technologies traditionnelles et appropriées

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TECHNOLOGIES TRADITIONNELLES ET APPROPRIÉES
Introduction
Approvisionnement en eau
Irrigation
Conserver l’eau dans et hors des habitations
Pêche et conservation du poisson
L’eau et la Loi
Architecture et habitat
Travaux des chercheurs et des étudiants de la FLASH
Bibliographie
INTRODUCTION
La technologie combine la connaissance de processus permettant de transformer des matériaux bruts
en produits utiles avec des savoir-faire et des équipements destinés à fournir des biens et des
services à une population.
Les humains n’auraient pu survivre s’ils n’avaient été capables de capter et transformer l’énergie
disponible dans leur milieu naturel (climatique, géologique, végétal et animal) pour produire ce qui leur
permettrait de répondre à leurs besoins essentiels.
Les méthodes de production et la quantité d’énergie récupérée dépendent, elles, d’une interaction
entre la manière dont une population organise son travail et utilise sa technologie pour exploiter les
ressources naturelles en fonction des caractéristiques de son environnement, notamment l’eau
disponible, y compris la pluie, les périodes d’ensoleillement, la nature des sols, les forêts, les
minerais… L’environnement ne peut constamment subir des modifications. Il en va de même de la
technologie, car le nombre des solutions techniques est limité. C’est pourquoi ces deux données
imposent à la fois des contraintes et des opportunités et caractérisent aussi la manière de vivre d’une
population. C’est pourquoi aussi deux objets utilisés aux mêmes fins peuvent exister chez des
populations n’ayant aucun contact ; l’on parle alors de convergence technologique. Toutefois,
l’environnement peut comprendre une population voisine. La majorité des emprunts techniques se fait
entre populations voisines depuis la préhistoire, par l’échange, le commerce, voire le don.
Echange et réciprocité
La réciprocité des échanges implique le don et le contre-don mutuels entre des personnes ayant
le même statut, mais le contre-don immédiat n’est pas obligatoire, ni le calcul systématique de la
valeur des services et des produits échangés. Cette réciprocité n’implique pas non plus que la
valeur de l’échange soit clairement annoncée, ou qu’une compensation soit nécessaire.
La propriété des sols, de l’eau ou d’autres ressources naturelles constitue l’un des aspects les
plus importants du contrôle social, voire économique et politique, car la possession de ces
ressources implique une certaine forme de coercition exercée par les personnes ayant un statut
supérieur à celui des autres membres d’une société.
■ MAUSS, M. (1968 et 2007). "Essai sur le don", in Sociologie et anthropologie. Paris, PUF.
Les humains peuvent survivre dans des milieux très divers, allant des déserts aux forêts tropicales
humides et aux glaces arctiques, en adaptant leur mode de vie (leur culture), en choisissant certains
comportements, en s’ajustant aux ressources disponibles dans leur environnement afin de répondre le
mieux possible à leurs besoins essentiels.
Les sociétés traditionnelles ont développé des liens et des structures sociales qui leur permettent de
s’ajuster aux ressources disponibles selon les saisons. Grâce à une patiente observation de la nature
vivante, ces sociétés savent jusqu’où leur environnement peut supporter un certain nombre
d’habitants, l’usage de techniques spécifiques de production sans en dégrader les ressources
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naturelles. L’utilisation de techniques traditionnelles implique de les étudier tout d’abord dans leur
contexte, mais aussi de les améliorer lorsque c’est possible.
L’étude des technologies traditionnelles fait partie de la recherche anthropologique ; elle a été lancée
par Marcel Mauss, dans son article fondateur de cette discipline sur les techniques du corps, où il
écrit : "J’appelle technique un acte traditionnel et efficace (et vous voyez qu’en ceci il n'est pas
différent de l’acte magique, religieux, symbolique). Il faut qu’il soit traditionnel et efficace. Il n’y a pas
de technique et pas de transmission, s’il n’y a pas de tradition. C’est en quoi l’homme se distingue
avant tout des animaux: par la transmission de ses techniques et très probablement par la
transmission orale".
■ MAUSS, M. (1936). "Les techniques du corps", in Sociologie et anthropologie : 371-372.
