en SPC : chaleur seulement si échange

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ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
Thème 1 – La Terre dans l’Univers, la vie, l’évolution du vivant (17)
Thème 1-A Génétique et évolution (12)
Thème 1-A-1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique (4)
Thème 1-A-2 Diversification génétique et diversification des êtres vivants (2)
Thème 1-A-3 De la diversification des êtres vivants à l’évolution de la biodiversité (2)
Thème 1-A-4 Un regard sur l’évolution de l’Homme (2)
Thème 1-A-5 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l’évolution : l’exemple de la vie fixée chez
les plantes (2)
Thème 1-B – Le domaine continental et sa dynamique (5)
Thème 1-B-1 La caractérisation du domaine continental (2)
Thème 1-B-2 La convergence lithosphérique (2)
Thème 1-B-3 Le magmatisme en zone de subduction (1)
Thème 1-B-4 La disparition des reliefs (1)
Thème 2. – Enjeux planétaires contemporains
Thème 2-A – Géothermie et propriétés thermiques de la Terre (2)
Thème 2-B La plante domestiquée (2)
Thème 3. – Corps humain et santé (9)
Thème 3-A Le maintien de l’intégrité de l’organisme : quelques aspects de la réaction
immunitaire (5)
Thème 3-A-1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée (2)
Thème 3-A-2 L’immunité adaptative, prolongement de l’immunité innée (2)
Thème 3-A-3 Le phénotype immunitaire au cours de la vie (1)
Thème 3-B Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse (4)
Thème 3-B-1 Le réflexe myotatique, un exemple de commande réflexe du muscle (2)
Thème 3-B-2 De la volonté au mouvement (1)
Thème 3-B-3 Motricité et plasticité cérébrale (1)
SPECIALITE
Thème 1 – Énergie et cellule vivante (on se limite aux cellules eucaryotes
Thème 2 – Atmosphère, hydrosphère, climats : du passé à l’avenir
Thème 3 – Glycémie et diabète
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
Thème 1 – La Terre dans l’Univers, la vie, l’évolution du vivant (17)
Thème 1-A Génétique et évolution (12)
Thème 1-A-1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique (4)
Bilans : divisions cellulaires, ADN, gène, allèles, brassage génétique.
Connaissances
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
La méiose est la succession de deux divisions
cellulaires précédée comme toute division d’un
doublement de la quantité d’ADN (réplication). Dans
son schéma général elle produit quatre cellules
haploïdes à partir d’une cellule diploïde.
Au cours de la méiose, des échanges de fragments de
chromatides (crossing-over ou enjambement) se
produisent entre chromosomes homologues d’une
même paire.
La méiose est ici étudiée comme un mécanisme
à l’origine de la diversité génétique et donc
d’un facteur de l’évolution.
QCM sur les acquis
- étude du cycle d’un diplonte
- préparation de lames pour observation de figures de méioses :
utilisation de l’ail des ours voir
http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/meioseprep/meiose.htm
- TP dissection des testicules du criquet (figures de méiose plus
difficiles à observer)
- testicules de truites ?
-http://www.discip.crdp.accaen.fr/svt/cgaulsvt/travaux/animatio/mitmeio/tpmeiose.htm
- http://pedagogie.acamiens.fr/svt/info/logiciels/meiose/meiose.htm (animation
interactive)
- http://pedagogie.acamiens.fr/svt/info/logiciels/animeiose/meiose.swf (animation
crossing-over) puis réalisation de schémas de méioses avec
crossing-over.
- comptage de drosophiles résultant de croisement-test
(Pourquoi ?) avec gènes liés et analyse des résultats ou comptage
de grains de mais (ou autre). TP collaboratif
Mise en place d’une démarche d’investigation pour comprendre
l’origine des résultats
- animation pour comprendre les résultats du comptage en aide ou
en synthèse http://www.labosvt.com/download-file-48.html
- Réalisation de croisements voir pedagogie.acamiens.fr/svt/infoprat/EvCapExp/04EvII2m02.doc
et www.sordalab.com/documents/dossier%20conseil.pdf
- utilisation du logiciel DROSOFLY (payant) sur
http://www.inforef.be/swi/drosolab.htm
- comptage de drosophiles résultant de croisement-test avec gènes
indépendants et analyse des résultats ou comptage de grains de mais.
- utilisation d’une bonne animation pour comprendre les brassages
Il n’y a plus d’étude de cycle chez les Haplontes
(Sordaria)
Les crossing-over sont donc traités avant le
brassage interchromosomique, comme source
d’apparition de nouveaux gènes.
Les notions de mathématiques à utiliser sont « les
probabilités conditionnelles »
Il faut donc s’entendre avec les collègues matheux
pour aborder ensemble ces parties de programme.
Remarque : les noms des phases peuvent être
utilisées si besoin mais ne sont pas à mémoriser
en tant que telles. On ne détaille pas la
prophase.
Les chromosomes ainsi remaniés subissent un
brassage interchromosomique résultant de la
migration aléatoire des chromosomes homologues
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
lors de la 1ère division de méiose. Une diversité
potentiellement infinie de gamètes est ainsi produite.
Des anomalies peuvent survenir. Un crossing-over
inégal aboutit parfois à une duplication de gène. Un
mouvement anormal de chromosomes produit une
cellule présentant un nombre inhabituel de
chromosomes. Ces mécanismes, souvent source de
troubles, sont aussi parfois sources de diversification
du vivant (par exemple à l’origine des familles
multigéniques).
Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un
gamète femelle s’unissent : leur fusion conduit à un
zygote. La diversité génétique potentielle des
zygotes est immense. Chaque zygote contient une
combinaison unique et nouvelle d'allèles. Seule une
fraction de ces zygotes est viable et se développe.
Activités possibles et ressources
après comptage http://www.labosvt.com/download-file-47.html
TP Collaboratif?
Logiciels de génétique statistique (genstat ?)
Il est peut être judicieux de reprendre
l’exemple des gènes des opsines (vus en 1ère)
pour la duplication de gène.
Montrer alors qu’un crossing- over inégal peut
avoir lieu entre chromosomes homologues ou
non homologues ! ce qui permet d’expliquer
l’origine des translocations de gènes.
Pour comprendre l’impact des anomalies de la
méiose comme source de troubles, il vaut peut
être mieux traiter la fécondation après avoir vu
les brassages et avant les anomalies de la
méiose.
-Revoir rapidement l’exemple de la famille multigénique des
opsines :
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/evolut/mecanismes/opsines/html/poi
nts.htm
logiciel DE VISU.
http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/neurosciences/vision/comprendre/
de_visu/soutien_scientifique_devisu/GenetCouleurs.htm
Document à utiliser p 411 BIOLOGIE MOLECULAIRE DE LA
CELLULE De Boeck
- approche par problème à résoudre d’un cas d’aberration du
nombre de chromosomes (Turner ou Klinefelter par exemple).
Résolution par démarche d’investigation.
Ou possibilité de TP collaboratif où chaque groupe étudie un cas
différent d’aberrations du nombre de chromosomes.
- http://www.snv.jussieu.fr/vie/documents/T21/T21.htm
(trisomie + animation)
- Animation pour comprendre les aberrations du nombre de
chromosomes http://www.labosvt.com/download-file-54.html
- Observation de la fécondation chez l’oursin :
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/oursin/ours6.htm
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/oursinMDC/p1gametes2.html
(présence de gamètes de janvier à juin)
- Observation de la fécondation chez la moule, à tester !
http://www2.aclyon.fr/enseigne/biologie/evaluation/college/moule/moule0.html
-réaliser des échiquiers de croisement et analyser les résultats en
terme statistique. Evaluer un risque génétique.
Connaissances
(programme)
Remarques
Activités possibles et ressources
Nouveau / ancien / remarques
Thème 1-A-2 Diversification génétique et diversification des êtres vivants (2)
Bilan : processus de diversification du vivant
D’autres mécanismes de diversification des
génomes existent : hybridations suivies de
polyploïdisation, transfert par voie virale, etc.
S’agissant des gènes impliqués dans le
développement, des formes vivantes différentes
peuvent résulter de variations dans la chronologie et
l’intensité d’expression de gènes communs, plus que
d’une différence génétique.
Une diversification des êtres vivants est aussi
possible sans modification des génomes :
associations (dont symbioses) par exemple.
Chez les vertébrés, le développement de
comportements nouveaux, transmis d’une génération
à l’autre par voie non génétique est aussi source de
diversité : chants d’oiseaux, utilisation d’outils, etc.
Objectif de ce thème : déstabiliser les
représentations des élèves sur l'origine de la
diversification en les confrontant à d'autres
modalités que les mutations, génétiques et non
génétiques.
Remarque :
- peu de manipulations !
- Exemples variés et nombreux (ne pas les
mémoriser)
- réactualisation nécessaire des
connaissances.
Des ressources :
- Documents pour la modification du génome par
les virus
Dossier PLS avril juin 2007 ; LA Recherche
février 2006
Analyse génétique moderne, Griffiths, De Boeck
Lecointre : ??
