INTRODUCTION : Le ( ) est l’ensemble des caractères observable d’un individu Par des caractères morphologiques ( yx chx peaux ) Par des caractères physiologiques ( état de santé atteint de la maladie génétique ). Dans une même espèce les individus présentent tous des caractères communs spécifique a l’espèce et des caractères différent individuels. Le ( ) d’un individu est directement contrôlé par les informations génétiques. Le ( ) est constitué de caractère visible a l’œil nu mais lié aux cellules de l’individu et liée aux molécules = substance chimique fabriquée dans les cellules de l’individu. I LA DIVERSITE DES PHENOTYPES : A/ ETUDE DES DIFFERENTS ECHELLES DES PHENOTYPES : TP n°1 Etude des ( ) d’une maladie génétique la drépanocytose Le phénotype macroscopique résulte du phénotype cellulaire et moléculaire. Les différentes échelles d’observation sont reliées entre elles .Les protéines sont responsables du phénotype moléculaire qui conditionnent le phénotype moléculaire qui conditionnent le phénotype cellulaire lui-même de cause a effet du phénotype macroscopique. Un phénotype est l’ensemble des caractères d’un individu a différentes échelles : Macroscopique, Cellulaire, Moléculaire. Tp n°2 Etude de l’albinisme Les couleurs des yx dépend de la concentration ⊕ ou ⊖ important dans cellules de l’iris on parle de phénotype alternatif sont du a une quantité de protéine E qui varie selon les individus. 1 Dm n°1 Etude de la mucoviscidose : Il existe plusieurs niveau expressions du phénotype : Macroscopique (échelle organisme couleur état), Cellulaire (aspect couleur nombre fct échelle différente), Moléculaire( échelle moléculaire HbS et HbA). Ce sont tjs des protéines qui sont impliqués dans la réalisation du phénotype. B/ IMPORTANCE DES PROTEINES DANS LA REALISATION D’UN PHENOTYPE : Un phénotype est toujours lié à l’existence d’une protéine car un gène code toujours pour 1 protéine. 1/ ROLE DES PROTEINES DANS LA REALISATION DES PHENOTYPES : Les protéines agissent : Directement et constituent le phénotype moléculaire c HbS. Indirectement et contrôlent d’autres molécules qui sont responsables du phénotype moléculaire comme pour la mélanine. Rq le cas le plus fréquent dans les phénotypes sont fait par l’intermédiaire d’enzymes . 2/QU’EST CE QU’UNE PROTEINE ?: Protide : 20 AA molécule de base avec Fct acide et amine 2 à 100 AA polypeptide + 100 protéines liaison peptidique Les protéines sont des macromolécules protidiques qui ont une structure dans l’espace tridimensionnelle très précise et lui permet de fonctionner. Si problème fonction mal ou pas du tout. La structure en 3D de la protéine dépend directement de la séquence en AA ( ordre et nature ) Une modification donne une autre séquence car changement d’attraction des AA entre eux et donc structure 3D. Mais possible qu’une protéine ne modifie pas car intervient pas dans attraction. Si AA modifié la fct de la protéine modifiée et donc le phénotype va être modifié c HbS. 2 On distingue plusieurs niveau de structure : *Primaire : Chaîne linéaire des AA. *Secondaire : attraction des AA suivant la charge et forme des liaisons hydrogènes. *Tertiaire :attraction des AA et forme des liaisons dis sulfure . *Quaternaire : alliance de plusieurs protéines en sous unité béta et alpha comme HbS. C la séquence d’ AA qui détermine la structure en 3D de la protéine. Les protéines sont essentielles dans les cellules par leurs fonctions : dans cytoplasme contrôle les réactions métaboliques ( dégradation , synthèse ). dans membrane plasmique car contrôle ce qui entre et ce qui sort dans la cellule. de construction de la structure cellulaire ( noyau enveloppe nucléaire). II LES ENZYMES PROTEINES ESSENTIELLES DANS LA REALISATION DU PHENOTYPE : A/IMPORTANCE DES ENZYMES DANS LA REACTION METABOLIQUE DE L’ORGANISME : 1/TP N°4 : Dans le tube contenant empois amidon + E il y a eu apparition d’amidon et apparition de glucose donc on a eu une hydrolyse de l’amidon en glucose. ( C₆ H₁₀ O₅ )n + n H ₂O n C₆H₁₂ O₆ Cette hydrolyse s’est déroulé grâce à la présence de l’enzyme dans le tube. On peut donc dire que l’E favorise cette réaction métabolique d’hydrolyse Nos hypothèses sont confirmées. Rq : L’E ne provoque aucune réaction sur le saccharose, elle ne provoque pas de synthèse d’amidon à partir du saccharose. Elle n’agit sur aucun autre sucre mais uniquement sur l’amidon et provoque uniquement son hydrolyse. On dit que l’enzyme est spécifique de l’amidon et de son hydrolyse. 2/PROPRIETE DES ENZYMES : a)ROLE DES ENZYMES : 3 Ce sont des biocatalyseur qui ont pour fonction d’accélérer uniquement une réaction chimique sans intervenir (intact )dans les produits de la réaction comme catalyseur physique (la t°c la pression le mouvement) et catalyseur chimique ( le pH ).Dans la cellule il existe des bio catalyseur. A+ B Enzyme [ A-B ] Ce sont des biochimiques qui favorise la réaction dans des conditions compatibles avec la vie 37 ° C et chimique car elles ont une structure 3D très particulière et précise. Rq ; Toutes les réactions chimiques de l’organisme que ce soit dans les cellules ou hors des cellules sont catalysées par des enzymes : * Enzymes dont l’action est extra cellulaire : - digestives (12) coupe en petite molécule qui passe dans le sang : hydrolases comme glucidases protéases lipases( amylase salivaire ), - plasmique liquide du sang. * Enzymes dont l’action est intracellulaire : -Cytoplasmique ( plusieurs millier ) amidon synthétase . b) LA DOUBLE SPECIFICITE DES ENZYMES : *la spécificité du substrat : Une enzyme reconnaît spécifiquement la molécule sur laquelle elle va agir : le substrat. Une amylase reconnaît spécifique l’amidon ( substrat) mais ne reconnaît pas le saccharose. *la spécificité d’action : Une enzyme catalyse une réaction chimique ( hydrolases, synthétases , deshydrogénases , reductases , oxydo-reductases , polymérases). Nomenclature substrat + Action + ases Amidon hydrolases Rq exception quand synthèse Produits + Action+ases Amidon synthétases B/ CONDITIONS ET MODE D’ACTION DES ENZYMES : 1/ CONDITIONS PHYSICO-CHIMIQUES NECESSAIRE L’ACTIVITE ENZYMATIQUE : A 4 a) LES CONDITIONS PHYSICO-CHIMIQUES INFLUENCE SUR L’ACTIVITE ENZYMATIQUE : Tp n°3 Influence des conditions de milieu sur l’activité enzymatique : b)ROLE DE LA TEMPERATURE ET DU PH SUR L’ENZYME : *la T°C Activité enzymatique O°C 40°C 60°C 100°C A O°C une enzyme est inactive car molécule figée pas agitation moléculaire les molécules substrats et enzymes ne se rencontrent pas et donc pas de réaction enzymatique . Quand T°C basse ne dénature pas les enzymes et mais dès qu’un dépasse les 40°C on commence à dénaturer les enzymes. Si on la T°C agitation moléculaire donc enzyme rencontre substrat et est active. A100°c l’enzyme est inactive car elle est dénaturée. car les protéines coagulent CAD quelles changent de configuration tridimensionnelle et n’agissent plus .Ce changement de structure est irréversible perte définitive des propriété catalytique des enzymes *le pH Le pH va modifier la structure tridimensionnelle de l’enzyme car certains liaisons (H ) entre AA disparaissent et d’autres apparaissent Activité enzymatique 1 7 14 pH 5 2/IMPORTANCE DE L’ENVIRONNEMENT CELLULAIRE SUR L’ACTIVITE ENZYMATIQUE : A tout moment Dans le cytoplasme , les concentrations en E varie en fct de ce que fabrique la cellule et varie en substrat en fct de l’apport alimentaire ou de l’activité cellulaire ( effort). La cellule peu donc agir en fct de ses besoins. a)INFLUENCE D’ENZYME : DE VARIATION EN CONCENTRATION Si concentration E vitesse R E SUBSTRAT b)INFLUENCE : DE VARIATION EN CONCENTRATION DE Si concentration E vitesse