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GE Healthcare Info
No. 4. 2016
LE MAGAZINE POUR LES CLIENTS ET LES partenaires DE GE HEALTHCARE
SIGNA™ TEP/IRM:
Hôpital Universitaire de Louvain
Centre de formation GE
Co-éducation, co-innovation et
co-développement
Up in the Cloud
l’avenir des soins de santé
numériques en Europe
L’utilisation de DoseWatch™
à l’AZ Saint-Jean Bruges
Et plus....
www3.gehealthcare.be/fr-be
GE Healthcare Info
Le magazine pour les clients et les partenaires de GE
Healthcare.
GE Healthcare Info est publié en collaboration avec tous les
départements de GE Healthcare.
Adresse de la rédaction:
GE Healthcare
Kouterveldstraat 20
B-1831 Diegem
Tél. +32 27 19 73 11
Fax +32 27 19 73 59
Contenu
Editorial & Design:
Dirk Demuynck
Marja van de Bunt
3
Avant-propos
Comité de rédaction:
Diagnostic Imaging: Marie-Caroline du Reau
Ultrasound: Johan Vandenweghe
Medical Diagnostics: Didier Dessard
Services: Pascal Bessard
4-6
SIGNA™ TEP/IRM - Hôpital Universitaire de Louvain
7
Information produit - Invenia™ ABUS
8-9 Notre organisation - centre de formation
10-11 La santé digitale - Up in the Cloud
12-13 DoseWatch™ à l’AZ Saint-Jean Bruges
14 Information produit - Senographe Pristina™
15 Dimension humaine - les Jeux olympiques
16-17 La transformation numérique
18
La Communauté GE Cares - Développé par et pour nos clients
19
Les dernières actualités de GE
23
Contacts utiles
24
Restez au courant !
Imprimé en Belgique, édition: 3.400 exemplaires
GE Healthcare Info est distribué gratuitement aux clients et
partenaires d’affaires de GE Healthcare. Si vous souhaitez
paraître sur notre liste de distribution, envoyez-nous soit un
e-mail à l’adresse suivante : [email protected] ou un
courrier à GE Healthcare, Kouterveldstraat n° 20, 1831 Diegem
en mentionnant votre nom, votre fonction et votre adresse
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À propos de GE Healthcare
GE Healthcare met au service de ses clients des technologies médicales résolument tournées vers l’avenir et ouvrant une nouvelle ère dans le secteur des soins
aux patients. Grâce à notre savoir-faire et notre expertise dans les domaines de l’imagerie médicale, des technologies de l’information, des diagnostics médicaux,
des systèmes de monitorage des patients, de la mise au point de nouveaux médicaments, des technologies de fabrication de produits biopharmaceutiques et des
solutions d’amélioration des performances, nos clients peuvent offrir des soins de meilleure qualité à toujours plus de patients dans le monde entier, à moindre
coût. En outre, acteurs du développement durable, nous collaborons avec les principaux leaders du secteur de la santé pour influencer les changements de
politiques internationales nécessaires pour réussir la conversion de nos systèmes de santé en systèmes durables.
Au travers de notre vision du futur, baptisée « healthymagination », nous invitons le monde entier à participer à notre aventure. En effet, nous développons
continuellement des innovations technologiques pour réduire les coûts et améliorer la qualité, l’efficacité et l’accès aux soins partout dans le monde. GE
Healthcare, dont le siège est basé au Royaume-Uni, est une entreprise du Groupe General Electric (NYSE : GE). Tous nos collaborateurs de GE Healthcare, dans
le monde entier, sont éntièrement dévoués aux professionnels de la santé et leurs patients, dans plus de 100 pays. Pour plus d’informations sur GE Healthcare,
consultez notre site Internet à l’adresse suivante : www.gehealthcare.com.
GE Healthcare Info
Avant-propos
Cher lecteur,
Vous découvrez ici une nouvelle édition de notre bulletin GE Healthcare. Tout
comme l’ensemble des éditions précédentes, il contient de nombreux articles
intéressants d’utilisateurs de nos appareils dans différents hôpitaux, leur vision sur
l’acquisition spécifique de ces appareils ainsi que leurs expériences d’utilisation.
La numérisation de notre société est déjà un fait acquis depuis longtemps et c’est aussi le cas dans
le secteur de la santé. Lorsque je pense à tous les appareils dans les hôpitaux et à tous les logiciels
qui les accompagnent et qui soutiennent le processus complet dans le secteur de la santé, je dois
alors toujours penser à l’énorme quantité de données qui sont ainsi créées et à quel point celles-ci
sont en réalité peu employées. C’est pourquoi j’ai trouvé l’article intitulé ‘Up in the cloud : l’avenir
des soins de santé numériques en Europe’ tellement intéressant. Ne passez pas non plus à côté de
l’article de notre CEO GE Benelux - Roland Teixeira - qui donne une vision plus large sur ce sujet.
Et en parlant de vision - dans ce magazine, nous avons recueilli une interview d’une part de MarieCaroline du Reau (General Manager Benelux) et d’autre part Kristof Callebaut (Managing Director
général Belux) sur leur vision concernant l’organisation, les réalisations et l’avenir.
Pour conclure, je m’arrête un instant sur la communauté d’utilisateurs GE Cares – une plateforme
qui permet à nos clients de partager leurs cas cliniques et leurs expériences avec leurs collègues. En
tant que client de GE Healthcare, vous pouvez vous inscrire gratuitement à cette plateforme. À faire
à tout prix !
Bonne lecture.
Dirk Demuynck
Marketing Manager Benelux Ils partagent leur expérience
SIGNA™ TEP/IRM : un pas en avant dans la
visualisation de la structure interne et du
fonctionnement du corps humain
À la fin de l’année dernière, le journal de la VRT en a fait
un reportage : l’Hôpital universitaire de Louvain a mis en
service, en collaboration avec des collègues d’Anvers et
de Gand, un scanner TEP/IRM pour imagerie simultanée.
Au bout de six mois d’activité, le Pr. Dr. Koen Van
Laere, chef du service de Médecine nucléaire, résume
l’expérience.
L’UZ Leuven - plus connu sous le nom Gasthuisberg - compte
actuellement 2 000 lits et est encore en plein essor. L’hôpital
dispose d’un éventail de départements cliniques et d’un
campus scientifique, ce qui signifie que les prestations de
services cliniques et la recherche se complètent parfaitement.
Dans le service de Médecine nucléaire également, où environ
80 personnes réalisent des tâches cliniques et un travail de
recherche. Depuis six mois, ils travaillent entre autres avec
un scanner TEP/IRM hybride de GE Healthcare qui a déjà
largement prouvé son utilité, selon le Pr. Dr. Koen Van Laere.
Quels sont de manière générale les avantages qu’offre le
scanner TEP/IRM intégré ?
