Dentiste

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Ordonnance de Prévention
Cabinet dentaire
• RISQUE INFECTIEUX / EXPOSITION AU SANG :
Exposition aux agents infectieux :
PRINCIPAUX
RISQUES
PROFESSION
NELS
-Bio aérosols en suspension dans l’air ou projection de particules biologiques (virus ++, bactéries,
champignons…), se trouvant dans la bouche du patient lors de nettoyages dentaires, soins, chirurgie (instruments
dynamiques : seringue air/eau, détartreur ultrasonique…)
infections*, sensibilisation asthme, rhinite, irritation oculaire, maux de gorge …
* S. pneumoniae, streptocoque du groupe A, staphylocoque doré, Haemophilus influenzae, méningocoque,
infections à Candida albicans, rubéole, varicelle, grippe, infections à adénovirus, herpes virus, hépatite B,
tuberculose, et autres infections…
-Bio aérosols dans l’eau des unités dentaires (stagnation de l’eau dans les tubulures des unités dentaires
biofilm
(croissance d’une forte population microbienne : plus de 1 million de bactéries/ml).
Ex : legionella spp (pathogène retrouvé dans 25% des unités dentaires), mycobacterium spp (présente dans 60 à
100% des unités dentaires)…
Légionellose responsable de 2 à 15% de pneumonies / Mycobactérioses et alvéolites…
Exposition au sang :
-Contact avec du sang ou un liquide contenant du sang :
lors d’une piqûre (avec un instrument rotatif, aiguille d’anesthésie, instrument pointu…)
sur une plaie, une peau non intacte ou une muqueuse (soins, prises d’empreintes, nettoyage des instruments…)
Hépatites B et C, VIH
Tous les patients doivent être considérés comme potentiellement infectés
• RISQUE CHIMIQUE :
-Produits de nettoyage / décontamination / désinfection / stérilisation / dégraissage et séchage des préparations
dentaires… (ammoniums quaternaires, formaldéhyde, trichlorométhane=chloroforme, glutaraldéhyde, pentanedial,
aldéhyde glutarique)
formol : effet cancérogène pour l’homme (arrêté du 13 juillet 2006).
trichlorométhane : effet cancérogène suspecté
-Produits de soins :
- antiseptiques
- antibiotiques
- anti inflammatoires
- anesthésiants locaux : Lidocaïne (Xylocaïne), Mépivacaïne (Carbocaïne), Prilocaïne (Citanest),
Bupivicaïne (Marcaïne), Articaïne (Septocaïne)…
-Mercure contenu dans les amalgames : vapeurs (le mercure émet des vapeurs dès 0°C) et poussières
intoxication au mercure = hydrargyrisme (cf. tableau de Maladie Professionnelle N°2)
mercure classé reprotoxique de Catégorie 2 (directive 2009/2/EC du 15 janvier 2009)
-Colles, composites, ciments, alginates, plâtre, résines méthacryliques, métaux, céramique, cire, silicone
-Si développement radiologique manuel : hydroquinone dans les révélateurs
hydroquinone effet cancérogène suspecté
• RISQUE D’ALLERGIE ET D’IRRITATION :
-Produits de nettoyage, désinfection (aldéhydes, ammoniums quaternaires, chlorexidine, dérivés iodés)
-Métaux : nickel, chrome, cobalt…
-Antibiotiques et autres produits de soins
-Métacrylates
-Gants latex et gants latex poudrés
responsables de nombreuses dermatoses allergiques
• RISQUE DE BRUIT :
-Mesures réalisées dans des cabinets dentaires : 82-85 dBA :
-Instruments rotatifs, aspiration, détartrage, machines à ultrasons, compresseurs…
Il peut générer : surdité, fatigue auditive, maux de tête, nervosité, troubles respiratoires, troubles de la
tension, réactions digestives…
• RISQUE RAYONNEMENT IONISANT :
-Radiologie dentaire exobuccale et endobuccale (numérique + +)
-Exposition aux rayons X, pour la ou les personne(s) présente(nt) dans la pièce où se trouve le générateur
lors de clichés radiologiques.
Risque de stérilité, mutations génétiques, malformations fœtales, apparitions de cancers…
• RISQUE RAYONNEMENT ULTRA VIOLET :
-Ultraviolets lors de l’utilisation de générateurs pour la polymérisation des composites.