R E Si concentration E de façon importante vitesse R E n’ pas. La RE est un phénomène qui est saturable .Le fait que E soit saturé s’explique par la nécessité de fixer le substrat pour permettre réaction enzymatique. Selon l’ activité de la cellule il y aura dans le cytoplasme une variation de RE( pas tjs même E qui agissent et tjs pas a même vitesse ). c)ETAPE DE LA REACTION ENZYME : 1 étape :formation du complexe [E-S] E + S E S [E-S] E S 2 étape : Activation catalytique de la R chimique au sein du complexe [E-S]. E S [E-S] E E + P Hydrolase Les deux étapes = 10¯³ 6 On estime qu’en 1 seconde 1 E peut catalyser la transformation de 1000 substrats Rq : les inhibiteurs ( bloquer) sont des molécules capables de se fixer sur l’enzyme à la place du substrat .Le substrat ne peut plus se fixer et la RE est bloqué. Il existe 2 types d’inhibiteurs : Réversibles ( fixe et se détache de l’E ) donc ralenti AE Irréversible ( fixe définitivement sur l’E) et si trop nombreux dans les cellules donc AE est bloqué et donc mort individu c le cyanure . C/ IMPORTANCE DE LA STRUCTURE 3D DE L’ENZYME a)NOTION DU SITE ACTIF : S Site actif de l’enzyme Le site actif est une zone particuli7re de E ( forme de creux en 3d très précise ) C ‘est au niveau du site actif que se fixe le substrat .Le substrat doit avoir une forme complémentaire du site actif en 3D .Si l’emboîtement n’est pas parfait pas de RE. Le site actif est constitué de quelque AA donc tout les AA ne participent pas a cette R. Si on la T°C et modification du pH modification forme du site actif donc le substrat ne peut pas de coacter sur l’enzyme donc pas RE. b)SITE DE RECONNAISSANCE ET DU SITE CATALYTIQUE : Le site actif a 2 fonctions qui correspondent à 2 zones différentes : Site de reconnaissance (ou fixation) est l’endroit spécifique où se fixe le substrat et est lié à la structure 3D. Site catalytique est l’endroit qui entraîne la R catalytique CAD qu’il déclenche la catalyse. Ce sont quelque AA du site catalytique qui réagissent avec quelques atome du substrat et provoque RE. E Site de reconnaissance Site catalytique 7 III /LES GENES A L’ORIGINE DU PHENOTYPE : Gènes : morceau d’ADN avec une séquence de nucléotides. ⇓⇒ code pour une protéine. Un nucléotide = acide désoxyribose D acide phosphore P+ base azotée. Il existe 4 nucléotides = P+D+A P+D+T P+D+C P+D+G La séquence des nucléotides constitue un message codé portant l’I pour fabriquer une protéine. *Expérience de transgenèse : Ex Mais transgènique Gène code pr une protéine « insecticide » d’1 Bactéries [ Résistant aux insectes ] M Dans les cellules « jeunes » Mais Mais cellules fabriquent la protéine« insecticide » Le gène de la bactérie modifie le phénotype du mais par l’intermédiaire d ‘une protéine. Ex de la méduse. Gène code pr une protéine « Fluorescent » Ds les cellules oeufs de Drosophile Drosophile [ fluorescent ] 1 gène est une séquence de 4 nucléotides = se trouve dans l’ADN du noyau. 1 protéine est une séquence de 20 AA = est synthétisée dans le cytoplasme. Problème : Comment une séquence de nucléotide de l’ADN ( gène) localisé dans le noyau permet-elle la synthèse d’une protéine dans le cytoplasme. ? A/ DU GENE A LA PROTEINE : Q1 et Q2 8 [ ]M : symptômes + hyperglycémie ⇓ [ ] Cr: Incapacité à faire entrer du glucose dans les cellules dans hyperglycémie ⇓ [ ] Mr : Insuline inactive car modification de la structure 3 D ⇓ Insuline anormale ⇓ Chaîne B modifié ⇓ Gène modifié codant pour la chaîne B B/MECANISME DE SYNTHESE DES PROTEINES A PARTIR D‘UN GENE : Problème : Comment passe t-on de l’ADN à la séquence polypeptidique alors que l’ADN est une macromolécule incapable de traverser les pores de l’enveloppes nucléaires ? Pores Noyau Enveloppe nucléaire ADN ARN Hypothèse : Il existe une molécule intermédiaire entre l’ADN et une protéine. Molécule