une enquête unique sonde les habitudes face au soleil et la

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Alors que le nombre de cas de mélanome ne cesse d'augmenter,
une nouvelle étude révèle que 52 % des personnes dans le monde
n'ont jamais fait examiner leurs grains de beauté par un dermatologue.
La Roche-Posay encourage les individus à faire contrôler leurs grains de beauté
grâce à la campagne internationale de sensibilisation SKINCHECKER
Plus un mélanome est détecté tôt et plus il peut être traité efficacement dans 90 %* des cas.
L'institut de sondage Ipsos a réalisé pour La Roche-Posay une enquête exclusive dans
23 pays répartis sur tous les continents, afin de sonder les différentes habitudes face au soleil
et les connaissances générales sur les risques de l'exposition aux rayons UV.
Pas moins de 88 % des personnes interrogées ont conscience du risque de cancer de la peau
en cas d'exposition au soleil sans protection. Toutefois, à peine 1 personne interrogée sur 2 a
déjà consulté un dermatologue pour faire examiner ses grains de beauté et 1 personne
interrogée sur 4 n'a jamais fait contrôler ses grains de beauté. Depuis des années,
La Roche-Posay fait de la prévention du cancer de la peau une priorité et lance aujourd'hui
une nouvelle campagne virale avec une approche totalement contemporaine qui encourage
les individus à tenir la barre et à jouer un rôle proactif dans le processus de dépistage
du mélanome, en examinant de près leur propre peau et celle de leurs proches.
Habitudes au soleil : les Belges aiment le soleil mais se protègent mal.
À peine 6 % des Belges se protègent tout au long de l'année contre le soleil et la Belgique est
donc l'un des plus mauvais élèves de la classe.
95 % des parents belges appliquent une crème solaire à leurs enfants de moins de
12 ans par rapport à la moyenne de 87 %**. Nous protégeons donc bien nos enfants, mais nous
sommes beaucoup moins stricts avec nous-mêmes. Un chapeau ? À peine 32 % des Belges en
portent un et seulement 39 % se mettent à l'ombre pendant les heures les plus chaudes de la
journée, alors que l'étude indique une moyenne de 39 %**. À peine 7 % des Belges portent un
T-shirt à longues manches ou un vêtement de protection et ici, le score moyen est d'environ
25%** plus élevé.
Perception du soleil
Pas moins de trois quarts des Belges, 72 %, sont convaincus que le bronzage nous donne un look
sexy. Les Belges ne peuvent pas concevoir de revenir de vacances sans être bronzés.
Toutefois, nous sommes conscients des risques puisque 93 % des Belges pensent que le soleil
peut être à l'origine de problèmes de santé et autant de Belges sont convaincus que l'exposition
au soleil accélère le vieillissement de la peau.
* Source : www.euromelanoma.org/press, EPI factsheet 2014
**moyenne des personnes interrogées dans les 23 pays
SOUS EMBARGO JUSQU'AU 19 MARS – 12 heures
Connaissance des risques et contrôle des grains de beauté
18 % des Belges, contre 21 %*, sont convaincus qu'il n'est plus nécessaire d'appliquer une
protection solaire lorsque l'on est déjà bronzé. Et 63 % de notre population est convaincue
qu'un SPF50+ est uniquement destiné aux personnes présentant un profil à risque. Cependant,
87 % des Belges sont conscients que le banc solaire présente un risque, alors que ce score est
seulement de 81 %* dans les 22 autres pays.
Faire examiner les grains de beauté par un dermatologue est une habitude qui n'est pas encore
entrée dans les mœurs et ce, nulle part, car à peine 10 % des Belges, contre
11 %*, font contrôler leurs grains de beauté une fois par an par un dermatologue. Presque
la moitié des Belges, à savoir 47 %, n'a jamais fait examiner ses grains de beauté par un
dermatologue. Dans les autres pays, ce chiffre est même de 52 %*. Un seul chiffre est le même
dans tous les pays : un tiers, à savoir 33 % des personnes interrogées pratiquent l'auto-examen.