L’étude des technologies traditionnelles requiert d’observer la manière dont une technique est utilisée,
de recueillir des informations en questionnant ses utilisateurs sur les différentes étapes impliquées, les
matériaux bruts qu’elle exige, l’équipement nécessaire pendant le processus de production, le statut
social de ses utilisateurs, ses croyances, ses attentes et ses espoirs. Pour mieux comprendre une
technologie, il est important de l’étudier dans son ensemble et, si possible, de la mettre soi-même en
pratique : l’observation participante reste l’un des maîtres mots lorsque l’on étudie en profondeur une
société autre que la sienne. Selon la recommandation du Professeur André Leroi-Gourhan (19111986), éminent ethnologue, archéologue et historien français, grand spécialiste de la préhistoire, de la
technologie et de la culture : "La Technologie doit être d’abord vécue, pensée ensuite si le besoin s’en
fait encore sentir".
■ LEROI-GOURHAN, A. (1943-45 et 2000). Milieu et techniques. Paris, Albin Michel : 8.
Quels critères permettent-ils de parler de "technologie appropriée" ?
Dès 1979, l’OCDE publiait un Répertoire des Centres de Technologie Appropriée, car la technologie
appropriée présentait pour les pays en développement un option technologique intéressante. En effet,
l’expression "technologie appropriée" sous-entend qu’elle est "appropriable" par les populations qui en
font usage. La technologie appropriée couvre un ensemble de technologies se caractérisant par :
 un faible coût d’investissement par poste de travail ou par unité produite ;
 un haut degré d’adaptation à un environnement culturel et social spécifique, c’est-à-dire être
compatible avec les valeurs et les priorités locales ;
 l’utilisation rationnelle des ressources locales, par exemple faire appel à des matériaux
produits sur place plutôt qu’à du matériel et à des pièces de rechange importés lorsque c’est
possible ;
 être facile à utiliser et à entretenir à l’échelon du village, de la communauté ou de la
municipalité ;
 ne pas exiger un niveau de compétences techniques trop élevées ni un trop important
déploiement d’ingénieurs spécialisés ;
 utiliser efficacement la main d’œuvre locale ;
 créer de nombreux emplois ;
 un produit final de faible coût.
Lorsqu’il s’agit de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement, l’assouplissement des normes
ne doit en aucun cas se traduire par une réduction de la fiabilité du système afin de ne pas risquer de
nuire à la santé publique. Ainsi, dans certains pays en développement, lorsque l’alimentation en
électricité est peu fiable, les générateurs nécessaires pour l’entretien des pompes entraînent des
dépenses supplémentaires peuvent être activés par une source d’énergie appropriée telle que des
piles photovoltaïques exploitant l’énergie solaire, ou bien des pompes à éolienne permettant
l’approvisionnement en eau là où le vent est suffisamment puissant tout au long de l’année.
Lorsque des pompes à main peuvent être fabriquées localement, une recherche permettra d’adapter
les modèles aux conditions locales afin de faciliter leur mise en service et leur entretien par les
habitants du village.
Lorsque, dans les zones rurales, l’approvisionnement en produits chimiques pour le traitement de
l’eau s’avère une contrainte financière importante, une méthode simple mais fiable pour traiter l’eau
pourra être la filtration lente sur sable. Si la chloration reste le mode privilégié pour désinfecter l’eau,
elle suscite certaines inquiétudes pour l’environnement à cause de la présence de chlore résiduel
dans l’eau.
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Lorsque des bornes fontaines doivent être installées dans un village ou un quartier, il est recommandé
de prévoir leur localisation en demandant à leurs habitants de donner leur avis.
Photo © UNESCO / Brelet
Borne fontaine à Djenné, ville
classée Patrimoine mondial UNESCO
Photo © UNESCO / Brelet
Autour de la fontaine à Mougna, village à 43km de Djenné
APPROVISIONNEMENT EN EAU
Une eau saine est une eau qui ne contient pas de substances chimiques nocives ou de microorganismes en concentration telle sorte qu’ils puissent provoquer une maladie.