de petite taille pour passer les pores nucléaires porteuse d’un message une molécule formé à partir de l’ADN PROTEINE : 1/L’ARNM , MOLECULE INTERMEDIAIRE ENTRE LE GENE ET LA ARN est un acide ribonucléique ⇓⇒ A acide phosphorique ⇓⇒ R Le ribose ⇓⇒ N base azotée : U G C A et c ‘est une molécule a un seul brin. 9 ARN séquence de ribonucléotide P P R A P R U R G P R A C P R P G R P P R U Ribonucléotide Exp Vérification que l’ARN est l’intermédiaire entre l’ADN et la protéine. N N ⇒ Arrêt de la synthèse de protéine Enucléation Amibe Amibe énucléée + Injection des molécules ARN poly U P R U P R U P R U P R U P R U P ⇒ Reprise de la synthèse protéine ⇒ Polypeptide ⇒ Phé Phé Phé ARN est responsable du déclenchement de la synthèse protéique et cet ARN est donc l’intermédiaire entre ADN et la protéine d’où messager. L’ARNm code pour une séquence AA bien précise. 2/ PASSAGE DE IG DU GENE A L’ ARN M LA TRANSCRIPTION : Transcription repose sur le principe de la complémentarité des bases azoté ( U C G A ) entre ADN et l’ARNm. ADN A T C G ARNm U A G C U uracile A adénine C cystéine G guanine T thymine. 10 Transcription A T G C T A C G A T G C Brin informatif T A Brin non transcrit Tout l’ADN n’est pas transcrit en ARN m seul un gène est transcrit à à fois. 1 2 3 L’enzyme ouvre la molécule d’ADN au début du gène L’enzyme permet la fixation des ribonucléotides en face des bases azotées du brin informatif de l’ADN L’enzyme permet la liaison polypeptidique entre les ribonucléotides fixés 4 L’enzyme se déplace à l’intérieur de l’ADN continue la transcription et la molécule de l’ARNm se détache progressivement jusqu’à la fin du gène. 2/ LE PASSAGE D’UNE SEQUENCE DE RIBONUCLEIQUE DE L’ARNM A LA SEQUENCE POLYPEPTIDIQUE DE LA PROTEINE : LA TRADUCTION : Hypothèse : 1 base azotée code pour 1 AA Mais il manque 16 AA 2 bases azotées code pour 1 AA 4¹ Mais il manque 4 AA 3 bases azotées code pour 1 AA 4² On a 64 possibilités 4³ La troisième hyp étais la bonne on peut penser que plusieurs codons codent pour le même AA .Il y a des codons qui ne codent pas. Le code génétique : Tableau de correspondante . Les codons de l’ARNm et les AA . Le code génétique est redondant .il existe plusieurs codons pour plusieurs AA. Le code génétique est universel toutes les cellules de tous les êtres vivants fabriquent les protéines selon les mêmes principes ce qui prouve que tout les être s vivants ont une origine commune les 1* cellules apparut sur Terre. On a utilisé cette universalité du code génétique pour mettre au point les expériences de transgènese. 11 Mécanisme de traduction. ARN m cytoplasme Phé Met aa Codon Stop Phé Met aa C’est le lieu du correspondance d’un codon de l’ARN m avec un AA. Structure linéaire Il y a un codon initiateur AUG qui informe le ribosome de commencer la traduction. Remarque :La formation des liaisons peptidique entre les AA . COOH R CH NH₂ H N H C 0 H C N H C H R 0-H H R₂ H H C 0 H C 0 H N C R₁ N R₂ C 0 C 0-H 0-H C IMPORTANCE DES MUTATIONS DANS L’EXPRESSION DES PHENOTYPES : 1 / MUTATIONS : C modification de la séquence de nucléotide d’un gène au niveau de l’ADN. 1 Nucléotide est remplacé par un autre SUBSTITUTION. 1 Nucléotide est ajouté ADDITION. 1 Nucléotide est perdu DELETION. 12 Rq :La mutation ne porte pas forcement sur un nucléotide ms sur plusieurs qui se suivent. 