DU Ethnomédecine

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DU D’ETHNOMEDECINE SUFP / UFR Santé (formation continue) Responsables pédagogiques : Pascale Guiraud, PR, Administratrice de l’UFR Santé ;
Laurence Pourchez, MCF HDR UFR Santé
Coordinateur pédagogique : Laurence Pourchez, MCF HDR UFR Santé
Validation (niveau II ) : Niveau L3/M1
Equipe pédagogique :
-
Laurence Pourchez, MCF HDR UFR Santé, université de La Réunion
François Taglioni, PR, département de géographie, université de La Réunion
Claude Marodon, DR en pharmacie, président de l’APLAMEDOM
Roger Lavergne, Agrégé de sciences, DR en biologie (botanique)
Bernard Gaüzere, Praticien Hospitalier, Historien de la médecine
Marie Roué, Directrice de recherches au CNRS, laboratoire d’ethnobiologie du
Museum National d’Histoire Naturelle (Paris)
Doris Bonnet, Directrice de recherches, IRD, Paris
Mary Fleury, MCF, Museum National d’Histoire Naturelle, Cayenne, Guyane
Ameenah Gurib-Fakim, PR en biochimie, Université de Maurice, CEPHYR
Objectifs Pédagogiques :
Objectifs généraux :
La création de ce DU intervient dans un contexte marqué par un intérêt croissant pour les
médecines dites douces ou alternatives. Il est en outre mis en place à la Réunion, île aux
racines plurielles qui possède, comme l’ont montré, depuis près de 40 ans, les travaux du PR
Jean Benoist, un système thérapeutique original et cohérent, différent de la biomédecine. Ce
système thérapeutique, la nosologie populaire qui y est liée, sont nés de la rencontre, en un
même lieu, d’individus venus d’horizons divers, porteurs, les uns et les autres de traditions
thérapeutiques spécifiques à leur zone géographique d’origine. Ce système thérapeutique
s’enrichit en outre d’itinéraires thérapeutiques pluriels consécutifs aux origines de ceux qui
sont venus peupler l’île à partir du XVIIème siècle (médecines savantes d’origine chinoise,
indienne, médecines populaires européenne, malgaches, africaines).
Le premier des objectifs pédagogiques de ce DU est une meilleure
connaissance/compréhension du contexte réunionnais, des recours des patients tant dans le
domaine de la phytothérapie que du point de vue des logiques mises en œuvre.
Il s’agit ensuite d’approfondir chacun des domaines étudiés afin d’être capable d’analyser
d’autres situations de pluralité thérapeutique (dans le cadre d’actions humanitaires,
d’interventions dans des sociétés non occidentales ou dans lesquelles la biomédecine coexiste
avec d’autres systèmes thérapeutiques).
Objectifs opérationnels :
A l’issue de ce DU, les étudiants seront capables :
-
D’analyser divers contextes liés aux pratiques de soins dans des sociétés non
occidentales en mobilisant les outils fournis par l’anthropologie médicale ;
De comparer divers types de recours médicaux au regard de la connaissance
-
acquise de médecines savantes non occidentales et de médecines populaires
(notamment la médecine traditionnelle réunionnaise dans ses diverses
dimensions);
D’analyser les recours et itinéraires thérapeutiques non biomédicaux de leurs
patients ;
De reconnaître divers végétaux employés dans la pharmacopée traditionnelle de
l’océan indien,
D’en donner les propriétés, les indications possibles, la toxicité éventuelle, les
risques liés à des interactions médicamenteuses
Publics : Les professionnels de la santé (médecins, pharmaciens, sages-femmes, infirmiers,
kinésithérapeutes).
Débouchés : Les débouchés de ce DU se situent dans une optique d’optimisation des
compétences professionnelles des étudiants dans leur contexte particulier d’intervention, que
ce soit dans le cadre d’une action locale ou en prévision d’actions au sein d’ONG, d’action
médicale humanitaire, d’interventions auprès de publics réunionnais (connaissance du milieu)
ou d’autres publics non occidentaux.
Durée, date, horaires : La formation est programmée sur deux ans, de novembre 2011 à juin
2013 pour un volume horaire total de 200 heures. Les cours auront lieu les mercredis ou jeudi
(selon le public inscrit et ses disponibilités) et certains samedis matin (avec quelques
modifications possibles lors de la venue des missionnaires)
Lieu : A définir selon les inscriptions Saint-Denis / Saint-Pierre ou Le Tampon
Effectif attendu : 30 étudiants
Programme / évaluations / passage en seconde année : programme et modalités
d’évaluation dans le dossier joint. Le passage en deuxième année sera validé en fin de
première année par une commission pédagogique composée des enseignants de la formation.