UNE ENQUÊTE UNIQUE SONDE LES HABITUDES FACE AU SOLEIL
ET LA PRÉVENTION DU CANCER DE LA PEAU DANS 23 PAYS
C'est une vérité universelle : la plupart des personnes, aux quatre coins du globe, aiment
le soleil. Toutefois, nombreuses sont celles qui ont un double sentiment à cet égard. D'une part,
nous croyons que le soleil nous donne de l'énergie et que le bronzage nous fait paraître en
bonne santé mais d'autre part, il existe une prise de conscience largement répandue des
dangers et des risques de l'exposition au soleil. 88 % d'entre nous sommes conscients des
dangers de l'exposition au soleil sans protection. Bien qu'il existe un lien évident entre la prise
de conscience des risques et le comportement préventif – en d'autres termes, mieux nous
sommes informés, plus nous nous protégeons contre le soleil – les mesures préventives sont
toujours insuffisantes, étant donné le nombre croissant de cas de mélanome. Bien que
8 personnes sur 10 se protègent contre le soleil, 4 personnes sur 10 oublient de le faire en
dehors de la période de vacances. Encore plus inquiétant : il est rare de consulter un
dermatologue en cas de premiers symptômes de cancer de la peau, qui sont souvent visibles
à l'œil nu. Seulement 1 personne sur 3 dans le monde contrôle ses grains de beauté au moins
une fois par an et plus de la moitié de la population n'a jamais conseillé à un membre de
la famille ou à un ami de se faire examiner.
D'après Laïla Idtaleb, Directrice du Département Santé chez IPSOS, « cette enquête souligne
les différentes contradictions des personnes interrogées : à la prise de conscience des risques
s'oppose le désir de s'exposer au soleil, et malgré le fait que l'on connaît les signes potentiels
de cancer de la peau, on refuse de contrôler systématiquement et régulièrement soi-même
ses grains de beauté ou de les faire examiner par un dermatologue. L'étude montre également
les différences de mentalité à cet égard en fonction du pays, du sexe, du groupe d'âge et
du niveau de formation. »
*moyenne des personnes interrogées dans les 23 pays
SOUS EMBARGO JUSQU'AU 19 MARS – 12 heures
Les champions du monde de la protection solaire
Cette enquête a été réalisée dans 23 pays répartis sur tous les continents. Elle a révélé qu'en
dépit de facteurs géographiques, climatologiques et liés à la formation, il existe quelques
champions étonnants de la protection solaire et de la prévention du cancer de la peau, mais il y
a aussi quelques pays qui accusent un sérieux retard.
Lorsqu'on les interroge sur leurs habitudes en matière de protection solaire, un nombre
étonnamment élevé de Grecs (34 %) déclarent qu'ils se protègent toute l'année, quelle que soit
la saison. Ils sont suivis de près par les Chiliens (33 %) et les Australiens (32 %). Étonnamment,
ce sont également les habitants de ces 3 mêmes pays qui tentent de rester le plus à l'ombre
lorsque le soleil brille. De l'autre côté du spectre, nous trouvons la Belgique, le Danemark et la
Russie, où à peine 6 % de la population prétend se protéger toute l'année contre le soleil.
L'Irlande, l'Italie et le Portugal enregistrent les meilleurs résultats en ce qui concerne l'utilisation
d'une crème solaire : 69 % de leur population déclarent l'appliquer sur le visage, tandis que chez
les Mexicains, ce taux n'est que de 35 % alors qu'ils devraient être mieux informés puisqu'ils
s'exposent souvent au soleil. Seuls les Russes enregistrent un résultat encore plus mauvais :
seulement 19 % d'entre eux appliquent une crème solaire.
Enfin, partout dans le monde, 87 % des parents d'enfants de moins de 12 ans déclarent qu'ils
appliquent toujours ou souvent une protection à leurs enfants lorsqu'ils s'exposent au soleil.
À cet égard, il n'y a guère de différence entre les pays.
Une tendance nationale à l'examen de la peau
Bien que l'Australie et l'Amérique du Sud soient deux des régions les plus ensoleillés du monde,
les Européens semblent, contre toute attente, être les plus enclins à (faire) examiner leur peau.
