Terminale enseignement spécifique SES (12 chapitres). Science économique Partie 1 : Croissance, fluctuations et crises Chapitre 1 : Quelles sont les sources de la croissance économique ? 1) La croissance économique … La satisfaction procurée par la consommation d’un produit (bien ou service) La progression durable des richesses produites des secteurs institutionnels résidents depuis au moins un an à prix constant La hausse du P.I.B réel d’une nation au cours d’une année 2) Le P.I.B correspond à Le produit intérieur brut A la somme des valeurs ajoutées des agents économiques résidents depuis au moins un an La somme de la production marchande et non marchande d’une économie 3) Le PIB mesure La richesse créée par les secteurs institutionnels français résidents depuis au moins un an Les richesses produites par les secteurs institutionnels étrangers résidents depuis au moins un an Les richesses créées par le reste du monde Les activités souterraines Les activités domestiques 4) La valeur ajoutée (VA) se mesure : Par la soustraction du chiffre d’affaires et des consommations intermédiaires (avec un stock à « 0 ») Par l’addition du chiffre d’affaires et les coûts de revient Par la soustraction du chiffre d’affaire et des coûts de revient Par la soustraction de la valeur de la production et des consommations intermédiaires (avec un stock positif) 5) La production nécessite des ressources en : Capital fixe (ou technique) ensemble des locaux et des machines Une combinaison en facteurs travail et capital Facteur travail (la population active) 6) La fonction de production peut s’écrire : Y= L+K Y= f(K ; L) Y= production marchande+ production non marchande 7) L’indicateur de développement humain (IDH) prend en compte : Le niveau de développement humain d’une nation à un moment donné dont l’indicateur est compris entre 0 et 1 La somme des valeurs ajoutées brutes Le niveau de vie d’une population (PIB/ tête) ; Le taux d’alphabétisation des plus de 15 ans et l’espérance de vie à la naissance 8) Le PIB ne prend pas en compte notamment: Les activités souterraines Les activités domestiques Les activités des ménages indépendants 9) L’investissement correspond à: Un flux qui vise à augmenter et/ou renouveler le stock de capital fixe L’achat de biens durables et de logiciels qui seront utilisés au moins un an dans les processus de production 10) Le progrès technique correspond à L’ensemble des innovations qui assurent des gains de productivité La productivité globale des facteurs de production Facteur résiduel (ou résidu ou part de l’ignorance) Au facteur capital 11) Les théories de la croissance endogène explique la croissance à travers Un phénomène cumulatif Le progrès technique est endogène, la croissance précédente explique la croissance présente et future L’accumulation de capital (humain, public, physique, technologique et immatériel) Les comportements des agents 12) Est-ce que les institutions et les droits de propriété exercent des effets positifs ou négatifs sur la croissance économique Faux Vrai La correspond à la progression durable de la richesse créée d’une économie. Elle est mesurée par le taux de variation du produit intérieur brut(PIB) au court d’une année c’est-à-dire à prix constant. Le PIB réel à l’inverse du PIB courant est corrigé des effets de l’inflation afin de mesurer réellement l’évolution des des secteurs institutionnels résidents sur le territoire économique depuis au moins un an. Le Produit national brut (PNB) prend en considération les valeurs ajoutées des agents économiques , qu’ils soient ou non implantés sur le territoire (utilisé davantage par les anglo-saxons). Le PIB est un indicateur des richesses produites, même s’il comporte des . Il ne prend pas en compte les activités domestiques et l’économie souterraine ainsi que les externalités qui contribuent à sa hausse. Un débat récent européen cherche a instituer dans son calcul des activités immorales (prostitutions et trafic de drogues), qui par un effet de retour surévalueraient le PIB de certains pays européens (Italie, Grèce, France…). Aujourd’hui en France, le premier ressort de la croissance économique reste la consommation des ménages. Les pays émergents tirent leur croissance de la demande extérieure ( ) mais également de leur vaste marché intérieur, où le pouvoir d’achat des populations locales augmente (Chine, Inde, brésil…). La production nécessite la combinaison de facteurs Capital ( , locaux) et travail (population active). La fonction de production se note Y=f(K ;L) où K représente le facteur et L le facteur . Les théories de la croissance endogène ont mis