1 € le dessous des quartes l’horloge jeudi 24 janvier 2013 – 18h30 HAYDN, Symphonie n° 101 « L’horloge » (1793-1794) w env. 30’ 2.Andante 3.Menuet (Allegretto) 4. Finale (Vivace) George Tudoraché, concertmeister Orchestre Philharmonique Royal de Liège Pieter-Jelle de Boer, direction et présentation britten / haydn vendredi 25 janvier 2013 – 20h BRITTEN, Simple Symphony op. 4 (1934) w env. 17’ HAYDN, Symphonie n° 101 « L’horloge » (1793-1794) w env. 30’ 1. Bruyante bourrée (Allegro ritmico) 5.Adagio – Presto 2.Pizzicato taquin 6.Andante (Presto possibile pizzicato sempre) 7.Menuet (Allegretto) 3.Sarabande sentimentale 8. Finale (Vivace) (Poco lento e pesante) 4. Finale allègre (Prestissimo con fuoco) BRITTEN, Cello Symphony op. 68 (1962-1963)w env. 35’ George Tudoraché, concertmeister Orchestre Philharmonique Royal de Liège Pieter-Jelle de Boer, direction 1.Allegro maestoso 2.Presto inquieto 3.Adagio – cadenza ad lib. 4.Passacaglia (Andante allegro) Pieter Wispelwey, violoncelle PAUSE Sur le mardi 19 février à 20h. jeudi 24 & vendredi 25 janvier 2013 britten / haydn [programme 12] 1.Adagio – Presto B ritten aurait eu 100 ans en 2013. La Simple Symphony (1934), son premier coup de maître (pour cordes seules), reprend d’anciens fragments imaginés lors de ses années d’études. La Cello Symphony (1964) est une commande de son ami Mstislav Rostropovitch qui voulait un concerto pour violoncelle « brillant ». Pieter Wispelwey relève le défi. Créée en 1794, la Symphonie n° 101 « L’horloge » fait partie des 12 Symphonies londoniennes de Haydn. Elle doit son nom au « tictac » qui ponctue le deuxième mouvement. Passionné d’horloges, Haydn a lui-même composé de la musique pour horloges musicales. Le Dessous des quartes révèle les secrets de sa mécanique. BRITTEN SIMPLE SYMPHONY (1933-1934) Enfant prodige. Né dans le Suffolk d’un père dentiste et d’une mère pianiste amateur, Benjamin Britten (1913-1976) montre très jeune des dons exceptionnels pour la musique. Selon sa sœur Beth, il était inconsolable s’il entendait jouer du piano dans le salon quand on l’avait mis au lit. À cinq ans, il joue du piano et compose déjà de petits morceaux. À l’école primaire, son enthousiasme est tel qu’il compose chaque jour avant le petit déjeuner. À neuf ans, Britten commence l’étude de l’alto avec Audrey Alston. Grâce à elle, le jeune garçon fait la rencontre, l’année suivante, du compositeur Frank Bridge, qui le prend sous son aile et lui enseigne deux principes qu’il fera siens, le premier : « se découvrir et rester fidèle à soi-même », le second : « exprimer clairement ce qu’on a dans l’esprit ». Avant l’âge de 12 ans, Britten avait déjà composé six quatuors à cordes. Pour cordes. À Noël 1933, Britten n’a que 20 ans lorsqu’il entreprend de composer une Simple Symphony sur des thèmes tirés d’œuvres qu’il avait écrites entre 10 et 12 ans : « Bien que le développement de ces thèmes soit tout à fait nouveau dans beaucoup de cas, il y a de longs passages de l’œuvre qui sont extraits tels quels de morceaux de jeunesse » (Britten). Conçue pour un orchestre à cordes et achevée le 10 février 1934, la Simple Symphony est dédiée à Audrey Alston. Elle fut créée le 6 mars suivant avec succès par le Norwich String Orchestra (Orchestre à Cordes de Norwich), un groupe improvisé de bons amateurs. Par la suite, beaucoup d’autres orchestres s’empareront de cette œuvre flatteuse qui enrichit agréablement le répertoire pour cordes. Allitération. Le titre de l’œuvre et les titres des quatre mouvements usent de l’allitération (figure de style qui consiste en la répétition d’une ou plusieurs consonnes). Ainsi, la Boisterous Bourrée (Bruyante bourrée) est-elle construite sur des thèmes 2 de la Suite n° 