M(Z,A).c²

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1
-
Généralités
-
Modèle de la goutte liquide
- Désintégrations Nucléaires
-
Réactions Nucléaires
-
Fission et Fusion
-
Energie et Réacteurs Nucléaires
-
Accélérateurs
2
Traits suivants
-
Caractéristiques de Noyau
Forces Nucléaire
Emissions Nucléaire
Réactions Nucléaire
 Toute matière est composée d’atome eux même composés de :
 Proton
électron et Noyau 
 Quarks
 Neutron
Quark : particule fondamentale (sans structure interne connue).
3
Infiniment grand ------------------------ infiniment petit (particule
Elémentaire , Quarks, e-, + anti particule, 10-5m physique de particule
(Aster, planète,….)
Nillion , nil hérode Km
Domaine Astrophysique
Atome
Noyau
proton

Nayau
Neutron
------------
≈1Å
1Å = 10-10 m
---
= 1 fm
<->
1 ferme = 10 -15
≈ 0.74 fm
4
Quark
Structure de l’atome :
5
Atome Thompson
 émission thermoélectronique dans Un tube vide
Source de particule
 Effect photoéléctrique
E = hѵ = h* c/
Porte Une charge négative charge élémentaire
e- = 1.60217662.10-19 c
me- = 9.109534.10-31 kg
Remarque :
On ne connait pas la forme de l’électron
6
Noyau mis en évidence par Ruthford
 Photon  1919 ruthford
Nucléon 
 Neutron  1932 chaduick
Production par ionisation l’atome d’hydrogène charge du proton = + e
mp≈ 1.6726231.10-27 kg
m p ≈ 1836 m e
Production par réaction nucléaire pas de charge donc charge Nulle
mn≈ 1.6749282. 1 0-27 kg m n = 1846 me
2/ Définition :
Un noyau ‘ X’ est caractérise par les membres suivants (nuclide) (nucléide
= noyaux atomiques)
a) Nucléide (= noyaux atomiques)
Les nucléides renferment les nucléons: les protons (portant une charge
élémentaire positive e) et les neutrons (charge nulle).
Symbole : A
z
xN
A est le nombre de masse et représente le nombre de nucléons.
Z est le nombre atomique et représente le nombre de charges positives
élémentaires ou le nombre de protons.
N est le nombre de neutrons.
7
On a
N= A-Z
Exemple :
4
He renferme 4 nucléons : 2 protons et 4 – 2 = 2 neutrons.
238
U renferme 92 protons et 238 – 92 = 146 neutrons.
Neutron
Proton
Electron
Charge (C)
0
Masse (kg)
1,674 10-27
1,672 10-27
9,109 10-31
Masse (en u)
1,008 665
1,007 277
0,000 549
Energie au repos
(MeV)
939,57
938,28
0,511 003
e = 1 ,6 10-19
-e
b) Quantité de matière
Elle caractérise la quantité de matière contenue dans un corps.
Unité S. I. : la mole (mol)
1 mol est la quantité de matière d'un système contenant autant d'entités
élémentaires qu'il y a d'atomes dans 0,012 kg de carbone 12.
c) Nombre d’Avogadro NA (constante d’Avogadro)
Le nombre d’Avogadro N A constitue le nombre d’entités contenues dans une
quantité de matière de 1 mole, donc
8
N A = 6,02 10-23 mol-1
Les entités élémentaires doivent être spécifiées et peuvent être des atomes,
des molécules, des ions, des électrons, d'autres particules ou des groupements
spécifiés de telles particules.
d) Masse molaire M
Elle constitue la masse d’une mole d’atomes ou de molécules, donc de 6,02 10-23
atomes ou molécules.
Unité : kg/mol
A partir de la masse molaire on peut calculer la masse d’un atome, m0:
m0 = M/ N A
Application : calcul du nombre d’atomes dans un échantillon de masse m
N= m/m 0 = (m* N A)/M
isotopes
même nombre de protons
,
Isotones
même nombre de neutrons
,
Isobares
même nombre de masse
,
Noyaux miroirs
nombre de neutrons et de protons
échangés
Isomères
nucléaires
états d'énergie différents
Noyau stable
‫ ـــــــــــــ‬ niveau fondamental Stable energie=0
137
Ba
9
,
,
,
ExEmplE
137m
Ba  m= état isomère état métastable
Energie = 0
isoton
es
Exemple
1
H (stable) = 99,985%
2
H (stable) = D (Denton) 0.0159
3
H (radioactif) = T (tritium) tracer
10
Les noyaux riches en neutron plus stable que les noyaux riches en proton
Unité Atomique
Masse du noyau représente 99.75% de la masse de l’atome
Les tables donnent généralement les masses atomiques
Masse atomique = masse de noyau
Ou fixe la masse d’un atome donnés et ou déduit celles de tous les autres par
spectrométrie de masse
(c’est un état expérimental )
*avant 1961 : 16O atome neutre de référence ( les chimiques)
*après 1961 : 12C atome neutre de référence ( les physicien)
Unité utilisés n’est plus le Kg vue la apetisse des masses des noyaux
11
Unité de masse atomique (1 u)
1 u est la masse correspondant à 1/12 de la masse d’un atome de
12
C.
12 g de 12C renferment une quantité de matière de 1 mole et se
composent donc de 6,02 10 23 atomes. On obtient :
1U= 1/12 (M/ N A) = 1/12 ( 0.012 kg.mol -1/6.02.1023)= 1.66.10-27Kg
1U.m.a = 1.6605402.10-27
L’électron pèse m e= 5.485799110.10-4 u.m.a
Proton pèse
m p = 1.00727644688 u.m.a
Neutron pése
m n = 1.00866491578 u.m.a
M noyau = M atome – M e- + E l (e-)
Totale :
Remarque :
E l(e-) <<<<< El ( nucléon)
Energie de la laison de e -est négligeable ( quelque soit le Z=1 ,2,3…)
Exercice :
Comparer la masse de 1H a celle de système ( proton + e - )
E = m.c²  E = 1u.m.a * 3.10 8 = 1.66.10-27 *(3.108 )² = 1.494.10-10 joule
1 ev