Pr. Dr. Van Laere : La technologie TEP/IRM vous permet d’abord
de devoir moins souvent faire appel à la tomodensitométrie
(CT). C’est certainement vrai pour les examens du cerveau
et les applications oncologiques où l’IRM est préférée pour
l’imagerie dans des affections telles que, mais sans s’y limiter,
les maladies cardiovasculaires, les affections neurologiques et
le cancer. Il y a ensuite le facteur rayons X. Moins de rayons X
lors d’un examen de diagnostic est par définition mieux pour
des groupes vulnérables comme les enfants ou les femmes
enceintes. La combinaison de la TEP et de l’ IRM donne, pour
certaines indications cliniques, de meilleurs résultats au
niveau de la précision du diagnostic que la TEP et le CT.
4
Photo: Pr. Dr. Koen Van Laere
Quelle était pour vous la principale raison d’acquérir ce
système ?
En plus d’une meilleure qualité d’image, notre décision était
en grande partie motivée par le fait que ce système permet la
technique du temps-de-vol (Time of Flight). Cela représentait
pour nous une avancée technologique indispensable, puisque
nous n’avions pas encore cette capacité. Le TOF offre non
seulement une meilleure qualité d’images et un meilleur
rapport signal/bruit, mais il permet également de réaliser
une quantification d’images précise. Et la TEP est basée sur
la quantification, car nous mesurons la quantité d’un signal.
Notre équipe de physiciens et d’ingénieurs travaille sur le
MLAA — Maximum Likelihood of Activity and Attenuation, une
technique qui permet de former une image non seulement de
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Ils partagent leur expérience
l’activité TEP, mais également de l’atténuation (affaiblissement
des rayons), sur la base d’informations combinées. Ce n’est
possible qu’avec la technique TOF. Nous pouvons alors avoir
un aperçu complet de l’atténuation des rayons dans le corps,
ainsi que les informations nécessaires pour pouvoir calculer si
quelque chose est de même inténsité au milieu du corps ou à
la surface. La correction de l’atténuation est un des piliers des
TEP quantitatifs précis.
En plus d’être un hôpital, l’UZL est également un centre
de recherche, et un des domaines dans lesquels vous êtes
très actif est l’étude de la démence. Qu’est-ce que la TEP/
IRM a apporté dans ce domaine ?
Le système permet une imagerie plus précise des plaques
amyloïdes, mais nous avons aussi différents projets en cours
autour de la tau, une autre protéine qui s’accumule dans la
maladie d’Alzheimer. La combinaison du système permet un
scanning intégré et une amélioration des images de TEP. Avec
la TEP/IRM, une augmentation de la résolution pour l’atrophie
et la correction des mouvements est possible, choses que
nous voyons souvent chez ces patients. La qualité des images
est en tout cas bien meilleure. La résolution spatiale est plus
élevée qu’avec tous les autres systèmes dont nous disposons
actuellement, et surtout pour le cerveau, des images plus
nettes et une plus grande résolution représentent un atout
important. Vous pouvez en outre bien mieux screener les
patients grâce à l’IRM et rédiger un phénotypage qui est
bien plus précis que ce qui est obtenu uniquement par les
symptômes. Encore un exemple : nous pouvons désormais
également donner à des patients atteints de démence des
tâches cognitives et les étudier simultanément de deux
manières différentes. Cela n’était pas possible auparavant.
Une épreuve qui est en rapport avec la mémoire ne peut pas
être répétée une nouvelle fois quelques heures plus tard sur un
autre appareil, car la situation de départ est alors contaminée.
Tous ces éléments nous font penser que nous allons pouvoir
accélérer nos recherches.
L’appareil a-t-il également déjà servi pour d’autres
recherches ?
Certainement. Prenez l’étude des médicaments que
nous menons en collaboration avec des entreprises
pharmaceutiques. La simultanéité du système nous permet
de réaliser des essais qui étaient impossibles à réaliser
avec des appareils séparés. Nous étudions par exemple des
patients avec une dépendance pour lesquels le glutamate est
un des principaux neurotransmetteurs dans le cerveau. Avec
le scanner TEP/IRM, nous pouvons mesurer simultanément
les récepteurs de glutamate via la TEP et la libération du
glutamate via la spectométrie en IRM, avec une variabilité bien
moindre.
Photo: Coordinateur d’études Mr Kwinten Porters (à gauche) et Prof Dr van Laere, devant le SIGNA TEP/IRM
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
5
Ils partagent leur expérience
Nous voyons également comment le cerveau réagit lorsque
nous administrons une substance qui crée une dépendance,
comme l’alcool - évidemment dans le cadre d’études
approuvées par la commission d’éthique.
La protonthérapie est une autre idée que nous continuons à
développer. En 2018, un équipement spécial sera opérationnel
à cet effet, juste à côté du TEP/IRM. Lorsque vous soumettez
certains types de patients à des protons au lieu de photons,
vous obtenez une dose de rayons plus élevée et plus précise et
vous pouvez bien mieux observer le rayonnement. C’est du sur
mesure pour les enfants. Et il y a encore d’autres applications,
comme notre étude portant sur les traumatismes crâniens, ou
sur des patients SLA chez qui les cellules nerveuses moteurs
dans la colonne vertébrale sont atteintes.
La TEP/IRM est bien moins implantée que la TEP/
CT. Comment compensez-vous ce manque relatif
d’expérience ?
Je dois dire que GE Healthcare nous a bien aidés à cet égard.
Nous sommes particulièrement satisfaits de la manière avec
laquelle ils nous ont accompagnés lors de l’installation du
système. Le plan de démarrage, le contrat pour l’installation
logistique et la collaboration en matière d’examens, c’est
quelque chose que je n’avais encore jamais rencontré pendant
l’implémentation d’une technologie entièrement nouvelle.
Leur approche nous a énormément aidés pour penser à tout
et prévoir les problèmes. Avec l’expertise de GE, nous avons
pu travailler plus efficacement. Notre collaboration se poursuit
d’ailleurs. Nous travaillons ensemble à des améliorations
méthodologiques ainsi qu’à d’éventuelles nouvelles
applications cliniques - et même pré-cliniques.
Quelles sont pour vous les limites du système ?
En premier lieu, le prix de revient et le rendement. Vous
devez pouvoir délimiter très clairement les indications afin
de pouvoir créer un modèle d’exploitation utilisable si vous
voulez utiliser cet appareil comme un système clinique. Le
rendement doit alors être suffisamment élevé. Il y a également
le problème du remboursement. Compte tenu de la meilleure
précision de la technologie pour différentes pathologies et
la quantité réduite de rayonnement, nous espérons que les
examens avec cet appareil seront rapidement remboursés.
Nous essayons de démontrer le nombre d’indications pour
lesquelles le TEP/IRM offre une plus-value par rapport au TEPCT (toujours précis à 90-95 % pour les cancers1) et sommes
donc en train de recueillir des informations supplémentaires.
Quel conseil pouvez-vous donner à des collègues qui
envisagent également d’acquérir un scanner TEP/IRM ?
Avant tout : réfléchissez bien. Développez une collaboration
optimale avec la radiologie. Il est important que vous ayez à
tout moment un radiologue ou un spécialiste de l’IRM auprès
de l’appareil pour fournir des conseils ou examiner une image.