2/CONSEQUENCE D’UNE MUTATION SUR LE PHENOTYPE : Pour HbS Substitution d’un nucléotide dans le gène qui code pour la chaîne B. ⇓ Chaîne B anormal car 1 AA modifié. ⇓ HbS. ⇓ Hématie Falciforme. ⇓ Symptômes. Pour l’insuline A et B la chaîne B modifié par une substitution d’un nucléotide L’ADN , Cytosine remplace Guanine ( changement de bases azotés ). L’ARNm 1 codon est modifié. Chaîne B Cytosine est remplacée par la Tryptophane . Le (p) mr : insuline (modifié) anormal inactive. Le (p) cr : incapacité à faire rentrer du glucose. Le (p) mac : hyperglycémie et symptômes . Une mutation modifie les phénotypes mais pas toujours car L’AA modifié n’empêche pas sa fonction. A cause de la redondance du code génétique car un changement de AA peut être coder par le même codon. donc les (p) sont normaux. III LA COMPLEXITE DE LA RELATION DU PHENOTYPE : A LE PHENOTYPE MACROSCOPIQUE DEPEND D’UN GENE : 1 LA NOTION D’ALLELE : 13 Le (p) dépend d’un gène car si le gène est muté alors le ( p) sera modifié . Ex- 1 gène qui code pour la chaîne B de l’insuline existe sous 2 formes = allèle . L’allèle qui code pour la chaîne B normal de l’insuline A1. L’allèle qui code pour la chaîne B modifié de l’insuline A2. Ex- 1 gène qui code pour la chaîne B de Hb existe sous 2 formes = allèle . L’allèle qui code pour la chaîne B normal de HbA H1. L’allèle qui code pour la chaîne B modifié de HbS H2. Rq un gène peut exister sous 3 voir plusieurs allèles. 2/ NOTION DU PHENOTYPE : Caryotype Chromosomes Homologues. Locus ---- Centromère. Chromatide identiques qui portent la même IG . Les chromatides d’un même chromosome portent les mêmes IG. Dans les cellules d’un individu chaque gène est représenté 2 fois car un vient de la mère et un du père. Ces gènes ont une place bien précise par rapport au centromère sur une paire homologue. ( le locus ). 14 Les 2 chromosomes homologues n’ont pas tjs les même allèles pour le gène étudié. h1 h2 individu hétérozygote N°1 [ Sain ] h2 h2 individu homozygote N°2 [ Malade ] h1 h1 h1 h2 individu homozygote N°3 individu hétérozygote N°4 [ Malade ] [ Sain ] Génotype : Ce sont les 2 allèles d’un gène étudié présents dans les cellules d’un individu il est représenté sous forme d’une fraction entre ( ) . Rq ce qu’on l’on met au numérateur ou au dénominateur n‘a pas de rapport avec l’origine paternelle ou maternelle. Si 2 allèles sont identiques dans les ( p ) d’un individu ,alors il est homozygote. Si 2 allèles sont différents dans les ( p ) d’un individu ,alors il est hétérozygote. 3 UN MEME PHENOTYPE PEUT CORRESPONDRE A PLUSIEURS GENOTYPE . L’individu N°3 homozygote a un ( g) [ sain.} L’individu N°1 et N°4 hétérozygote ont un (g) [ sain.] L’individu N°2 homozygote a un (g) [ malade ] Un individu [sain]peut avoir 2 ( p ) possible : h1 h1 h1 h2 15 Un allèle présent dans le (g) mais qui s’exprime pas dans les (p) est dit récessif par rapport a un allèle présent dans le ( g ) qui s’exprime dans le (p=) est dit dominant. Ici h2 est récessif par rapport a h1 qui est dominant. h1 h2 Chez un individu hétérozygote plusieurs ( g) peuvent donner le même (p). Ex- pour l’insuline Si les parents sont [sain ] avec la mère Père Allèle 2 et pour le père Allèle 1 Allèle 2 A1 [ Sain ] A1 [ Sain ] A1 A2 A1 [ Sain ] A2 [ malade ] A2 A2 Mere Allèle 1 a1 a2 a1 a2 Deux parents hétérozygote ont 1 chance / 4 de faire un enfant malade. B LE PHENOTYPE MACROSCOPIQUE DEPEND DE PLUSIEURS GENES. Ex- 1 l’albinisme Le ( p ) dépend d’une chaîne métabolique de synthèse Phe Tyr Dopa A B Melanine E1 E2 E3 E4 L’E1 est codé par un gène G1 existe sous 2 allèles. a1 qui code pou une E normal a1* qui code pour une E modifié a1 est récessif par rapport à a1* qui est dominant. Génotype [ couleur de la peau pigmenté ]. E5 Ex- a5 a5 a1 a1 a2 a2* a3 a3* a4 a4* 16 Ex- a1 a1* a2 a2 a3 a3* a4 a4 a5 a5* Lors d’une chaîne de synthèse pour le ( p ) macro dépend de plusieurs gènes l ‘individu présente plusieurs génotypes responsable de la réalisation du ( p ). Pour un albinos il suffit que 1 des génotypes soit homozygote récessif pour que la mélanine ne soit pas fabriqué. Un (p) peut correspondre a plusieurs ( g ) Voir exo sur la couleur des yeux des mouches C/ LE PHENOTYPE MACROSCOPIQUE DEPEND DES GENES ET DES FACTEURS DE L’ENVIRONEMENTS 1/ CAS DE LA PREDISPOSITION AU CANCER voir la correction du tp 17