1 pour piano de 1926 et d’une chanson de 1923. C’est un allegro de sonate où s’opposent un rythme saccadé d’ouverture et un thème lyrique. Sorte de scherzo étourdissant, le Playful Pizzicato (Pizzicato taquin) est noté Presto possibile. Joué entièrement en notes détachées (sans archet), sur des motifs de 1924, il fait montre d’une virtuosité d’écriture et d’un sens humoristique patents. Vient ensuite une Sentimental Saraband (Sarabande sentimentale) qui fait chanter tous les pupitres sur des harmonies particulièrement expressives. Elle provient de la Sonate pour piano n° 3 de 1925 et d’une Valse pour piano de 1923. C’est le mouvement le plus développé de l’œuvre. Britten y respecte le caractère de cette danse ancienne à trois temps où le deuxième est accentué. Enfin, le Frolicsome Finale (Finale allègre), conçu au départ d’éléments de la Sonate pour piano n° 9 de 1926 et d’une chanson de 1925, offre une conclusion tumultueuse et pleine d’esprit, sollicitant des instrumentistes une adresse et une précision redoutables. 3 De gauche à droite : Rostropovitch, Oïstrakh, Britten et Chostakovitch. BRITTEN CELLO HAYDN SYMPHONY (1962-1963) Londres. Le 21 septembre 1960, Britten Deuxième saison londonienne. assiste, au Royal Festival Hall de Londres, à la création anglaise du 1er Concerto pour violoncelle de Chostakovitch. Placés dans la même loge, les deux compositeurs sympathisent aussitôt. Britten est subjugué par le jeu de Mstislav Rostropovitch, dédicataire et interprète de l’œuvre : « C’est le violoncelliste le plus extraordinaire que j’ai jamais entendu. » Une deuxième amitié se noue immédiatement, et Rostropovitch réclame des œuvres nouvelles au compositeur. En 1961, Britten dédie à Rostropovitch sa Sonate pour violoncelle op. 65. L’année suivante, après une brève maladie, Rostropovitch supplie : « Si vous voulez que je me rétablisse complètement, je vous demande de voir le médecin dont l’adresse est : The Red House, Aldeburgh, Suffolk [le domicile de Britten]. Lui seul peut me ramener à la vie en composant un brillant concerto pour violoncelle. » Britten lui répond le 14 mars 1962 pour lui exprimer son regret d’avoir été totalement absorbé par d’autres travaux (principalement son War Requiem), mais ajoute cependant : « Je suis déterminé à en écrire un pour vous, et nous pouvons au moins discuter de ce à quoi il va ressembler. » Le 6 juin, Rostropovitch le rassure : « Écrivez pour le violoncelle tout ce que votre cœur vous dictera, peu importe la difficulté ; mon amour pour vous m’aidera à maîtriser chaque note, même les plus impossibles. » La Révolution de 1789 ayant perturbé la vie musicale parisienne, Londres devient la plus importante métropole musicale d’Europe. Dans la capitale anglaise prospèrent les éditeurs de musique et les ateliers de facture instrumentale ; la musique connaît une activité très développée et variée. Les concerts sont publics, accessibles à tous, gouvernés par les lois du marché. Le public afflue dans de grandes salles de concert où se produisent des orchestres de plus grande taille que ceux que l’on rencontre sur le continent. À 62 ans, libéré de son employeur le Prince Esterházy, Joseph Haydn (1732-1809) n’hésite pas longtemps à répondre favorablement à une seconde invitation de l’organisateur de concerts Johann Peter Salomon. Entre février 1794 et août 1795, il présente à Londres six nouvelles symphonies (nos 99-104) qui, par leur instrumentation et leur envergure, surpassent le premier groupe des Symphonies « londoniennes ». Surtout, il excelle à concevoir une musique qui s’adresse pareillement aux connaisseurs et aux amateurs, populaire sans renoncer pour autant à un haut niveau d’exigence artistique. Moscou. Entamée à