Consultez également vos architectes et entrepreneurs.
L’implémentation est très importante, notamment l’endroit
où vous allez installer l’appareil. La technologie et l’expertise
en matière d’IRM doivent être à proximité, mais également
les radiotraceurs TEP. Nous avons résolu ce problème en
construisant un système de tube de 100 mètres de long
qui va de notre installation BPF vers notre TEP/IRM. Et pour
finir : faites un inventaire de la logistique du flux de travail.
Déterminez précisément quels examens vous souhaitez ou
non réaliser sur un patient, de façon à ne pas utiliser un TEP/
IRM comme un appareil TEP ou un appareil IRM spécialisé
coûteux.
À gauche : Image IRM d’un cerveau. À droite : Image TEP de la consommation de sucre dans le cerveau, les couleurs
intenses montrent des zones avec une plus grande activité cérébrale. Ces images sont la propriété de l’UZ Leuven.
6
1) Tousdéposée
les résultats
cités dans
cet article
sont basés sur des études réalisées à l’UZ Leuven entre décembre 2015 et avril 2016
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque
de General
Electric
Company
Information produit
Voir autrement
avec Invenia ABUS
Ultrasons thoraciques automatisés
Avec la mammographie, 1/3 des cancers
touchant des seins denses peuvent ne pas être
détectés1 .
Le système ABUS (système d’échographie
automatisé du sein) Invenia*constitue une
solution alternative à rayonnement non
ionisant à d’autres options de dépistage
complémentaires pour les femmes présentant
des tissus mammaires denses.
Lorsqu’il est utilisé en complément d’une
mammographie, ABUS Invenia peut améliorer la
détection des cancers invasifs du sein de 55 %
par rapport à une mammographie seule2.
Conçu pour un environnement de screening rapide, l’Invenia ABUS fournit une technologie automatisée qui permet de faire des
examens reproductibles, rapidement et avec un maximum de confort qui peuvent être efficacement évalués par le spécialiste.
L’examen Invenia ABUS est simple à réaliser par un technicien
en radiologie. L’interface d’utilisation agréable, l’optimisation
automatique des images, la compression et l’acquisition
rapide permettent de réaliser des examens en 15 minutes.
Pour plus d’informations, veuillez
contacter votre spécialiste des ventes
ultrasons, appelez le +32 (0)2 719 73 62
ou rendez visite à :
http://tinyurl.com/abus-fr
Le poste de travail de l’Invenia Abus montre des volumes
en 3D dans une section coronale brevetée de 2 mm
d’épaisseur (de la peau vers la paroi thoracique). Le
poste de travail intelligent permet d’avoir un aperçu
efficace de l’examen, permettant une analyse rapide.
1. Kolb, T., Lichy, J., Newhouse, J.H., Comparison of the Performance
of Screening Mammography, Physical Examination, and Breast US
and Evaluation of Factors that Influence Them: An Analysis of 27,825
Patient Evaluations Radiology 2002; 225:165–175
2. Brem RF, Tabár L, et.al. Assessing Improvement in Detection
of Breast Cancer with Three-dimensional Automated Breast US
in Women with Dense Breast Tissue: The SomoInsight Study.
Radiology.2015 Mar; 274(3): 663-73
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
7
Notre organisation
GE Healthcare entend investir encore davantage en Belgique. Raison
pour laquelle une nouvelle équipe de direction a été nommée il y a un
peu plus d’un an. De plus, pour renforcer ses relations avec ses clients,
un centre de formation va être créé prochainement à Diegem.
« Co-éducation, co-innovation et
co-développement : avec nos clients »
Marie-Caroline du Reau (General
Manager Benelux) et Kristof Callebaut
(Managing Director Belux) sont en poste
depuis un peu plus d’un an. « Notre
lettre de mission était claire : renforcer
les liens directs que nous entretenons
avec nos clients », affirment en chœur
les deux responsables de GE Healthcare.
« Tout en assurant la croissance de notre
entreprise. À ce propos, nous sommes
sur la bonne voie : alors que l’activité
dans notre secteur est stable, nos parts
de marché augmentent. »
« La qualité de la recherche en
Belgique nous permet de convaincre
les experts internationaux les plus
prestigieux de participer à notre futur
centre de formation. »
Marie-Caroline du Reau
(General Manager GE Healthcare
Benelux)
8
Resserrer les liens, donc, avec les
utilisateurs des équipements de GE
Healthcare. « Pour les aider à tirer tout le
parti de nos machines, nous souhaitons
ouvrir en 2017 un centre de formation
au siège belge, à Diegem », annonce
Marie-Caroline du Reau. « Nos clients ne
devront plus se déplacer à l’étranger » ,
confirme Kristof Callebaut. « Le projet
d’installation d’une GE Academy en
Belgique démontre la volonté du groupe
de renforcer son implantation locale. »
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Les formateurs invités seront des
experts nationaux et internationaux
mais aussi des spécialistes issus des
hôpitaux belges. Le réseau universitaire
en Belgique bénéficie d’un rayonnement
mondial, le niveau promet donc d’être
très élevé. « La qualité des équipes de
recherche belges nous permettra de
convaincre aisément les interlocuteurs
internationaux les plus prestigieux de
venir nous aider », assure Marie-Caroline
du Reau. « Cette connexion avec la
communauté scientifique internationale
est précieuse. Elle n’est possible que
grâce à l’excellence de la recherche en
Belgique. Notre pays est très attrayant à
cet égard. »
« Ce centre de formation nous donnera
les moyens de rendre durables tous les
efforts que nous faisons en Belgique »,
se réjouit Kristof Callebaut. « Les
premières réactions de nos clients sont
d’ailleurs très positives. »
Notre organisation
Incubateur de talents
Soutenir la recherche
Toujours pour se rapprocher de ses
clients finaux, GE Healthcare a conçu
un modèle de partenariat qui connaît
déjà ses premières concrétisations.
« Nous mettons à disposition de certains
sites l’un de nos jeunes ingénieurs
du service », explique Marie-Caroline
du Reau. « Il travaille sur place, ce qui
renforce nos liens avec le site. De plus,
l’hôpital bénéficie d’une grande flexibilité
: il a la garantie d’avoir un spécialiste
toujours prêt à intervenir. »
« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie
de collaboration et de partenariat avec
les équipes de recherche belges. Pour
qu’elles continuent sur leur lancée,
nous nous efforçons de mettre à leur
disposition les machines de la toute
dernière génération », explique Kristof
Callebaut. « Ces technologies produisent
des images d’une qualité plus fine
et sont beaucoup plus puissantes.
C’est le cas des technologies hybrides
très innovantes, qui combinent les
technologies de l’IRM classique et de
l’imagerie nucléaire. L’un des premiers
exemplaires vient d’être installé à
Louvain. « Ces outils sont parmi les plus
innovants », conclut Marie-Caroline du
Reau.
La présence de cet ingénieur ne se limite
pas aux travaux de maintenance.