Dangereux à forte dose, à court et long terme :
-pour la peau : « coup de soleil », vieillissement accéléré de la peau, cancer...
-pour les yeux : conjonctivite, cataracte…
• PROBLEMES DE POSTURES :
-Postures contraignantes :
-Flexion du tronc et du cou (soins au fauteuil, préparation du plan de travail, nettoyage…)
-Rotation du tronc et du cou (soins au fauteuil)
-Station debout prolongée (nettoyage, stérilisation, soins au fauteuil …)
-Bras en élévation, sans appui (soins au fauteuil…)
-Position statique (soins au fauteuil)
Risque d’Accident de Travail et de Maladies Professionnelles
(tableau MP N°57)
Ces risques sont donnés à titre indicatif. La liste n’est pas exhaustive.
Ils doivent faire l’objet, dans chaque structure, d’une évaluation pour permettre la rédaction du Document Unique. (Décret du 5 novembre 2001)
• SE PROTEGER :
SIGNES
D’ALERTE
QUELQUES
CONSEILS
• RISQUE INFECTIEUX / EXPOSITION AU SANG :
Les déchets de soins/Liquides biologiques
-Trier et éliminer les déchets : ne jamais recapuchonner une aiguille : Elimination immédiate ! ! ! => utiliser des
conteneurs adaptés => dégager l’aiguille à l’aide des encoches du conteneur => élimination des déchets d’activité
de soins (circuit spécifique).
-Les containers ont une limite de remplissage, en général aux 2/3.
-Nettoyer, désinfecter, des sols / surfaces (y compris fauteuil de soins) … suivre protocole écrit.
-Déposer lors des soins, les instruments souillés, au fur et à mesure dans une solution détergente pour éviter que
les sérosités sang et autre salissure ne sèchent.
-Respecter les règles d'hygiène et d'asepsie préconisées en dentisterie.
-Nettoyer, décontaminer, stériliser les instruments de soins (suivre protocole écrit).
-Pour la stérilisation des dispositifs médicaux utilisés en chirurgie dentaire et en stomatologie, seule l’utilisation
d’un autoclave de classe B est recommandée (les classes N ne traitant pas les corps creux).
Le cycle Prion est recommandé : température de 134°C maintenue pendant 18 minutes.
-Contrôle des stérilisateurs :
Le décret n°2001-1154 du 5 décembre 2001 relatif à l'obligation de maintenance et au contrôle de qualité
des dispositifs médicaux donne obligation à tout exploitant (ou utilisateur) de dispositif médical de
maintenir en bon état de fonctionnement le matériel qu'il utilise et de le soumettre à un contrôle de
qualité.
Les autoclaves dentaires ont en général un volume de 6 à 23 litres. Il est recommandé de les contrôler
tous les 18 mois, même si cette obligation ne s’impose qu’à des autoclaves de pression et de volume
supérieurs (obligatoire si > à 200 bar.L) : réglementation des équipements sous pression arrêté du
15/03/2000. Ces contrôles périodiques doivent être effectués par des organismes habilités : BUREAU
VERITAS, APAVE, NORISKO, SOCOTEC etc...
-Privilégier lors de l’achat des instruments dynamiques, ceux qui répondent à toutes les exigences de sécurité en
matière de nettoyage et de stérilisation
-Privilégier largement l'utilisation de dispositifs médicaux à usage unique
-Se laver les mains entre chaque soin
-Nettoyer et désinfecter les vêtements de travail / les séparer des vêtements non professionnels
-S’assurer de la vaccination du personnel contre l’hépatite B
-Utiliser des gants stériles pour les procédures chirurgicales / des gants non stériles pour les autres soins
Les gants « médicaux » doivent être conformes au marquage CE et à la norme européenne : EN 455
Les gants « de protection » doivent être conformes à la norme EN 374 « gants de protection contre les
produits chimiques et les micro-organismes ».
-Porter des gants lors de la manipulation d’instruments souillés
-Possibilité d’utiliser des gants en nitrile ou néoprène à usage unique, qui offrent une meilleure résistance aux
perforations par rapport aux gants vinyle et latex Exemple : - Microtouch Derma Prene de Ansell (en néoprène),
Nitratex ou MicroTouch Nitrile de Ansell / Nitrilskin de LCH Medical Products / gants nitrile de Labo FH / gants
nitrile de Medic-dent (en nitrile)…
-1 patient = 1 paire de gants / Le port de gants n’exclut pas le lavage des mains.