Calendrier prévisionnel :
S1 : Début des cours seconde quinzaine de novembre 2011
S2 : février à juin 2012
S3 : septembre à décembre 2012
S4 : février à juin 2013
Répartition des enseignements par semestre :
S1 : UE3 (histoire de la médecine) , UE7 (santé et développement)
S2 : UE1 (ethnomédecine), UE2 (anthropologie médicale) , UE8 (ethnobotanique
réunionnaise)
S3 : UE6 (donner de la valeur aux savoirs traditionnels) , UE9 (ethnopharmacologie 1)
S4 : UE4 (médecines savantes non occidentales) , UE5 (savoirs traditionnels et médecine de
l'OI) , UE10 (ethnopharmacologie 2)
Dossiers de candidatures à déposer jusqu'au : 15 novembre 2011
Commission pédagogique : semaine du 7 novembre 2011
Inscription pédagogique : du 14 au 19 novembre 2011
Début des cours le : 14 novembre 2011
Fin des cours le : 15 juin 2013
FORMATION CONTINUE Liste des UE : UE 1 : ethnomédecine Volume horaire : 20h Enseignantes : Laurence Pourchez, Marie Fleury (MCF, MNHN Guyane) UE 2 : anthropologie médicale Volume horaire : 20h Enseignante responsable : Laurence Pourchez Intervenantes : Laurence Pourchez, Doris Bonnet (DR IRD) UE3 : Histoire (s) de la (des) médecine (s) Volume horaire : 20h Enseignant responsable : Bernard Gaüzere (PH, historien de la médecine) UE4 : médecines savantes non occidentales Volume horaire : 20h Enseignants responsables : François Taglioni (PR, département de géographie, Université de La Réunion) Intervenants : François Taglioni (médecine chinoise), Marie Fleury (médecine ayurvédique) UE5 : savoirs traditionnels et médecine de l’océan indien (Réunion, Maurice, Seychelles) Volume horaire : 20h Enseignante responsable : Marie Roué (DR CNRS , MNHN) Intervenants : Judith Tibère (tisaneuse, Réunion) voir APLAMEDOM, Ferdinand Vidot (Herbalist, Seychelles) UE6 : Donner de la valeur aux savoirs traditionnels à travers la connaissance de la pharmacopée (Afrique et océan indien) Volume horaire : 20h Enseignante responsable : PR Ameenah Gurib-­Fakim (CEPHYR-­Université de Maurice) UE7 : Santé et développement Volume horaire : 20h Enseignant : François Taglioni UE8 : ethnobotanique Volume horaire : 20h Enseignant : Roger Lavergne UE9: ethnopharmacologie (1) Volume horaire : 20h Enseignant : Claude Marodon UE10 : ethnopharmacologie (2) Volume horaire : 20h Enseignant : Claude Marodon Total horaire : 200h DU FORMATION CONTINUE UE 1 : DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Ethnomédecine Nom des enseignantes : Laurence Pourchez (MCF HDR Univ-Réunion)/ Marie Fleury
(CR CNRS/ MNHN) Adresse mail : [email protected] ; [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S2 Nombre d'heures : 20 (2X10) Code apogée (en attente) : Résumé du cours Il s’agira, dans ce cours, de poser les bases de l’ethnomédecine au travers de la découverte de
deux sociétés porteuses, l’une et l’autre, de deux systèmes thérapeutiques différents de la
biomédecine :
Le système thérapeutique réunionnais, ses logiques et cohérences (Laurence Pourchez);
La place des plantes médicinales dans la médecine des Noirs marrons et des Amérindiens de
Guyane française (Marie Fleury)
La médecine traditionnelle réunionnaise
- Origines
- Conceptions de la maladie
- Interprétations étiologiques
- Culture bound syndromes
- Rites de naissance et rites de mort, place des végétaux dans ces différents rituels
- Thérapies et place du sacré
La médecine des Noirs Marrons de Guyane
Perception de la Maladie 1-­‐Vocabulaire médical 2-­‐Conception de la maladie 3-­‐Interprétation étiologique Thérapeutique La place du magico-­‐religieux dans la démarche thérapeutique Conception de l’être humain Place des végétaux dans les différentes étapes de la vie Les rites de naissance et de la mort Place des remèdes populaires dans la démarche thérapeutique Exemples de pratiques thérapeutiques Plantes médicinales Origine Préparation Quelques exemples de plantes utilisées LES AMERINDIENS WAYANA La perception de la maladie dans le chamanisme La thérapeutique Exemple des maladies liées à une rupture d’interdit Correspondance entre maux, animaux et végétaux La médecine populaire Les principales plantes médicinales utilisées Quel avenir pour la médecine populaire traditionnelle ? CONCLUSION L’importance du culturel dans la perception de la maladie, et l’usage des plantes médicinales. Devoir sur table Modalités d’Evaluation Bibliographie succincte Benoist J., 1993, Anthropologie médicale en société créole. Paris : PUF. Bonnet D., Pourchez L. (eds.), 2007. Du soin au rite dans l’enfance. Paris : ERES / IRD. Chapuis J., 1998. La personne wayana entre sang et ciel. Thèse d’anthropologie, Aix-­‐