« Cette solution nous permet
d’entretenir une collaboration soutenue
avec les cliniques universitaires pour les
assister dans leurs recherches », précise
Kristof Callebaut. « Ce modèle de
partenariat s’inscrit dans le droit fil de
l’ADN de GE qui a une longue tradition
de soutien à la recherche fondamentale,
de co-éducation, de co-innovation et codéveloppement. »
S’y ajoute un autre avantage encore:
« Cette expérience nous sert aussi
d’incubateur de talents », affirme MarieCaroline du Reau. « Nos technologies
sont tellement spécialisées qu’il
faut compter entre un an et un an
et demi de formation pour qu’un
jeune ingénieur soit parfaitement
opérationnel. En travaillant dans une
clinique universitaire sur nos machines,
il apprend son métier sur le terrain.
Le jour où l’un de nos ingénieurs
chevronnés nous quitte, nous pouvons
le remplacer au pied levé grâce à ces
jeunes. Ce système nous permet de
compter sur des renforts formés en
toute circonstance afin de garantir la
continuité de notre service. »
« Mais ce qui fait la différence, ce sont
les découvertes que les cliniciens
seront capables de faire en utilisant nos
instruments. Quand nous apprenons
qu’un article est publié dans une
revue scientifique grâce à l’une de nos
machines, nous sommes très fiers. Nous
avons alors vraiment la conviction de
participer aux progrès de la médecine. »
« Le projet d’installation d’une GE
Academy en Belgique démontre la
volonté du groupe de renforcer son
implantation locale. »
Kristof Callebaut
(Managing Director Belux)
« Une PME avec l’esprit start-up »
« La division Healthcare de GE au Benelux fonctionne comme une PME
avec l’esprit start-up », assure Marie-Caroline du Reau. « Cela, tout en
bénéficiant des avantages d’un grand groupe mondial. Grâce à cette
culture, nous sommes capables d’attirer les meilleurs talents. Les jeunes
diplômés qui nous rejoignent aiment en effet cet état d’esprit. »
« Nous voulons entretenir une pépinière d’idées », confirme Kristof
Callebaut. « L’enthousiasme et le dynamisme sont la marque de nos
équipes. Nous nous remettons en cause en permanence. Et nous
privilégions la vitesse de réaction, l’agilité. »
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
9
La santé digitale
Up in the Cloud : l’avenir des soins de santé numériques
en Europe
Dans le paysage médical actuel, les systèmes de santé traditionnels ont pris un coup de vieux. Mais de nouveaux
logiciels devraient permettre d’ici peu de rendre la pose d’un diagnostic et la collaboration entre les professionnels
de la santé aussi simple que l’utilisation des réseaux sociaux.
Au cours des dix dernières années, les investissements
dans des technologies numériques pour les soins de
santé ont énormément augmenté. Tant l’infrastructure
de cloud computing privée que publique ont permis une
révolution dans chaque aspect de l’informatique dans
le monde médical, allant des dossiers électroniques des
patients et du diagnostic à distance à la prise de rendezvous en ligne.
« De nos jours, nous disposons de plus de 1,1 pétaoctet
d’examens enregistrés dans le cloud, sous la forme de données
structurelles, » a déclaré Dimitris Moulavasilis, CEO d’Affidea.
« Nous constatons que le numérique joue un rôle toujours plus
important dans tout ce que nous faisons. Ces infrastructures
dirigent nos flux de travail, nous rendant plus efficaces. »
10
Affidea est un des plus gros investisseurs et exécutants via
des partenariats privés-publics (PPP) en Europe. L’entreprise
fournit des services remarquables dans le domaine de la
radiologie, des diagnostics, du traitement du cancer et des
laboratoires cliniques dans 170 cliniques. Elle ne cesse de
s’agrandir et assure le traitement dans des domaines où cela
n’était pas encore le cas jusqu’à présent. Cela a été rendu
possible grâce à des solutions comme le Health Cloud et la
plateforme d’analyse DoseWatch™.
Ce que la technologie numérique a apporté aux soins de santé
est la séparation de l’acquisition d’images de l’interprétation
des images. Cela signifie que, dans un environnement
hospitalier, une image IRM peut être acquise sans que le
médecin qui interprète l’image et pose le diagnostic soit
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
La santé digitale
En savoir plus sur Minds+Machines et d’autres
nouveautés GE sur :
http://www.gereports.com
obligatoirement présent. En créant un lien avec le cloud, ils ont
accès à l’image partout dans le monde.
« Des radiologues de différents pays travaillent sur des hubs
numériques, » a déclaré Moulavasilis, « ils y reçoivent un
certain nombre d’images cliniques sur la base de leur expertise
médicale spécifique. Ils sont ainsi plus productifs et ils peuvent
fournir une expertise de haut niveau dans des domaines où
celle-ci aurait sinon été plutôt rare. »
Le rôle des soins de santé numériques, allant de la
télémédecine aux EMD, aidera à démocratiser l’accès aux soins
et à l’équilibrer en Europe. Certaines parties de la zone, surtout
en Europe de l’Est, se débattent déjà depuis des années avec
un manque de professionnels de santé. « Beaucoup d’entre
eux émigrent après leur formation, » a ajouté M. Moulavasilis.
« En travaillant de manière numérique, nous pouvons
maintenir des professionnels médicaux dans leur propre
pays en leur offrant un excellent lieu de travail en utilisant
une technologie exceptionnelle. Et la technologie ne cesse
de s’améliorer : Affidea a travaillé au développement de la
reconnaissance vocale dans presque toutes les langues, afin
d’aider les médecins de toute l’Europe à franchir la barrière
des langues et à équilibrer encore plus l’accès à une expertise
médicale hautement qualifiée. »
Les outils numériques améliorent non seulement la
manière par laquelle les soins de santé fonctionnent, mais
également la qualité du travail du radiologue. Il est désormais
universalement reconnu que les rayons X des scanners CT
doivent être surveillés chez les patients qui doivent subir
différents scanners. Sans des solutions numériques, il serait
impossible de conserver le dosage de rayons d’un patient
entre différents scanners. « La plupart des scanners CT
dans notre réseau sont reliés au système GE, » déclare M.
Moulavasilis. « Ils travaillent avec DoseWatch, la plateforme
d’analyse, et en outre, nous relions un processus qui permet
aux médecins d’être alertés dès que le rayonement dépasse
un niveau déterminé. »
En analysant les données d’environ 60 000 scanners CT par
mois, les médecins sont désormais en mesure de sélectionner
les bons protocoles, de façon à obtenir la meilleure qualité
d’images avec un niveau de rayonnement le plus bas possible,
conformément au concept ALARA (As Low As Reasonably
Achievable ; le plus faible que raisonnablement possible).
« Il s’agit d’un projet pan-européen qui a fourni d’importants
résultats dans de nombreux pays, » fait remarquer M.
Moulavasilis.
Comme pour tous les systèmes informatiques, la sécurité est
la priorité absolue. Dans le monde actuel, les cyberattaques
et les brèches dans la sécurité sont une réelle menace pour
les données sensibles qui sont recueillies chaque jour par les
services d’aide médicale.