1.6.10-19 joule
E(ev)

1.494.10-10 joule
E(ev) = ( 1ev* 1.494.10 -10 joule ) / 1.6.10 -19 joule = 931.49 (ev) *106 = 931.5 Mev
1ev = 1,602 . 10 -19 joule
1 MeV = 106 eV
12
3/ rayon de Nucléaire :
En 1 er appromition admet que la forme du noyau stable est sphérique
R = R 0* A1/3
L’unité de R est le fermi  1 fermi = 10-15 m
Résultat expérimentale obtenu par barbarement ≠ cibles (noyau) par des
neutrons d’énergie 8.3 Mev
R0=1.37fm
Remarque :
R 0 constant variant entre [ 1.2-1.5] fm . sa valeur dépend de la nature
l’interaction.
*tous les noyaux ne sont pas sphérique on peut déterminer la forme du
noyau par la mesure de son moment Quadripolaire électrique
*le rayon Nucléaire r≈0.74 fm
la densité de la matière Nucléaire est la même dans tous les noyaux
« m » masse du noyau.
V = (A.m N )/ (4/3) π R 3 A = m N / (4/3) πR 3
= 1u.m.a/(4/3)π(1.37)3 = 0.09 u.m.a/ fm 3
=1.66.10-27/ (4/3) π (1.37)3= 1.45.10-28Kg
= 1.54.1014g/cm 3
 la matière est très dense
 Fonction de fermi :
r) = 0 / (1+e(r-R)/a)
Energie de liaison d’un noyau :
Il existe une certaine énergie de liaison assurant sa collision.
13
Exemple : prenant 2 neutrons, 2 protons
Et forme le Noyau 4 He au repose
M
4He
= 2 mn+2mp = 2(1.00727646688)+2(1.00866491578)
= 4.031882762 U.m.a
M
4He
Δ=M
= 4.001506 u.m.a
4He(cal)
- M 4He(mes) = 0.030377 u.m.a
L’énergie de liaison électron différent entre la masse Nucléaire réel et la masse
de tous nucléaire pris séparément donnée par la formule
EL(A,Z) = [Zm p+(A-Z)m n-M(A,Z)]
La masse m (A,Z) d’un noyau est inférieure à la somme des masses de Z
protons et de N neutrons :
m (A,Z) < Z.mp+(A-Z)m n
m (A,Z) matière du noyau
mp
masse de proton
mn
masse du neutron
défaut de masse – excès de masse :
_Au premier ordre la masse atomique M(A,Z) d’un élément est donnée par le
nombre de masse A
_ Mais en général, la masse réelle d’un atome diffère de A. Cette différence est
nommée «excès de masse » (Z,A) :
M(Z,A ) u = M (Z,A) u – A (1u)
l’excès de masse peut aussi être exprimé en MeV :
M(Z,A) (MeV) = M (Z,A) (MeV) – 931,5 A
14
Les masses atomiques M(Z,A) peuvent être déterminées avec précision à l’aide
de spectromètres de masse ou à partir des désintégrations radioactives et des
réactions nucléaires.
Il y a donc un défaut de masse M Z,A) défini par :
M(Z,A) = (Z.m p + N.mn) – M(A,Z)
Cette différence est toujours positive . Exprimée en unité d’énergie ( MeV) elle
est appelé énergie totale de liaison :
EL(A,Z) = M(Z,A).c²
E L(A,Z) représente le travail nécessaire pour dissocier les nucléons du noyau.
et :
M(A,Z) = [Z.m p + N.m n ] – EL (A,Z) /c²
m
Remarque 1:
Les énergies de liaison des noyaux sont en MeV, alors que celle des
électrons dans les atomes sont de l’ordre de l’eV. Il y a donc un facteur de
106 entre l’énergie nucléaire et l’énergie chimique, pour une même masse
de réactifs.
Remarque 2:
En pratique on utilise les masses atomiques plutôt que les masses nucléaires :
M (A,Z) = M (A,Z) + Z.m e – E L/c²
où me est la masse de l’électron et El la valeur absolue de l’énergie de liaison
des Z électrons. El , de l’ordre de l’eV est négligeable :
E l (A,Z) = [ Z.m H + N.mn – M(A,Z) ].c²
où M(A,Z) est la masse atomique de l’élément X(A,Z) et mH celle de
l’hydrogène
15
Exemple :
Energie de liaison du deuton
Le noyau le plus simple est le deuton (d) constitué d’un proton et d’un neutron.
Sa masse est md = 2,013554 u
Calculons (m p + mn ) = 1,007277 u + 1,008665 u = 2,015942 u
On voit que : m d < ( m p + mn )