Marseille, 2 Tomes, 1082 p. Fleury M.,. 1991 -­"Busi nenge", les Hommes-­‐Forêt. Essai d'ethnobotanique chez les Aluku (Boni) en Guyane française, thèse présentée pour l'obtention du titre de docteur de l'université Paris 6, spécialité : Biologie Végétale Tropicale, 357 p. Fleury M., 2007. Remèdes wayana – Wajana epit , Editions GADEPAM-­‐CRDP, 112 p. Fleury M., 2007. « Du piment de l’agouti à la fiente d’aigle harpie : les animaux entre aliments, maux et remèdes chez les Wayana (Guyane française), in Dounias E., Motte-­‐
Florac E., Mesnil M., Dunham M. (eds). Le symbolisme des animaux. L’animal clef-­de-­voûte dans la tradition orale et les interactions homme-­nature / Animal symbolism. The “keystone” animal in oral tradition and interactions between humans and nature. Paris, IRD, DVD Collection “Colloques et Séminaires” : 835-­‐855. Grenand P., Moretti C., Jacquemin H., Prévost M.F., 2004. Pharmacopées traditionnelles en Guyane. Créole, Palikur, Wayãpi, Editions de l’IRD , Paris, 816 p. Hurault, J. 1961. Les Noirs réfugiés Boni de la Guyane française. Mémoire 63 de l’Institut français d’Afrique noire (IFAN), Dakar, 363 p. + pl. Hurault, J. 1965. La vie matérielle des Noirs réfugiés Boni et des Indiens Wayana du haut Maroni (Guyane française). Agriculture, économie et habitat. Mémoire ORSTOM, Paris, 142 p. + depliant + photos. Pourchez, L., 2002. Grossesse, naissance et petite enfance en société créole. Paris : Karthala. Pourchez, L., 2011. Savoirs des femmes. Médecine traditionnelle et nature. Paris : UNESCO Publishing. Vernon D., 1987. « Payer n’est pas mourir ». Le sens des prestations dans une médecine traditionnelle. DEA d’anthropologie, EHESS, 300 p. Vernon D., 1992. Les représentations du corps chez les Noirs Marrons Ndjuka du Surinam et de la Guyane Française. Editions de l’ORSTOM, Paris, 95p. UE 2 : DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Anthropologie médicale Nom des enseignantes : Laurence Pourchez (MCF HDR Univ-Réunion)/ Doris Bonnet
(DR IRD)
Adresse mail : [email protected] ; [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S2 Nombre d'heures : 20 (2X10) Code apogée (en attente) : Résumé du cours Le cours d’anthropologie médicale reprend, en les développant et en les étayant sur des
recherches récentes, certains éléments présentés lors du cours de PCM1.
D’un point de vue conceptuel, seront repris les concepts de :
(Les différentes lectures possibles du terme) maladie
Ilness, sickness, disease
Care et cure
Culture bound syndrome
Pathocénose
Les exemples présentés seront associés au VIH, au cancer, à l’anthropologie de la fécondité,
aux maladies émergentes, à l’anthropologie des contextes hospitaliers.
Evaluation Devoir sur table
Bibliographie Benoist, Jean, 1993, Anthropologie médicale en société créole. Paris : PUF.
Bonnet, Doris, 1988, Corps biologique. Corps social. Procréation et maladies de l'enfant en
pays mossi (Burkina Faso). Paris : Éditions de l'Orstom. horizon.documentation.ird.fr/exldoc/pleins_textes/pleins.../25416.pdf
Fainzang, Sylvie, 2000, « La maladie, un objet pour l’anthropologie sociale »,
classiques.uqac.ca/.../Fainzang_sylvie/maladie_objet...sociale/maladie_objet...
Good, Byron, 1998, Comment faire de l’anthropologie médicale, médecine, rationalité et
vécu. Paris : Synthélabo.
Pouchelle, Marie-Christine, 2003, L’Hôpital corps et âme. Essai d’anthropologie
hospitalière, Paris, éd. Seli Arslan.
Pourchez, Laurence, Dupé Sandrine, 2011, Enquête sur les grossesses chez les mineures.
Saint-André : Océan Editions.
Véga, Anne, 2001, Une ethnologue à l’hôpital. Paris : Editions des archives contemporaines.