« Nous traitons 4,4 millions de patients par an, » a déclaré
M. Moulavasilis. « Nous possédons de grandes quantités de
données sur nos serveurs en Europe. Nous avons développé
une stratégie pour nous préparer à cette révolution numérique
et avons investi des sommes considérables pour sécuriser
ces données. Donc, bien que jusqu’à aujourd’hui, nous n’ayons
jamais eu d’incidents, nous pensons qu’à l’avenir, dans cette
révolution, la sécurité jouera un rôle dans tout ce que nous
allons faire. La sécurité doit être une priorité absolue et voilà
tout. »
Les progrès dans les technologies numériques offrent
énormément de possibilités pour l’industrie des soins afin
d’obtenir l’efficacité, la fiabilité et un coût abordable qui
sont nécessaires pour fournir des normes de soins bien plus
élevées dans certaines parties de l’Europe où le manque
de professionnels a des conséquences pour l’évolution de
la maladie des patients. Avec des progrès comme le Health
Cloud et DoseWatch, la révolution numérique est un fait
incontestable.
Comme M. Moulavasilis l’a dit lors d’une interview : « La
radiologie est d’après moi une spécialité passionnante ; elle
va mener à des progrès médicaux dans les années à venir. Ces
progrès ouvriront de nouveaux horizons dans les diagnostics
et permettront d’effectuer des diagnostics que nous ne
pouvons pas nous imaginer aujourd’hui. L’interconnectivité
rapprochera l’expertise des patients et améliorera la
communication entre le patient et le médecin. Les progrès
dans le domaine informatique ne feront pas tant diminuer
les besoins en radiologues, mais feront surtout augmenter la
productivité des radiologues. »
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
11
Ils partagent leur expérience
« DoseWatch a de nouveau aiguisé
notre sens des responsabilités. »
Le service de radiologie de l’AZ Saint-Jean à Bruges utilise depuis une bonne
année maintenant DoseWatch™ afin de surveiller l’exposition aux rayons et
les doses de produits de contraste des patients. Le Dr. Kris Van de Moortele
est un utilisateur satisfait.
Remerciements :
Kris Van De Moortele
AZ Saint – Jean Bruges – Oostende av
Campus Brugge
Ruddershove 10
8000 Brugge
Pourquoi la gestion des doses de
produits de contraste est importante
pour vous ?
système permet en effet de mesurer,
d’enregistrer et d’analyser toutes les
données avec précision.
Dans le service CT, il existe deux risques
de santé importants pour les patients.
D’une part, vous avez l’exposition aux
rayons X, d’autre part, il y a l’injection
du produit de contraste. Surtout pour
les patients plus âgés, le liquide de
contraste représente un risque accru
parce que la fonction rénale diminue
avec l’âge. Il est donc important de
surveiller la quantité de produits de
contraste administrée afin d’assurer la
sécurité de nos patients
Qu’est-ce qui vous a poussé à faire
appel à cette technologie ?
Avant DoseWatch, comment la dose
de produit de contraste était-elle
mesurée ?
Cela ne se faisait en réalité quasiment
pas. En Belgique, ce n’est d’ailleurs pas
obligatoire. Cette année, nous allons
pour la première fois déclarer auprès de
l’Agence fédérale de contrôle nucléaire,
l’AFCN, si un produit de contraste a
été administré ou non. La quantité
n’est pas demandée. Je suis toutefois
persuadé qu’à l’avenir, nous devrons
également transmettre ces données. Le
12
Les techniciens, radiologues et médecins
traitants doivent prendre encore plus
conscience de l’utilisation des produits
de contraste. J’étais persuadé que le
système pouvait nous y aider. La règle
à l’hôpital était d’administrer moins de
produits de contraste aux personnes
de plus de 75 ans. Il était quasiment
impossible de vérifier si cette directive
était suivie. Il semble maintenant que
cela se faisait en effet dans 74% des
cas.1 Ce n’est pas un mauvais résultat,
mais il existe donc encore une marge
d’amélioration.
Quels sont selon vous les principaux
avantages ?
Lorsque le patient est connu dans le
système comme souffrant d’une allergie
aux produits de contraste ou d’une
fonction rénale diminuée, le technicien
en est désormais automatiquement
informé. Un deuxième avantage est que
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company 1) Résultats basés sur des études réalisées à l’AZ Saint-Jean de Bruges
Ils partagent leur expérience
la dose cumulée est calculée pour toutes les injections de
produits de contraste pour les quatorze derniers jours. Cela
nous permet de reporter un examen non urgent de cinq jours.
Cela suffit pour récupérer les fonctions rénales. Je suis sûr que
nous pourrons ainsi éviter plusieurs dialyses rénales.
la qualité des images. Une première étude limitée semble
démontrer que la coloration dans les organes est plus stable et
plus constante.
Quelle a été l’effet sur le flux de travail interne ?
Celle-ci était optimale. Avec GE, nous avons répertorié toutes
les données et avons réalisé des schémas synoptiques. Il
a ainsi été possible de détecter des erreurs. Entre-temps,
nous avons apporté les modifications nécessaires. Nous
devons toutefois rester très vigilants. Un des défis consiste
à réunir toutes les injections de produits de contraste de
tous les services à l’hôpital. Cela nécessite une concertation
supplémentaire et influencera notre manière de travailler et de
penser. Le patient ne pourra en tirer que des bénéfices.
Celui-ci a été plutôt minime. Ces derniers temps, nous
nous étions déjà posés des questions sur notre utilisation
de produits de contraste. Notre sens des responsabilités
a maintenant de nouveau été aiguisé, surtout auprès des
techniciens qui ne travaillent que de temps en temps avec le
CT et qui sont moins familiarisés avec nos règles. Après une
première évaluation, nous avons déjà constaté une légère
baisse de notre consommation de produits de contraste. Les
alertes automatiques nous font également gagner bien du
temps.
Quelles sont vos constatations ou recommandations
pour vos collègues ?
Je trouve que c’est un système très utile. Si nous pouvons
ainsi réduire notre consommation de produits de contraste,
cela nous permettra de faire de petites économies, ce qui est
toujours le bienvenu. Nous enregistrons principalement des
bénéfices au niveau de la sécurité du patient. Cela devient
un critère important pour l’accréditation des hôpitaux et de
ce point de vue, l’investissement en vaut la chandelle. Il faut
reconnaître que cela a un certain coût, sans toutefois générer
immédiatement des revenus supplémentaires. Cela peut être
un inconvénient pour certains hôpitaux ou services.
Comment avez-vous vécu la collaboration avec GE ?
GE Healthcare
When the fit is right, it shows.
Introducing DoseWatch for diagnostic imaging.
The appropriate radiation dosage is essential for
diagnostic imaging practices, for each patient and
every exam received over time. DoseWatch enables
you to monitor and manage radiation dose across
your entire system—so you can reduce variation
between technologists, manage risk, streamline
reporting, and help ensure quality imaging
at the lowest dose possible. The right fit.
Learn more: doseoptimization.gehealthcare.com
Quelle est la prochaine étape dans le projet ?