Le défaut de masse est
m(Z,A) = [ (m p+ mn ) – md ] = 0,002388 u
ce qui correspond à une énergie de liaison : EL(d) = 2,225 MeV .
Cette énergie sert à lier les deux particules ensemble.
Pour les séparer, c’est à dire vaincre la force nucléaire, il faut fournir une
énergie minimale de 2,225 MeV.
2/ point de vu pratique on utilise les masses atomiques au lieu des masses
Nucléaires
E l (A,Z) = [ Z.m p + N.mn – M Atome(A,Z) ].c²
M Atome = M
noyau
+ Zme – E L(Z,e-)
3/ en ce nucléaire E l (A,Z) ne permet pas comparer des noyaux différents
On définit l’énergie moyenne de liaison
¯ E l (A,Z) = E l (A,Z)/A
16
Conclusion :
Un noyau plus stable plus une énergie de liaison moyenne est grande . cette
quantité permet de tirer important sur la nature des forces nucléaires
5/ forces Nucléaire :
On peut diviser cette courbe exp On 3 partie
Commentaire de la courbe de ASTON :
a/ Les noyaux très légers sont peu liés, à l'exception de l'hélium-4  dont
l'énergie de liaison de 7 MeV par nucléon est très supérieure à celle de ses
voisins, deutérium, tritium, hélium-3, lithium.
b/ Pour 30 <A<210 E lmoy est quasiment indépendant de A, avec une valeur de
17
l’ordre de 8 MeV par nucléon. Ceci peut-être interprété par la propriété de
saturation des forces nucléaires : un nucléon donné n’est pas lié de la même
façon à tous les nucléons du noyau.
c) E lmoy passe par un maximum très aplati de 8,7 MeV pour le nickel-62 et
diminue ensuite lentement pour atteindre 7,3 MeV pour l'uranium. Ce sont donc
les noyaux de masses intermédiaires qui sont les plus liés, donc les plus stables.
d/ A > 80 E lmoy la décroissance lente de l’énergie de liaison des nucléons résulte
de l’augmentation de l’influence de la force coulombienne.
e/ Les nombres « magiques » (2 , 8, 20, 28, 50, 82, 126) sont des nombres de
protons et/ou de neutrons pour lesquels un noya u est particulièrement stable.
Dans le modèle en couche, ces nombres correspondent à un arrangement en
couches complètes.
 Importante information sur les forces nucléaires
Fp-p = FP-N = F N-N
 1er approximation ces forces sont identiques
1/ Independence de change des forces nucléaires
2/ les forces nucléaire ont un court rayon D’action = ont une faible portée (2fm)
Les forces nucléaires pâturent
18
6/ Energie séparation d’un Noyau :
C’est le travaille nécessaire pour arracher Une nucléaire on un groupe de
nucléaire ( proton , neutrons Alpha,……)
Es(A’,Z’) = [M(A-A’,Z-Z’) + M(A’,Z’) –M(A,Z)]C²
Cas particuliers :
Neutron Es(1,0) = Sn
= [M(A,Z-1) + M(1,0) –M(A,Z)]C²
Proton Ep(1,1) = Sp
= [M(A-1,Z-1) + M(1,1) –M(A,Z)]C²
Alpha 4He Es (4,2) = S
= [M (A-2 ,Z-4 ) + M(4,2) –M(A,Z)]C²
7/ stabilité Nucléaire:
Pour avoir des information sur la stabilité des noyaux des études ont été faites
Sur « Sn » puis sur « Sp » dans des isotopes ( est des isotones)
Constations
Pour « Z » Donne Sn (paire) > Sn ( impaire)
Pour « N » donne Sn ( Z paire ) > Sp(Z impaire )
19
Conclusion :
Z pair
 sont Des stable
1/
N pair
Z paire
Z impaire
2/
 sont stable que 1
Ou
N impaire
N paire
Z impaire
 Sont encore moines Stable
3/
N impaire
Nombre
Nucléaire
Z
N
157
Pair
Pair
52
Pair
Impair
50
Impair
Pair
4/5
Impair
Impair
Stable
20
Exemple :
H2, Li6 , B 10 , N 14
Les Nucléons possèdent par paires si « Z » et/Ou « N » =2 , 8, 20,28,5,82,126
Les noyaux possèdent une très grande stabilité
7/ les Niveaux d’énergie :
Un niveau donnée est caractérise par :
Niveau « i » caractérise par :
Ei
 énergie
 durré de vie