Clamens : faits et mécanismes de l'évolution.
Documents intéressants pour aller plus loin :
-l’hérédité au-delà des gènes (l’épigénétique) La
Recherche Avril 2012
-les mutations silencieuses responsables de
maladie octobre 2009
Ressources intéressantes sur la symbiose chez les
fabacées
http://www.unige.ch/sciences/biologie/biveg/
microbio/themes/XavierPerret/RecherchesXP.html
-des infos sur l’apprentissage du chant par les
oiseaux :
La Recherche mai 2005 ou novembre 2009,
novembre 2003 Que veut dire étudier « les
modalités d’une modification du génome » ?? il
en existe de nombreuses, comment faire un
choix ?
Peut-on étudier les mêmes hétérochronies que
- étude de texte scientifique par ex sur
http://www.inra.fr/les_recherches/exemples_de_recherche/ble_ten
dre_ou_ble_dur_une_histoire_de_chromosomes
- réaliser un schéma montrant les procédés de polyploïdisation à
partir d’un texte comme par ex. http://www.cns.fr/spip/Triticumssp-culture-du-ble.html
- réaliser un schéma montrant un transfert horizontal de gène à partir
d’un texte scientifique : http://www.bulletinselectroniques.com/actualites/63604.htm
ou autre texte TB, http://www.futurasciences.com/fr/news/t/zoologie/d/pour-digerer-le-cafe-un-insectea-vole-le-gene-dune-bacterie_37096/
- Découverte du rôle des gènes homéotiques, voir l’animation
DROSOBOX (académie de Versailles)
- comparaison des gènes homéotiques avec ANAGENE (ou
phylogène)
Si possibilité d’étudier les hétérochronies chimpanzé –homme, TP
en tache complexe à partir de documents sur diaporama « les
mécanismes de l’évolution » sur site SVT ac-grenoble.
- Etude d’un texte historique (récent !) sur la construction des
doigts
La Recherche mars 1997.(A utiliser comme document dans un TP
en tache complexe ?).
- culture d’une fabacée sur sol stérilisé et sol non stérilisé (prélevé
dans un champ de luzerne par ex)
- mise en évidence de la présence de bactéries dans des racines
fabacées (ex haricot) voir protocole
http://georges.dolisi.free.fr/Microbio/TP/Rhizobium.htm
- même activité pour mettre en évidence la présence et le rôle des
mycorhizes.
- Etudes de textes sur divers exemples d’apprentissage par
imitation chez les animaux :
http://www.vetopsy.fr/thera/app/imit.php
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
dans l’ancien programme ? intéressantes pour
les élèves !
Thème 1-A-3 De la diversification des êtres vivants à l’évolution de la biodiversité (2)
Bilan : la biodiversité et sa modification
Sous l’effet de la pression du milieu, de la
concurrence entre êtres vivants et du hasard, la
diversité des populations change au cours des
générations.
L’évolution est la transformation des populations qui
résulte de ces différences de survie et du nombre de
descendants.
Remarques :
- peu de manipulations
- nombreux exemples
Reprendre las acquis de seconde sur la dérive
génétique.
La diversité du vivant est en partie décrite comme
une diversité d’espèces.
La définition de l’espèce est délicate et peut reposer
sur des critères variés qui permettent d’apprécier le
caractère plus ou moins distinct de deux populations
(critères phénotypiques, interfécondité, etc.). Le
concept d’espèce s’est modifié au cours de l’histoire
de la biologie.
Une espèce peut être considérée comme une
population d’individus suffisamment isolés
génétiquement des autres populations. Une
population d’individus identifiée comme constituant
une espèce n’est définie que durant un laps de temps
fini.
On dit qu’une espèce disparaît si l’ensemble des
individus concernés disparaît ou cesse d’être isolé
génétiquement. Une espèce supplémentaire est
définie si un nouvel ensemble s’individualise.
Evolution de la définition de l’espèce (depuis
Mayr en 1989) jusqu’au concept d’espèce = pool
de gènes ?
ensemble d'individus porteurs d'un pool génétique
particulier et isolé génétiquement des autres
populations.
Il est difficile de faire un choix entre tous les
exemples existant.
Veiller à ce que l’exemple choisi soit pertinent
par rapport aux objectifs de connaissance.
Approche possible par l'histoire du concept
d’espèce pour réfléchir aux limites de la
définition d'une espèce vivante (inapplicable
pour les espèces fossiles).
Les exemples, nombreux, doivent permettre de
comprendre les difficultés de définition de la
notion d'espèce, vue depuis le collège. On
revient sur les représentations et on enrichit le
concept.
Ressources : « L'espèce : entre stabilité et
évolution » PLS décembre 2006.
-Mobilisation des connaissances par ex sur la dérive génétique grâce
au logiciel dérive génétique téléchargeable sur le site http://www.acnice.fr/svt/productions/freeware/derive/index.htm
-étude par exemple du cas des lions du cratère de Ngorongoro ,
voir
http://acces.ens-lyon.fr/evolution/biodiversite/graines/organiser-etrealiser-son-expedition/fichiers-et-liens-utiles/coursbiodiversite/genet_CoursParis_CCalmet.pdf
ou http://simulium.bio.uottawa.ca/bio3515/pdf/presentations/05aGenetique.pdf
et aussi http://gepv.univ-lille1.fr/downloads/enseignements/L3S6/L3-S6-Vekemans-BiolPop.pdf
-Etude de textes historiques de la définition de l’espèce de Buffon,
Cuvier, Lamarck, Darwin, Mayr et Lecointre. (noter les critères
utilisés pour définir l’espèce et arriver au concept actuel) par ex en
TP Collaboratif ou chaque groupe étudie une définition différente
Pourquoi pas un débat argumenté sur le concept d’espèces ?
DVD présentés par Sciences et vie :
 l’évolution d’Ernst Mayr
 espèces d’espèces
 le grand voyage de Charles Darwin
 le rôle du sexe dans l’évolution des espèces
Un site intéressant http://pst.chez-alice.fr/2fespec.htm
http://www.vetopsy.fr/comp/evol/evol0b_esphomol.php
- Etude de cas de spéciation (TP en tache complexe pour montrer
les différents facteurs de la spéciation) voir les études de cas
"Guide critique de l’évolution" et "Comprendre et enseigner la
classification du vivant" (Lecointre)
Pour s’amuser :
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
-texte de Le Guyader
http://www.inra.fr/dpenv/leguyc46.htm
Activités possibles et ressources
o
o
o
une liste des animaux hybrides naturels ou réalisés par l’homme
http://krissnature.over-blog.com/article-13702059.html ( à
vérifier!)
Un quizz sur le nom des hybrides http://www.quizz.biz/quizz182242.html
L’art et la création d’hybrides imaginaires
http://www.artsplastiques.acversailles.fr/Descartes/07_08/animal_hybride/animal_hybr.htm
Thème 1-A-4 Un regard sur l’évolution de l’Homme (2)
D’un point de vue génétique, l'Homme et le
Chimpanzé, très proches, se distinguent surtout par
la position et la chronologie d’expression de certains
gènes.
Le phénotype humain, comme celui des grands
singes proches, s’acquiert au cours du développement
pré et postnatal, sous l’effet de l’interaction entre
l’expression de l’information génétique et
l’environnement (dont la relation aux autres
individus).
Les premiers primates fossiles datent de -65 à -50
millions d'années. Ils sont variés et ne sont identiques
ni à l'Homme actuel, ni aux autres singes actuels. La
diversité des grands primates connue par les fossiles,
qui a été grande, est aujourd’hui réduite.
Homme et Chimpanzé partagent un ancêtre commun
récent. Aucun fossile ne peut être à coup sûr
considéré comme un ancêtre de l'Homme ou du
chimpanzé.
Le genre Homo regroupe l’Homme actuel et quelques
fossiles qui se caractérisent notamment par une face
réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le
squelette, un style de bipédie avec trou occipital
avancé et aptitude à la course à pied, une mandibule
parabolique, etc. Production d'outils complexes et
variété des pratiques culturelles sont associées au
genre Homo, mais de façon non exclusive. La
construction précise de l’arbre phylogénétique du
genre Homo est controversée dans le détail.
L’accent est mis sur l’Homme au sein des
Primates.
Cadre beaucoup plus « génétique ».
 Gènes de développement, chronologie de
leurs expressions.
Synthèse des représentations initiales (souvent fausses)
Réinvestissement des acquis des classes précédentes : 6°/5°/3°/2°/1S
Réinvestissement des acquis des parties 1A1/1A2/1A3.
Activités avec exploitation de documents (papier, sites internet, …),
comparaison des développements pré et post-natal de l’Homme et
du Chimpanzé.
Comparaison de caryotypes.
 Phénotype dépendant de l’expression de
apprentissage
gènes, et sous l’influence de l’environnement
http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=8240
(apprentissages, comportements, aspects
http://primatologie.revues.org/279
« culturels » : transmission)
Bien définir le phénotype.