À l’avenir, nous évoluerons vers un système où, tant pour
la technique de scanner que pour l’injection des produits
de contraste, nous adapterons spécifiquement la dose au
patient. Cela se fera en fonction de la morphologie et de la
problématique clinique. De nombreuses variables viennent se
greffer à cela. Avec un programme de calcul, nous franchissons
déjà une première étape. En fonction de la taille et du poids du
patient et de son rythme cardiaque, l’injecteur de produit de
contraste fait un calcul et propose une quantité de liquide de
contraste qui peut être injectée pour un examen déterminé.
Les injections adaptées au patient sont l’avenir. Nous vérifions
actuellement s’il y a un impact sur notre consommation totale
de produits de contraste. Nous évaluons aussi si cela influence
©2016
Electric
Company
– All rights
reserved.
DoseWatch,
GE and GEGE
Monogram
are trademarks
General Electric
Company.Electric
GE Healthcare,
a division of General Electric Company
©2013General
General
Electric
Company
– All rights
reserved.
DoseWatch,
and GE Monogram
areoftrademarks
of General
Company.
GE Healthcare, a division of General Electric Company
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
13
Changer l’expérience de la mammographie
avec une conception réfléchie
Productinformatie
Senographe Pristina
TM
Chez GE Healthcare, nous croyons qu’il est temps d’améliorer l’expérience en mammographie.
En collaboration avec les radiologues, les techniciens et les patients, nous avons créé une plateforme de mammographie qui
répond à leurs besoins spécifiques – mettre les patients à l’aise, faciliter le travail des techniciens et soutenir les radiologues afin de
diagnostiquer avec plus de confiance. Le résultat de notre processus complet de conception est le Senographe Pristina.
gehealthcare.com/pristina
14
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Dimension humaine
Comment les Jeux olympiques vont permettre
d’améliorer les soins de santé au Brésil
Le Brésil a accueilli l’un des plus grand évènement
sportif de la décennie : les Jeux olympiques de Rio
2016. Les préparatifs pour cet évènement ne sont pas
comparables à d’autres Jeux olympiques quels qu’ils
soient : des appareils médicaux de pointe installés dans
des polycliniques futuristes ont mis la barre plus haut en
matière d’excellence clinique que jamais auparavant.
Mais qu’en restera-t-il après la fête ? Que se passera-t-il avec
les appareils médicaux high-tech qui sont utilisés pour soigner
les athlètes de haut niveau du monde entier une fois que les
athlètes auront récolté leurs médailles, seront rentrés chez
eux et que la ville frémissante de Rio de Janeiro aura retrouvé
son rythme normal ?
Le chef du service médical des Jeux olympiques de Rio, le Dr.
João Grangeiro, est optimiste. Il pense que l’héritage des Jeux
olympiques donnera l’impulsion dont le système de santé
publique a tellement besoin au Brésil. « Même si la polyclinique
elle-même n’est pas un bâtiment permanent, il y a d’autres
héritages qui resteront et qui aideront les patients brésiliens
pendant encore de nombreuses années, » a-t-il déclaré.
Le Souza Aguiar Hospital se trouve au cœur de Rio. C’est le
deuxième plus important centre de services d’urgence en
Amérique latine et l’hôpital de soins traumatiques le plus
fréquenté à Rio. Il ne compte que 600 lits, mais reçoit chaque
mois plus de 7 500 patients.
GE Healthcare veille à ce que l’héritage médical des Jeux
olympiques soit utilisé des manières suivantes : Plus de 2
millions de dollars en nouveaux appareils médicaux seront
donnés à Souza Aguiar, dont quatre bras chirurgicaux
robotisés, six moniteurs chirurgicaux, six appareils
d’anesthésie, trois systèmes de radiographie, un scanner CT,
trois appareils d’échographie et des logiciels pour enregistrer
et gérer les examens des patients en toute sécurité.
Plus concrètement, les bras chirurgicaux aideront les
médecins à réaliser plus d’opérations et à réduire les temps
d’attente, les appareils d’imagerie doubleront le nombre
de scans CT, d’échographies et de radiographies réalisés et
permettront de les réaliser avec moins de rayons, les appareils
d’anesthésie et moniteurs chirurgicaux aideront à réduire la
durée de séjour des patients à l’hôpital de pas moins de deux
jours en optimisant les doses d’anesthésie par patient.
Selon Daurio Speranzini Jr., président de GE Healthcare
en Amérique latine, cette technologie offrira au Brésil des
équipements médicaux parmi les plus avancés au monde. Et il
fait son entrée dans le monde médical brésilien à un moment
crucial : le pays est sous le coup d’une crise financière et
prévoit cette année un énorme afflux de touristes compte tenu
des Jeux olympiques.
« Nous espérons notamment aider l’hôpital à raccourcir les
temps d’attente, tant pour l’imagerie de diagnostic que pour
la chirurgie, » a ajouté M. Speranzini. « Étant donné qu’il s’agit
d’une donation à un centre traumatique de référence, la
disponibilité des appareils comme les bras chirurgicaux, les
moniteurs d’anesthésie et les moniteurs à la pointe du progrès
est extrêmement importante tant pour des interventions très
complexes que pour une chirurgie invasive minimale. »
« Cela représente une grande avancée technique et logistique
qui mènera à une réduction des temps de soin et d’exposition
aux rayons X. Nous travaillerons ainsi de manière plus efficace
et fournirons une plus haute qualité de service à la population,
» a déclaré le Dr. Antonio Araújo de Costa, directeur du Souza
Aguiar Hospital.
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
15
La transformation numérique
Roland Teixeira (CEO GE Benelux) :
« Le numérique nous réinvente »
Le Groupe GE se concentre
sur trois activités principales :
l’énergie, la santé et la mobilité.
« Ces trois métiers historiques
sont bouleversés par une
lame de fond : l’explosion des
données dans l’industrie »,
explique Roland Teixeira, CEO
de GE Benelux.
« La transformation numérique
est devenue la priorité de notre
entreprise. »
Photo: Roland Teixeira de Mattos, MRICS
« Le numérique transforme radicalement
l’industrie », commence Roland Teixeira,
CEO de GE Benelux. « GE investit
donc massivement depuis 2011 dans
l’internet industriel. Nous multiplions
les capteurs dans nos machines et nous
utilisons ces masses de données pour
permettre à nos clients de doper leurs
performances. »
Le groupe GE s’est donc lancé dans
un vaste projet de transformation
numérique qui touche toutes ses
activités. « Le digital n’est pas une
nouveauté pour nous, nous élaborons
des logiciels depuis très longtemps.
