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CHAPITRE 1:DIFFERENTES TECHNIQUES DE
DEPLOIEMENT D’APPLICATIONS
I)
Introduction
Le but de ce chapitre est d'introduire les notions
d'architecture un, deux et trois tiers afin de mieux faciliter la
compréhension du MVC . Il apparaît de plus en plus fréquent
que dans le monde de l'information, on définisse les
applications comme étant distribuées. Elles doivent leur nom
au fait que pour fonctionner elles doivent interagir avec plus
d'un ordinateur généralement en communiquant à travers un
réseau (local ou distant). La plupart des applications peuvent
être définies comme étant des applications n-tiers. C'est en
fait un type d'application client-serveur.
De ce fait il existe donc trois niveau d’abstraction :

la couche vue, ou présentation : encore appelée IHM,
permet l'interaction de l'application avec l'utilisateur. Cette
couche gère les actions de la souris, du clavier, de l'écran,
la présentation de l'information etc.

la logique application, les traitements : décrivent les
tâches à réaliser par l'application.

les données : ou plus particulièrement, l'accès aux
données,
regroupent
l'ensemble
des
mécanismes
permettant la gestion des informations stockées par ou
pour l'application.
On imagine bien que ces trois niveaux peuvent être imbriqués
ou répartis entre différentes machines physiques et/ou
virtuelles.
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II)
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Architecture un –tiers
Dans une approche d'application de type un-tiers, les
trois couches sont fortement et intimement liées, et s'exécutent
sur la même machine. Dans ce cas, on ne peut pas parler
d'architecture client-serveur mais d'informatique centralisée.
Plusieurs avantages lui sont reconnus, dont une grande
facilité d'administration et une haute disponibilité. Aujourd'hui,
il bénéficie d'une large palette d'outils de conception, de
programmation et d'administration ayant atteint un niveau de
maturité et de fiabilité qui lui permettent encore de soutenir la
comparaison avec des solutions nettement plus modernes.
Toutefois l'envoie intégral des données nécessaires à
l'exécution d'une requête fait vite saturer le réseau. Des
techniques existent pour alléger le réseau, mais on arrivera
toujours à une saturation malgré tout. De plus, la cohabitation
de plusieurs moteurs de base de données indépendants
manipulant les mêmes données tend à devenir instable à
l'usage. Il n'est pas rare de rencontrer des conflits lors de la
consultation ou de la modification simultanée par rapport à un
même renseignement par plusieurs utilisateurs. Ces conflits
peuvent altérer l'intégrité des données. Il peut arriver que la
confidentialité des données ne soit plus conservée, c'est aussi
très dangereux.
Ce type de solution est donc à réserver à des applications non
critiques exploitées par de petits groupes de travail.
III)
Architecture deux –tiers
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L'architecture à deux niveaux (aussi appelée architecture 2-tier,
tier signifiant rangée en anglais) caractérise les systèmes
clients/serveurs pour lesquels le client demande une ressource
et le serveur la lui fournit directement, en utilisant ses propres
ressources. Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une
autre application afin de fournir une partie du service. Le
dialogue entre le client et le serveur se résume donc à l'envoi
de requêtes et aux données, en réponse.
Le dialogue client-serveur
Dans ce type de conversation, on distingue donc deux parties :

le client : il provoque le dialogue ;

le serveur : il se contente seulement de répondre aux
requêtes du client.
Limites de l'architecture deux-tiers
L'architecture client-serveur de première génération présente
les inconvénients suivants :

le poste client est fortement sollicité, il devient de plus en
plus complexe et nécessite des mises à jour régulière, ce
qui est contraignant ;
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
le client et le serveur sont assez bruyants, ce qui s'adapte
mal à des bandes passantes étroites ; ce qui cantonne ce
type d'application à des réseaux locaux ;

il est difficile de modifier l'architecture initiale, les
applications supportent donc mal les fortes montées en
charge ;

ce type d'architecture est grandement rigidifié par les
coûts et la complexité de maintenance.
Néanmoins, on peut noter quelques avantages non négligeables
de ce type d'architecture :

elle permet l'utilisation d'une interface utilisateur riche ;