en évidence le rôle clef de la productivité globale des facteurs de production pour expliquer les points de croissance du PIB en dehors des efficacités relatives des facteurs de production (L,K). Ce « résidu » (ou facteur résiduel ou part de l’ignorance) correspond au progrès technique (ensemble des innovations qui assurent des gains de productivité). L’accumulation de capital assure des externalités positives qui stimulent et encouragent le dynamisme de la croissance économique. Les institutions et les droits de propriété contribuent à créer des garanties et valorisent les initiatives des agents économiques source de progression de la richesse créée. Cependant, la croissance économique à long terme reste un phénomène instable. Chapitre 2 : Comment expliquer l’instabilité de la croissance ? 1) La tendance de la croissance économique (ou trend en Anglais) est linéaire ? faux vrai 2) Les fluctuations économiques ont combien de phases ? 4 (expansion, retournement du cycle, récessions continues (dépression), reprise vers l’expansion) 2 (phases A et B) 1 3) La crise économique a deux sens Faux vrai 4) La crise économique correspond Au sens strict au retournement du cycle Au sens large, période de récessions plus ou moins longues et continues (dépression économique) Au bien être de toute la population A une hausse séculaire du chômage de masse et de la segmentation du marché du travail 5) L’inflation mesure Le niveau scolaire des terminales ES La hausse du niveau général des prix La baisse du niveau général des prix 6) La désinflation correspond à : La hausse soutenue des prix de gros La hausse des prix à un instant « t » est moins forte qu’à l’instant « t-1 » Une hausse continue des prix mais à un rythme de moins en moins élevé 7) Les fluctuations économiques peuvent s’expliquer par: Des chocs d’offre Le cycle du crédit Des chocs de demande 8) La déflation correspond à : Une mauvaise note en SES Une baisse du taux de croissance des prix Une baisse du niveau général des prix Aux biens et services réalisés des APU et les associations vendus à un prix inférieur à 50% de leur coût de production 9) La demande globale correspond : G+C+I+VS+(X-M) Les dépenses de consommations des agents résidents et non résidents I+C L’irrégularité de la croissance économique s’explique à travers différents facteurs et met en évidence une certaine tendance haussière à long terme (le trend ou tendance de la croissance économique en Français). Les se caractérisent par 4 phases : expansion, crise, , reprise. Elles mettent en évidence des crises historiques plus ou moins régulières dans le temps. Les fluctuations économiques s’expliquent par les dynamiques des et demande. Les chocs d’offre, comme de et le cycle du crédit sont les trois principales explications de ces fluctuations économiques. Les chocs positifs contribuent à la croissance économique alors que les chocs négatifs exercent des effets négatifs qui par un effet de retour expliquent le retournement du cycle. L’irrégularité voire l’atonie de la demande globale explique en grande partie l’irrégularité de la croissance économique. La croissance économique et la crise sont des phénomènes . Historiquement, les périodes de crise se caractérisent par des agrégats à la baisse qui se cumulent : dépression économique, désinflation, baisse du volume de l’emploi… qui alimentent un cercle vicieux. L’accumulation de dégradation micro-économique forment un système qui affecte l’économie dans son ensemble (marco économie). La crise actuelle a débuté aux Etats-Unis dans les secteurs de la finance et l’immobilier qui s’est propagée comme «un feu de forêt» (François Fourquet) au reste de l’économie mondiale et est devenue une crise économique mondiale avec des effets sur les économies nationales (chômage, déflation…). Partie 3 : Economie et développement durable 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) 11) 12) 13) Chapitre unique: La croissance économique est-elle compatible avec la préservation de l’environnement ? Le capital naturel … Des ressources naturelles Ressources minérales, animaux, plantes, air,pétrole… Un besoin primaire Le capital physique correspond à Le facteur capital technique Capital fixe (machines et locaux) et capital circulant ( moyens de production détruit ou transformés durant le processus productif) A la limite de dépense que ne doit pas dépasser une APU Le capital humain Une théorie de Gary Becker La satisfaction procurée par le dernier bien consommé Les savoirs, les savoir-faire et l’état de santé d’un travailleur qui augmentent son potentiel productif Le capital technologique est