des les politiques publiques (impact assessment studies). L’évaluation qualitative par enquête de
terrain est une spécificité de cette formation juridique.
- Experts en coopération interculturelle.
Enseignement
- Enseignement privé, pédagogies innovantes
- Université du troisième âge
Poursuite d’études :
- préparation d’une thèse de doctorat en Droit (cas général)
- spécialisation juridique ou anthropologique au sein d’un autre master
- spécialisation au sein d’un master ou LLM à l’étranger
-medias : - spécialisation dans le film documentaire
- journalisme juridique
- Interprétation et traduction juridique dans les institutions : formation interne- les fonctions
de traducteur dans les institutions internationales (Union européenne, CJCE) font l’objet d’une
formation interne après plusieurs années d’enseignement juridique ou d’exercice d’une profession
judiciaire.
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Activités en relation avec la formation à la recherche
Les étudiants, dès l’année de M2, peuvent s’associer aux activités suivantes organisées par le
LAJP ou par des organismes de recherches dans lesquels il intervient et auquel il est lié par
des accords scientifiques. Sauf mention contraire, ces activités ont lieu au Centre Malher.
-
Le séminaire dit «des thésards », organisé le lundi de 18h à 20h selon une
programmation déterminée par les étudiants qui y participent. Ce séminaire est
autogéré par les doctorants. S’informer auprès des allocataires de recherche en
bibliothèque des études africaines.
-
Le séminaire de l’Ecole doctorale de Droit comparé dont font partie les deux
spécialités. Les informations sont affichées au 4ème étage du Centre Malher.
Les séminaires organisés par les spécialisations « Histoire de l’Afrique » et « Etudes
africaines – Science politique », dans le cadre de l’UMR CNRS – Paris 1 d’études
africaines.
Informations au tableau du 2ème étage du Centre Malher.
-
- Séminaires et colloques organisés par le GEMDEV. Cet acronyme désigne un
groupement d’intérêt scientifique regroupant une cinquantaine d’équipes d’enseignement
et de recherche, principalement d’Ile-de-France, sur le thème du développement des pays
du sud. Nous attirons l’attention des étudiants sur la diversité des informations auxquelles
ils pourront avoir accès par l’entremise de son site « www.gemdev.org » en particulier
pour les activités de recherche et les séminaires proches de leurs travaux. Le GEMDEV a
son bureau au Centre Malher 2ème étage.
Chaque année, des groupes de recherche, internes au LAJP organisent des séminaires et
journées d’études.
En outre les étudiants peuvent investir et communiquer via le site de l’association des
étudiants ACAJ : Association des chercheurs en anthropologie juridique. www.acaj.org.
Position scientifique et administrative
Le Laboratoire d’Anthropologie Juridique de Paris (L.A.J.P.), au sein de l’UFR d’Etudes
internationales et européennes de l’Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne est habilité par
l’Université à coordonner les enseignements et l’initiation à la recherche de la seconde année
du master de Droit comparé dans les spécialisations :
- Anthropologie du droit
- Droits africains
Fondé en 1964 par le Recteur Michel Alliot, le LAJP est devenu le principal centre de
recherche dévolu à la pratique de l’anthropologie du droit. Durant les trente premières années
de son existence, le LAJP a privilégié les droits africains comme domaine d’application de ses
travaux. Depuis lors, les deux champs de recherche se sont autonomisés tout en s’enrichissant
mutuellement : les anthropologues pourront se confronter à une réelle culture scientifique
africaniste, de même que les juristes seront influencés par une approche pragmatique du droit.
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Le LAJP est dirigé par :
- Alain Rochegude, docteur d’Etat en droit public, professeur associé à Paris 1
Son secrétariat est pris en charge par :
- Louise Villaréal, assistante de direction. Elle est responsable de la coordination des
enseignements et de l’organisation au quotidien du master. Elle est l’interlocutrice
privilégiée des étudiants pour tous les problèmes administratifs qu’ils peuvent
rencontrer durant l’année.
Coordonnées
- situation : Centre de Recherches historiques et juridiques de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne :
Centre Malher - 9 rue Malher, Paris 4ème (métro Saint Paul, bureau 508).