UE3 DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Les apports de l’histoire de la médecine à la médecine actuelle Nom de l’enseignant : Bernard-Alex Gaüzère , Praticien hospitalier, historien de
la médecine
Adresse mail : [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S 1 Nombre d'heures : 20 h Code apogée (en attente) : Résumé du cours L'étude de l'évolution historique des concepts médicaux, c'est-à-dire de la façon dont
la Santé et la Maladie ont été et sont appréhendées par la Médecine, permet de :
- comprendre les concepts médicaux d'aujourd'hui quant à leur provenance
historique et aux présupposés auxquels ils renvoient ;
- relativiser la puissance de nos propres concepts médicaux en reconnaissant le
"génie" de certains de nos prédécesseurs, sans systématiquement renvoyer leurs
techniques à l'enfance de l'art ;
- mettre en relief la relativité de toute vérité et nourrir l’esprit critique face à la
puissance de paradigmes étouffants ;
- donner du sens à la Recherche. « Le recul historique lorsqu’il est réflexif, donne un
certain sens du possible au chercheur » (D. Lecourt).
- d’humaniser la Science, par la connaissance de ses erreurs ;
- d’identifier certaines constantes intemporelles, telles l’observation et la méthode
expérimentale.
L’histoire nous apprend qu’il n'existe pas de concept immuable de la Maladie, mais
une multitude d'approches évolutives (ex : l’obésité).
Ainsi a-t-on évolué du chamane pré hippocratique, de l'humanisme hippocratique,
de l'humorisme galénique et des médecins des XVIe et XVIIIe siècles, à l'approche
scientifique bernardienne et au réductionnisme moléculaire actuel, générateur de
craintes…
Evaluation Devoir sur table
Bibliographie Jean-Claude Ameisen, Patrick Berche, et Yvan Brohard - Une histoire de la médecine
ou le souffle d’Hippocrate. Université Paris Descartes et les Ed. de la Martinière,
Paris, 2011 - 224 pages.
Dominique Lecourt - L'âge de la peur : Science, éthique et société (Bayard, Paris,
2009).
Roger Dachez -­‐ Histoire de la médecine de l’Antiquité au XXe siècle, Editions Taillandier, 2008 -­‐ 634 pages. Maurice Tubiana - Au cœur de la science, Editions Odile Jacob, 2001 – 315 pages.
Philippe Meyer, Patrick Triadou. Leçons d'histoire de la pensée médicale. Odile
Jacob, 1996. 397 pages.
Maurice Tubiana - Les chemins d'Esculape. Histoire de la pensée médicale –
Flammarion 1995 - 793 pages.
UE4 DU D’ethnomédecine – Formation initiale Titre du cours : Médecines savantes non occidentales Nom des enseignants : François Taglioni (PR, Département de géographie, Université
de La Réunion), Marie Fleury (CR, Museum National d’Histoire Naturelle) Antenne du MNHN en Guyane, IRD, BP 16597323 Cayenne cedex
Adresses mail : [email protected] ; [email protected]
Semestre d'enseignement envisagé : S4 et S2 Nombre d'heures : 20 (2X10) Code apogée (en attente) : I- La médecine chinoise traditionelle
Cette introduction à la médecine chinoise traditionnelle permet d'aborder les
fondements, concepts et méthodes afin d'appréhender ultérieurement cette
médecine holistique qui place l'homme au centre d'un système complexe
d'interactions que les médecines savantes occidentales ont parfois tendance à trop
compartimenter dans une vision analytique et symptomatologique au détriment d'une
approche complexe et globale.
Le Yin/Yang et ses applications
I. Théorie du Yin et du Yang
1.1 Introduction
1.2 Principes élémentaires de la théorie du Yin/Yang
1 Omniprésence de la dualité Yin/Yang
2 Divisibilité infinie du Yin/Yang
3 Les quatre modes relationnels du Yin/Yang
Opposition du Yin/Yang
Interdépendance du Yin/Yang
Réduction et croissance du YinlYang
Transformation du Yin et du Yang
4 Le Yin/Yang dans la pathologie
II. Notions de Jing, Shen et Qi : les trois trésors
2.1 Le Jing
2.2 Le Shen
2.3 Le Qi.
1 Fonctions générales :
Impulsion, réchauffement, protection, contrôle, transformation du Qi.
2 Mouvements : Montée, descente, extériorisation, intériorisation
3 Les Qi produits sous lʼimpulsion du Yuan Qi
III. Notions de maladies
3.1 Les causes
3.2 Les trois trésors et les maladies
Les Cinq mouvements
I. Les cinq mouvements
1.1 Introduction
1.2 Caractéristiques des Cinq mouvements
II. Les relations entre les Cinq mouvements
2.1 Les relations physiologiques
1 Le cycle Sheng (engendrement)
2 Le cycle Ke (domination)
2.2 Les relations pathologiques
1 Le cycle Sheng perturbé (engendrement perturbé)
2 Le cycle Cheng (oppression)
3 Le cycle Wu (outrage)
2.3 Les Cinq mouvements dans le diagnostic
2.4 Les Cinq mouvements et le traitement
2.5 Les Cinq mouvements en phyto et diététique
2.6 Les Cinq mouvements et le massage
III. La théorie des organes (Zang-Fu)
3.1 Zang (organes Yin)
1 Le foie (Gan)
2 Le cœur (Xin)
3 La rate (Pi)
4 Le poumon (Fei)
5 Les reins (Zhen)
6 Lʼenveloppe du cœur (Xin Bao)
3.2 Fu (entrailles Yang)
1 La vésicule bilaire (Dan)
2 Lʼintestin grêle (Xiao Chang)
3 Lʼestomac (Wei)
4 Le gros intestin (Da Chang)
5 La vessie (Pang Guang)
6 Les trois foyers (San Jiao)
Evaluation Devoir sur table
Bibliographie Houng-Ti, (2600 avant J.-C.), 1999 (pour la traduction par Lavier, J-A.). Nei Tching
Sou Wen. Puiseaux, Pardès, 449 p.