Les premiers sont l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie, dont la population fait examiner le plus
souvent ses grains de beauté par un dermatologue, et où respectivement
24 %, 23 % et 20 % des habitants le font une fois par an. Une fois de plus, la Finlande est
lanterne rouge : dans ce pays, à peine 1 % de la population fait examiner ses grains de beauté
par un dermatologue au moins une fois par an.
« Le mélanome est la forme la plus grave de cancer de la peau, mais lorsqu'il est détecté et traité
de manière précoce, il est presque toujours guérissable.» explique le professeur Giuseppe
Argenziano, docteur en médecine et Président de la Société internationale de Dermoscopie.
« Par conséquent, il est d'autant plus important de s'examiner régulièrement afin d'identifier
tout signe de modification ou de grossissement de grains de beauté et pour contrôler l'aspect de
toute nouvelle marque sur la peau. La lutte contre le cancer de la peau commence chez soi et
plus les personnes examineront leur peau et la peau de leurs proches, plus elles consulteront un
dermatologue et plus nous pourrons faire la différence en intervenant de manière précoce. »
SOUS EMBARGO JUSQU'AU 19 MARS – 12 heures
La Grèce, l'Australie et l'Autriche enregistrent les meilleurs résultats en ce qui concerne l'autoexamen : dans ces pays, respectivement 52 %, 48 % et 45 % de la population prétend contrôler
ses grains de beauté au moins une fois par an. La Russie et le Brésil (nous devrions nous
attendre à un peu plus de prudence de la part de ce dernier !) ne semblent pas encore avoir
adopté cette habitude, car seulement 5 % et respectivement 14 % de leur population contrôlent
chaque année ses grains de beauté. L'Italie (66 %), le Portugal (63 %) et l'Autriche (59 %) sont
une fois de plus les pays dont les habitants recommandent le plus souvent à leurs familles ou
leurs amis de faire contrôler leurs grains de beauté.
Les femmes face aux hommes
Comme à bien d'autres égards, les hommes et les femmes des quatre coins du globe semblent
également avoir des habitudes très différentes en matière de protection solaire. Alors qu'en
général, les hommes évitent plutôt le soleil en portant des manches longues
(21 % d'hommes contre 16 % de femmes) et un chapeau ou une casquette (45 % d'hommes
contre 32 % de femmes), les femmes ont beaucoup plus tendance à appliquer une crème solaire
lorsqu'elles s'exposent au soleil.
69 % des femmes appliquent systématiquement
une crème solaire sur leur visage, contre seulement 45 % des hommes. La même différence
significative est enregistrée pour l'application d'une crème solaire sur le corps : seulement
1 homme sur 2 enduit son corps d'une protection solaire, alors que ce rapport est de 2 sur 3
chez les femmes.
En outre, l'enquête montre également que les individus partout dans le monde sont
parfaitement informés des risques de cancer de la peau, mais que les femmes semblent un peu
mieux informées en la matière. 78 % des femmes savent que le degré d'exposition au soleil dans
l'enfance est lié au risque de cancer de la peau, tandis que ce taux est de 71 % chez les hommes
interrogés. En outre, 90 % des femmes ont conscience que le risque de développer un cancer de
la peau est en corrélation avec l'absence de protection solaire, contre 85 % des hommes.
Jeunes et insouciants
Rien d'étonnant à ce que les adolescents âgés de 15 à 19 ans soient les plus désinvoltes lorsqu'il
s'agit de protection solaire et de prévention du cancer de la peau. C'est d'autant plus inquiétant
lorsque l'on sait que 80 % des dommages causés par le soleil à la peau se manifestent avant
l'âge de 18 ans. À peine 46 % d'entre eux se mettent à l'ombre lorsque le soleil brille, tandis que
ce sont surtout les adultes âgés de 55 à 65 ans qui se retirent dans des endroits ombragés les
jours de soleil (55 %). De plus, les adolescents ne semblent pas non plus apprécier les
accessoires pour se protéger du soleil – nous ignorons s'il s'agit d'une mode ou d'un simple
esprit de rébellion, mais c'est cette catégorie d'âge qui porte le moins de lunettes solaires (46 %)
et des chapeaux (26 %). Il n'est dès lors pas étonnant de voir que plus on vieillit, plus on porte
souvent un chapeau : 46 % des 55-65 ans en portent un !