l’automne 1962, la Cello Symphony est achevée en avril 1963 et créée le 12 mars de l’année suivante, au Conservatoire de Moscou, par Rostropovitch et l’Orchestre Philarmonique de Moscou dirigé par Britten. L’œuvre est rejouée quatre jours plus tard à Leningrad. À Moscou, le finale est bissé en réponse à l’enthousiasme des étudiants. Après une reprise en juin au Festival d’Aldeburgh, puis en juillet aux Pays-Bas, la Cello Symphony est enregistrée par Decca. Mais en 1965, 4 SYMPHONIE N° 101 L’HORLOGE (1793-1794) après avoir joué l’œuvre de nombreuses fois et entendu l’enregistrement au New York Cellists’Club, Rostropovitch écrit à Britten : « J’ai presque pleuré : je la joue tellement mieux maintenant et je suis si triste que nous ne pouvons pas l’enregistrer de nouveau ! ». Concertante. À la différence des concertos habituels, qui opposent avec vigueur soliste et orchestre, la Cello Symphony se présente davantage comme une « symphonie concertante » où l’instrument soliste se fond dans l’orchestre. S’ouvrant par une introduction déclamatoire du violoncelle, l’Allegro maestoso initial répond au plan de la forme sonate opposant deux thèmes, selon la succession habituelle : exposition, développement, réexposition. Agité et brillant, le Presto inquieto est un scherzo qui bourdonne de traits rapides et fugaces. Insaisissable et virtuose, il distille un sentiment d’inquiétude. Tout à l’opposé, l’Adagio offre un moment d’intensité remarquable, un discours tour à tour noble et grandiloquent, ponctué d’interventions remarquées des timbales et des cuivres. Une cadence du soliste conduit sans interruption au finale en forme de passacaille, danse lente à trois temps reposant sur la répétition d’un motif obstiné, ici une série d’accords énoncés par le soliste sous un solo de trompette. De caractère éminemment variable, cette Passacaglia (Andante allegro) égrène six variations et une coda. Par la suite, Britten composera encore trois Suites pour violoncelle à l’attention de Rostropovitch, et dédiera son cycle de mélodies The Poet’s Echo op. 76 (1965), à l’épouse de son ami, la soprano Galina Vichnevskaïa (décédée le 11 décembre dernier). L’horloge. La Symphonie n° 101 « L’Horloge » doit son surnom au « tic-tac » qui berce tout son deuxième mouvement. Tandis que les trois derniers mouvements furent composés en 1793 en Autriche, le premier mouvement ne fut achevé qu’en 1794, à Londres. Plus avancée que la 100e, la 101e Symphonie fut jouée la première. Une inversion de numérotation serait donc plus fidèle à l’histoire… Le premier mouvement débute, de manière mystérieuse, par une introduction Adagio en ré mineur. Cordes et bois semblent se mouvoir avec étrangeté, dans un climat énigmatique. Le Presto à 6/8 qui suit en prend d’autant plus de relief. Preste et alerte, son thème principal bondit aux oreilles et rafraîchit instantanément l’atmosphère par sa fière tonalité de ré majeur. Dans l’Andante en sol majeur à 2/4, c’est évidemment le « tic-tac » des bassons, seconds violons, violoncelles et contrebasses qui attire aussitôt l’attention. Le fameux surnom « L’Horloge » circula très vite à son sujet, car une réduction pour piano de ce mouvement, intitulée Rondo… Die Uhr (« Rondo… L’Horloge ») parut dès 1798 à chez un éditeur viennois. Peut-être Haydn fut-il inspiré par son travail de composition de 32 pièces pour les horloges musicales de son ami Primitivus Niemecz (1750-1806) ? Le thème principal, tout à la fois, calme, altier et élégant, y comporte nombre de rythmes pointés qui lui confèrent un caractère quelque peu français. Quoi qu’il en soit, le mouvement entier frappe par « sa construction subtile, sa puissance et ses merveilles d’orchestration » (Marc Vignal). De