-Porter des lunettes de protection larges et munies d’un retour sur les cotés.
-Afficher une conduite à tenir en cas d’accident d’exposition au sang dans la zone de nettoyage / stérilisation du
matériel et en salle de soins (à demander à votre médecin du travail).
L’eau :
-Purger l’eau des unités dentaires (faire couler l’eau des canalisations pendant 5 minutes, chaque matin avant le
premier patient et pendant 30 secondes entre chaque patient).
-Equiper chaque canalisation d’un clapet anti-retour.
-Filtrer l’eau permet d’améliorer la qualité microbienne de celle ci. Exemple : utiliser des filtres de 0,22 µm à placer
au plus près de la pièce à main.
-Respecter les recommandations du fournisseur par rapport à l’utilisation, la maintenance et l’entretien de l’unité
dentaire et du dispositif de désinfection, quel que soit le dispositif choisi, permettant de maîtriser la qualité
microbiologique de l’eau.
-Contrôler la qualité de l’eau par des analyses régulières
Seringue air/eau :
-Entre chaque patient, le corps de la seringue air/ eau doit être décontaminé et désinfecté extérieurement à
l’aide d’un détergent-désinfectant. Les embouts doivent être soit à usage unique soit démontables et stérilisés
entre chaque patient.
Le crachoir – robinet - gobelets
-Rincer et désinfecter le crachoir entre chaque patient à l’aide d’un détergent-désinfectant.
-Désinfecter le siphon en fin de journée avec de l’eau de javel.
-Purger le robinet comme indiqué ci-dessus. Il sera ensuite décontaminé et désinfecté extérieurement en même
temps que le crachoir avec un détergent-désinfectant.
-Utiliser des gobelets à usage unique.
-Faire rincer la bouche des patients avant les traitements, diminue de manière significative, la concentration de
bio aérosols dentaires dans l’air.
L’air : les poussières
-Nettoyer les sols avec une serpillière humide.
-Désinfecter les sols et les surfaces.
L’air : les aérosols
-Mettre en place un extracteur d’air (vérification périodique).
-Ventiler le cabinet.
-Equiper d’un couvercle les bacs de décontamination du matériel.
-S’assurer de la vaccination du personnel contre le BCG (en parler avec votre médecin du travail)
-Utiliser les Equipements de Protection Individuelle (EPI) :
Masque respiratoire avec filtre anti aérosols : FFP1 à FFP3* (norme EN149:2001 devient 149:2009
/ norme 14683:2005), pour protéger le soignant contre le risque d’inhalation d’agents infectieux (bio
aérosol). Pensez à bien ajuster le masque pour éviter les fuites au niveau du visage. Il est recommandé de
le remplacer entre chaque patient, à chaque fois qu’il est humide, ou après un geste chirurgical.
Eliminer les masques par la filière des Déchets d’Activité de Soins à Risques Infectieux (DASRI). Exemple :
Masque FFP3 3M 1883
Gants lors des soins
Vêtements de travail
Lunettes de protection
*type de masque en fonction de l’évaluation des risques (type d’agent biologique, tache effectuée…)
• RISQUE CHIMIQUE :
-Afficher une conduite à tenir en cas de projection de produits chimiques (à demander à votre médecin du
travail).
-Se laver les mains après l’utilisation de médicaments ou de produits chimiques.
-Demander à vos fournisseurs les Fiches de Données de Sécurité (FDS) des produits chimiques. Les actualiser
régulièrement. Les transmettre ensuite à votre médecin du travail.
-Sensibiliser le personnel aux nouveaux étiquetages (nouvelle réglementation SGH/CLP).
-Utiliser les EPI (cf. FDS des produits) : Gants de protection indispensable lors de la manipulation de
désinfectants, produits d’entretien, méthacrylates, produits de développement radiologique et tout autre produit
chimique…
Exemple :
-gants nitrile ou néoprène pour les produits de décontamination, produits chimiques…
-gants en néoprène à usage unique pour les métacrylates (Ex : micro Touch Dermaprene de Ansell)
-fixateur et révélateur radiologique gants nitrile épaisseur > 0.38mm et temps de percée > 480mn par
exemple
-Le chef d’établissement doit établir pour chaque salarié une fiche d’exposition pour les CMR (Cancérogène,
Mutagène, toxique pour la Reproduction) et pour les ACD (Agent chimique Dangereux).