SOUS EMBARGO JUSQU'AU 19 MARS – 12 heures
C'est le groupe des 35-44 ans qui applique le plus souvent une crème solaire pour le corps
(63 %), tandis que les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans semblent plus préoccupés par
les dommages causés par le soleil sur leur visage, qu'ils protègent le plus souvent avec une
crème solaire (61 %).
Chapeau bas pour… !
La Roche-Posay et Ipsos ont interrogé des habitants de 23 pays pour connaître leurs préférences
en matière de mode au soleil. L'Australie, la Grèce et la Finlande choisissent tous les trois le
chapeau ou la casquette pour protéger leur visage contre les dangers potentiels des rayons
solaires. Les Français et les Grecs préfèrent porter des lunettes solaires (respectivement 74 % et
78 % de la population). De leur côté, les Mexicains et les Chiliens optent pour une chemise à
longues manches comme vêtement pour se protéger du soleil (respectivement 43 % et 36 %).
Méthodologie de l'étude
Ce sondage a été réalisé par Ipsos pour La Roche-Posay dans 23 pays du globe (Australie,
Belgique, Brésil, Canada, Chili, Danemark, Allemagne, Finlande, France, Grèce, Irlande, Italie,
Mexique, Norvège, Autriche, Pologne, Portugal, Russie, Espagne, Royaume-Uni, USA, Suède,
Suisse). Dans chacun de ces pays, entre 500 et 1000 personnes (hommes et femmes) ont été
interrogées (échantillons de la population représentatifs de chaque groupe de population
nationale entre 15 et 65 ans). Au total, entre le 3 décembre 2014 et le 8 janvier 2015, 19.569
personnes ont été interrogées.
Les enquêtes ont été réalisées en ligne, sauf en Russie (face-à-face), au Brésil, en Grèce et au
Mexique (entrevues téléphoniques).
UNE CAMPAGNE MISE SUR PIED EN RAISON DE L'AUGMENTATION
PRÉOCCUPANTE DU NOMBRE DE CAS DE CANCER DE LA PEAU
Pas moins de 73 % de la population mondiale déclare se démener davantage pour la santé
de sa famille et/ou de ses amis que pour sa propre santé.
La Roche-Posay, une grande marque dermocosmétique recommandée par 25.000
dermatologues dans le monde entier, lance aujourd'hui “Skinchecker”, une nouvelle campagne
de sensibilisation internationale virale en vue d'inciter le grand public à jouer un rôle actif dans
le dépistage précoce du cancer de la peau.
Le cancer de la peau est le seul type de cancer visible à l'œil nu et lorsqu'un mélanome est
détecté de manière précoce, il peut, dans 90 % des cas, être traité efficacement. Partenaire
depuis de nombreuses années des dermatologues et de la recherche dermatologique, et allié de
toutes les personnes souffrant d'une peau sensible, La Roche-Posay s'inquiète du nombre sans
cesse croissant de cas de cancer de la peau. En Europe, le cancer de la peau est devenu la 9ème
forme de cancer la plus fréquente, avec 100.000 nouveaux diagnostics en 2012, rien que pour
l'Europe.1 C'est cette préoccupation qui est à l'origine de cette campagne.
1
Cancer Research UK,
SOUS EMBARGO JUSQU'AU 19 MARS – 12 heures
Depuis de nombreuses années, La Roche-Posay fait de la prévention du cancer de la peau une
priorité et cette nouvelle campagne sera soutenue au niveau local par des dermatologues et des
fondations nationales contre le cancer de la peau.
Aujourd'hui, La Roche-Posay souhaite impliquer davantage de personnes dans la lutte contre le
cancer de la peau, et ce pas individuellement mais collectivement. Avec cette campagne, nous
voulons déclencher un processus dans la société en diffusant un message simple et clair, à savoir
que chacun peut devenir un ambassadeur de cette lutte.
« Cette enquête confirme que les individus réalisent aujourd'hui plus que jamais que l'exposition
au soleil implique des risques de cancer de la peau. » déclare Elisabeth Araujo, directrice
internationale de La Roche-Posay. « Le mélanome reste toutefois la seule forme de cancer pour
laquelle le taux de mortalité n'a pas diminué ces dernières décennies et il est donc ahurissant de
constater qu'aussi peu de personnes pratiquent l'examen de leurs grains de beauté chez elles.