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/v/video-la-culture-de-tablechez-les-chimpanzes-23825.php
- TP logiciel Phylogène (collection Archontes) + logiciel
Anagène  établir des arbres de parenté à partir de
Origine des primates et non plus de la lignée
caractères phénotypiques et de caractères moléculaires
humaine.
homologues.
- Recherche internet pour illustrer la diversité des Primates
fossiles.
Etablissement d’une parenté proche entre Homme TP avec Phylogène (collection Homininés)
et Chimpanzé.
TP collaboratif : Comparaison d’éléments du squelette (crâne,
membres, bassins, squelette entier)
« à coup sûr » peut être un peu déstabilisant
 Etablir les caractéristiques du genre Homo, par comparaison
confronté à l’idée de « Dernier ancêtre commun
avec Chimpanzé et Australopithèques.
hypothétique ».
Chimpanzé et outils.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/vie-1/d/une-utilisationRemarque : l’objectif n’est plus la lignée humaine, encore-plus-sophistiquee-des-outils-par-les-chimpanzes_8314/
l’étude est limitée au genre Homo, les
http://www.hominides.com/html/actualites/chimpanze-outil-coteAustralopithèques sont absents des termes du
ivoire-4300.php
programme.
Articles :
- Article : « l’animal/l’homme » Revue Espèces n° 2 – décembre
 « Critères d’appartenance » au genre
Homo et non plus à la lignée humaine.
2011
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Australopithèques toutefois nécessaires
pour comparaison.
 Aspect non finalisé des connaissances,
remise en questions, nouvelles
découvertes (Homme de Flores, Homme
de Néanderthal..)
 Arbre différents selon les caractères pris
en compte.
Activités possibles et ressources
- « La nouvelle histoire de l’Homme : de Toumaï à Homo sapiens »
Les dossiers de la Recherche. Aout 2008 numéro 32
- « Néanderthal : notre nouvel ancêtre » Les dossiers de la
Recherche octobre 2011. Numéro 45
Logiciels :
- logiciel Phylogène (INPR/IFE) et ses bases de données
(phénotypiques et moléculaires) sur les Primates et sur le genre
Homo
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/evolut/phylogene/accueil.htm
- logiciel « Lignée humaine » - Pierre Perez – Cet outil permet
d'appréhender plusieurs aspects des caractères évolutifs liés à la
«lignée humaine» et à la place de l'Homme dans le règne animal.
http://pedagogie.actoulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/evolution/ligsomm.htm
Sites internet :
- animation pour visualiser la caractère buissonnant de
l’arbre pour le genre Homo :
http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=geo0016-3
Pour s’y retrouver et/ou se rafraichir la mémoire :
http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/evolution/ligneehumaine/hom
o.htm
http://www.cndp.fr/evolution-des-especes/levolution-delhomme/page-single-multipdf/article/les-fossiles-de-la-ligneehumaine.html
http://planet-terre.enslyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOManthropoides-JJ-Jaeger.xml
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/Origine/carte/origine.htm
http://www.cnrs.fr/inee/communication/breves/docs/Breve_Siamo_
DR8.pdf
Thème 1-A-5 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l’évolution : l’exemple de la vie fixée chez les plantes (2)
Bilans : schéma général de la plante, organisation et fonction de la fleur
Les caractéristiques de la plante sont en rapport avec
la vie fixée à l’interface sol/air dans un milieu
variable au cours du temps.
Elle développe des surfaces d’échanges de grande
dimension avec l’atmosphère (échanges de gaz,
capture de la lumière) et avec le sol (échange d’eau et
d’ions). Des systèmes conducteurs permettent les
L’organisation fonctionnelle générale des
Angiospermes ne doit pas être abordée d’un
point de vue purement botanique mais doit être
reliée à l’évolution : processus trophiques,
systèmes de protection et de communication
liés au mode de vie fixé.
 Etude morphologique simple d’une plante commune
(Moutarde ? Onagre ? intérêt = fleurs et fruits sur le même
pied)
 Schématisation de son organisation (idée : schéma à faire
évoluer pour aboutir à un schéma fonctionnel synthétique)
 Mesure des surfaces d’échanges (feuilles et/ou racines) d’une
Connaissances
(programme)
circulations de matières dans la plante, notamment
entre systèmes aérien et souterrain.
Elle possède des structures et des mécanismes de
défense (contre les agressions du milieu, les
prédateurs, les variations saisonnières).
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
Acquis de sixième : végétal = organisme fixé à
l’interface sol-air / réalisation d’échanges gazeux
avec l’atmosphère (02-CO2) / absorption d’eau et
d’éléments minéraux par les racines dans le sol /
occupation du milieu au cours des saisons
(végétaux annuels = graines, végétaux vivaces =
bulbes, bourgeons)

Acquis de seconde : réalisation de la
photosynthèse par les végétaux chlorophylliens
 nécessité de capter l’énergie lumineuse et le
CO2 atmosphérique au niveau foliaire
 nécessité d’absorber l’eau et les éléments
minéraux du sol au niveau racinaire
Problématique : mode de vie fixé des
Angiospermes impliquant
 l’optimisation des échanges de matière et/ou
d’énergie avec l’atmosphère et le sol
 la circulation de matière entre système aérien et
souterrain
 l’existence de mécanismes de protection et de
résistance
Partie offrant de nombreuses manipulations
sur matériel frais : bien anticiper sa place dans
la progression annuelle (début ou fin d’année) /
Faire des choix ciblés au regard de la
programmation annuelle (2 semaines)





Existence de nombreuses ressources
concernant les structures et mécanismes de
protection et de résistance : aucune
exhaustivité demandée, faire des choix ciblés
plantule (pois ? haricot ?) ou d’un plant (fraisier ? moutarde ?
onagre ?) à l’aide de MESURIM
 Valeurs à rapporter à la masse ou au volume
 Valeurs à réévaluer à partir de l’extrait de l’ouvrage de
Francis Hallé « L’éloge de la plante » (coefficients à appliquer
aux valeurs estimées en raison de l’existence des chambres sousstomatiques au niveau foliaire et des poils absorbants ou des
mycorhizes au niveau racinaire) cf ressources
Observation de stomates (feuille de laurier ? lierre ?), des
chloroplastes et des lacunes (CT de feuille de renoncule ?) au
microscope
Réalisation et/ou observation d’une CT de racine (poils
absorbants) ou d’un apex racinaire exposé à un colorant au
microscope cf Bordas p 135
Comparaison des échanges (schémas fonctionnels) et des
surfaces d’échanges (tableau) d’une plante et d’un mammifère
(homme ?) pour mettre en évidence les particularités de
l’organisation fonctionnelle des Angiospermes liées à la vie
fixée cf ressources
Observation au microscope de CT de tige, de racine et de feuille
d’une même espèce (préparations du commerce de
renoncule ?) colorées au carmin-vert d’iode (repérage xylèmephloème) / Photographies de CL de tige colorées au carmin-vert
d’iode et observées au microscope (vaisseaux du xylème et du
phloème) TP tournant ?
Réalisation et observation de préparations microscopiques de CT
de tige placée depuis plusieurs jours dans une eau colorée
(impatiens, céleri : association sève brute-xylème), de CL de
racine (semences germées : repérage xylème-phloème) et de CL
de feuille (poireau : repérage xylème-phloème / différents
vaisseaux du xylème) colorées au carmin-vert d’iode cf
ressources TP collaboratif ?
Observation de structures et mécanismes de défense : cf
ressources
 des plantes de la garrigue (résistance à l’aridité, au feu et au
pâturage)
 de la cardère sauvage (résistance au froid, à la concurrence, à
la prédation) cf La Hulotte n° 61
 de l’accacia caffra (résistance à la prédation)
 des plantes des vieux murs et des falaises (résistance à la
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
sécheresse)
 de l’Arabidopsis (résistance au froid)
 du fraisier (résistance à la prédation)
 de l’oyat (résistance à la sécheresse) : CT de feuille et vidéo de
fermeture http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/mouvements/nastieshydro.htm
 du laurier rose (résistance à la sécheresse) : CT de feuille avec
cryptes pilifères
 de l’aloes (résistance à la sécheresse) : CT de feuille avec
parenchyme aquifère
choix de # ateliers mosaïques ?
L’organisation florale, contrôlée par des gènes de
développement, et le fonctionnement de la fleur
permettent le rapprochement des gamètes entre
plantes fixées.
La pollinisation de nombreuses plantes repose sur
une collaboration animal pollinisateur / plante produit
d’une coévolution.
À l’issue de la fécondation, la fleur se transforme en
fruits contenant des graines.
La dispersion des graines est nécessaire à la survie
et à la dispersion de la descendance. Elle repose
souvent sur une collaboration animal disséminateur /
plante produit d’une coévolution.