Un système d’approvisionnement en eau satisfaisant fournit une eau saine en quantité suffisante
pour la boisson, la cuisine, l’usage domestique e d’autres utilisations, de façon à garantir l’hygiène
personnelle de toute la famille. L’eau doit être disponible en quantité suffisante toute l’année, sans
risque de coupure, à proximité ou à l’intérieur de l’habitation où elle est utilisée".
L’assainissement recouvre tous les moyens de collecte et d’évacuation hygiénique des excreta et
des déchets liquides de la communauté pour protéger la santé des individus et de la communauté.
Une évacuation hygiénique des excreta a pour but d’éviter que les excreta a) n’entrent en contact
direct avec l’homme ; b) ne contaminent les eaux souterraines ou de surface ; c) ne soient accessibles
aux animaux ou aux insectes et e) ne créent de nuisances publiques ou privées.
Un système satisfaisant d’évacuation des excreta a pour but de permettre à chaque ménage
d’évacuer les excreta de façon hygiénique.
Un système d’élimination hygiénique des eaux usées vise à assurer une évacuation rapide et
complète des eaux usées domestiques et communautaires, y compris les eaux de pluie accumulées,
pour éviter la formation de flaques d’eau et de rigoles susceptibles d’abriter des gîtes larvaires de
vecteurs de maladies ou de nuire de quelque autre façon à la santé de la population.
Un système satisfaisant d’évacuation des eaux usées doit assurer la collecte, le traitement
hygiénique et/ou l’évacuation des eaux usées de tous les établissements humains.
Un niveau satisfaisant d’approvisionnement en eau, d’élimination des excreta et d’évacuation des
eaux usées implique en outre que des installations soient disponibles sur les lieux de travail, dans les
écoles, sur les marché, dans les bâtiments publics et autres lieux du même type.
■ OMS (1987).Technologie de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement dans les pays en
développement. Rapport d’un Groupe d’étude de l’OMS. Genève, OMS.
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Parmi les lacunes concernant l’approvisionnement constatées, notamment par l’OMS, dès le début
des années 1980, certaines subsistent dans les régions rurales de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit
notamment de la participation des populations à toutes les étapes d’un projet, de la coordination des
programmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement avec ceux des autres secteurs, de
l’association entre les programmes d’approvisionnement en eau et d’assainissement et d’autres
projets visant à améliorer la santé.
IRRIGATION
Diverses techniques traditionnelles utilisées en Europe, dans le Monde arabe et en Asie, depuis des
siècles, seraient très utiles pour apporter des solutions à la sécheresse et aux famines en Afrique subsaharienne où elles sont encore très largement ignorées. Selon l’architecte camerounais Vincent Kitio,
Conseiller technique du Programme "Best Practices & Local Leadership" de ONU-HABITAT (Nairobi)
et considéré aujourd’hui l’un des meilleurs spécialistes des techniques traditionnelles d’irrigation et
d’approvisionnement en eau sur le continent africain, "il y a une nécessité pressante de documenter,
d'adapter et de transférer ces technologies dans les zones où leur application convient. (…) La
créativité du secteur informel de l'Afrique va se rénover et adapter la technologie aux différentes
conditions sociales et économiques locales". Ces techniques traditionnelles comprennent notamment
la noria, la roue perse, le sakia ou saqiya, la pompe à vent, les qanats...
■ KITIO, V. (2007). "Ces technologies traditionnelles qui peuvent mettre fin à la famine en Afrique", in
Pambazuka News, n° 35, 21 novembre 2007 : http://www.pambazuka.org/fr/category/comment/44599
La noria
La noria est une machine hydraulique permettant d’élever l’eau grâce à une grande roue à ailettes où
sont fixés des godets. Elle tourne en utilisant l’énergie produite par le courant d’un fleuve ou d’une
rivière, captant ainsi dans ses godets en bois, pots en argile ou seaux en métal. Dans les zones sans
cours d’eau, un cheval, un âne, un mulet ou un bœuf les yeux bandés, fait tourner la roue des norias
utilisées pour remonter l’eau des puits afin d’irriguer les cultures.
Très répandues autrefois en Espagne, les norias y furent introduites par les Arabes, puis par des
prêtres espagnols au Mexique au cours de la période coloniale. Aujourd’hui, les seaux en plastique
remplacent les pots en argile ou aux seaux en bois.