Croissant Biens de production incorporant du progrès technique Innovations technologiques Le capital institutionnel correspond à Ensemble de dispositions institutionnels stimulant la croissance économique et le bien être de la population Dispositifs politiques, juridiques et institutionnels Les richesses créées Les biens communs sont : Non rivaux et non exclusifs Biens rivaux et non exclusifs Du fait de leurs caractéristiques subissent une tragédie La soutenabilité correspond : Les productions produites par l’ensemble des secteurs institutionnels résidents en France depuis au moins un an Deux conceptions de la préservation du capital naturel Les richesses créées par les firmes, le reste du monde et les sociétés financières La soutenabilité faible : Les formes de capital sont complémentaires Les formes de capital sont substituables Aux biens et services échangés en dehors de la sphère marchande A une une préservation de l’environnement assez rigide La soutenabilité forte est : Le capital naturel est illimité Le capital naturel est limité Les formes de capital ne sont pas substituables mais complémentaires La réglementation correspond: Dispositifs incitations de préservation de l’environnement Les activités domestiques Des normes de produits et des normes de processus La taxation Un outil de la politique climatique Un ensemble de mesures incitatives Prélèvement public visant à réduire les émissions de CO2 Faux Marché de quotas d’émission Les firmes les plus respectueuses de l’environnement peuvent vendre leurs «excès» de « droit à polluer » aux firmes polluantes Les salaires Système européen d’échanges de quotas d’émissions de gaz à effet de serre Le développement durable (ou soutenable) correspond A une conception qui souligne les limites de la croissance économique Réduire les inégalités causées par la répartition primaire des richesses A un développement économique répond aux besoins des générations actuelles sans compromettre ceux des générations futures Des les années 1970, le mouvement des « décroissants » a mis en exergue les de la croissance économique sur le des économies. Le club de Rome souligne les effets pervers de la croissance sur la préservation de l’environnement. Les développements de nombreuses économies développées (Etats-Unis, Australie, Canada…) ou encore en développement (Arabie saoudite, Chine…) s’accompagnent de croissance au détriment du capital naturel. Les analyses de la soutenabilité mettent en évidence la complémentarité plus ou moins forte voire la des stocks des différentes formes de capital (naturel, physique, humain, institutionnel). «La tragédie des biens communs », du fait de leur caractère et non exclusif conduit à des surconsommations et exploitations (pêche, foret…). Même si la croissance économique s’accompagne d’effets économiques et sociaux positifs ( , hausse des revenus distribués…), elle peut s’accompagner d’un épuisement des ressources naturelles (forêt Amazonienne, destructions des habitats naturels des animaux, expropriations de 3 millions de chinois pour construire le barrage des trois gorges…). Les partisans de la soutenabilité faible estiment que les differentes fortes de capital sont substituables ( la capital naturel peut être compensé par un investissement dans un autre capital) ex : Les partisans de la soutenabilité forte estiment que les différentes formes de capital ne sont pas subtituables et que les effets pervers sur l’environnement peuvent être irréversibles. ex La politique climatique cherche alors à réduire ces effets pervers sur les stocks de capital. Elle s’appuie sur des mesures afin d’orienter les comportements des agents. Les trois instruments de la politique climatique sont : la , la réglementation, . Le rôle des pouvoirs publics contribuant à réduire les défaillances du marché (programme de première). Sociologie Partie 1 : classes, stratification et mobilité sociales 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) 11) 12) 13) 14) Chapitre 1 : comment analyser la structure sociale ? L’utilité … La satisfaction procurée par la consommation d’un produit (bien ou service) La désutilité que procure un service Un besoin primaire La contrainte budgétaire correspond à Le montant du revenu disponible A la limite de choix de consommation de l’agent en fonction de son revenu et des prix relatifs A la limite de dépense que ne doit pas dépasser une APU L’utilité marginale correspond La satisfaction procurée par le dernier service consommé La satisfaction procurée par le dernier bien consommé La satisfaction procurée par une unité de produit (bien ou service) consommée