Mais nous voulons aller beaucoup plus
loin. Nous avons déjà une connaissance
intime de nos machines, qu’il s’agisse
de turbines à gaz, de moteurs d’avion,
d’éoliennes ou d’IRM. Nous maîtrisons
ces technologies dans le détail. Mais
nous devons développer la prédictivité
16
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
de nos machines, les mettre en
connexion, apprendre à mieux les
connaître encore, et surtout, enrichir
le partage d’informations avec les
hommes. »
Une plateforme standardisée
C’est dans cet objectif que GE a conçu
la plateforme Predix. « GE fournit un
environnement Cloud. En effet, à travers
Predix, nous fournissons à nos clients
une série de services uniques qui leur
permettent de modéliser, de mieux
opérer et de mieux gérer leurs actifs. »,
continue Roland Teixeira. « GE a fait le
choix d’une plateforme ouverte, ce qui
accélère les développements et permet
de mobiliser des compétences qui
peuvent être situées chez des clients,
des partenaires de GE ou même, des
concurrents. »
La transformation numérique
En parallèle, l’entreprise veut développer
la capacité des machines à produire
des données. « Aujourd’hui, le nombre
de capteurs sur un moteur d’avion
a considérablement augmenté ces
dernières années, ce qui génère une
quantité de données de plus en plus
importante. »
Les machines elles-mêmes deviendront
plus intelligentes. « Une machine
traditionnelle peut transmettre
une alerte pour signaler que sa
température atteint un seuil critique.
Il faut alors envoyer une équipe de
techniciens pour découvrir l’origine de
ce dysfonctionnement. Aujourd’hui,
elle va analyser la panne et donner des
indications précises pour sa réparation. »
S’y ajoutent tous les avantages de la
maintenance prédictive, rendue possible
par la masse de données récoltées. « Le
temps d’arrêt des équipements diminue
et leur productivité augmente », souligne
Roland Teixeira. « Ainsi, le tube à rayons
X d’un scanner doit être remplacé
après un certain nombre d’heures de
fonctionnement. Auparavant, l’échange
se faisait à intervalle fixe. En intégrant
de l’intelligence dans le scanner, on
pourra déterminer à quelle date précise
il faudra remplacer le tube. L’hôpital
pourra donc s’organiser avec plus de
souplesse. Au fond, l’internet industriel
permet de mieux gérer l’imprévu. »
Dans le secteur des soins de santé, c’est
un atout. Un centre d’imagerie médicale
qui cesse brutalement de fonctionner
a des répercussions sur la gestion des
rendez-vous, les examens à effectuer en
urgence, le bien-être des patients…
À qui appartiennent les données ?
Cette approche ressemblerait-elle à
l’internet des objets, dont on parle
beaucoup actuellement ?
« Il ne faut pas confondre les deux
phénomènes », répond Roland Teixeira.
« La dernière décennie était celle de
l’internet pour la grande consommation,
la prochaine sera celle de l’internet pour
l’industrie. Aujourd’hui, les centrales
électriques, les locomotives, le matériel
médical, etc. sont toutes équipées de
capteurs et produisent une masse
importante de données. L’heure est
venue pour les entreprises industrielles
d’utiliser ces données pour mieux
conduire leurs activités. Si votre machine
à café vous fait défaut le matin, le pire
que vous risquiez, c’est de commencer la
journée de mauvaise humeur. L’internet
industriel concerne des machines
critiques. La panne d’un IRM peut
avoir des conséquences incalculables.
Ne parlons pas d’un moteur d’avion…
Ces pourquoi les capteurs que nous
y installons nous permettent de faire
de la maintenance prédictive et ainsi
réparer les pannes avant même qu’elles
ne se produisent». L’autre différence
fondamentale avec l’internet des objets
a trait aux données. « Si votre cafetière
est connectée à internet, vous ne savez
pas exactement ce que le fabricant fera
des informations qu’elle lui transmet.
Dans l’internet industriel, c’est tout
le contraire. En plus d’exigences de
sécurité draconiennes, les informations
sont soumises à une discussion avec le
client. Seront-elles conservées et gérées
par GE ? L’utilisateur les gardera-t-il en
exclusivité ? Seront-elles stockées dans
le cloud ? Ici, c’est le client qui détient
le pouvoir ; en effet, Predix peut être
installé chez des fournisseurs externes
de services cloud, comme Amazon, ou
dans nos propres data centers. »
Dans le top trois des concepteurs de
logiciels
L’ensemble de ces connaissances favorise
bien sûr les capacités d’innovation
et ouvre de nouvelles perspectives.
L’analyse de toutes ces données qui
seront recueillies en volumes de plus en
plus importants est décisive. « Elle nous
offre des opportunités fantastiques.
Pensez aux IRM cardiaques. Les images
peuvent être envoyées dans le Cloud
- en respectant les règles locales de la
protection des données personnelles
- puis être soumises à différents
traitements complexes avant d’être
commentées, affinées, par des équipes
d’experts internationaux. »
GE aborde donc une nouvelle phase de
son existence. « Nous créons le mariage
de deux cultures, celle d’un constructeur
de machines et celle d’un spécialiste
du numérique. Notre ambition est
d’entrer dans le top trois mondial des
concepteurs de logiciels.
Mais au fond, il ne s’agit de rien d’autre
que de mettre en œuvre une qualité
essentielle de l’ADN de GE : celle qui nous
pousse à toujours nous réinventer. »
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
17
Par en pour nos clients
La Communauté GE Cares
Déclencher le pouvoir de l’intelligence collective :
• Un outil conçu par GE à l’usage exclusif de sa clientèle et
soutenu par des radiologues et radiologistes.
• Il s’agit d’une communauté où plus vous contribuez, plus
vous recevez en échange.
• C’est un endroit où vous trouverez tout ce dont vous avez
besoin pour parvenir à l’excellence clinique et offrir de
meilleurs soins à vos patients.
APPRENDRE
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aux principaux leaders
de nouvelles compétences et
tirer le maximum de vos produits d’opinions, selon leurs
spécialités et localisations et
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voir ce qu’ils publient.
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vos informations avec
d’autres professionnels,
publier, construire votre
expertise et votre réseau.
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professionnels, découvrir
ce qu’il se passe dans votre
secteur.
Rejoignez la Communauté GE Cares sur GECARES.COM
Comment s’inscrire?
18
1
Munissez-vous de votre identifiant système.
(numéro qui figure sur vos consoles et sur vos systèmes, et avec lequel vous contactez GE support).
Rendez-vous sur le site GECARES.COM
2
Remplissez les champs pour compléter votre inscription et validez.
3
Réceptionnez le message confirmant votre inscription sur votre adresse email et activez votre
compte.
4
Vous faites maintenant partie de la communauté. Vous pouvez ainsi compléter votre profil et
profiter pleinement de la Communauté GE Cares.
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Les dernières actualités de GE
SIGNA™ Pioneer au CH Glorieux
Depuis juin, l’AZ Glorieux de Ronse est l’heureux propriétaire
d’un nouveau IRM. L’hôpital est fier et très content de son
nouveau joyau, le SIGNA Pioneer de GE Healthcare.
Le SIGNA Pioneer est le tout dernier IRM 3T facile à l’emploi et
multi-usage produit par GE. Cet IRM offre non seulement
d’excellentes images aux médecins mais, en plus, il est ergonomique pour l’utilisateur et confortable pour le patient.
Voir également la vidéo : https://vimeo.com/173585139
Photo: Les docteurs Didier Fonck et Bernard Floré devant l’IRM.