dimensions étonnantes pour l’époque (le scherzo de la Symphonie n° 3 « Héroïque » de Beethoven sera le premier à le surpasser en longueur), le Menuet (Allegretto) présente en son centre, une « plaisanterie » passagère : le solo de flûte est d’abord sciemment dissonant, puis l’accompagnement « corrigé » à sa répétition. La fin renoue avec la nuance piano (Haydn supprima deux accords conclusifs forte, prévus à l’origine). Le Menuet sera adapté, la même année (1793), sous forme de pièce pour horloge musicale. Quant au Finale (Vivace), il s’agit d’un mélange de forme rondeau (couplets/refrain) et de forme sonate (opposition de deux thèmes). Savant mélange d’humour et de science, il présente, à la fin, un fugato des cordes marqué pianissimo. La coda consacre le retour des vents pour l’apothéose finale. ÉRIC MAIRLOT 5 PIETER wISPELWEY PIETER-JELLE DE BOER DIRECTION VIOLONCELLE Né près d’Eindhoven (Pays-Bas) en 1978, Pieter-Jelle de Boer étudie aux conservatoires d’Amsterdam, Lyon et Paris (avec Zsolt Nagy). Il suit également les conseils de Murray Perahia, Emanuel Ax, Jacques Rouvier et Peter Eötvös. En tant que chef assistant, il travaille aux côtés de Yoel Levi, Kwamé Ryan et Laurence Equilbey. Lauréat de concours d’orgue (Alkmaar, Freiberg), de piano et de musique de chambre (Concertgebouw d’Amsterdam), il remporte le concours international de direction d’orchestre Antonio Pedrotti en 2010. Il dirige l’Orchestra Haydn di Bolzano e Trento, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, l’Orchestre de Bretagne, l’Orchestre National d’Île-deFrance, le Staatsorchester Braunschweig… En 2009, il sort un enregistrement d’œuvres pour piano de Mendelssohn (loué par la critique française pour sa « musicalité rayonnante » et son « charme à l’état pur »), et en 2012, des œuvres pour piano de Rachmaninov. Début 2013, il enregistre un programme Janácek avec le Chœur Accentus et le pianiste Alain Planès (Naïve) et dirige l’Orchestre National Bordeaux-Aquitaine pour un programme Mozart (dans lequel il joue aussi en soliste au piano). Chef assistant de l’OPRL dès 2009, Pieter-Jelle de Boer a notamment dirigé l’OPRL en juin 2011 pour Pirate des Caraïbes. www.pieterjelledeboer.com 6 Né à Haarlem (Pays-Bas) en 1962, Pieter Wispelwey étudie avec Dicky Boeke et Anner Bylsma à Amsterdam, puis se perfectionne avec Paul Katz à Rochester (États-Unis) et William Pleeth en Angleterre. Célèbre pour son interprétation des Suites de Bach et de Britten, Pieter Wispelwey est aussi à l’aise sur instrument d’époque que sur instrument moderne. Il mène une carrière qui le mène sur les cinq continents. Il fera bientôt une grande tournée en Australie, centrée sur les concertos dédiés à Rostropovitch, avec les orchestres de Sydney, Melbourne, Canberra, du Queensland… Il jouera aussi bientôt avec les orchestres d’Irlande, Varsovie, Stuttgart, Bonn, Winterthur et São Paulo. Il a réalisé une vingtaine de CD chez Channel Classic, Onyx et Penguin Classics. Les plus récents comportent le Concerto de Walton (Orchestre Symphonique de Sydney, dir. J. Tate), la Symphonie concertante de Prokofiev (Philharmonique de Rotterdam, dir. V. Sinaisky), la Cello Symphony de Britten (Philharmonie des Flandres, dir. S. Kim). Pieter Wispelwey joue des instruments de Giovanni Battista Guadagnini (1760) et Rombouts (1710). Avec l’OPRL, il a joué Tout un monde lointain de Dutilleux (2001), le Concerto n° 1 de Chostakovitch (2006), le Concerto n° 2 de Schnittke (2008) et a participé au Festival À toutes cordes (2011). www.pieterwispelwey.com ORCHESTRE PHILHARMONIQUE ROYAL DE LIÈGE Soutenu par la Fédération WallonieBruxelles (avec le concours de la Loterie Nationale), la Ville de Liège, la Province de Liège, l’OPRL se