Marié, E., 2008. Précis de médecine chinoise. St Jean-de-Braye, Editions Dangles,
488 p.
Macioccia, G., 2008. Les principes fondamentaux de la médecine chinoise. Issy-LesMoulineaux, Elsevier/Masson, 1286 p.
II -­La médecine ayurvédique : Les grands principes et l’usage des plantes médicinales A – Introduction aux grands principes de l’Ayurvéda B-­‐ Constitution de l’être humain 1 – le concept des pancra Mahâbhuta 2-­‐ le concept des tridosha 3-­‐ le concept des saptadhâtu 4 -­‐ les Uapdhâtu 5 -­‐ les tri Mala 6 -­‐ les Srota 7 -­‐ les Agnis 8 -­‐ Ama C -­‐Pathologie 1 -­‐ Ethiologie 2-­‐ Pathogénèse 3 -­‐ Processus physiopathologique D –Diagnostic 1-­‐ examen du malade 2 –examen de la maladie 3-­‐ pronostic E-­‐ Traitement 1-­‐ les différentes thérapies 2 – modes d’action des drogues 3-­‐ les préparations F – Usage des plantes médicinales 1-­‐ nomenclature 2-­‐ classification 3 -­‐ récolte 4-­‐ stockage 5 -­‐ Quelques exemples de plantes médicinales utilisées Evaluation Devoir sur table
Bibliographie Dastur J.F., 1960. Everybody’s guide to ayurvedic medecine D.B. Tarporeva sons and Co, private LD, 316 p. Edde G., 1985. La Médecine ayurvédique, éditions Dangles Edde G., 1992. Traité de l'Ayurvéda, tome I et II, éditions Guy Trédaniel Filliozat J., 1949. La Doctrine classique de la médecine indienne, éd. École Française d'Extrême Orient. Paris, Imprimerie Nationale, 1949 Fleury M., 1987. Médecine ayurvédique et phytothérapie. Etude comparée de quelques plantes médicinales. Thèse de Pharmacie, Nantes, 107 p + annexes. P.N.V. Kurup, 2003. Scientific Basis for Ayurvedic Therapies in "Ayurveda—A Potential
Global Medical System", edited by Mishra, L.C. 1-14.
Mazars G.,1995. La médecine indienne, PUF (Que sais-­‐je ? no 2962), 1995
Peny J. M ., 1986. Approche des principes fondamentaux de la médecine ayurvédique. Thèse de pharmacie, Nantes, juin 1986. 345 p. Zimmerman F., 1982. La jungle et le fumet des viandes. Un thème écologique dans la médecine hindoue. EHESS, Gallimard, 256 p. Zimmerman F., 1982. La place de la médecine ayurvédique dans la vie quotidienne, in Bul. Ethnomedecine (14), juin 1982 : 3-­‐11. UE5 DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Savoirs et médecines traditionnelles Nom de l’enseignant : Roué Marie (DR CNRS, Museum National d’Histoire Naturelle) Adresse mail : [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S4 Nombre d'heures : 20 Code apogée (en attente) : Résumé du cours Les savoirs traditionnels, qualifiés également de savoirs locaux et autochtones ou d’autres systèmes de savoirs, seront évalués dans leur similitude et leur différence par rapport aux savoirs scientifiques. Ils concernent tous les domaines depuis celui de la gestion de la biodiversité, jusqu’à celui de la santé, en passant par les techniques et savoir-­‐faire relatifs aux modes de vie : chasse, pêche, agriculture, cueillette. Les savoirs locaux sont à la fois des pratiques, des savoirs plus élaborés comparables à la science et basés sur l’observation, et sont empreints de représentations et visions du monde spécifiques à la culture dont ils sont issus. Ils ne sont pas immuables, mais au contraire comme toutes traditions sont réinterprétés et se transforment dans un monde en évolution. Nous aborderons également les problèmes de leur transmission dans un contexte non formel d’apprentissage en situation, qui est souvent menacée par les transformations des sociétés qui séparent radicalement les adultes et les jeunes, les femmes et les hommes, la tradition et la modernité. Nous présenterons enfin l’histoire des différentes phases de la pensée occidentale sur les savoirs locaux, depuis la négation des savoirs locaux (seule la science occidentale sait, les autres cultures croient), jusqu’à leur acceptation d’un point de vue intellectuel (relativisme culturel), pour arriver à la phase contemporaine inscrite dans leur reconnaissance dans les conventions internationales en tant que droits, protection de la propriété intellectuelle et partage équitable. Modalités d’Evaluation Exposé par groupes sur un thème préalablement agréé Bibliographie Agrawal, Arun (Edit.), 2002, Les savoirs autochtones, Revue internationale des sciences et sociales, Numéro 173, Unesco Berkes, Fikret, 2008, Sacred Ecology : Traditional ecological knowledge and resource management, Edit. Routledge Lévi-­Strauss, Claude, 1962, La pensée sauvage, Plon Pourchez, Laurence, 2011, Savoirs des femmes -­ médecine traditionnelle et nature. Maurice, Réunion, Rodrigues. Editions Unesco, collection