Nous sommes convaincus que cette campagne pourra vraiment faire la différence dans la lutte
contre le cancer de la peau – un combat qui commence par l'examen attentif de notre peau et de
celle de nos proches. »
Aussi simple qu'ABCDE
La campagne Skinchecker se déroule via les sites Web locaux de La Roche-Posay. Pour toucher
et informer un maximum de personnes dans le monde, la marque fournit des informations
sommaires, faciles à retenir et adaptées à chaque public. Grâce à la méthode "ABCDE"
appliquée par des dermatologues dans le monde entier, La Roche-Posay fournit aux Skin
Checkers une méthode à cinq points destinée à identifier immédiatement les problèmes
potentiels et à les encourager à consulter un dermatologue dans les plus brefs délais.
Le site Web permet également de suivre l'influence de la campagne aux quatre coins
du globe et de découvrir des discussions sur le sujet qui ont lieu en temps réel grâce à un fil
d'actualité Twitter. La campagne vise à tout simplifier : un seul clic pour télécharger
la méthode ABCDE, un clic pour partager avec un ami et l'encourager à devenir lui aussi un
Skinchecker.
http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/cancerstats/types/skin/incidence/uk-skin-cancer-incidence-statistics
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À PROPOS DE LA ROCHE-POSAY
La Roche-Posay veut changer la vie des peaux sensibles. Cette marque de dermocosmétique
fondée en 1975 par un pharmacien est recommandée par 25.000 dermatologues dans le
monde. La Roche-Posay est présente dans plus de 60 pays et est la marque de
dermocosmétique la plus prescrite au Brésil, en Russie et à Taiwan. Ces 10 dernières années, La
Roche-Posay a triplé son chiffre d'affaires et a enregistré, pendant 5 années successives, une
croissance à deux chiffres. En Europe, La Roche-Posay a progressé 3 fois plus vite que le marché
proprement dit.
Chez La Roche-Posay, tout repose sur l'engagement à changer la vie des personnes souffrant
d'une peau sensible, qu'il s'agisse des enfants ou des adultes. Tous les produits de la marque
présentent une composition minimaliste et efficace et renferment l'Eau Thermale unique de La
Roche-Posay, connue depuis toujours pour ses nombreux bienfaits. Tous les produits La RochePosay sont sûrs, hypoallergéniques et ont été testés par des dermatologues sur des peaux
allergiques, atopiques et réactives. L'efficacité et la sécurité de ces produits ont été démontrées
dans plus de 600 études cliniques et observationnelles dans le monde, dont 80 ont déjà été
publiées dans les plus grandes revues internationales.
Via la Fondation La Roche-Posay, une fondation qui est sous l'égide de la Fondation de France, la
marque s'engage depuis de nombreuses années pour la dermatologie. La fondation créée en
1995 travaille activement à la recherche clinique, biologique et pharmacologique dans le
domaine de la dermatologie et apporte en outre son soutien et ses encouragements à des
initiatives de charité lancées par des dermatologues.
À PROPOS D'IPSOS
Ipsos est un institut de sondage indépendant dirigé par des professionnels du secteur.
L'entreprise créée en France en 1975 s'est hissée au rang de groupe international d'études de
marché avec une forte présence sur tous les grands marchés. Ipsos est le numéro trois du
palmarès mondial des instituts de sondage.
Avec des succursales dans 87 pays, Ipsos opère dans six spécialités : publicité, fidélisation de la
clientèle, marketing, médias, affaires publiques et gestion des enquêtes.
Les chercheurs d'Ipsos évaluent le potentiel du marché et interprètent les tendances. Ils
développent et produisent des marques. Ils aident les entreprises à développer des relations à
long terme avec leurs clients. Ils testent la publicité, étudient la réaction aux différents médias
et sondent l'opinion publique à travers le monde.
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CONTACTS POUR LA PRESSE
Charlotte Boucher - [email protected] - 0477 67 41 85
Cécile Mariet - [email protected] - 02 556 46 23
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WWW.LAROCHE-POSAY.BE/SKINCHECKER
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