L’organisation fonctionnelle de la fleur des
Angiospermes ne doit pas se limiter à la
botanique mais être reliée à l’évolution : mise
en place de modalités particulières de
reproduction liées à la vie fixée + collaboration
animal-plante produit d’une coévolution
Acquis de sixième : organisation générale de la
fleur (sépales, pétales, étamines, pollen, pistil,
ovaire, ovules) / transformation de la fleur en fruit
contenant des graines (dépôt de pollen sur le pistil
d’une même espèce, ovules devenant graines,
ovaire devenant fruit) / modes de dispersion des
graines (vent, eau, animaux) / germination de la
graine (plantule, cotylédons, conditions de
germination)
Acquis de troisième : ADN / gènes / allèles
Acquis de seconde : ADN / gène = séquence de
nucléotides / variabilité de l’ADN
Acquis de première S : variabilité génétique et
mutations de l’ADN / mutations = sources
aléatoires de la diversité des allèles (biodiversité) /
expression du patrimoine génétique (synthèse
 Expériences « hormones végétales et croissance » (auxine,
cytokinines) :
http://www2.ulg.ac.be/cedevit/french/hormones.htm
 Dissection d’une fleur actinomorphe (Arabidopsis (compliquée
car petite) ? moutarde ? tulipe ? onagre ? millepertuis ?
potentille ?) avec réalisation d’un diagramme floral TP
mosaïque?
 Réalisation et observation au microscope de CL/CT d’anthère et
de pistil
 Schématisation des diagrammes floraux des 3 classes de mutants
d’Arabidopsis thaliana à partir de l’animation http://www.enslyon.fr/RELIE/Fleurs/formation/module4/demo-m4-1.htm
 schématisation de l’expression des gènes affectés pour les 3
classes de mutants
 explication de la diversité des fleurs d’Angiospermes (modèles
ABC et ABCDE)
cf ressources
Possibilité de travailler sur les fleurs mutantes des bouquets de
fleuristes (ex :tulipes)
 Schématisation des diagrammes floraux des 3 classes de mutants
d’Arabidopsis thaliana à partir de photographies / Comparaison
des séquences nucléotidiques des gènes A, B et C chez un
individu à fleurs normales et chez les 3 classes de mutants
(ANAGENE)
 identification des gènes impliqués dans le développement du
méristème floral
 explication de la diversité des fleurs d’Arabidopsis (modèle
ABC)
cf ressources
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
protéique : transcription-traduction)
Problématique : mode de vie fixé des
Angiospermes impliquant
 une organisation fonctionnelle de la fleur
permettant le rapprochement des gamètes
 une collaboration animal-plante pour assurer la
pollinisation et la dissémination (produit d’une
coévolution)
Existence de nombreuses ressources
concernant la collaboration animal-plante
produit d’une coévolution : aucune
exhaustivité demandée, faire des choix ciblés
Activités possibles et ressources
animation http://www.enslyon.fr/RELIE/Fleurs/formation/module4/demo-m4-1.htm
Possibilité de travailler sur les fleurs mutantes des bouquets de
fleuristes (ex :tulipes)
 Sites Internet :
 Méthode pour faire un diagramme floral : http://sajf.ujfgrenoble.fr/spip.php?article39&var_recherche=diagramme%20fl
oral
 Démarche de dissection de la fleur + diaporama sur
l’anatomie des fleurs et diagrammes floraux
http://biblio.alloprof.qc.ca/PagesAnonymes/DisplayFiches.aspx?
ID=6010#a1
 Protocole germination grains de pollen : http://svt.acrouen.fr/biologie/germination_%20pollen.pdf
 Exercice sur la fleur mutante « agamous » d’Arabisopsis
(comparaison avec la fleur normale + diagramme floral) :
http://vial.frjl.free.fr/SVTfran/tp%2010%20vegetaux.htm
 Exercice (+ complexe) sur le contrôle génétique du plan
d’organisation de la fleur (mutations homéotiques chez
Arabidopsis) : http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/dyna/developpement/enseigner/morpho
genese-vegetale/morphogenese-florale/le-modele-abc
 Banque d’images :
Images de dissection de fleurs : http://www.acrennes.fr/pedagogie/svt/applic/fleur/fleur.htm
 De la fleur de cerisier à la cerise :
http://www.bips-edu.fr/main.php?g2_itemId=17350
http://www.bips-edu.fr/main.php?g2_itemId=17357
 Logiciels :
 Pour réviser les notions de sixième : http://www.svt.acversailles.fr/spip.php?article303 (logiciel « FleurOfruit »)
 Vidéos sur la pollinisation :
 le figuier : http://www.cerimes.fr/le-catalogue/figuierstropicaux-et-pollinisateurs-relations-symbiotiques.html
 la fleur du baobab et la chauve-souris :
http://www.cerimes.fr/le-catalogue/pollinisation-du-baobab.html
 l’orchidée comète et le papillon sphinx :
http://www.youtube.com/watch?v=OMVN1EWxfAU
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
(« Darwins Comet Orchid » en anglais)
 la fleur de vanille (pollinisation artificielle) :
http://www.dailymotion.com/video/x7isw8_pollinisation_news
 l’Ophrys abeille (« Wild Orchids of Israel » en anglais) :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=y
FftHXbjEQA
 la vision des abeilles (« Bee vision and Heater Bees » en
anglais) :
http://www.youtube.com/watch?v=zZEoAMfRICM&feature=pl
ayer_embedded
 Etude documentaire sur les différents modes de pollinisation
associés à une collaboration animale : entomophilie /
ornithophilie / cheiroptérophilie
Nombreux exemples : cf ressources (figuier et blastophage) +
vidéos + http://myrmecochorie.free.fr/Exemples/Exemples.html
choix de # ateliers mosaïques ?
 Chromatographie pour identifier les sucres présents dans le
nectar de Lys cf Nathan p 116
 Observation de divers fruits à relier à leur mode de
dissémination : pissenlit, érable, bardane, aigremoine, gui,
sorbier des oiseleurs (anémochorie, zoochorie)
 Etude documentaire sur les différents modes de dissémination
des graines associés à une collaboration animale : épizoochorie /
endozoochorie
Nombreux exemples : cf ressources
choix de # ateliers mosaïques ?
 Dossier Hors série Pour La Science « De la graine à la plante »
janvier 2000
Thème 1-B – Le domaine continental et sa dynamique (5)
Bilans : granite, gabbro, basalte, péridotite ; le modèle de la tectonique des plaques ; volcanisme, recyclage des matériaux de la croûte ; notions
d’érosion, transport, sédimentation.
Thème 1-B-1 La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale (2)
La lithosphère est en équilibre (isostasie) sur
l’asthénosphère. Les différences d’altitude moyenne
entre les continents et les océans s’expliquent par des
différences crustales.
La croûte continentale, principalement formée de
roches voisines du granite, est d’une épaisseur plus
grande et d’une densité plus faible que la croûte
océanique.
Caractéristiques du domaine continental par
comparaison avec le domaine océanique :
roches, épaisseur, densité, âge
 Les connaissances pétrographiques sur les
roches de la croûte continentale se limitent au
rappel de ce qui a été vu en 1ère S pour le
granite
- QCM sur les acquis de 1S sur le domaine océanique
Roches-Epaisseur-Densité-Âge
- Tâche complexe sous forme d’un TP mosaïque permettant de créer
une « fiche d’identité » du domaine continental
pour créer une activité sur les profondeurs du Moho :
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/spip.php?article176
pour créer une activité sur la datation des roches de la lithosphère
Connaissances
(programme)
L’âge de la croûte océanique n’excède pas 200 Ma,
alors que la croûte continentale date par endroit de
plus de 4 Ga. Cet âge est déterminé par
radiochronologie.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
calcul de la profondeur du MOHO à partir de
Activités possibles et ressources
continentale : ECE 11_G_O_01 + logiciel Radiochronologie
http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/radiochr/
http://pedagogie.actoulouse.fr/svt/serveur/bankact/dossiers/FT/radiochronologie/
Isostasie
- Recherche d’explication quant aux mouvements verticaux de la
lithosphère (Scandinavie, Piémont italien)
- modélisation analogique (cf livres scolaires)
- modélisation numérique avec le logiciel SimulAiry
http://www.ac-nantes.fr/peda/disc/svt/isostasie/index.htm
- Logiciel isostasy
Au relief positif qu’est la chaîne de montagne,
 indices tectoniques expliquant l’épaississement
Origine de l’épaississement crustal
répond, en profondeur, une importante racine
crustal
pour les indices tectoniques
crustale.
 indices pétrographiques (surtout structuraux) Possibilité d’organiser un stage de terrain
L’épaisseur de la croûte résulte d’un épaississement
plis chevauchants (Sassenage, plis de St Julien en maurienne, …),
expliquant l’épaississement crustal (roche
lié à un raccourcissement et un empilement. On en
failles inverses (Meije, Vercors, …), chevauchement (Lautaret)
métamorphique type gneiss et migmatites)
trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et
limites
difficiles
à
déterminer
:
minéraux
du
des indices pétrographiques (métamorphisme, traces
pour les indices pétrographiques
métamorphisme type sillimanite, disthène ne
de fusion partielle).
traces de métamorphisme et de fusion partielle (migmatite)
sont
pas
à
connaitre.