Savoirs Locaux et autochtones. Roturier, Samuel et Roué, Marie, 2009, Of forest, snow and lichen: Sa´mi reindeer herders’ knowledge of winter pastures in northern Sweden », Forest Ecology and Management 258 1960–1967 UE6 DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Donner de la valeur aux savoirs traditionnels à travers la connaissance de la pharmacopée (Afrique et océan indien) Adding value to traditional knowledge through a pharmacopoeia Nom de l’enseignant : Ameenah Gurib-­‐Fakim Adresse mail : afakim@cephyr-­‐recherche.com Semestre d'enseignement envisagé : S3 Nombre d'heures : 20 hrs Code apogée (en attente) : Résumé du cours Although sub-­‐saharan africa and the indian ocean islands contain about 60.000 of the world’s higer plant species, roughly 25% of the world’s total ; less than 8% of the 1100 medicinal plants commercialised internationally are of African origin. This situation has arisen because information on the traditional uses of African plants has seldom been written down but transferred orally from generation to generation by story tellers and traditional healers. Medicinal plants constitute an extremely important source for the development of global pharmaceutical, cosmetic and fragrance industry. More than 40% of licenced drugs are originally of plant origin. In Africa, indigenous medicine is usually the most important form of treatment and also a culturally accepted practice. Also in much of rural Africa it is the only form of therapy that exists. African herbal medicine relies more on wild harvested plants than any continent on earth eyt the sustainability of this indigenous resource is increasingly endangered and this is compounded by the deforestation rate estimated to be around 1% while the global average of 0.6%. Loss of plants also means loss of accompanying traditional knowledge. The value of countless generations of observations of the application of certain plants on human and animal disorders is impossible to value, especially in relation to present day global bio-­‐prospecting activities. An African Herbal Pharmacopoeia is a necessity if growth is to be promoted for the local biodiversity and major constraints removed. These lectures will present an overview of the historical background to medicinal plants in general with emphasis on African medicinal plants; the various international conventions framing medicinal plants exploitation; their utilisation; quality control issues; the socio-­‐economic issues associated with the development of a herbal pharmacopoeia. Modalités d’Evaluation Formation continue Bibliographie Blumenthal M Ed. (1998). The Complete German Commission E MOnographs. Therapeutic Guide to Herbal Medicines. American Botanical Council. Austin, Texas, US Brendler T. Ed (2010). African Herbal Pharmacopoeia. AAMPS Publishing, Mauritius Gurib-­‐Fakim A (1994-­‐1997). Plantes Medicinales de Maurice. Editions de l’Ocean Indien, Rose Hill, Maurice Neuwinger HD (1996). African Ethnobotany, Poisons and Drugs. Chemistry, Pharmacology, Toxicology. Chapmann and Hall, London, UK Wichtl M Ed. (2003). Herbal Drugs and Phytochemicals. A handbookj for practice on a scientific basis. 3rd Edition. MedPharm Scientific Publishers, Stuttgart, Germany UE7 DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Santé et développement Nom de l’enseignant : François Taglioni, PR, département de géographie, Université de
La Réunion Adresse mail : [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S1 Nombre d'heures : 20 hrs Code apogée (en attente) : Résumé du cours Le niveau de développement humain conditionne fortement le niveau de
développement sanitaire qui prévaut dans les pays en développement comme dans
les pays développés ; et vice-versa. Les interactions entre développement et santé
sont riches d'enseignements et de défis. Certes, les enjeux du développement
sanitaire sont d'autant plus fondamentaux que les pays sont pauvres mais, dans un
monde globalisé et en mutation climatique, les problèmes sanitaires des pays du sud
conditionneront de plus en plus la santé des pays du nord. Pour ce cours, nous
mettrons en perspective santé et développement et leurs conséquences sociospatiales. Nous montrerons aussi que les conditions socio-économiques nʼexpliquent
pas tout quand il sʼagit dʼinégalité de santé et dʼallocation de ressources. Le contexte
ethnique joue un rôle souvent occulté. Nous verrons ainsi que la discrimination en
matière de droit civil et politique est aussi importante que les inégalités économiques.