-
Adresses
 Postale : LAJP Centre Malher, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
9 rue Malher, 75181 Paris cedex 04
 électronique : lajp@univ-paris 1.fr
 Téléphonique : (00 33) (0)1.44.78.33.80
Informations supplémentaires:
Un tableau d’affichage situé au 5ème étage du Centre Malher indique les horaires des
enseignements et leurs éventuelles modifications. D’autres informations concernent les
appels à contribution ou à communication (colloques, thèmes de revues), les offres de
bourse ou de stage, des indications de publications, de séminaires etc. Les étudiants sont
appelés à le consulter régulièrement car la durée de vie d’une information dépasse
rarement un mois.
-
Le courrier électronique. En début d’année, chaque étudiant dépose auprès du
secrétariat son adresse e-mail (et informe de son éventuel changement). Il peut ainsi
être tenu au courant en temps réel de changements inopinés.
- Deux bibliothèques sont à la disposition des étudiants au centre Malher.
La bibliothèque d’études africaines au rez de chaussée et la bibliothèque d’études
doctorales juridiques de la Sorbonne dont un certain nombre de documents est en ligne
http://bedjs.hyperhumanities.com/ Cette dernière est équipée d’une salle Multimedia
ouverte du lundi au vendredi de 9h à 18h. Des journées d’aide à la recherche
documentaire spécialisée ou en ligne ont lieu pour chaque formation doctorale.
Il est également possible de consulter avec l’adresse Email de Paris 1, le fonds
documentaire de la bibliothèque Cujas.
Activités en relation avec la vie de l’étudiant
La vie à Paris, par les ressources intellectuelles et culturelles proposées, peut être source
d’enrichissement exceptionnel. Mais elle peut aussi être difficile si l’étudiant reste isolé. Il
faut donc privilégier la participation à des activités associatives et sportives.
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L’Université Paris 1 offre :
- son service d’accueil la Cellule de la Vie étudiante : Centre Panthéon, 12 Place du Panthéon,
Paris 5ème
-
-
le service des étudiants étrangers – Maison internationale
Centre Arago : 58 bd Arago – Paris 13ème – 01 44 07 76 72
le service des Sports de Paris 1 (UEFAPS) – Centre PMF, 90 rue de Tolbiac, Paris 13ème – 01
44 07 88 96
le CROUS – Service social Antenne Paris 1 – 90 rue de Tolbiac, Paris 13ème – 01 44 07 88 08
Bourses et allocations de recherche
On distingue la bourse d’étude attribuée pour l’année du Master 2 et l’allocation de recherche
qui est réservée aux étudiants diplômés du master et devant préparer une thèse.
Le service des bourses d’études est localisé au Centre PMF – 90 rue de Tolbiac, Paris 13ème –
01 44 07 88 85

Pour une bourse d’études pendant l’année du Master, les étudiants de l'Union
Européenne et assimilés peuvent retirer un dossier au service des Bourses dès
début septembre : le déposer (ou le renvoyer) au plus tard avant le 15 octobre.

Allocation de recherche : à l’issue de la session de Juin-Juillet, le directeur du
Master sélectionnera un à trois étudiants qui seront autorisés à soumettre au
conseil de l’Ecole doctorale de droit comparé (EDDC) un projet de thèse en
vue de l’attribution d’une allocation. Les étudiants seront invités à remettre au
plus tard tout début septembre un avant-projet de recherche (une à deux pages),
et seront auditionnés par le Conseil de l’EDDC sur leur projet de thèse.
Le conseil décidera à l’issue de ces auditions de l’affectation des allocations
propres à l’EDDC (éventuellement, de l’ordre de soumission de candidatures
supplémentaires dans le cadre du contingent d’allocations du Président de
l’Université et/ou de la seconde vague d’attribution d’allocations par le Ministère).
Les étudiants de l’Union Européenne ou hors de l’Union Européenne, ayant accompli leur
dernière année ou toutes leurs études supérieures en France peuvent concourir à l’allocation
de recherche.
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