Diagramme
P-T
Les résultats conjugués des études tectoniques et
Travailler surtout les structures "en petit" qui confirment les
uniquement
en
activité
et/ou
en
exercices.
minéralogiques permettent de reconstituer un
structures "en grand" (micro-plis et micro-failles)
scénario de l’histoire de la chaîne.
Echantillons et lames minces (migmatites, gneiss, …)
 reconstitution des différentes étapes de
l’histoire d’une chaine de montagne à partir de
données de terrain
pourquoi ne pas partir directement du modèle
complet et rechercher les indices qui valident
(ou pas) le modèle ?
Thème 1-B-2 La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes (2)
Les chaînes de montagnes présentent souvent les
Recherche de traces océaniques passées
Que sais je ? sur la lithosphère océanique, les zones de
traces d’un domaine océanique disparu (ophiolites) notions de rifting et de marges passives non
convergence, la subduction (acquis de 1S)
et d’anciennes marges continentales passives. La
abordées en 1S et vues comme marqueur d’un
« suture » de matériaux océaniques résulte de
domaine océanique
Les traces d’une ancienne histoire océanique
l’affrontement de deux lithosphères continentales
blocs basculés (vus sur le terrain) et les ophiolites (Chenaillet, …)
(collision). Tandis que l’essentiel de la lithosphère

Les
indices
de
la
collision
(qui
doivent
pouvoir
continentale continue de subduire, la partie
être reconnus sur divers types de documents)
Les traces d’une subduction
supérieure de la croûte s’épaissit par empilement de
échantillons et lames minces
nappes dans la zone de contact entre les deux

Les
indices
de
subduction
(les
différents
faciès
de
plaques.
roches océaniques subduites + coésite) qui
Les traces d’une collision
doivent pouvoir être reconnus sur divers types de
Bilan du stage de terrain et profil ECORS
documents.
données sismiques
radiochronologie
 Seule la méthode de la droite isochrone avec la
méthode Rb Sr est utilisée pour la
détermination de l’âge des roches par
radiochronologie
Isostasie
Cette notion peut être abordée lors de l’étude de
l’érosion d’une chaine de montagne §1B4
Connaissances
(programme)
Les matériaux océaniques et continentaux montrent
les traces d’une transformation minéralogique à
grande profondeur au cours de la subduction. La
différence de densité entre l’asthénosphère et la
lithosphère océanique âgée est la principale cause de
la subduction. En s’éloignant de la dorsale, la
lithosphère océanique se refroidit et s’épaissit.
L’augmentation de sa densité au-delà d’un seuil
d’équilibre explique son plongement dans
l’asthénosphère. En surface, son âge n’excède pas
200 MA.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Notion de subduction de la lithosphère
continentale (profil ECORS)
Déjà vu.
Le moteur de la subduction : comparaison de la
densité de la Lithosphère océanique (en fonction
de son âge) avec celle de l’asthénosphère
Activités possibles et ressources
Coésite
Métagabbro à glaucophane ; éclogite : lame mince et échantillon
Le moteur de la subduction
Mesure de densité de différents échantillons
Calcul à l’aide d’un tableur des variations de la densité de la
lithosphère en fonction de son âge
Thème 1-B-3 Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux (1)
Dans les zones de subduction, des volcans émettent
des laves souvent visqueuses associées à des gaz et
leurs éruptions sont fréquemment explosives.
La déshydratation des matériaux de la croûte
océanique subduite libère de l’eau qu’elle a
emmagasinée au cours de son histoire, ce qui
provoque la fusion partielle des péridotites du
manteau sus-jacent.
Si une fraction des magmas arrive en surface
(volcanisme), la plus grande partie cristallise en
profondeur et donne des roches à structure grenue de
type granitoïde. Un magma, d’origine mantellique,
aboutit ainsi à la création de nouveau matériau
continental.
Pas de changement par rapport à l’ancien
programme
On insiste davantage sur le fait que c’est ainsi
que se forme un nouveau domaine continental.
Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs
moins élevés que les plus récentes. On y observe à
l’affleurement une plus forte proportion de matériaux
transformés et/ou formés en profondeur. Les parties
superficielles des reliefs tendent à disparaître.
Altération et érosion contribuent à l’effacement des
reliefs.
Les produits de démantèlement sont transportés sous
forme solide ou soluble, le plus souvent par l’eau,
jusqu’en des lieux plus ou moins éloignés où ils se
déposent (sédimentation).
Des phénomènes tectoniques participent aussi à la
disparition des reliefs.
L’ensemble de ces phénomènes débute dès la
Tout est nouveau !
 comparaison des anciennes chaines de
montagnes avec les plus récentes
 recherche des facteurs intervenant dans la
disparition des reliefs après leur formation :
- altération / érosion / impact des phénomènes
tectoniques
coordination indispensable avec la
géographie : pour éviter la redondance
climat/érosion
+transport des sédiments
+dépôt= sédimentation
construction d’un cycle des matériaux
-
Observation d’échantillon et de lame mince de
granitoïde et andésite
logiciel « subduction » avec mise en évidence du rôle
fondant de l’eau
Les réactions de déshydratation des minéraux
hydroxylés ne sont pas à connaitre
On se limite au rôle fondant de l’eau sans entrer
dans le détails des mécanismes de la fusion
partielle
Thème 1-B-4 La disparition des reliefs (1)
Comparaison de surface des roches de différents types à partir de
carte géologique avec mesurim
Modélisation de l’isostasie pour montrer les conséquences de
l’érosion
Facteurs à l’origine de l’effacement des reliefs
Construction d’un schéma bilan du cycle des matériaux de la croute
continentale à partir de différentes ressources
- photo d’éboulement
- composition des eaux de pluie et des eaux de rivières (cf pdf de D
Dumas sur l’Isère)
- notions d’érosion et d’altération
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
naissance du relief et constitue un vaste recyclage de
la croûte continentale.
continentaux (notion de recyclage)
les élèves ont déjà la notion de recyclage de la
lithosphère océanique – 1S)
Pour les phénomènes tectoniques, utiliser l’actualité (cf séisme Italie
mai 2012)
Remarque générale sur le thème de géologie :
-les notions de FUSION PARTIELLE et de METAMORPHISME sont abordées 2 fois mais dans 2 contextes totalement différents : soit au niveau de la croûte continentale
en lien avec son épaississement (3B1) soit au niveau de la subduction (3B2 et 3B3) = source de confusion
Thème 2. – Enjeux planétaires contemporains
Thème 2-A – Géothermie et propriétés thermiques de la Terre (2)
Bilan : flux thermique, convection, conduction, énergie géothermique
La température croît avec la profondeur (gradient
géothermique) ; un flux thermique atteint la surface
en provenance des profondeurs de la Terre (flux
géothermique). Gradients et flux varient selon le
contexte géodynamique.
Le flux thermique a pour origine principale la
désintégration des substances radioactives contenues
dans les roches.
Deux mécanismes de transfert thermique existent
dans la Terre : la convection et la conduction. Le
transfert par convection est beaucoup plus efficace.
Flux thermique, convection, conduction, origine
de la chaleur, machine thermique, (ancien
programme 1ere S)
La géothermie peut être la situation d’appel
pour étudier le fonctionnement thermique de
la Terre
Attention à la notion de chaleur ( en SPC :
chaleur seulement si échange)
Structure du globe seulement partiellement
connue ( lithosphère et asthénosphère)
Tâche complexe ou TP mosaïque : Comment l’énergie de la terre
rend-elle possible le fonctionnement d’une centrale géothermique
Définitions de base et des illustrations (diagrammes, carte de France,
tableaux de mesures …) : Site INRP
http://acces.inrp.fr/eedd/climat/dossiers/energie_demain/geothermie/
geothermie_SVT
Données sur les flux de chaleur et températures en France.
Nombreuses cartes de la France sur les flux de chaleur à différentes
profondeurs : Site BRGM
http://sigminesfrance.brgm.fr/geophy_flux.asp
Utiliser des données pour tracer le gradient géothermique moyen
avec un tableur.
http://acces.inrp.fr/eedd/climat/dossiers/energie_demain/geothermie/
gradient_geothermique_correction.xls/view
- comparaison conduction/convection : modélisation analogique,
avec ExAO, tableur et des matériaux de viscosités différentes (sirop,
huile…)
À l’échelle globale, le flux fort dans les dorsales est
associé à la production de lithosphère nouvelle ; au
contraire les zones de subduction présentent un flux
faible associé au plongement de la lithosphère âgée
devenue dense. La Terre est une machine thermique.