Mercure dans les amalgames
-Ventiler les locaux : Les dispositifs d’aspiration doivent prévoir le piégeage des vapeurs de mercure pour ne pas
contaminer l’environnement. Il est recommander d’aérer au moins 5 min /h.
-Mettre sous hotte aspirante toutes les sources fixes de mercure.
-Récupérer les amalgames dentaires (récupérateur par une filière de collecte).
-Privilégier l’utilisation de capsules pré dosées avec triturateur (pas de vrac).
-Travailler au fouloir en bouche ou porte amalgame, avec une aspiration persistante pour réduire la dispersion
des vapeurs de mercure.
-Mesurer régulièrement l’efficacité du système d’aspiration du cabinet ainsi que la concentration atmosphérique
en mercure.
-Fermer les récipients renfermant du mercure.
-Décontaminer le matériel avant stérilisation pour éliminer toute trace d’amalgame.
-Stériliser, au mieux, sous hotte aspirante (pour éviter les vapeurs de mercure).
-Concevoir le cabinet, avec des sols et des murs recouverts d’un matériau lisse, imperméable, facile d’entretien
et remontant jusqu’à 10 cm sur les plinthes. Le mobilier devrait être déplaçable pour faciliter le nettoyage des
locaux.
-Proscrire le chauffage au sol, à air pulsé ou par radiateur soufflant. La T° d’un lieu de travail ne devrait pas
dépasser 20°C.
-Mettre en place des procédures de décontamination en cas de pertes de mercure. En informer les salariés.
-Nettoyer quotidiennement les locaux avec une serpillière humide. L’utilisation d’un aspirateur ordinaire pour le
ménage du cabinet est à proscrire car le mercure aspiré formerait des amalgames avec les parties métalliques
de l’aspirateur qui revaporiserait du mercure au cours des utilisations suivantes.
-Observer des règles d’hygiène telles que le lavage des mains, interdiction de boire, fumer et manger au poste
de travail.
-Ranger les vêtements de travail dans une armoire séparée des vêtements civils afin d’éviter toute
contamination mercurielle.
-Porter des gants à usage unique en nitrile pour tout contact avec les amalgames
-Porter un masque de protection respiratoire dans le cas d’exposition supérieure aux valeurs moyennes
admissibles (pour les poussières de mercure): Masque FFP2 ou FFP3 (suivant l’évaluation des risques)
Ces masques ne protègent pas des vapeurs de mercure.
• RISQUE D’ALLERGIE :
-Ventiler de manière efficace.
-Nettoyer rigoureusement les locaux.
-Possibilité d’utiliser des gants à usage unique sans latex : en nitrile ou néoprène : Ex : Microtouch Derma
Prene de Ansell (en néoprène)…
Ex : Nitratex ou MicroTouch Nitrile de Ansell / Nitrilskin de LCH Medical Products / gants nitrile de Labo FH (en
nitrile)…
-Si vous utilisez des gants en latex, les utiliser de préférence non poudrés, à faible teneur en protéines (réduit le
risque d’allergie).
-Possibilité d’utiliser des gants stériles sans latex Exemple : Derma Prene Iso Touch de Ansell (sans latex, en
polyisoprène synthetique) ; Derma Prene de Ansell (sans latex, en néoprène).
• RISQUE DE BRUIT :
-Diminuer les niveaux sonores, en achetant du matériel émettant le moins de bruit possible (Instruments rotatifs,
ultrasons, compresseurs…).
-Utiliser des bouchons d’oreilles moulés sur-mesure (protections auditives dotées d'un filtre acoustique qui
atténue le bruit sans isoler l'utilisateur).
-Informer et former sur le bruit
• RISQUE DE RAYONNEMENT IONISANT :
-Déclarer tous les appareils de radiologie auprès de la division de l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN).
-Etablir un suivi des installations selon la réglementation.