elle a permis
l'utilisateur ;

elle a introduit la notion d'interopérabilité
IV)
l'appropriation
des
applications
par
architecture 3 -tiers
L'architecture trois-tiers, également connue sous le nom
d'architecture deux-tiers de deuxième génération ou clientserveur distribué, sépare l'application en trois niveaux de
services distincts :
1.
Un client, c'est-à-dire l'ordinateur demandeur de
ressources,
équipée
d'une
interface
utilisateur
(généralement un navigateur web) chargée de la
présentation ;
2.
Le serveur d'application (appelé également middleware :
l'ensemble des couches réseau et services logiciels qui
permettent le dialogue entre différents composants d'une
application répartie), chargé de fournir la ressource mais
faisant appel à un autre serveur
3.
Le serveur de données, fournissant
d'application les données dont il a besoin.
au
serveur
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Tous ces niveaux sont totalement indépendants, i.e. ils
présentent des liens faibles, ce qui permet de les répartir sur
plusieurs machines, de ce fait :
Le client léger
Dans l'architecture trois-tiers, on reconnait le poste client. Plus
communément appelé client léger ou Thin Client, par opposition
au client lourd des architectures deux-tiers. Il se contente de
présenter un rendu fidèle, avec, éventuellement, une partie de
logique application permettant une vérification immédiate de la
saisie.
Le service applicatif
Dans une architecture trois-tiers, la logique application
est prise en charge par le serveur HTTP. Ce dernier se retrouve
dans la position du poste client d'une application deux-tiers et
les échanges avec le serveur de données mettent en œuvre les
mécanismes déjà vus dans ce type d'application.Le chapitre suivant
nous montrera comment nous pouvons déployer une application en 3 –tiers cas
du JWS.
CHAPITRE 2 : C’EST QUOI JAVA WEB START
1)
Définition
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Beaucoup de développeurs de sites Web voulaient
construire des interfaces de plus en plus riches. Ils voulaient
pouvoir développer des applications avec toute la puissance
fournie par le côté client de Java, mais sans pour autant
abandonner la facilité de déploiement inhérente aux
applications Web.
Java Web Start est une technologie permettant le
déploiement d'application standalone à travers le réseau,
développée avec la plate forme Java 2. Il permet l'installation
d'une application grâce à un simple clic dans un navigateur. JWS
permet la mise à jour automatique de l'application si une
nouvelle version est disponible sur le serveur et assure une
mise en cache locale des applications pour accélérer leur
réutilisation ultérieure. La sécurité des applications exécutées
est assurée par l'utilisation du bac à sable (sandbox) comme
pour une applet, dès lors pour certaines opérations il est
nécessaire de signer l'application. JWS utilise et implémente
une API et un protocole nommée Java Network Launching
Protocol (JNPL).
Apres avoir créer nos deux fichiers .jar et .jnlp nous
créerons une page web pour la distribution du logiciel.
2) Obtention du logiciel Java Web Start
Java Web Start est inclus dans l'environnement d'exécution Java
(JRE) en tant que composant de la version JRE 5.0. Ainsi, lorsque
vous installez JRE, Java Web Start est automatiquement installé.
Le logiciel Java Web Start est lancé automatiquement lorsque
vous téléchargez pour la première fois une application Java à
l'aide de la technologie Java Web Start. Le logiciel Java Web
Start cache (stocke) l'intégralité de l'application sur votre
disque local. Ainsi, tout lancement consécutif est quasi
instantané dans la mesure où toutes les ressources nécessaires
sont déjà disponibles localement. Chaque fois que vous
démarrez l'application, le logiciel Java Web Start vérifie si une
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nouvelle version est disponible sur le site Web de l'application.
Si c'est le cas, il la télécharge et la lance.
3) déploiement du logiciel Java Web Start
Le déploiement permet la distribution du logiciel sur le
poste client. Deux aspects caractérisent le déploiement d’un