#Yes2Belgium
Le 22 juin, l’équipe de direction de GE Benelux a
participé à l’événement #Yes2Belgium organisé par
la chambre de commerce américaine en Belgique,
l’AmCham Belgium en collaboration avec dix autres
chambres de commerce étrangères, événement qui a
vu la présence du premier ministre Charles Michel et
celle de la communauté internationale des affaires.
Photo : Premier Ministre Charles Michel , CEO GE Benelux Roland Teixeira
et General Manager GE Healthcare Benelux Marie-Caroline du Reau.
Après une brève intervention du premier ministre, les
CEO et autres cadres dirigeants issus d’entreprises
ayant des investissements importants et une forte
présence en Belgique ont participé à une table ronde,
animée par Etienne De Callataÿ, celle-ci a été suivie
d’un cocktail-networking
Visitez notre site web !
Vous retrouverez sur ce site les dernières informations sur
nos produits, nos services, nos actualités locales et nos
événements ainsi que nos coordonnées.
www3.gehealthcare.be/fr-be
www3.gehealthcare.be/nl-be
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
19
Zij delen hun ervaringen
INVITATION
GE Healthcare Symposium
Where innovation meets the patient
October 5th - 2016
Jaarbeurs | MeetUp | Utrecht | The Netherlands
GE Healthcare has the pleasure to
invite you to our symposium
Where innovation
meets the patient
During the parallel session
renowned (inter)national speakers
from medical science and industry
will present their experiences with:
Computed Tomography
Mammography & Ultrasound
Magnetic Resonance Imaging
Molecular Hybrid imaging.
Confirm your participation today!
For more info:
http://tinyurl.com/GE-symposium
20
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Les dernières actualités de GE
Date - Evénement - Emplacement
5 oct • Where Innovation meets the patient Symposium • Utrecht
6 - 7 oct • 10th Belgium Heart Rhythm Meeting • Zaventem
8 oct • Vlaamse Cathlab vereniging symposium • Mechelen
8 oct • 16th BARA annual meeting • Brussels
15 oct • Belgium Vascular Access Network symposium • Affligem
13 – 17 oct •JFR 2016 • Paris
25 - 26 oct • MRI Protocol Optimization workshop• GE Healthcare Diegem
7-8 nov • AW VS7 workshop (NL) • GE Healthcare Diegem
9-10 nov • AW VS7 workshop (FR) • GE Healthcare Diegem
19 nov • BSR annual meeting • Brussel
24 – 25 nov • Xeleris workshop (NL) • GE Healthcare Diegem
29 – 30 nov • Xeleris workshop (FR) • GE Healthcare Diegem
27 nov – 2 dec • RSNA 2016 • Chicago
Cette année encore, GE Healthcare Belgique organise
différents workshops pour ses clients.
Pendant ces workshops qui rencontrent un vif succès,
nous approfondissons des sujets spécifiques ainsi que les
applications cliniques.
Les participants ont accès aux postes de travail où, avec
notre équipe de spécialistes d’application, ils peuvent
étudier différents cas cliniques et acquérir une expérience
avec les applications logicielles.
Pour plus d’informations sur nos workshops 2016 : voir le
calendrier des évènements ci-dessus.
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
21
Les dernières actualités de GE
@Live Expert Webinars
Live Expert webinaires offre des lectures clinique et technique d’une,
heure, depuis une connexion internet sécurisée.
Vous pouvez participé facilement et gratuitement à une des sessions afin
d’agrandir votre expertise clinique dans un sujet spécifique.
Visionner ici le programme complet @LiveExpert webinaires pour tous les
différents sujets en radiologie dans les différentes langues :
http://tinyurl.com/GE-formation.
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un numéro ?
Vous n’avez pas reçu les versions
précédentes du “GE Healthcare Info” ?
Envoyez un e-mail à l’adresse
[email protected] et recevez
votre exemplaire.
Vous pouvez également nous
contacter si vous souhaitez
apporter votre contribution à l’un de
nos prochains numéros.
22
GE Healthcare Info | No 4 - 2016 | TM: Marque déposée de General Electric Company
Contacts utiles
GE Healthcare
GE Healthcare SPRL
Kouterveldstraat 20
1831 Diegem
België
Tél.: +32 (0)2 719 73 11
Fax: +32 (0)2 719 73 59
Email: [email protected]
Centre d’appels (Imagerie et ultrasons)
BE/NL:
Tél.:+32 (0)2 626 38 38
BE/FR:
Tél.:+32 (0)2 626 38 39
LUX:
Tél.:+8002 29 73
Email:[email protected]
Centre d’appels (Life Sciences Core Imaging)
BE/NL:
Tél.:+0800 38 997
BE/FR:
Tél.:+0800 49 618
LUX:
Tél.:+0800 26 613
Ventes
Life Sciences Core Imaging
Healthcare Systems:
Tél.:+32 (0)2 719 74 10
Tél.:+32 (0)2 719 73 62
Distributeurs
Amplificateurs d’image chirurgicaux Life Care Solutions
Medvison Healthcare
Acertys Healthcare NV
Oeyvaersbosch 12
Oeyvaersbosch 12
2630 Aartselaar
2630 Aartselaar
Tel.: +32 (0)3 870 11 44
Tél.: +32 (0)3 870 11 11
Fax: +32 (0)3 870 11 45
Fax: +32 (0)3 870 11 12
[email protected]@acertys.com
GE Healthcare, Life Siences
GE Healthcare
Life Sciences
Kouterveldstraat 20
1831 Diegem, België
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www.gelifesciences.com
Tél. (0800) 82 82 82 2 Info produits
Tél. (0800) 82 82 82 3 Service technique
Tél. (0800) 82 82 82 1 Commandes
Fax. (0800) 82 82 82 4
Pour plus d’information: www3.gehealthcare.be/fr-be
GE Healthcare Info | No 4 - 2016
23
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des sujets locaux. Faites-nous savoir par fax ou e-mail quelles informations vous désirez
recevoir. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.
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Vous pouvez également remplir le formulaire en ligne: http://invent.ge/1sEe53A.
OUI!
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Nom:
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E-mail: _____________________________________________________________
Hôpital: _____________________________________________________________
Fonction:_____________________________________________________________
Modalités
 Densitométrie
 Imagerie chirurgicale
 CT
 Cardiologie diagnostique
 Healthcare IT: Cardiologie
 Healthcare IT: Centricity Soins intensifs
 Healthcare IT: Pathologie Numérique
 Healthcare IT: SIR/PACS/Archivage/XDS
 Solutions interventionelles
 Mammographie
 Imagerie moléculaire
 IRM
 TEP - TEP/CT - TEP/IRM
 Radiographie
 Services après vente
 Echographie - Gynécologie
 Echographie - Radiologie
 Echographie - Cardiologie
 Echographie - Géneral
 Solutions de gestion d’actifs
Information
 Des Magazines, Publications et E-newsletters
 Des programmes d’entraînement technique
 Des entraînements d’applications et des journées d’utilisateurs
 Des congrès et des événements
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