-Lors de la prise de clichés, le praticien devra :
Soit sortir de la salle dans le cas d’une commande située à l’extérieur ou si la longueur du cordon le
permet (pour la radiologie endobuccale et exobuccale),
Soit, pour la radiologie endobuccale : s’éloigner le plus possible du patient (distance recommandée de
la longueur du cordon : environ 2mètres, en excluant toute présence dan le faisceau direct,
Soit pour la radiologie exobuccale : si la commande se trouver à l’intérieur de la salle de soins, la
placer derrière un paravent plombé ou à minimum 3 mètres du patient.
-Fournir des dosimètres à tous les professionnels exposés.
-La présence du praticien ou de l’assistante dentaire à proximité immédiate du patient n’est
qu’exceptionnellement justifiée (enfants, personnes âgées, handicapés, agités…). Dans ce cas, porter un tablier
de protection d’une épaisseur équivalent à 0.35 mm de plomb
-Tous les chirurgiens-dentistes doivent suivre et valider une formation à la radioprotection des patients. Cette
formation devra être réactualisée tous les dix ans.
-Tous les cabinets dentaires doivent disposer d’une PCR depuis le 1er janvier 2009.
-Tous les personnels susceptibles d’intervenir dans des zones surveillées doivent bénéficier d’une formation à la
radioprotection des travailleurs qui doit être renouvelée au moins tous les trois ans et chaque fois que
nécessaire.
-Les professionnels non salariés doivent dans le cadre du risque de rayonnement ionisant s’inscrire à titre
personnel auprès d’un service de santé au travail.
-Le chef d’établissement doit établir pour chaque salarié une fiche d’exposition.
• RISQUE RAYONNEMENT ULTRA VIOLET :
-Porter de lunettes de protection UV
-Ou utiliser une lampe à photo polymériser équipée d’une protection intégrée contre les rayons ultra violets
• ADOPTER LES BONS GESTES ET POSTURES :
-Stocker les produits lourds à hauteur d’homme.
-Utiliser du matériel d’aide à la manutention si besoin, adapté aux locaux et aux matériaux transportés (chariot à
roulettes…)
-Privilégier l’achat de matériel le plus léger possible (instruments rotatifs…).
-Utiliser un siège adapté à l’activité de chirurgie - exemples (liste non exhaustive) : HAG CAPISCO 8105, HAG
CAPISCO 8106, SIEGE LIA APPUI BASSIN SELLE… (Revêtement lavable).
Cf par exemple :
www.nordicdesign.fr
www.rhsieges.fr
www.equipergo
-Informer les femmes enceintes ou allaitantes des risques professionnels
-Prévenir l’employeur le plus tôt possible de la grossesse.
-Prendre RV avec le médecin du travail, devant toute exposition : au développement radiologique
manuel / agents biologiques /manutention / station debout prolongée / exposition radiologique
/exposition chimique …, afin d’aménager le poste de travail.
GROSSESSE
www.cclin-sudouest.com/recopdf/DENTSO1.PDF
www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/chirurgiens-dentistes/securisezvotre-exercice/radiologie-dentaire-et-radioprotection.html
Site internet INRS : www.inrs.fr
TC 123 Médecine et rayonnements ionisants : fiche d’aide à l’analyse
des risques en radiologie dentaire endobuccale et textes applicables Dossier pour le médecin du travail, dossier medico technique N°117,
1er trimestre 2009
TC 127 Médecine et rayonnements ionisants : fiche d’aide à l’analyse
des risques en radiologie dentaire exobuccale - Dossier pour le
médecin du travail, dossier medico technique N°119, 3ème trimestre
2009
Fiche Pratique de Sécurité ED 118 – Gants de Protection pour les
métiers de la Santé - INRS
www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/infect_chirdentaire/guide.pdf : Guide
de prévention des infections liées aux soins en chirurgie dentaire et
en stomatologie – juillet 2006
« Protection des mains au cabinet dentaire » dossiers - Association
dentaire française
« Evaluation des risques professionnels en cabinet dentaire » dossiers - Association dentaire française
www.cram-alsace-moselle.fr/Prevent/chimha/index.htm : dossier ACD
et CMR (risque chimique)
A.H.I.R.P
2 rue Maria-Gaetana Agnesi – Zone EUROPA - 64000 PAU - Tél : 05 59 27 40 15
www.ahirp64.fr
Pour tous renseignements complémentaires, n’hésitez pas à contacter votre Médecin du Travail. Document non contractuel.
Révision : 10 mars 2010
Date de révision : 10 mars 2010
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