logiciel du support permettant de stocker le code binaire et les
ressources, la technique utilisée pour le transport et la mise à
jour. L’API de Java fournit un ensemble de technologies adapté
aux besoins du déploiement Le support se fait directement dans
les fichiers « class » ou dans des fichiers « jar » contenant des
fichiers « class » La technique de transport se fait par la
technologie Java Web Start Le déploiement doit pouvoir
également assurer un niveau de sûreté lors de l’exécution sur le
poste client (autoriser ou pas l'accès aux fichiers du client … ).
L'application doit être packagée dans un fichier jar qui sera
associée sur le serveur à un fichier particulier de lancement.
L'utilisation d'une application via JWS implique la réalisation de
plusieurs étapes :
•Packager l'application dans un fichier jar en le signant si
nécessaire
•Créer le fichier de lancement jnlp .
•Copier les deux fichiers sur le serveur web
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CHAPITRE 3: MISE EN ŒUVRE DE L’APPLICATION
1)
nécessaire
Le développement d’une telle application demande
quelque connaissance dans le domaine du génie logiciel donc
les principales sont :
-langage xml, php, html,javascript,css.
-langage java.
Il nous faut un serveur web, le plus simple qu'il existe
suffit. Apache dans sa version minimale ou IIS sont plus que
suffisants. S'il en existe un en place, il servira à cette tâche.
2)
Mis en œuvre du serveur
si vous utilisez le serveur APACHE :
pour activer la reconnaissance des fichiers .jnlp, il vous
faudra éditer le fichier mime.types. installation classique
sous Windows :
C\Program Files \Apache
Group\Apache2\conf\mime. types
ajouter dans le
fichier la ligne : application/x-java-jnlp_file
jnlp . par contre si c’est un serveur IIS il faut ajouter un
type de fichier fig.
pour configurer le serveur afin qu’il soit à l’écoute
des postes clients :
-ouvrir le fichier
C:\Program Files\Apache Group\apache2\conf\httpd.conf
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- ajouter dans le fichier les lignes
Listen <adresse de ton pc>
Listen 127.0.0.1 :port
3)
Création du fichier JAR
Notre fichier jar de application que nous souhaitons
partager sur le réseau. L'application doit être packagée
sous la forme d'un fichier .jar diminutif de java archive.
4)
Création du fichier JNLP
Pour rendre notre application accessible, il va nous
falloir créer un fichier .JNLP, ce fichier est au format XML,
donc compréhensible.
En voici le code source de celui de notre projet :
Logiciel.jnlp
<?xml version="1.0" encoding="utf-8"?>
<jnlp spec="1.0+"
codebase="http://localhost/prog/"
href="logiciel.jnlp">
<information>
<title>Mon Logiciel </title>
<vendor>Noumessi edson</vendor>
</information>
<resources>
<j2se version="1.5+" />
<jar
href="http://localhost/prog/calculatrice.jar"/>
</resources>
<application-desc mainclass="projet.Lanceur" />
</jnlp>
Explication :
<?xml version="1.0" encoding="utf-8"?>
version : version xml du fichier
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encoding : encodage utilisé
<jnlp spec="1.0+" codebase="http://localhost/jnlp/"
href="alter.jnlp">
spec : version du fichier jnlp
codebase : chemin des fichiers
href : nom complet du fichier jnlp
La balise information contient la description de
l'application.
<title>Mon application</title>
titre de l'application
<vendor>noumessi edson</vendor>
nom du ou des développeurs/vendeurs
<homepage href="http://localhost/jnlp/"/>
site de l'application href : url de l'application, adresse du
site
<description>Alter-SIG</description>
<description kind="short"> calculatrice en Java, technologie de
déploiement
JWS/JNLP
</description>
description de l'application
<j2se version="1.5+">
Spécifiez les caractéristiques nécessaires pour la machine
virtuel java
<jar href="altersig.jar" main="true" download="eager" />
<jar href="data.jar" download="lazy" />
Spécifiez les jars nécessaires pour l'application
href : adresse de l'archive jar
version : version de l'archive
download : eager / lazy : eager veut dire que l'archive