Ґi  largeur de niveau precision
sur E i
Z
NRP
NRN
N.S
N
21
Commentaire :
Transformation d’un noyau ayant E
Si
excité
= E initial
E excité < E separation
*Le Noyau perdra cette énergie d’excitation sous forme ( émission photons 

Etat du noyau est un état Réel Ou lié
Si
E excité < E separation
Etat du noyau est un état Virtual
Le Noyau e- met un nucléaire ou groupe de nucléaire
9/ noyau Neutron
Les noyau miroirs
A
Z N
X

A
N Z
Y
Les Niveau d’énergie de deux noyaux miroirs sont extraient voisins
Δ = M ( 13N) – M (13C) = 2.22 Mev
10/ désintégrations Nucléaires
N(t) = N 0 . e-t
N0 nombre de noyau initial
N(t) nombre de noyau à t
Constante de désintégration 

T période Ou (demi-vie)
ln 2

T

22
Processus caractérisés par :
- Energie libre
- Type de parcours = T émis
- Vitesse du parcours T
Emission Gamma
23
11/ Réaction Nucléaire :
24
- Les intégrations et les Réactions nucléaire met on jeu des noyaux dans des
niveaux excités caractérisée de même grandeur physique que les niveaux
fondamental stable
- Classement des nucléaire selon l’énergie du faisceau
Basse énergie
Moyenne énergie
Haute énergie
E < 10 Mev/A
10 < E < 200 Mev/A
E > 200 Mev/A
25
26
C’est modèle Ou l’interaction entre les Nucléaire dans le noyau est très forte
(nucléaire fortement couplée)
Leurs libres parcours moyens sont très petits devant les dimension du noyau
C’est la 1er représentation du noyau
Hypothèse :
Assimile le noyau 1 er goutte liquide incompressible de forme sphérique il repose
sur :
1/ρ = cte quelque soit
ρ = 1.45. 1014 g/cm 3
2/ Independence ce charge des forces nucléaires
3/ f.υ a coute portée
Formule Semi-empirique de WEIZSACKER
- Calculer les énergies de liaison des noyaux
- Composée de cinq terme a juste à l’expérience au noyau de paramètre
1/ Terme de volume :
E v = a v. A
av constante équivalente de l’énergie de condensation
2/ Terme de surface :
Saturation des forces nucléaire
Es= -as. A 2/3
27
3/ Terme de coulombienne :
C’est le seul terme que l’on peut calculer il tient compte de la répution
coulombienne des photons
Ec = -ac z (z-1). A-1/3
Ou
Ec = -ac . z². A-1/3
Si R 0 = 1.24 fm
 ac = 0.69 Mev
Ac =
Ac
=
3
e²
.
5 * 4 *  *  0 R0
=
3
e²
.
2 0 . R 0
3 e²
c 3 1