L’énergie géothermique utilisable par l’Homme est
variable d’un endroit à l’autre.
lien avec le contexte géodynamique : dorsale (1S)
et zone de subduction (TS).
Mesures de température, tracé de graphique avec ou sans tableur
http://svt.ac-montpellier.fr/spip/spip.php?article172
- lien avec le contexte géodynamique : tomographie
Cadre géologique des ressources géothermiques en France, Site
complet et riche en exemples bien illustrés.
http://www.geothermie-perspectives.fr/18-regions/index.html ;
http://www.geothermie-perspectives.fr/07-geothermie-
Connaissances
(programme)
Le prélèvement éventuel d’énergie par l’Homme ne
représente qu’une infime partie de ce qui est dissipé.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Energie géothermique et utilisation
Activités possibles et ressources
france/index.html
Kmz.geothermie (par ac montpellier) ou fossé rhenan kmz
http://svt.ac-montpellier.fr/spip/IMG/kmz/Geothermie.kmz
Fonctionnement et utilisation des ressources géothermiques :
http://www.geothermie-perspectives.fr/07-geothermie-france/03haute-energie.html
http://www.geothermie-soultz.fr/
Volcanisme et sources chaudes dans le fossé rhénan (sujet des
Olympiades de Géosciences 2008
http://svt.ac-dijon.fr/dyn/IMG/Sujet-NE-Olympiades_2008.pdf
Visite de la centrale géothermique de Bouillante (Guadeloupe)
http://pedagogie.acguadeloupe.fr/sciences_et_techniques_industrielles_lgt/visite_ce
ntrale_geothermique_bouillante
- lien eedd : place de la géothermie dans les ressources durables,
perspectives
Thème 2-B La plante domestiquée (2 ?)
Bilan : sélection génétique des plantes ; génie génétique.
Une même espèce cultivée comporte souvent
plusieurs variétés sélectionnées selon des critères
différents ; c’est une forme de biodiversité.
Remarque : manipulations possibles
La sélection exercée par l’Homme sur les plantes
cultivées a souvent retenu (volontairement ou
empiriquement) des caractéristiques génétiques
différentes de celles qui sont favorables pour les
plantes sauvages.
Angiospermes uniquement
Prérequis : il faut avoir fait
Thème 1-A-1-A-2-A-3 Et surtout : 1-A-5
situations un peu originales : étude de plantes
consommées par les élèves : les choux, que l’on
trouve facilement sur les marchés.
Pas de manipulation mais utilisation d’Anagène
par exemple
Situation déclenchante : photos de végétaux différents montrant la
variété des parties consommées par l’Homme.
Activité : comparaison d’une espèce cultivée et sauvage (orge,
blé…) Prévoir de les cueillir avant l’été.
Fournir schéma « plante type »
Documentation sur site de Jussieu « du blé au pain »
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/blepain/1ble/11plant/plante.htm
Observation (dissection ?) de choux variés issus du commerce et
travail avec le site (TP collaboratif) :
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Marche/choux.htm
Sélection empirique :
La Variation des animaux et des plantes à l'état domestique, Charles
Darwin (pages 355 et suivantes pour expliquer la sélection
empirique du chou et la découverte spontanée de certaines variétés
(gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k406270g)
Travail préparatoire comparaison « Maïs-Téosinte » (ressource
nationale n°18)
Connaissances
(programme)
Les techniques de croisement permettent, d’obtenir
de nouvelles plantes qui n’existaient pas dans la
nature (nouvelles variétés, hybrides, etc.).
Les techniques du génie génétique permettent d’agir
directement sur le génome des plantes cultivées.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Limites : débat qui risque d’être chronophage.
Activités possibles et ressources
Puis activité à partir de la ressource nationale n°22 : identification
des 5 gènes responsables des différences phénotypiques et étude plus
précise du rôle du gène tb1.
Ressource 20 en DM par exemple.
(Culture in vitro ?)
Thème 3. – Corps humain et santé (9)
Thème 3-A Le maintien de l’intégrité de l’organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire (5)
Bilan : la défense de l’organisme contre les agressions ; immunité ; mémoire immunitaire.
Thème 3-A-1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée (1)
L’immunité innée ne nécessite pas d’apprentissage
préalable, est génétiquement héritée et est présente
dès la naissance. Elle repose sur des mécanismes de
reconnaissance et d’action très conservés au cours de
l'évolution.
Très rapidement mise en œuvre, l’immunité innée est
la première à intervenir lors de situations variées
(atteintes des tissus, infection, cancer). C’est une
première ligne de défense qui agit d’abord seule puis
se prolonge pendant toute la réaction immunitaire.
La réaction inflammatoire aigüe en est un mécanisme
essentiel. Elle fait suite à l’infection ou à la lésion
d’un tissu et met en jeu des molécules à l’origine de
symptômes stéréotypés (rougeur, chaleur,
gonflement, douleur). Elle prépare le déclenchement
de l’immunité adaptative.
nouvel angle d’attaque de la partie
immunologie : la réaction inflammatoire et
plus le VIH et le SIDA(le VIH ne sera plus
qu’un ex possible dans la partie « immunité
adaptative »)
l’immunité innée n’est plus étudiée dans le
SEUL cadre de la coopération avec l’immunité
« acquise » mais dans le cadre de la réaction
inflammatoire.
-Description clinique de Cornelius Celsus (rubor et tumor cum
calore et dolore)
-Etude des différentes étapes de la réaction inflammatoire suite à une
agression comme une piqure d’épine
-comparaison histologique avant et pendant une réaction
inflammatoire
-observation microscopique des différents types cellulaires de
l’inflammation (macrophages, mastocytes, granulocytes et cellules
dendritiques)
conservation de l’immunité innée au cours de
l’évolution
 mécanismes de la phagocytose
l’immunité innée comme préparation à la
réponse immunitaire adaptative.
mode d’action des médicaments antiinflammatoire (éviter le paracétamol car
prescrit comme un antalgique)
-comparaison des séquences génétiques des récepteurs de
l’immunité innée chez différents animaux afin de montrer leur
conservation au cours de l’évolution
lim : -Régulation de la réaction inflamatoire
-Réaction inflammatoire aigue systémique
-rôle du complément
pour se remettre à jour :
http://www.courspharmacie.com/immunologie/limmuniteinnee.html
http://www.medecine.ups-
-animation phagocytose :
http://musibiol.net/biologie/animat/phago/phago.swf
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
tlse.fr/DCEM2/module8/item112/texteI1.htm
Thème 3-A-2 L’immunité adaptative, prolongement de l’immunité innée (2)
Alors que l’immunité innée est largement répandue
chez les êtres vivants, l’immunité adaptative est
propre aux Vertébrés. Elle s’ajoute à l’immunité
innée et assure une action plus spécifique contre des
molécules, ou partie de molécules.
Les cellules de l’immunité adaptative ne deviennent
effectrices qu’après une première rencontre avec un
antigène grâce aux phénomènes de sélection,
d’amplification et de différenciation clonales.
Les défenses adaptatives associées avec les défenses
innées permettent normalement d’éliminer la cause
du déclenchement de la réaction immunitaire.
Le système immunitaire, normalement, ne se
déclenche pas contre des molécules de l’organisme
ou de ses symbiotes. Cela est vrai notamment pour la
réponse adaptative.
Pourtant les cellules de l’immunité adaptative, d’une
grande diversité, sont produites aléatoirement par des
mécanismes génétiques complexes qui permettent
potentiellement de répondre à une multitude de
molécules. La maturation du système immunitaire
résulte d’un équilibre dynamique entre la production
de cellules et la répression ou l’élimination des
cellules autoréactives.
on ne parle plus d’immunité acquise mais
d’immunité adaptative.
l’immunité acquise est propre aux vertébrés
(450 millions d’années)
rôle des différentes cellules : lymphocytes (LB et
les récepteurs BCR, LT et les récepteursTCR )
-préférer les noms : LT CD4+ et LT CD8+
la reconnaissance de l’antigène par LB sous sa
forme native et par les LT associé aux
molécules du CMH
rôle des anticorps
rôle central des LT CD4+ (interleukines dont
l’IL2)
en cas de rencontre avec un antigène spécifique,
les étapes de l’activation des cellules
immunitaires : sélection, amplification,
différenciations clonales.
les LT CD4+ se transformeront en LT
Auxiliares (LTh) et les LT CD8+ en LT
cytotoxiques (LTc)
coopération entre immunité adaptative et
immunité innée (cellules présentatrices
d’antigène en association avec le CMH)
production d’une grande diversité de cellules
immunitaires avec élimination des cellules
dangereuses pour l’organisme ou pour ses
symbiotes.
organes lymphoïdse primaires et secondaires
-électrophorèse comparative d’un sérum d’un animal immunisé ou
non
-test Elisa
-modélisation moléculaire d’anticorps (Rastop)
-test d’immunodiffusion (Ouchterlony)
+électronographie de complexes immuns
+mise en évidence d’agglutination d’hématies de moutons par des
anticoprs
-ressources pour Anagène et rastop (anticorps, récepteur T) :
http://acces.ens-lyon.fr/acces/ressources/sante/reponseimmunitaire/ressources/rastop-et-anagene/
idée de maturation = idée d’évolution du
répertoire immunitaire au cours de la vie
limite : distinction entre CMH I et II.