sera téléchargée avant le lancement de l'application, lazy
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qu'elle le sera si necessaire.
Java Web Start peut paraître très simpliste,
détrompez-vous, il y a possibilité de le rendre très
performant et très avantageux ! Aussi bien pour
l'entreprise sur un intranet que pour un développeur seul
qui veut partager ses logiciels sur internet.
Pour mieux comprendre toutes les possibilités de
Java Web Start, veuillez consulter l’annexe1.
5)
Signature de l’archive JAR
La signature d'une archive est très importante, elle
permet de savoir qui a fait l'archive de manière fiable.
C'est une façon de prouver qu'il s'agit bien de votre travail.
C'est une sorte de
signature électronique. Elle va
permettre
à
notre
application
d'avoir
le
droit
d'accéder aux fichiers systèmes, à la communication sur le
réseau ... etc ..., à l'identique d'un programme java
standard.
Le principe de la signature marche sur un
cryptage clé privée/clé public. La signature va ajouter
quelques lignes dans le fichiers manifest ainsi que d'autre
fichiers permettant de confirmer qu'il s'agit de vous et que
l'archive n'a pas été modifié après signature. Je n'en
dirais pas plus sur ces sécurités, ce n'est pas le but de ce
tutorial.
Il faut d'abord obtenir une clé privée associée à
des clés publiques. Celles ci vont être stockées dans une
petite base de données appelée « Keystores ». Chaque clé
est identifiée par un alias, généralement le nom du
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signataire. Un keystore peut contenir la signature de
plusieurs personnes.
Avant d’exécuter la commande keystore nous
devons d’abord ajouter le chemin vers le fichier keytool de
la manière suivante :
-panneau de configuration->système->paramètre
avancés->variable d’environnement dans variables
systeme Path->nouvelle
-introduire le chemin d’accès E:\Program
Files\Java\jre6\bin; ->ok
-dans variables utilisateur ->nouvelle nom= CLASSPATH
valeur=. ;->ok
Pour créer un KeyStore :
keytool -genkey -keystore FichierKeyStore -alias
edson
Tapez le mot de passe du Keystore : (mdpkey)
Ressaisissez le nouveau mot de passe : (mdpkey)
Quels sont vos prénom et nom ?
[Unknown] : edson noumessi
Quel est le nom de votre unité organisationnelle ?
[Unknown] : ingénieur
Quelle est le nom de votre organisation ?
[Unknown] : siantou superieur
Quel est le nom de votre ville de rÚsidence ?
[Unknown] : yaoundé
Quel est le nom de votre état ou province ?
[Unknown] : cameroun
Quel est le code de pays à deux lettres pour cette
unité ?
[Unknown] : cm
Est-ce CN=edson, OU=ingénieur, O=siantou
supérieur, L=Yaoundé, ST=Cameroun, C=cm ?
[non] : oui
SpÚcifiez le mot de passe de la clé pour <edson>
(appuyez sur Entrée s'il s'agit du mot de passe du Keystore) :
(mdpedson)
Ressaisissez le nouveau mot de passe : (mdpedson)
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Un fichier « monKeyStore » a été créé. On peut répéter cette
opération pour ajouter des signatures dans le keystore. Il s’agit
dans un premier temps de déplacer notre fichier jar dans le
même répertoire que monKeystore.
Pour signer notre archive jar, il faut executer la commande :
jarsigner -keystore FichierKeyStore monarchive.jar edson
Enter Passphrase for keystore: (mdpkey)
Enter key password for edson: (mdphenry)
Warning:
The signer certificate will expire within six months.
C'est fait, votre archive est maintenant signée de votre
main « virtuelle » et prête pour être autorisée à accéder aux
données du système.
Pour une visibilité plus pertinente veuillez consulter les fig() de
l’annexe.
6)
Création du fichier html
Le fichier html suivant est une combinaison des
langages html, javascript, css. Cette page web servira
d’IHM pour notre application. Le but de ce projet ne se
focalisant pas sur ces langage nous nous contenterons
d’expliquez les codes les plus importants.
En voici le code source du fichier :
Page.html
<html>
<head>
<link href="template.css" rel="stylesheet"
type="text/css" />
<link href="t\template.css" rel="stylesheet"
type="text/css" />
<link href="t\blue.css" rel="stylesheet" type="text/css" />