5 4 0 c R 0 5 137
1
e²
=
/
4 0 c 137
ħc = 197 Mev.fm
4/ terme d’asymétrie :
Ea= -aa (A-2Z)² A-1
28
5/ terme d’appariement :
Ep = ap A-4/3
=
+1
Z et
Z
N paire
ou N impaire 

et


 EL (A,Z) = a v.
ap A-1/2
N impaire 
A-as. A2/3-ac z (z-1). A-1/3 -aa (A-2Z)² A-1+ ap A-4/3
Application de cette relation
Calculer
- En de liaison d’un noyau
En libre lors d’un fission ou lors d’une particule Alpha
Évalues exp sur un certain nombre de noyaux
- Mesure de masse [E l = A mp- (A-Z)mn +m(X) ]
- Etude de bilan de réaction nucléaire
- Etude de la stabilité des noyaux vis-à-vis de la désintégration Beta
29
Exemple d’ensemble de valeur :
Av = 15.5 Mev
As = 16.8 Mev
Ac = 0.72 Mev
Aa = 19 Mev
Ap = 33.5 Mev
En toute rigueur l’équation de WEIZSCAKER ne s’applique dans le cas des
noyaux léger ( A< 20) de même pour A> 240 de même pour le noyau magique
pas de notation de coulées fermée
Déterminer de rayon nucléaire
R = R 0 . A 1/3
Etude sur de noyau miroirs
∆El = El (A,Z) – El (A,A-Z)
avA - as A2/3 - ac z (z-1)A-1/3 - aa (A-2Z)² A-1 + ap A-4/3
∆EL
=
- a v.
A + as A2/3 + ac z (z-1)A-1/3 + aa (A-2Z)² A-1- ap A-4/3
∆EL = - aa (A-2Z)² A -1 + aa (A-2Z)² A -1
30
∆EL = ac [(A-2Z) (A-1)] A-1/3
∆EL =Zmp + (A-Z) mn – M (A,Z) – (A-Z)m p – Zmn + M(A,A-Z)
Comme :
∆E L1 = ∆E L2
Ac =
( mn  mp )c ²  mc ²
≈ [(mn-mp)c²+∆mc² )A -2/3]
1 / 3
( A  1). A
Stabilité vis-à-vis de la désintégration Beta
Valeur de la réduite sont importantes de 1.2 fm ou 1.1 fm
Raison simplicité du MGL
M(A,Z) c²=aZ²+bZ+ C
A= a c A
-1/3
+ 4aa A-1
B= (m p-mn)c²-4aa
C= mnc² - av +aa+asA-1/3 - ap A -3/2
31
Zmin=
A/2
A/ 2
.=
1 ac 2 / 3
1 * 0.0075  A 2 / 3
1  . .A
4 aa
Le noyau stable Aura Z≈ Zmin
Remarque
1/ Pour les isobares dont A est impaire =0  un seul parabole de masse
Il existe exception à cette règle pour
A=113
A=123
N’excite pas de noyau pour A=5 et A=147
2/ pour les isobares dont A est pair  ou
32
33
La 1ère transmutation artificielle date de 1919 réalisé par
Rutherford
4
He + 14N→11H + 17O
det
34
ISSUES DES
SOURCES
RADIOCATIVE
Réalisation accélérateurs nucléaire
De plus en plus puissants (des énergies très grandes)
voie initial
Cible
voie final (voie de sortie)
Intermédiaire
(voie d’entré)
Faisceau
Produit de réaction
é: + → + 35
+ + é Cible
+ ∗ é
Projectile
+ é é
+ ∑ = 1
1) lois de conservation
L’étude d’une réaction nucléaire se limite à l’étude
d’un système mécanique pour lequel un certain nombre de
grandeur physique se conserve.
Il est nécessaire de choisir un repère :
¤ Un repère lié au labo (liée à labo) ≡ Sys labo [repère Galiléen]
¤ Un repère lié au Centre de Masse des particules en interaction
Avantage : les lois de la mécanique s’écrivent+ simplement≡ Sys
CM [repère Galiléen]
36
Dans ces deux repères, aura conservation :