Pour se remettre à jour : http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/sante/reponseimmunitaire/
Thème 3-A-3 Le phénotype immunitaire au cours de la vie (1)
Une fois formés, certains effecteurs de l’immunité
Connaissances
(programme)
adaptative sont conservés grâce à des cellules
mémoires à longue durée de vie.
Cette mémoire immunitaire permet une réponse
secondaire à l’antigène plus rapide et
quantitativement plus importante qui assure une
protection de l’organisme vis à vis de cet antigène.
La vaccination déclenche une telle mémorisation.
L’injection de produits immunogènes mais non
pathogènes (particules virales, virus atténués, etc.),
provoque la formation d’un pool de cellules
mémoires dirigées contre l’agent d’une maladie.
L’adjuvant du vaccin déclenche la réaction innée
indispensable à l’installation de la réaction
adaptative.
Le phénotype immunitaire d’un individu se forme au
gré des expositions aux antigènes et permet son
adaptation à l’environnement. La vaccination permet
d’agir sur ce phénomène.
La production aléatoire de lymphocytes naïfs est
continue tout au long de la vie mais au fil du temps,
le pool des lymphocytes mémoires augmente.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
 notion de mémoire immunitaire
 Rôle des cellules mémoires (y compris les LT
CD8+)
possibilité d’introduire ces notions avec de
l’histoire des sciences (découverte des vaccins)
 rôle de la vaccination
 insister sur le rôle citoyen de la vaccination
(notion de couverture vaccinale et de
protection collective)
rôle des adjuvants (pour aider au
déclenchement de la réaction immunitaire
innée)
 adaptabilité et variabilité du système
immunitaire
Activités possibles et ressources
-recenser les principes de la vaccination à partir de textes historiques
(Jenner)
-étude des travaux de Pasteur
-développer l’esprit critique en particulier sur le rôle des adjuvants
-Logiciel : Benoît Benard, Logiciel IMMUNO 3ème propose la mise
en évidence, de façon très simple, de la spécificité des anticorps et
de la mémoire immunitaire. Il téléchargeable gratuitement sur
internet à l’adresse :
http://wwwppeda.free.fr/logiciels/immuno3e.htm
- Logiciel « immunité », qui permet aux élèves de mettre en place
autant d’expériences qu’ils le souhaitent pour résoudre la question
du transfert d’immunité. Il est téléchargeable gratuitement sur le site
: http://ww2.ac-poitiers.fr/svt/spip.php?article393
RQ sur le thème : à plusieurs reprises, on replace certains points d’immunologie dans un cadre évolutif (immunité innée conservée au cours de l’évolution /
immunité adaptative spécifique aux vertébrés)
Thème 3-B Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse (4)
Bilan : neurone, synapse chimique ; plasticité cérébrale.
Thème 3-B-1 Le réflexe myotatique, un exemple de commande réflexe du muscle (2)
Le réflexe myotatique est un réflexe
monosynaptique. Il met en jeu différents éléments qui
constituent l’arc réflexe.
Le réflexe myotatique est ici étudié comme
élément de diagnostic qui renseigne sur le
fonctionnement neuromusculaire
Il n’y a plus d’étude de l’innervation réciproque ,
seul le réflexe myotatique monosynaptique est
étudié
Etude des expériences de dégénérescence
nerveuse et constatations médicales (Magendie):
elles ont permis de localiser les corps cellulaires
des neurones afférents et efférents
Mesure ExAO de la réponse réflexe :
http://back.ac-rennes.fr/pedagogie/svt/applic/refmyo/activ-musc.htm
 support utilisé : logiciel Refmyo
 Dispositif ExAO avec fiche protocole
 Etude du réflexe achilléen et du réflexe rotulien
 Modification de l’amplitude d’un réflexe si le sujet se concentre
ou est au contraire distrait
Eléments mis en jeu
 coupe transversale de moelle épinière vue au microscope :
http://www2.aclyon.fr/enseigne/biologie/photossql/images/ct_moelle.jpg
 Coupe au niveau d’une vertèbre cervicale : http://www.medecineet-sante.com/gimages/moelle2.jpg
 Microscope, lames de moelle épinière et nerf
Connaissances
(programme)
Le neurone moteur conduit un message nerveux
codé en fréquence de potentiels d’actions.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Nature du message nerveux: Stimulation d’un
neurone ? Comment sait-on qu’il répond ?
Seul le codage en fréquence au niveau des fibres
est à étudier
Notion de valeur seuil de déclenchement et loi du
tout ou rien
La commande de la contraction met en jeu le
fonctionnement de la synapse neuromusculaire.
Franchissement d’une synapse
Notion de transmission à sens unique et de
fixation temporaire
Perturbations du fonctionnement synaptique (cas
de la synapse neuro-musculaire seulement)
Seul le fonctionnement de la synapse à Ach est à
envisager et l’action de l’Ach sur les fibres
musculaires.
On envisage le cas d’une synapse normale et celui
d’une synapse « empoisonnée ».
L’exploration du cortex cérébral permet de découvrir
les aires motrices spécialisées à l’origine des
mouvements volontaires. Les messages nerveux
moteurs qui partent du cerveau cheminent par des
faisceaux de neurones qui descendent dans la moelle
jusqu’aux motoneurones. C’est ce qui explique les
effets paralysants des lésions médullaires.
Le corps cellulaire du motoneurone reçoit des
On étudie la commande volontaire d’un
mouvement et l’homonculus moteur ainsi que
les collaborations entre les différentes aires
corticales dans la commande d’un mouvement.
Activités possibles et ressources
Coupe transversale de moelle épinière de lapin
http://forum.mikroscopia.com/uploads/monthly_05_2007/post-361178972693.jpg
Coupe transversale de moelle :
http://mediatheque.parisdescartes.fr/doc/racine/j/jmdupont/140442
Coupe_transv_moelle_FR.jpg
Substance blanche de la moelle épinière : http://back.acrennes.fr/pedagogie/svt/applic/moelle/l-moelle/l-moel6b.htm
 Photos des fuseaux neuro musculaires
observation microscopique des récepteurs sensoriels :
http://schwann.free.fr/contraction_musculaire03.jpg
Logiciel POTACT (Jeulin) / Logiciel Sherrington (exp chez le chat )
logiciel de simulation d'expériences de sections-stimulations :
sherrington : http://www.acnice.fr/svt/productions/fiche.php?numero=25
logiciel neurone de JF TILQUIN à télécharger sur le site
http://www.ac-grenoble.fr/webcurie/bio
Analyse d’expériences sur l’axone géant de calmar et estimation de
la vitesse de conduction du message nerveux
Logiciels de simulation : logiciel Synapse du CRDP de Versailles,
logiciel Simneuro de Pierron ??
Logiciel synapse de F TILQUIN à télécharger sur le site
http://www.ac-grenoble.fr/webcurie/bio
photographies d’une synapse
Fibres musculaires effectrices :
http://www.udel.edu/biology/Wags/histopage/colorpage/cne/cnemep
.GIF
microciné contraction fibre musculaire : http://www.accreteil.fr/biotechnologies/doc_biohumcardiomyocyte_contraction.htm
Thème 3-B-2 De la volonté au mouvement (1)
Schéma de l’Homonculus moteur (une carte
"motrice" à la surface du cerveau.)
Banque d’images Neuropeda pour localiser les aires du cortex
moteur avec le logiciel Eduanatomist
http://www.edumedia-sciences.com/fr/v6-l-irm-interview
Inrp sujets 13111 et 13112 : mise en évidence des aires impliquées
dans la réponse motrice de la main, Localisation des aires
impliquées dans la réponse motrice de la main dans une région
localisée au niveau du cortex de l’hémisphère controlatéral à la main
sollicitée (lobe pariétal). Intervention d’autres régions antérieures
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
informations diverses qu’il intègre sous la forme d’un
message moteur unique et chaque fibre musculaire
reçoit le message d’un seul motoneurone.
On étudie la modulation du réflexe myotatique
par une commande volontaire et donc le trajet
des neurones du cortex aux motoneurones
médullaires.
Le rôle intégrateur des motoneurones est
envisagé afin d’expliquer les modifications du
fonctionnement synaptique sous l’effet de la
volonté
Texte présentant le trajet des voies centrifuges de
la motricité volontaire.