Cette très ancienne technique pourrait permettre de réduire le prix du carburant qui ne cesse de
monter et a déjà un impact négatif sur la croissance économique de l’Afrique de l’Ouest.
La roue perse
Selon Vincent Kitio, la roue perse peut irriguer jusqu’à un hectare de champs. Cette machine
hydraulique est constituée de roues à deux vitesses où une chaîne de pots ou de seaux permet de
soulever l'eau à partir d'un puits (superficiel, ou profond). La roue perse tourne grâce à la force d'un
ou de deux animaux (âne, bœuf, buffle, chameau, cheval…) aux yeux bandés. La roue perse est
utilisée en Egypte, dans les pays méditerranéens, en Inde et en Chine depuis des millénaires, afin
d’irriguer les champs.
Le sakia ou saqiya
Autre technique très ancienne, le saqiya est constitué d’une grande roue de 1 à 2 m de circonférence
environ, portant des pelles fixées de manière à ce que l’eau se déverse en son centre. Les saqiyas,
autrefois en bois et activés par la force animale, maintenant par des moteurs électriques ou à essence
quand c’est possible, tendent à être remplacées par des machines en feuilles d’acier galvanisé,
comportant une boîte de vitesse afin de convertir la rotation horizontale de la roue en rotation
verticale.
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Selon la Station égyptienne de recherche et d'expérimentation hydraulique, plus de 300 000 saqiyas
sont en utilisation dans la vallée et le delta du Nil, activés pour la plupart par la force des animaux. Un
sakia de 5m de diamètre peut puiser 36m3 d'eau /heure.
Les pompes à vent
De simples pompes à vent, fabriquées en bois et en tissu sont utilisées en Grèce, surtout en Crète,
depuis des siècles afin d’irriguer les champs à partir d’un puits. Aujourd’hui, ces matières tendent à
être remplacées par le métal, plus résistant, afin de prolonger l’utilisation de ces machines – dont des
modèles miniatures vendus dans les boutiques de souvenirs connaissent un grand succès auprès des
touristes.
Les qanats, foggaras et khettaras
Certains système d’irrigation souterrain permettent de récolter les eaux d’infiltration. Les qanats, les
plus anciens (fin du Ier millénaire av. J-C.), se trouvent en Iran. Comparables à un aqueduc
souterrain, il en existe sous le nom de foggara en Algérie et de khettara au Maroc.
CONSERVER L’EAU DANS ET HORS DES HABITATION
TECHNIQUES DE PECHE
CONSERVATION DU POISSON
L’EAU ET LA LOI
Le droit foncier
ARCHITECTURE ET HABITAT
La Maison des Jeunes ou Saho, construite en 1943 à
Kouakourou, localité située à 45 km de Djenné et chef-lieu de
la commune de Kewa. Les jeunes peuvent y habiter de l’âge
de 7 ans jusqu’à leur mariage. Les filles et les garçons y
vivent à la fois ensemble et séparément, car ils occupent des
parties distinctes du Saho.
Photo © Kanambaye / FLASH,
Université de Bamako
TRAVAUX DES CHERCHEURS ET ÉTUDIANTS DE LA FLASH
- Valeurs thérapeutique de l’eau du fleuve Niger pour les populations Bozo et Somono des
communes de Mopti et Konna, par Aliou SALOUM
BIBLIOGRAPHIE
Technologie et anthropologie
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- (2003). "L’irrigation égyptienne, deux siècles de changement socio-territorial, parcours rétrospectif
dans l’histoire contemporaine." – Colloque international de Lille, L’agriculture institutionnelle en
Egypte Ancienne, Etat de la question et perspectives, 10 et 11 Juillet 2003, Maison de la Recherche
/ Université Charles de Gaulle / Lille 3, UMR 8027 CNRS / Habitat et sociétés urbaines en Egypte et
au Soudan, Institut de Papyrologie et d’Egyptologie.
Autres ressources
 Dr Vincent KITIO, Best Practices & Local Leadership Programme, ONU-Habitat, P.O. Box 30030,
Nairobi, Kenya – Courriel: [email protected]
 Moulins à vents : http://lezart.free.fr/moulin2.htm
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