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<link href="t\blue_bg.css" rel="stylesheet"
type="text/css" />
<link href="img2.css" rel="stylesheet" type="text/css" />
<link href="img1.css" title="img1" rel="alternate
stylesheet" type="text/css" />
<link href="img3.css" title="img3" rel="alternate
stylesheet" type="text/css" />
<link href="img4.css" title="img4" rel="alternate
stylesheet" type="text/css" />
<link href="img5.css" title="img5" rel="alternate
stylesheet" type="text/css" />
<link href="img6.css" title="img6" rel="alternate
stylesheet" type="text/css" />
<script type="text/javascript" language="javascript">
var manual_or_random="manual" //"manual" or "random"
var randomsetting="3 days" //"eachtime", "sessiononly",
or "x days (replace x with desired integer)". Only
applicable if mode is random.
function setStylesheet(title, randomize){ //Main stylesheet
switcher function. Second parameter if defined causes a
random alternate stylesheet (including none) to be
enabled
var i, cacheobj, altsheets=[""]
for(i=0;
(cacheobj=document.getElementsByTagName("link")[i]);
i++) {
if(cacheobj.getAttribute("rel").toLowerCase()=="alternate
stylesheet" && cacheobj.getAttribute("title")) { //if this is
an alternate stylesheet with title
cacheobj.disabled = true
altsheets.push(cacheobj) //store reference to alt
stylesheets inside array
if(cacheobj.getAttribute("title") == title) //enable alternate
stylesheet with title that matches parameter
cacheobj.disabled = false //enable chosen style sheet
}
}
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if (typeof randomize!="undefined"){ //if second paramter
is defined, randomly enable an alt style sheet (includes
non)
var
randomnumber=Math.floor(Math.random()*altsheets.lengt
h)
altsheets[randomnumber].disabled=false
}
return (typeof randomize!="undefined" &&
altsheets[randomnumber]!="")?
altsheets[randomnumber].getAttribute("title") : "" //if in
"random" mode, return "title" of randomly enabled alt
stylesheet
}
function chooseStyle(styletitle, days){ //Interface function
to switch style sheets plus save "title" attr of selected
stylesheet to cookie
if (document.getElementById){
setStylesheet(styletitle)
setCookie("mysheet", styletitle, days)
}
}
</script>
</head>
<title>
Page d’ acceuil du cite
</title>
<center>
<h1 style="text-align: center;">Select
background</h1>
<br />
<a href="javascript:chooseStyle('none', 60)"
checked="checked" /><img src="thumb2.jpg"
alt="background image 2" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
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<a href="javascript:chooseStyle('img1', 60)" /><img
src="thumb1.jpg" alt="background image 1" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
<a href="javascript:chooseStyle('img3', 60)" /><img
src="thumb3.jpg" alt="background image 3" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
<a href="javascript:chooseStyle('img4', 60)" /><img
src="thumb4.jpg" alt="background image 4" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
<a href="javascript:chooseStyle('img5', 60)" /><img
src="thumb5.jpg" alt="background image 5" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
<a href="javascript:chooseStyle('img6', 60)" /><img
src="thumb6.jpg" alt="background image 6" border="0"
class="bgthumbs" /></a>
</center>
<div class="module_menu">
<div>
<div>
<div>
<ul class="menu" />
</div>
</div>
</div>
</div>
<center> Mon Programme a déployer :
<br>
<a href="logiciel.jnlp">mon logiciel</a> </center>
</html>
<Html> code de la page</html>
<script type="text/javascript"
language="javascript">function javascript</script>
<link href="template.css" rel="stylesheet"
type="text/css" />lien vers les page contenant les css.
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5) lancement de l’application
En supposant que tout c’est bien passer jusque là il ne nous
reste plus qu’a déplacé tous nos fichiers(html,jar,jnlp) dans un
répertoire reps créé dans le serveur www.
Lorsqu'un utilisateur clique sur un lien pour lancer une
application côté client Java pour la première fois, le processus
suivant se produit:

Le navigateur Web est chargé d'exécuter Java Web Start.

Java Web Start commence par le lancement d'un écran de
démarrage.

Java Web Start se connecte alors au serveur Web désigné
et détermine si des fichiers ont été téléchargés pour
l'application souhaitée Java.

Les fichiers appropriés sont téléchargés sur la machine
locale.

Java Web Start exécute l'application téléchargée.
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Java Web Start, avec le Java Web Start Application Manager,
fournit une approche cohérente look-and-feel interface, ainsi
que fournir une rétroaction à l'utilisateur tout au long du
processus d'installation et de lancement. La figure si dessous
montre la fenêtre qui apparaît lorsque Java Web Start premières
tentatives de lancer une application Java client.
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CHAPITRE 4 : PARAMETRE AVANCE
1)
Utilisation du gestionnaire d’application intégré
Le gestionnaire d'applications est intégré au produit
Java Web Start. Il permet de lancer rapidement et facilement
des applications préalablement exécutées par Java Web Start. Il
combine un menu historique et un menu Démarrer/Programmes
pour les applications fondées sur la technique Java et déployées
à partir du Web. Le gestionnaire d'applications permet aussi de
se connecter à la page d'accueil d'une application et d'afficher
des informations supplémentaires la concernant.
Pour lancer une application à partir du gestionnaire
d'applications, on double-clique sur l'icône correspondante ou
on clique sur le bouton de lancement.
Autre fonctionnalité
du gestionnaire d'applications, la boîte de dialogue des
préférences permet d'examiner et de modifier les paramètres
utilisés par Java Web Start.
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2)
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Lancement à partir d’icones placé sur le
bureau(Windows uniquement)
Java Web Start peut créer automatiquement des
raccourcis sur le bureau et dans le menu Démarrer de Windows
pour les applications fondées sur la technique Java et déployées
par la voie du Web. Par défaut, Java Web Start demande si un
raccourci doit être créé lors du deuxième lancement d'une
application. Il est possible de modifier cela dans la boîte de
dialogue
des
préférences.
Des raccourcis peuvent aussi être ajoutés ou retirés à l'aide des
options
de
menu
Application/Créer
raccourcis
et
Application/Retirer raccourcis du gestionnaire d'applications.
3) Utilisation de JWS derrière un serveur proxy ou
pare-feu
Java Web Start doit être configuré avec les paramètres
de proxy qui lui permettront de lancer des applications de
l'extérieur de votre pare-feu. Java Web Start essaiera de
détecter automatiquement les paramètres de proxy à partir du
navigateur par défaut du système (Internet Explorer ou
Netscape sous Windows et Netscape sous Solaris et Linux). Java
Web Start prend en charge la plupart des scripts de
configuration automatique de proxy web. Il peut détecter les
paramètres de proxy dans la majorité des environnements.
Si les paramètres de proxy ne peuvent être détectés
automatiquement, on doit les spécifier manuellement lors de la
première utilisation de Java Web Start.Java Web Start
demandera aussi le nom d'utilisateur et le mot de passe requis
pour accéder à un serveur proxy d'authentification. Ces noms
d'utilisateur et mot de passe seront stockés pour l'instance en
cours de Java Web Start. Cependant, chaque fois qu'une
nouvelle machine virtuelle Java est appelée lors de l'accès à un
site Web sécurisé, les noms d'utilisateur et mot de passe seront
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redemandés (ces informations sont stockées dans une même
instance d'une machine virtuelle Java).
CHAPITRE 5 : AVANTAGE ET LIMITE DU JWS
Les avantages de cette technologie sont
- mise à jour automatique de l’application si une nouvelle
version est disponible - assure une mise en cache locale des
applications pour accélérer leur réutilisation ou si la machine
client n’est pas connectée
- sécurité
des applications assurée par l’utilisation du bac à sable
- Pas d'exécutable / désinstallation et de raccourcis à gérer
- Déploiement à distance des logiciels
Toutes fois quelques inconvénients existent dans ce type
d’architecture.
Le serveur HTTP constitue la pierre angulaire de
l'architecture et se trouve souvent fortement sollicité : il est
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difficile de répartir la charge entre client et serveur. On se
retrouve confronté aux épineux problèmes de dimensionnement
serveur et de gestion de la montée en charge rappelant
l'époque des mainframes. De plus, les solutions mises en œuvre
sont relativement complexes à maintenir et la gestion des
sessions est compliquée, mais c'est possible.
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