Energie totale
L’impulsion totale
La charge électrique
Le moment ampullaire
Ne nombre de nucléon
Etude cinématique (dans le système laboratoire) :
+
1)
→
+
+ → + ⃗ ⃗
⃗ ⃗
2) + → + Y
⃗
⃗
mb
⃗ ⃗
= 0
ma
mx
a
x
Coll
isio
n
C.I
X
Cible au repos
37
Voie initial
b
y
⃗
Voie final
( ∗ ) + + ( ∗ ) + = ( ∗ ) + + ∗ + 1
+ − − ∗ + = + Bilan de réaction :
+ = + 1’
Remarque :
= (∑ = ∑ )
Si Q>0 ↔ ∑ > ∑ => Une réaction
exoénérgetique
Si Q=0 ↔ ∑ = ∑ => diffusion élastique
Si Q<0 ↔ ∑ < ∑ => Une réaction
endoénérgetique
⃗ ⃗ ⃗
⃗ ⃗
2------ = + = 0
Ox : = ∗ cos + ∗ cos ----------------- (2’)
Oy : 0 = ∗ sin − ∗ sin ---------------- (2 ‘’)
38
Equation en Q:
(2’)
 − ∗ cos = ∗ cos --------- (2’’’)
(2’’)  ∗ sin = ∗ sin --------------- (2’’’’)
(2’’’)² + (2’’’’)²
 + − 2 ∗ ∗ ∗ cos = Comme en calcule à basse énergie
=
²
2∗
2 ∗ ∗ + 2 ∗ ∗ − 2 2 ∗ ∗ ∗ 2 ∗ ∗ ∗ cos = 2 ∗ ∗  = ∗ + ∗ −
∗ ∗ ∗
∗ cos Remplaçant dans (1’)
+ = +
=
∗ +
− 1 ∗ + (
∗ −
+ 1) ∗ −
39
2 ∗ ∗ ∗ 2 ∗ ∗ ∗ ∗ cos ∗ cos Remarque :
Une réaction ne peut avoir lié que si elles y apparaissent avec des
T positives

+ ≥ 0

+ ≥ 0
Condition nécessaire mais pas suffisante
Etude dans le repère du C.M :
40
Relation de passage C.M→Labo :
⃗ ⃗
⃗ ⃗ = ⃗ = + ′ =
⃗ ⃗
⃗ = + ′ ⃗
⃗ + ′
⃗ =
⃗
⃗
⃗ + ⃗
0⃗ = ′
⃗ =
=≫′ = − Défi du C.M :
⃗=
⃗ =
∑ ∗ ⃗ ∗ ⃗ + ∗ ⃗
=
∑ +
∗ ⃗ + ∗ ⃗
=
∗ ⃗
+
41+ Masse du C.M
M= + Masse réduite :
Remarque :
1
1
1
=
+
μ ( + ) ∗ ⃗ = ∗ ⃗
⃗
⃗ =
Conservation de l’énergie :
′ + ′ = ′ + ′
′ + ∗ ² + ′ + ∗ ² = ′ + ∗ ² + ′ + ∗ ²
′ + ′ + = ′+′
Conservation de l’impulsion :
⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗
′
+ ′ = ′ + ′ = 0 Calculons ′ + ′ =? ?
Car la réaction est possible si
non relativiste
=
′ + ′ ≥ 0
en mouvement
1
1
∗ ∗ ⃗ = ∗ ∗ ⃗ − ⃗ 2
2
1
⃗ = 1 ∗ ∗ ² ∗ ⃗
= ∗ ∗ 1 −
∗
2
+
2 ( + )²
=
∗ +
42
=
1
1
⃗
∗ ∗ ⃗ = ∗ ∗ −
2
2
1
= ∗∗
∗ ⃗ 2
+ + =
∗
=
∗
( + )² ∗ ≡ .
Donc la réaction est possible si
′ + ′ + = ′+′ ≥ 0 
∗ + ≥ 0
+
∗
↓
↓