Enfin, nous approfondirons la question de la coopération sanitaire à l'échelle
internationale.
Plan du cours
I. La notion de développement en question
1. Le développement : les mots et les choses
2. Une approche plurielle
3. Les indicateurs de développement en général et l'IDH en particulier
4. Développement et démographie
4.1 Les disparités dʼespérance de vie
4.2 La mortalité infanto-juvénile
4.3 La mortalité maternelle
II. Santé et environnement social
1. Quelles relations pauvreté et santé ?
1.1 Des effets cumulatifs entre revenu et santé
1.2 Dans les pays riches comme dans les pays pauvres
2. Quelques interfaces pauvreté/santé
2.1 Sous-alimentation de la mère et de l'enfant
a) Insuffisance pondérale
b) Carence en fer
c) Carence en vitamine A
d) Défaut d'allaitement maternel
2.2 Autres facteurs de risque d'origine alimentaire et sédentarité
a) Hypertension artérielle
b)Surcharge pondérale, obésité et excès de masse corporelle
2.3 Le tabagisme
2.4 Les drogues
2.5 Alcool en abus
2.6 Les traumatismes
2.7 La mortalité au jeune âge
2.8 Les risques environnementaux
a) Eau non potable, problèmes d'assainissement et d'hygiène
b) Pollution de l'air
3. Inégalité et santé
3.1 La question ethnique
3.2 La question du genre
3.3 Les inégalités liées à l'âge
4. Les effets pervers de l'enrichissement des sociétés
4.1 Lʼacquisition dʼun mode de vie pathogène
4.2 Les conséquences négatives de l'amélioration des soins
III. Des exemples
1. Développement et discrimination : le pian et les Pygmées au Congo
2. Les disparités spatiales de santé en ville : lʼexemple de Vientiane
3. Tuberculose en Guyane
4. Sida et développement
Evaluation Devoir sur table
Bibliographie Antoine, P. ; Golaz, V., 2010. Vieillir au sud. Bondy, Institut de recherche pour le
développement (IRD). Numéro spécial de "Autrepart revue de sciences sociales au
sud", n°53, 199 p.
Bouquet, C., 2010. Les géographes et le développement. Pessac, Maison des
sciences de l'homme, 286 p.
Bret, B., 2006. Le tiers-monde, croissance, développement, inégalités. Paris,
Ellipses,
222 p.
Bué, A., Plet, F., 2010. Alimentation, environnement et santé. Paris, Ellipses, 288 p.
Buléon, P. ; Di Méo, G., 2005. L'espace social : lecture géographique des sociétés.
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Cadène, P., 2007. La mondialisation. L'intégration des pays en développement.
Paris, SEDES, 224 p.
Catteau, C., et alii., 2005. Atlas de la santé à La Réunion : environnement, mortalité,
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Chasles, V. (dir.), 2010. Santé et mondialisation. Lyon, Université Jean Moulin, 325
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Curtis, S., 2005. Health and inequality. Londres, Sage, 344 p.
Hervouet J.-P., 1992. « Environnement et grandes endémies : le poids des
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Ménard, S., 2005. Géographie sanitaire appliquée et santé communautaire dans les
sociétés traditionnelles. Paris, Zagros, 269 p.
Ménard, S., 2002. "Questions de géographie de la santé". L'Espace géographique
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Organisation mondiale de la santé, 2010. Rapport annuel.
Picheral, H., 2001. Dictionnaire raisonné de géographie de la santé. Montpellier,
Université Paul Valery, 308 p.
Salem, G. ; Vaillant, Z., 2008. Atlas mondial de la santé. Paris, Autrement, 80 p.
Salem G., 1998. « La santé dans la ville : Géographie dʼun petit espace dense :
Pikine Sénégal ». Paris : Karthala-Orstom, 360 p.
UE8 DU D’ethnomédecine – Formation continue Titre du cours : Ethnobotanique Approche objective des pratiques réunionnaise. de la tisanerie Nom de l’enseignant : Roger Lavergne (DR ès Sciences, agrégé en SVT) Adresse mail : [email protected] Semestre d’enseignement envisagé : S2 Nombre d’heures : 20 hrs Code apogée (en attente) : Résumé du cours Propriétés supposées et d’autres révélées de certaines espèces.
Pour rester dans le contexte Hommes/Plantes, puisque « cuisine est médecine » des boissons
quotidiennes (café, thé), quelques épices, condiments, aromates seront abordés.
Un herbier de plantes médicinales est souhaité. De fait, très tôt nous ferons au moins une
sortie de terrain au Colorado.
Rencontres éventuelles de tradipraticiens des environs de Saint-Denis.
Modalités d’Evaluation Évaluation : notation de l’herbier et interrogation écrite.
