Droit des femmes dans l`islam

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Droit des femmes dans l’islam
dimanche 23 mai 2010
- Les musulmans, les hadiths, la Souna, la Sira, le Coran, Mahomet, etc
Droit des femmes dans l’islam
La majorité des musulmans, ne comprennent et ne connaissent rien à l’islam. Ils apprennent sans
comprendre, phonétiquement, les sourates sans savoir de quoi elles parlent.
Nous nous en sommes rendu compte, en mettant dans notre sondage un extrait tiré de la Souna, des
musulmans, sans doute de bonne foi, nous ont posé la question, pensant sans doute nous
embarrasser, alors que nous n’y sommes pour rien.
Dans Sahîh de Muslim, hadith 114 : Aïcha raconte : « J’avais six ans lorsque le Prophète
m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi ». Puis elle dit :
« Nous nous rendîmes à Médine. J’avais eu la fièvre pendant un mois, et avais perdu mes cheveux ;
mais ils repoussèrent abondamment et m’arrivèrent jusqu’aux épaules. Ma mère, Umm Rûmân, vint
me trouver tandis que j’étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. Elle m’appela et je
me rendis à son appel sans savoir ce qu’elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester
sur la porte de la maison, jusqu’à ce que ma respiration haletante se fût calmée. Elle me fit ensuite
entrer dans la maison où se trouvaient des femmes des ’Ansâr qui me dirent : « A toi le bonheur, la
bénédiction et la meilleure fortune ! » Ma mère m’ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent
le visage et la tête ; et se mirent à me parer. J’avais à peine fini, que l’Envoyé d’Allah entra,
lorsqu’il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains. »
Il est évident que nous n’allons pas reproduire ici tous les hadiths concernant le « mariage » de
Aïcha qui avait 9 ans, le jour de sa nuit de noces, alors que Mahomet en avait 53. Nous ne
qualifierons point ce genre de comportement, nous laissons le lecteur libre de le faire.
Qu’on ne vienne pas nous dire, comme nous l’avons malheureusement entendu, que cette pauvre
gamine était consentante !
Sur ce nous voudrions aborder la condition de la femme en islam, car souvent à lire les réactions,
les musulmanes sont plus virulentes que les musulmans, à croire qu’elles se complaisent dans leur
condition de mineur à vie ou alors elles ne sont pas informées, ce que nous pouvons comprendre ;
quoique il y a encore de nos jours des thuriféraires du marquis de Sade !
Voici quelques sourates et versets qui ouvriront les yeux de celles qui ne veulent pas comprendre :
« Les hommes ont autorité sur les femmes en vertu de la préférence qu’Allah leur a accordée sur
elles et de ce qu’ils dépensent sur leurs biens au profit de ces dernières. » [1]
Pour expliquer ce postulat auquel est conférée une référence dogmatique, Ibn Kathir (1300-1373),
juriste et traditionniste très réputé, mais surtout disciple du théologien et jurisconsulte Ibn
Taymiya [2], note, sans donner d’explications, que « les hommes sont supérieurs aux femmes et
qu’un homme est de loin mieux qu’une femme. » [3]
D’autres commentateurs, juristes ou érudits célèbres, comme Razi, [4] Baydawi, [5],
Zamakhshari, [6] et Tabari, [7] refusent de commenter ce postulat de peur que la parole d’Allah ne
se trouve altérée.
« Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles » [8]
Cette inégalité de répartition est imposée par le Coran en matière d’héritage.
Les commentateurs, anciens et modernes, lui reconnaissent des motivations liées à la supériorité
« multidimensionnelle » de l’homme.
Razi souligne : « L’homme est plus parfait que la femme dans la créativité, l’intelligence et les
questions religieuses, car il est plus habile d’être juge ou imâm. De même, le témoignage d’un seul
homme équivaut à celui de deux femmes. Celui à qui on attribue de grandes responsabilités, jouit,
en contrepartie, de privilèges de taille. En effet, la femme est un être doué d’une déficience mentale
et d’envies excessives. Si on lui donne beaucoup d’argent, elle se trouvera à l’origine d’une
corruption considérable » [9]. Et d’ajouter : « Si le mâle est mentionné en premier lieu dans le
verset 4,11, c’est parce qu’il est mieux qu’une femelle. [10] ».
Il ajoute qu’une telle supériorité est due à la position des hommes, très élevée, notamment dans : «
le savoir et la puissance, mais surtout parce que l’homme offre à son épouse une dot et se charge de
ses dépenses » [11].