≥ −
Condition nécessaire et suffisante
Energie seuil :
=
−
∗
Remarque : vérifie que
=
Dans labo
′ + ′
+
∗
⃗
( + ) ∗ dans C.M
=. +.
43
Diagramme en énergie d’une réaction nucléaire :
Exemple :
P+63Cu
P+63Cu
dif élastique Q=0
P+63Cu*
dif inélastique
P+n+62Cu
N+ 63Zn
…+…
44
réaction nucléarie
45
Découverte de la radioactivité date 1894 par Becquerel
en se perceront que les sels d’Uranium impressionnaient une
plaque photoélectrique, puis Marie et Pierre Curie utilisérèrent
Le Polonium « Po » parce que il est plus radioactif
 Le rayonnement issu de ces sels [U-Ra ou Po] sont:
 Ray : particule composé de , peuvent être
arrêté par une feuille de papier →énergie : qlq MeV
 Ray :(é ou ) ; sela peuvent être arrêter par
1.5mm de Plamb →énergie : qlq MeV
 Ray :rt =e.m, sont des photons courts longueur
d’onde, peuvent traverser plusieurs (20cm) de Pb
Remarque :
t
1) Un rayonnement radioactif ne peut pas émettre tous les types r =(, , )
2)
Milieu
Inerte vivant
Pouvoir d’ionisation (relatif)
Pouvoir de pénétration (relatif)
1000
1
100
100
46
1
1000
éé é é 1)
Lois de décroissance :
Sont indépendantes du processus désintégrations en visage
Sont appliquer à un grand nombre de noyaux: lois
statistiques
P
F+O
Parent initial
descendant ou fils (résidence)
Situation plus stable => F (stable)
Situation complexe => P 1→P2→ 3→ ⋯ → stable
Chaine radioactive
Lois de probabilités :
Probabilité d’une désintégration radioactive P (dt) dans un
intervalle de temps dt est a % à dt
: Cte désintégration
() = ∗ Calculer la probabilité de survie d’un noyau pendant un
intervalle de temps « t »
dt dt
t = dt
47
 La probabilité de survie pour 1 er intervalle vaut : 1-P (dt)
 La probabilité de survie pour le 2 éme intervalle vaut :
(1-P (dt)) ²
 La probabilité de survie pour n éme intervalle vaut:
(1-P (dt)) n
1 − P (dt) = 1 − ∗ = −−→ ∗ n→ ∞
dt→ 0
→ é N0 : noyau à l’instant t=0
48
Duré de vie ou vie moyenne :
Activité ou taux comptage : A(t) directement accessible dans une
expérience
A(t)=*N(t)
Unité de l’activité : Curie 1Ci=3.7*1010 dés /s
Curie unité de l’activité d’1 g de
49
1dés/s = 1 Bq
Filiation radioactive
Système d’équation ≠ (é ):
= − ∗ = + ∗ − ∗ = + ∗ − ∗ = + ∗ − ∗ 50
Cas particulier s’il n’y a pas de substance
51
Cas particulier, deux substances radioactives :
Exemple :
131
Te
131
131
I
T1=1.25j
Xe
T2=8j
A1( tm ) = A2( tm ) au bout de Tm=4j
(**)
> > Le noyau parent « 1 » à une vie long devant celle de « 2 »
52
Après un temps ≫ () ≈ (0) ∗
() =
∗ ∗
− ∗ ()
− )≈
− T >>
Activité
)
≈
= T >>
On dit qu’il y a un équilibre radioactif de « Régime »
Remarque :
Si
≪ )
≈1 ↔ Seculaire
53
Exemple :
T1=1620 ans
On a : T2=3.83j
≫ ≫ Après ≈ au bout de 23 ans
Equation Séculaire est atteinte au bout de 28j
≈ Application en médecine :
M :état isomérie
T1=2.75j
T2=6.01j
