Fiche de participation Nom : ATAILIA Prénom : Sara Fonction : Doctorante Organisme : Université Abbès Laghror - Khenchela Tél : 0664 43 28 79 E-mail : [email protected] Participe par : une communication affichée Langue : Français Thématique : Biodiversité animale (génomique et conservation) Intitulé : L’Hirondelle rustique Hirundo rustica nicheuse dans un milieu urbain (le courseGuelma) et les maladies d’origine aviaire. L’Hirondelle rustique Hirundo rustica nicheuse dans un milieu urbain (le course- Guelma) et les maladies d’origine aviaire ATAILIA Sara (1), HADDAD Soumia(2, BENNI Njike(2) et HOUHAMDI Moussa(2) (1) Laboratoire des Capteurs, Instrumentations et Procédés (LCIP), université de Khenchela (2) Laboratoire de Biologie, Eau et Environnement (LBEE), université de Guelma Les mots clés : Hirundo rustica, bactéries pathogènes, fientes, antibiogramme, milieu urbain L’Hirondelle rustique est un passereau strictement insectivore qui fréquente les milieux agricoles et urbains. Dans cette étude qui a pour objectifs tout d’abords, la recherche de certaines bactéries connues pathogènes : Bacillus, Salmonella, Pseudomonas, Yersinia, et Vibrio dans des échantillons issus principalement des fientes (69 échantillons) des oisillons de l’Hirondelle en fonction de trois classes d’âge (5-10-15 jours après éclosion), ensuite on s’intéresse à interpréter les résultats de présence ou absence de ces germes ciblés et voir s’ils sont à l’origine d’une potentielle transmission de maladies à l’Homme, et enfin les espèces bactériennes identifiées subiront un antibiogramme. Les résultats de l’isolement et l’identification biochimique des bactéries révèlent la présence de Bacillus et Pseudomonas qui sont en liaison avec l’âge mais Salmonella est une souche accidentelle, ces trois genres diminuent avec l’âge (15jours) tandis que Vibrio et Yersinia n’ont pas été trouvées. Ces bactéries sont pathogènes pour les oisillons et pour l’Homme également mais heureusement des facteurs externes et internes : comme la flore intestinale, le système immunitaire, la nutrition peuvent les diminuer. Alors les résultats de l’antibiogramme révèlent une véritable inquiétude vue qu’il existe une résistance acquise importante de l’ordre de plus de 59% des espèces subissant cet antibiogramme, cette résistance est due à l’abus des antibiotiques chez soi et en secteur d’élevage des bétails.