Michel Foucault Les Mots et les Choses Chap 10 : Le triedre des savoirs L’homme dans l’episteme de XIX siécle esta a la fois le fondement de toutes les positivités et a la vois objet de celles ci. Les sciences humaines cherchent a definir l’homme, mais puisqu’il est le fondement de toutes le positivités, elles cherchent a se fonder elle meme, fondement que semble apartenir au domaine de la philosophie. Le champ epistemologique avant le XIX siecle était homogéne (l’homme pouvait connaitre en etablissant un clasification de particuliers, comme le fait comte. A partir du moment ou on remet en question l’homme on remet en question toute sa connaissance). Le champ epistemologique nouveau se morcelle il eclate dans tout les sens. L’episteme moderne peut etre comparee a un espace a trois dimentions, l’une d’elle etant definie par les sciences comme les matematiques et la physique (propositions lineaires deductives et verifiables), une autre par les sciencies dont leur objet apartient au domaine du cuantifiable, meme s’il est discontinu (economie, biologie). La troisieme dimention correspond o doamaine de la pensee, de la philosophie (qui se croise avec les mats dans le domaine de la formalisation de la pensee). Ce qui rend difficile la definition, et la precarité des frontieres des sciences humaines, c’est qu’elles se trouvent dans le croisement des trois dimensions, dans le volume entier de cet espace. Ca les rend dangereuses dans la mesure ou elle risquent d’empiéter sur les autres sciences (psicologismes, historicismes, sociologismes etc), et ca les met en peril dans la mesure ou elles sont constament en danger d’etre remplacees en partie ou entierement par d’autres sciences humaines. La forme des sciencies humaines L’analise normalement utilisee, est celle du raprochement de la science humaine dont on parle le plus possible des matematiques, en la definisant par ce qu’elle a de matematisable. La deuxieme forme est celle de tracer clairment la limite de ce qui est matematisable de ce qui apartient au domaine des interpretations. Elle peuvent sans doute s’aider de l’outil matematique, et une partie de ces methodes est formalisable (Condorcet qui aplique le calcul de probabilité a la politique), mais c’est pas ce qui peu le definir le mieux. D’ailleurs bien d’autres sciences, comme la bilogie on un rapport au matematisable, mais c’est en tout cas pas ce qui les definit. -1- Michel Foucault Les Mots et les Choses Chap 10 : Le triedre des savoirs Ce n’est pas a partir du moment ou elle on incorporé les mathematiques dans leurs outils (exemple de la politique) qu’elles on commencé a se developper. La relacion des sciences humaines avec les matematiques on toujours ete assez simple, et on toujours ete une facon simple de donner au savoir positif sur l’homme un stile et des justifications scientifiques. L’homme peut se connaitre a lui meme dans la mesure ou il VIT PARLE et PRODUIT c’est pourquoi les sciences qui cherchent a le connaitre se trouvent sur les frontiéres de celles qui prennent pour objet un de ces aspect. C’est pour ca qu’elle aparaissent en meme temps ou la posibilite d’un svoir positif est envisage. Mais l’homme, objet des sciences humaines, ce n’est pas celui qui est constitué d’une biologie originale, d’une complexite unique, c’est celui qui a partir de la a la capacité de se representer le monde et de vivre a partir de ces representations. C’est pas la produccion de l’homme qui nous interesse bien qu’elle soit tres originale et variee, c’est celui qui au mileu de toute ces activités productives et d’echanges se represente ses besoins (pour lesquels il bosse) et se represente la societe. Ce n’est pas le langage de l’homme, la facon dont il est construit ou dont il change qui nous interesse, mais l’homme qui se represente ce langage c’est a dire la facon dont il se represente le sens des mots et des choses qu’il dit. Donc les ciences humaines ne sont pas une analyse de ce que l’homme est par nature, mais une analyse que s’etend entre l’homme en tant qu’etre positif, qui vit, parle, produit et l’homme qui se represente ce qu’est sa vie son langage et son travail. -2-