Il se combine à de nombreuses molécules équilibre de régime
54
4) Décroissance multiple :
55
Activité dans la voie a :
= + ∗ = ∗ () ∗ ∗ ∗ = ∗ (0) ∗ ∗ ∗ Exemple :
Soit respectivement, le nombre de noyau
40
K 40Ar 40Ca à un instant « t » quelconque
On peut écrire
:
() = ∗ (0) ∗ ( )∗ = ∗ ∗
(0) (0) = 0
Avec à t=0 => (0) = 56
Question , =? ?
= ∗ = ∗ = ∗ ∗ ( )∗ ∗ −
() =
∗ ∗ ( )∗ + + −
(0) = 0 =
∗ + => =
+ + () =
∗ (1 − ( )∗)
+ () =
∗ () ∗ [( )∗ − 1]
+ () =
∗ () ∗ [( )∗ − 1]
+ Si
t <<
=
( + ) ∗ ≪ 1 → ( )∗ ≪ > 1
57
2 ≈
≈
=
∗
2
−
() ≈
∗ ∗ (1 − 1 + ( + ) ∗ + ⋯ )
+ −
() ≈
∗ ∗ (1 − 1 + ( + ) ∗ + ⋯ )
+ Si on mesure
à t on déduit le rapport
∗ 11 ≈
=
=
=
∗ 98 =
= 1.29 ∗ 10
+ = 1.16 ∗ 10
= 1.44 ∗ 10
La radioactivité naturelle :
Radioactivité de l’écorce terrestre
Lors de la formation de la terre, il y a quelque 4.5 Milliards
d’années, sont apparus les isotopes de divers éléments
58
 Elément radioactif => Ceux qui ont disparus : ont
période relativement Faible
=> Ceux qui existent encore : ont
période non négligeable devant l’âge de la terre
Chaines/familles
(Au nbr 3)
individuelles
Radionucléide le L.P sans filaire
Remarque :
X Gaz rare : sortes des soles, sont des indicateurs en physique
de l’atmosphère
59
Les éléments radioactifs plus légers :
1) => le tritium 3H / = 12.34 _ Air, eau : concentration 1atome / 10 18 atome d’hydrogène
_ Explosion thermonucléaire aérienne
Ex : n + 14N→ t+ 12C
2) => le carbone 14 14C / = 5730 = 0.62 Ex : n + 14N→ p+ 14C
Neutron lents accompagnant les rayonnements cosmiques
60
Application :
40
Ket14C :
é → 3000 é 14C
3
H employé comme indicateur du cycle de l’eau dans la nature
Processus rares :
Emission des noyaux lourds processus rare
12
C, 14C, 16O, 20Ne avec périodes longues
→ + + 28 + 28 →
+ 61
Emission de neutron découverte en 1948 auprès de
réacteurs
Exemple :
Activité artificiel : a été découverte en 1934 par Fet I
Joliet Curie
= . ∗ () =
Si à t = 0 N(0)=0
∗(1-∗ )
62
Energétique de la radioactivité :
⃗
:
= + Avec « T » non relativiste
63
=
²
²
²
1
1
+
=
∗ +
= ∗ (
+ 1)
2 ∗ 2 ∗ 2
= ∗ + =
−4
−4
∗ ≈
∗ −4+4
De plus :
= ∗ + ∗ − ∗ ²
= ∗ + ∗ − − ∗ − ∗ + − ∗ − ∗ + ∗ ²
= + + 64
A.N : Montrer que ≪< ≈ 40 = 1 ? ?
=
²
²
²
1
=
=
=
= 10 2 ∗ 2 ∗ 2 ∗ ∗ ² 2 ∗ 40 ∗ 931.5
: Energie de recule du noyau
65
La résolution nous donne une infinité de sol
∈ [0, ]
: é → + 1
Dans noyau fondamental
=> → + + ̅
=> → + + ̅ . => + → + ̅ + 66
= + + = ← é é
= − − ∗ ≥ 0
= − ∗ − + ( + 1) ∗ − ∗ ² … (∗)
= − ∗ 67
Pour C.E capture électronique :
+ →
+ . = + − ∗ ²
. = − ∗ ²
>0
> 0 ↔ > > 0 ↔ > + . > 0 ↔ > On dit Si l’émission est possible, la capture
électronique est possible et l’inverse n’est pas vrai.
68
Préparé par :
Belhait Djihad
Kimouche Dallel
Groupe :
Physique
instrumentation
2012/2013
69
70
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