L’utilité marginale est Croissante décroissante Le PIB mesure La richesse créée par les secteurs institutionnels français résidents depuis au moins un an Les richesses produites par les secteurs institutionnels étrangers résidents depuis au moins un an Les richesses créées par le reste du monde La valeur ajoutée (VA) se mesure : Par la soustraction du chiffre d’affaires et des consommations intermédiaires (avec un stock à « 0 ») Par l’addition du chiffre d’affaires et les coûts de revient Par la soustraction du chiffre d’affaire et des coûts de revient La production marchande correspond : Les productions produites par l’ensemble des secteurs institutionnels résidents en France depuis au moins un an Ensemble des valeurs ajoutées (VA) vendu sur les marchés à un prix supérieur à leur coût de revient Les richesses créées par les firmes, le reste du monde et les sociétés financières La production non marchande correspond : Aux activités des APU administrations publiques Aux activités des associations Aux biens et services échangés en dehors de la sphère marchande Aux biens et services réalisés des APU et les associations vendus à un prix inférieur à 50% de leur coût de production La répartition de la valeur ajoutée est : Salaires, excédent brut d’exploitation (EBE) et impôts liés à la production Revenus primaires Revenus secondaires Le PIB ne prend pas en compte notamment: Les activités souterraines Les activités domestiques Les activités des ménages indépendants Les ménages perçoivent que des revenus primaires Vrai Faux Les revenus secondaires sont Les revenus de transfert Les salaires Les revenus du capital Quels sont les intérêts de la répartition secondaire des revenus ? Renfoncer la répartition primaire des revenus Réduire les inégalités causées par la répartition primaire des richesses Réduire les risques sociaux L’équation emplois-ressources en économie ouverte PIB= X+C-X PIB-M= C+G+VS-X PIB-M=C+G+FBCF+VS+X PIB=C+G+I+VS+X-M Chapitre 2 : Comment rendre compte de la mobilité sociale ? 15) L’utilité … La satisfaction procurée par la consommation d’un produit (bien ou service) La désutilité que procure un service Un besoin primaire 16) La contrainte budgétaire correspond à Le montant du revenu disponible A la limite de choix de consommation de l’agent en fonction de son revenu et des prix relatifs A la limite de dépense que ne doit pas dépasser une APU 17) L’utilité marginale correspond La satisfaction procurée par le dernier service consommé La satisfaction procurée par le dernier bien consommé La satisfaction procurée par une unité de produit (bien ou service) consommée 18) L’utilité marginale est Croissante décroissante 19) Le PIB mesure La richesse créée par les secteurs institutionnels français résidents depuis au moins un an Les richesses produites par les secteurs institutionnels étrangers résidents depuis au moins un an Les richesses créées par le reste du monde 20) La valeur ajoutée (VA) se mesure : Par la soustraction du chiffre d’affaires et des consommations intermédiaires (avec un stock à « 0 ») Par l’addition du chiffre d’affaires et les coûts de revient Par la soustraction du chiffre d’affaire et des coûts de revient 21) La production marchande correspond : Les productions produites par l’ensemble des secteurs institutionnels résidents en France depuis au moins un an Ensemble des valeurs ajoutées (VA) vendu sur les marchés à un prix supérieur à leur coût de revient Les richesses créées par les firmes, le reste du monde et les sociétés financières 22) La production non marchande correspond : Aux activités des APU administrations publiques Aux activités des associations Aux biens et services échangés en dehors de la sphère marchande Aux biens et services réalisés des APU et les associations vendus à un prix inférieur à 50% de leur coût de production 23) La répartition de la valeur ajoutée est : Salaires, excédent brut d’exploitation (EBE) et impôts liés à la production Revenus primaires Revenus secondaires 24) Le PIB ne prend pas en compte notamment: Les activités souterraines Les activités domestiques Les activités des ménages indépendants 25) Les ménages perçoivent que des revenus primaires Vrai Faux 26) Les revenus secondaires sont Les revenus de transfert Les salaires Les revenus du capital 27) Quels sont les intérêts de la répartition secondaire des revenus ? Renfoncer la répartition primaire des revenus Réduire les inégalités causées par la répartition primaire des richesses Réduire les risques sociaux 28) L’équation emplois-ressources en économie ouverte PIB= X+C-X PIB-M= C+G+VS-X PIB-M=C+G+FBCF+VS+X PIB=C+G+I+VS+X-M