Ce verset n’échappe pas au commentaire de Tuffaha qui souligne : « Allah a établi la supériorité
des hommes sur les femmes dans le verset 4,11, ce qui empêche toute égalité entre eux. L’homme
est supérieur à la femme de par son intellect et sa haute compétence à gérer les affaires et à
l’entretenir financièrement ». [12]
Il est interdit à un musulman de contester ou de dénoncer cette inégalité, en matière d’héritage, sous
peine d’être inculpé d’apostasie.
Déficiences intellectuelles des femmes musulmanes
L’imam Boukhari [13], dont les oulama [14] considèrent les hadiths qu’il a compilés comme « le
recueil le plus authentique après le Coran », rapporte, sous forme d’entretien, un dialogue entre
Mahomet et un groupe de femmes.
« Il leur déclare : « Je n’ai vu aucune personne plus déficiente en intelligence et en religion que
vous. Un homme prudent et sensible pourrait être détourné du droit chemin par l’une d’entre vous.
« Les femmes l’interrogent : « – Ô envoyé d’Allah ! Où est la déficience dans notre religion et notre
intelligence ?
« – Ne savez-vous pas, leur répond-il, que le témoignage de deux femmes est équivalant à celui
d’un
seul
homme ?
« Les
femmes
répliquent
par
l’affirmative.
Mahomet conclut : – Eh bien ! C’est là où réside la déficience de votre intelligence.
« Ensuite il leur demande : – Ne savez-vous pas encore que la femme ne peut ni prier ni jeûner
durant
ses
menstrues ?
« Dès que les femmes lui répondent également par l’affirmative, il leur annonce : – Sachez donc
que cela est inhérent à sa déficience mentale. » [15]
Ce hadith est rapporté dans les deux collections les plus fiables : Sahih Boukhari et Sahih Muslim.
L’autorité de ces auteurs confère à ce hadith le plus haut degré d’authenticité. D’autres auteurs, tels
que Ghazali, Ibn Arabi, Razi, Suyouti, Qortobi, Nawawi et Ibn Kathir, l’ont également approuvé et
commenté.
À ce propos, Al-Bahi al-Khuli, signale que « l’intellect d’une femme ne pourra jamais atteindre le
niveau de celui d’un homme. » [16] Ainsi rejoint-il l’avis d’al Aqqad, auteur d’un ouvrage intitulé
La femme et le Coran (al-Marat wal-Quran). Dans un chapitre, al Aqqad « exclue toute égalité
intellectuelle pouvant exister entre hommes et femmes. » [17]
« Les femmes sont ingrates à l’encontre de leurs époux, comme à l’égard du bien qui leur est fait. Si
vous faites du bien à l’une d’entre elles, mais qu’elle découvre en vous quelque chose de déplaisant,
elle vous dira : je n’ai jamais reçu le moindre bien ». [18]
« Alors que le calife Omar [19] évoquait quelque chose, son épouse lui fait une remarque. Il lui
rappelle aussitôt sa condition : « Sache que tu n’es rien d’autre qu’une poupée. Nous te
convoquerons si nous avons besoin de toi. » [20]
Amr Ibn al-Ass [21], autre calife, approuve en enseignant aux hommes : « Les femmes ne sont que
des jouets, vous n’avez qu’à en choisir ! » [22]
Leur initiateur, Mahomet, la confirme : « La femme n’est qu’un jouet, que celui qui en prend
possession, l’entretienne ». [23].
Nous pensons que cela suffit pour aujourd’hui, nous y reviendrons de temps en temps. Afin que
ceux qui sombrent dans le néant puissent se ressaisir. Tant que l’on suit bêtement un dogme, sans
rien en connaître en se basant simplement sur le ouï-dire et sur la peur du qu’en-dira-t-on, afin de
plaire à ses voisins, sa famille ou au gouvernement qui exige que l’islam soit religion de l’État. La
situation des Kabyles et de la Kabylie ne risque pas de s’améliorer.
Aux Kabyles tout fier de nous répondre que leur mère ou leur grand-mère a du se marier à 10 ou 12
ans, il faut qu’ils sachent que c’est à cause de Mahomet, et que sans lui, nos mères ou nos grandsmères n’auraient pas eu à endurer ce qu’elles ont subies.
Prenez la peine de faire des recherches, en tenant compte de nos sources que nous avons pris la
peine de vous donner et que vous pouvez aisément consulter. Maintenant, si vous vous rendez
compte que vous avez bêtement suivis des préceptes qui sont contre vos idées, humainement
parlant, nous nous dirons que n’avons pas du subir des migraines pour rien.
En notre qualité de femme avec tout ce que nous avons lu et malheureusement constaté sur la
condition de la femme en islam, il y a de quoi cauchemarder, alors je remercie ceux qui critiquent
tout ce que nous faisons d’aller voir ailleurs si nous y sommes. Y’en a marre de se faire insulter
quoi qu’on fasse, par ceux qui ne font rien.
Geneviève Harland
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