Bibliographie UE9 DU D’ethnomédecine – Formation continue ETHNOPHARMACOLOGIE ethnopharmacologie (1) Place des phytomédicaments dans la thérapeutique Nom de l’enseignant : Claude Marodon, pharmacien Adresse mail : [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S3 Nombre d'heures : 20 Code apogée (en attente) : Résumé du cours L’ethnopharmacologie consiste à recenser les savoirs thérapeutiques traditionnels et
promouvoir le développement des médicaments à base de plantes. Dans cette approche
analytique, la connaissance de la composition chimique des plantes, leurs propriétés
pharmacologiques, leurs toxicités éventuelles permettent de confirmer, ou d’émettre des
recommandations sur leurs usages.
L’objectif est d’évaluer l’intérêt thérapeutique des plantes médicinales utilisées dans leur
cadre législatif (pharmacopée nationale, santé primaire et développement durable).
Principales plantes utilisées.
Contenu :
Les bases de l'ethnopharmacologie:
- peuplement de l'ile, immigration lointaine et proche, influence régionale, évolution
- vocabulaire et définitions (étymologie)
- l'histoire des drogues végétales et leur observation
- les acteurs (tradipraticiens, chercheurs, familles, origine des populations, etc...)
- méthodologie des observations ethnopharmacologiques, les enquêtes (ethnobotanique, noms
latins, noms vernaculaires, confusions, théorie des signatures, etc..) et traitement (bases de
données, libre expression, mots clefs, )
- notions de toxicité (aiguë, chronique, mutagénicité, cancérigène, hépatotoxicité,
néphrotoxicité, neurotoxicité, risques pour mère et enfant, grossesse, allaitement) précautions,
recommandations, ...
-allégations et propriétés vérifiées (distinction)
- aspect environnemental, cueillette, culture, jardin créole, marchés, échange de plantes,
tisaneur de forêt, ...
- législation France, Europe, et spécificites DOM
- intérêt sociétal, et restitutions en langue et modes de communications respectant la culture
des groupes (ex. TRAMIL, Jardins du Monde, etc..)
- les pharmacopées traditionnelles et officielles.
- la tradition et le modernisme: phénomène de modes, retour "au naturel", adaptation,
réponses (paludisme, dengue, épidémie du Chik, grippe, diverses menaces sanitaires, stress
oxydatif, cholestérol, etc...)
UE10 DU D’ethnomédecine – Formation continue Place des phytomédicaments dans la thérapeutique (2) Nom de l’enseignant : Claude Marodon, pharmacien Adresse mail : [email protected] Semestre d'enseignement envisagé : S4 Nombre d'heures : 20 Code apogée (en attente) : Résumé du cours L’ethnopharmacologie consiste à recenser les savoirs thérapeutiques traditionnels et
promouvoir le développement des médicaments à base de plantes. Dans cette approche
analytique, la connaissance de la composition chimique des plantes, leurs propriétés
pharmacologiques, leurs toxicités éventuelles permettent de confirmer, ou d’émettre des
recommandations sur leurs usages.
L’objectif est d’évaluer l’intérêt thérapeutique des plantes médicinales utilisées dans leur
cadre législatif (pharmacopée nationale, santé primaire et développement durable).
Principales plantes utilisées.
Contenu :
Principales approches par besoins et affections (bases anatomo-physiologiques- affections- les
réponses et remèdes seront cités)
- digestif , dépuratif, parasitoses, gastro entérites, ulcères estomac, constipation, .
- neurovégétatif, Système Nerveux, affections psychologiques (stress, "saisisement",
insomnies, ...)
- dermatologie
- pulmonaire
-circulation sanguine
- appareil reproducteur, et sexualité
- métabolisme (diabète, cholestérol, acide urique, etc...)
- système rénal
- croissance et squelette , stimulant
- autres (tambave, rafraichissant, etc...)
Principales approches par monographies des plantes et leurs utilisations , précautions,
composition 16H
liste des principales plantes détaillées(ordre alphabétique en nom vernaculaire) ; Aloes,
Ambaville, Ambrevatte, Anisse, Arouroute, Ayapana, Benjoin, Bois Cassant, Bois de
Gouyave Marron, Bois de Reinette, Bois d'Osto, Brède Pariétaire, Brède Mourongue, Brède
Mafana, Change Ecorce, Citronelle, Cochléria, Faham, Fleurs jaunes, Galabert, Geranium
rosat, Gingembre…
Modalités d’Evaluation Interrogation écrite.
Bibliographie Longuefosse L., guide de la phytothérapie créole. Orphie, 2006
Fleurentin J., de la plante au médicament2 2008
Riviere M., amis et faux amis, 2008
Morel JM, Traité pratique de phytothérapie, 2008
Wichtl M, Anton R, plantes thérapeutiques, Tec & doc, 2010
Bruneton J, pharmacognosie, Tec & Doc 4e, 2010
Lavergne R, les plantes médicinales d’aujourd’hui. Orphie, 2010
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