produit à Liège, dans le cadre prestigieux de la Salle Philharmonique, dans toute la Belgique et à l’étranger. Après des chefs comme Fernand Quinet, Paul Strauss, Pierre Bartholomée ou Louis Langrée qui ont forgé l’identité de l’Orchestre, au carrefour des influences germanique et latine, Christian Arming, directeur musical depuis septembre 2011, pousse les feux de l’excellence et élargit les horizons de l’OPRL. La saison 2012/2013 est placée sous le signe de la liberté. Liberté du créateur face aux pouvoirs ou aux esthétiques dominantes (Chostakovitch, Mahler, Schoenberg, Beethoven, Dvorak…), ouverture à d’autres univers (Villa-Lobos, Gulda, Rouse, Ives…), à d’autres genres musicaux (baroque, musiques du monde, humour). Cette saison, l’OPRL propose plusieurs temps forts (intégrale des Sonates pour piano et violon de Beethoven, Festival I Í Rachmaninov, Festival Wagner 200). www.oprl.be DIAPASON D’OR pour le CD Franck avec Christian Arming : « Nous le trouvons passionnant. Incroyablement poétique. L’un des plus beaux Franck et sans conteste le plus inattendu, de la discographie ». (Diapason, janvier 2013) À ÉCOUTER britten, simple symphony wOrchestre de chambre anglais, dir. Benjamin Britten (DECCA) britten, cello symphony wPieter Wispelwey, Orchestre Symphonique des Flandres, dir. Seikyo Kim (ONYX) haydn, symphonie n° 101 (+ Symphonies londoniennes) wOrchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, dir. Nikolaus Harnoncourt (WARNER) wOrchestre Philharmonique de New York, dir. Leonard Bernstein (SONY) wOrchestre Philharmonique de Londres, dir. Eugen Jochum (DGG) 7 festival i love rachmaninov Samedi 2 février 2013 – 16h Vendredi 8 février 2013 – 20h RÉCITAL GOERNER RACHMANINOV DUO RACHMANINOV, Prélude op. 3 no 2 RACHMANINOV, Prélude op. 23 (nos 2, 5, 7) RACHMANINOV, Prélude op. 32 (nos 5, 10) RACHMANINOV, Sonate no 2 op. 36 RACHMANINOV, Études-Tableaux op. 39 Nelson Goerner, piano TCHAIKOVSKI, « Grande sonate » pour piano op. 37 LISZT, Deux légendes RACHMANINOV, Six pièces pour piano à 4 mains Benedetto Lupo & Bertrand Chamayou, piano Dimanche 3 février 2013 – 15h RACHMANINOV, Concerto pour piano n° 2 Bertrand Chamayou, piano OPRL | George Pehlivanian, direction RACHMANINOV 3 RACHMANINOV, Aleko, Introduction et danses RACHMANINOV, Concerto pour piano n° 3 Nelson Goerner, piano OPRL | George Pehlivanian, direction Dimanche 3 février 2013 – 17h RACHMANINOV 4 RACHMANINOV, Caprice bohémien RACHMANINOV, Concerto pour piano n° 4 Claire-Marie Le Guay, piano OPRL | George Pehlivanian, direction Mercredi 6 février 2013 – 18h30 Écouter la musique [gratuit] RACHMANINOV, Concerto pour piano n°2 Avec Jean-Marc Onkelinx, Bertrand Chamayou et Jean-Pierre Rousseau Samedi 9 février 2013 – 16h Les samedis en famille Dimanche 10 février 2013 – 15h RACHMANINOV 1 RACHMANINOV, Le Prince Rostislav RACHMANINOV, Concerto pour piano n° 1 Benedetto Lupo, piano OPRL | George Pehlivanian, direction Dimanche 10 février 2013 – 17h RACHMANINOV 2 RACHMANINOV, Le rocher RACHMANINOV, Concerto pour piano n° 2 Bertrand Chamayou, piano OPRL | George Pehlivanian, direction classiques viennois Proc hain concert jeudi 21 février 2013 – 20h MOZART, Symphonie n° 29 | WAGNER, Siegfried Idyll | BEETHOVEN, Symphonie n° 4 OPRL | Christian Arming, direction wEn musique, le « classicisme » commence à la mort de Bach (1750) et s’achève avec les premières flammes du « romantisme » (1830). Après le vent de liberté que fait souffler la 29e Symphonie de Mozart, une page plus intime et souriante, Siegfried Idyll de Wagner dont on commémore en 2013 le bicentenaire de la naissance. Enfin, porté par son amour pour Thérèse de Brunswick, Beethoven signe une 4e Symphonie qui fourmille d’innovations. 8