La sommation spatiale comme exemple
d’intégration
Activités possibles et ressources
(aires prémotrices et motrices supplémentaires)
Vidéo sur le principe de l’imagerie par résonance magnétique
(IRM) :
http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/neurosciences/Banquedonnees_logicielneur
oimagerie/test-architecture-neuropeda/fiches-pedagogiques/1-irm/13-imagerie-fonctionnelle/1-3-1-sensibilite-motricite/1-3-1-1motricite/1-3-1-1-motricite
Powerpoint de Françoise Jauzein de Neuroimagerie :
http://acces.ens-lyon.fr/acces/ressources/neurosciences/archivesformations/Neuroimagerie_Versailles.ppt/view http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/neurosciences/archivesformations/Neuroimagerie_Versailles.ppt/view
Logiciel Synapse de TILQUIN en cours de développement en lien
avec le nouveau programme.
Logiciel sommation spatiale (Académie d’Amiens)
Logiciel Rastop afin d’étudier le récepteur de l’Ach et les substances
antagonistes et agonistes… + modèles moléculaires de l’Ach et du
récepteur à l’Ach.
Thème 3-B-3 Motricité et plasticité cérébrale (1)
La comparaison des cartes motrices de plusieurs
individus montre des différences importantes. Loin
d’être innées, ces différences s’acquièrent au cours du
développement, de l’apprentissage des gestes, et de
l’entraînement. Cette plasticité cérébrale explique
aussi les capacités de récupération du cerveau après
la perte de fonction accidentelle d’une petite partie du
cortex moteur. Les capacités de remaniements se
réduisent tout au long de la vie, de même que le
nombre de cellules nerveuses. C’est donc un capital à
préserver et entretenir.
La plasticité cérébrale est abordée à partir de
l’apprentissage et des récupérations
fonctionnelles intervenant après une lésion
(approche historique)
Possibilité aussi de faire le lien avec le
vieillissement
Inrp sujets 12211 et 12213 associant des images d’accidents
Vasculaires Cérébraux et des hématomes intracérébraux. Elles
permettent d’aborder le concept de localisation cérébrale et
d’introduire la notion de fonctions associées aux différentes régions
cérébrales
http://acces.enslyon.fr/acces/ressources/neurosciences/Banquedonnees_logicielneur
oimagerie/test-architecture-neuropeda/fiches-pedagogiques/1-irm/12-anatomie-generalites/1-2-2-pathologies-lesions/1-2-2-1-accidentsvasculaires-cerebraux/
● Documents sur la compensation vestibulaire (Pierre Clément)
● Document présentant la modification du réseau neuronique au
cours du temps (réorganisation du cortex moteur après un AVC)
 Plasticité cérébrale et vieillissement.
Documents concernant les atteintes du SNC ( maladies
dégénératives : Alzheimer et Parkinson…)
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
http://acces.ens-lyon.fr/acces/ressources/neurosciences/maladies-ettraitements
● Douleur et membre fantôme ???
ENSEIGNEMENT DE SPECIALITE
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
SPE - Thème 1 – La Terre dans l’univers, la vie et l’évolution de la vie
Énergie et cellule vivante (on se limite aux cellules eucaryotes)
La cellule chlorophyllienne des végétaux verts
effectue la photosynthèse grâce à l’énergie
lumineuse.
L’étude à l’échelle du végétal est faite en
seconde → on travaille tout de suite à l’échelle
cellulaire
Pas de présentation de l’écosystème ; pas
d’étude des structures d’approvisionnement
(stomates) ni du devenir des produits de la
photosynthèse
Beaucoup d’activités pratiques dans ce thème ;
c’est l’occasion de laisser les élèves tâtonner et
autonomes, d’évaluer les attitudes (initiative,
autonomie, esprit critique…)
Beaucoup d’activités identiques à celles de
l’ancien programme
Suivi des échanges d’O2 et de CO2 par ExAO
Coloration par de l’eau iodée de feuilles exposées ou non à la
lumière durant plusieurs heures (expérimentation sur des feuilles
panachées)
Observation microscopique de feuilles (coupe de feuille fraiche,
feuille d’Élodée)
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
Le chloroplaste est l’organite clé de cette fonction. La
phase photochimique produit des composés réduits
RH2 et de l’ATP.
L’étude est centrée sur l’énergie et non sur les
métabolismes.
On insiste sur les couplages énergétiques. Lors
de la phase photochimique, il y a couplage
photochimique
Etude d’électronographies de chloroplastes
Réalisation d’une chromatographie d’un extrait de feuilles
Réalisation d’un spectre d’absorption d’une solution de chlorophylle
brute
Expérience de Hill
Documents : résultats expérimentaux (Expériences de Gaffron,
d’Arnon) ; comparaison des potentiels redox de couples redox mis
en jeu. (Fe3+/Fe2+; O2/H2O ; R/RH2)
Animations:
spectres émission/absorption SPC :
http://www.ostralo.net/3_animations/swf/spectres_abs_em.swf
Bon élément pour les rappels de seconde sur spectre d’absorption et
spectre d’émission
Limites : photosystèmes I et II / gradient de pH/
flux de protons dans la lumière des thylakoïdes :
hors programme (on ne traite pas le couplage
chimio-osmotique)
L’aventure des plantes sur daily motion
Aspect historique – des erreurs – utilisation possible en exercice
après bilan
Formation de l’ATP :
http://vcell.ndsu.edu/animations/atpgradient/movie-flash.htm
NB : couplage chimio-osmotique hors-programme -> « pour aller
plus loin»
La phase chimique produit du glucose à partir de CO2
en utilisant les produits de la phase photochimique.
La plupart des cellules eucaryotes (y compris les
cellules chlorophylliennes) respirent : à l’aide de
dioxygène elles oxydent la matière organique en
matière minérale.
La mitochondrie joue un rôle majeur dans la
respiration cellulaire.
L’oxydation du glucose comprend la glycolyse (dans
le hyaloplasme) puis le cycle de Krebs (dans la
mitochondrie) : dans leur ensemble, ces réactions
produisent du CO2 et des composés réduits R’H2. La
chaîne respiratoire mitochondriale permet la
réoxydation des composés réduits ainsi que la
réduction de dioxygène en eau. Ces réactions
s’accompagnent de la production d’ATP qui permet
les activités cellulaires.
Documents : Expérience de Calvin et Benson (chromatographies
bidimensionnelles)
Expériences de Bassham et Calvin (suivi du Ru1-5bisP et de l’APG lors du
passage à l’obscurité ou à un milieu sans CO2)
Respiration et fermentation permettent d’utiliser
les molécules organiques pour récupérer de
l’énergie utilisable (ATP)
On met en évidence un couplage chimiochimique
Limites : le détail des réactions chimiques, les
mécanismes de la chaîne respiratoire et la
conversion chimio-osmotique ne sont pas au
programme
Comparaison du métabolisme de parties chlorophylliennes et non
chlorophylliennes d’un végétal en présence ou en l’absence de
lumière par ExAO
Etude comparée d’électronographies de cellules de levures en
aérobiose et anaérobiose
Mesure de l’efficacité respiratoire de différents substrats chez la
levure ou sur des mitochondries isolées par ExAO
Transposition en ExAO de certaines expériences historiques de
Krebs sur des mitochondries isolées : action du succinate, malate,
oxaloacetate ?
Logiciel Rastop : étude de la structure des molécules impliquées
dans le métabolisme (ATP, ADP, NAD, NADH) .
Dosage de l’ATP par bioluminescence (luciférase) ?
Animations :
Connaissances
(programme)
Certaines cellules eucaryotes réalisent une
fermentation. L’utilisation fermentaire d’une
molécule de glucose produit beaucoup moins d’ATP
que lors de la respiration.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
→ couplage chimio-chimique
-
La fibre musculaire utilise l’ATP fourni, selon les
circonstances, par la fermentation lactique ou la
respiration.
la réalisation d’une activité cellulaire : la
contraction musculaire
L’hydrolyse de l’ATP fournit l’énergie nécessaire aux
glissements de protéines les unes sur les autres qui
constituent le mécanisme moléculaire à la base de la
contraction musculaire.
On met en évidence un couplage chimiomécanique
Respiration: http://www.ac-creteil.fr/biotechnologies/doc_biocelloverview-of-aerobic-respiration.htm
Animation intéressante en exercice
Animations Cosentino
Métabolisme énergétique : http://pedagogie.acamiens.fr/svt/info/logiciels/animmetabo/index.htm
Hydrolyse ATP : http://pedagogie.acamiens.fr/svt/info/logiciels/animmetabo/hydratp.htm
La respiration : http://vcell.ndsu.edu/animations/etc/movieflash.htm
-> « pour aller plus loin»
Beaucoup d’activités possibles (TP collaboratif possible) ; par
exemple :
- Etude de la fermentation alcoolique chez la levure, de la
fermentation lactique
- Recherche documentaire sur les découvertes principales de Pasteur
à propos de la fermentation, sur les utilisations de la fermentation
dans le domaine de l’agro-alimentaire (vins, cidres, bières, pains…)
Animation :
Fermentation alcoolique : http://genet.univtours.fr/gen002300/DONNEES/animations/Fermentation%20alcooli
que.htm
simpliste -> résumé de cours.
Utilisation du modèle de la cyclose de chloroplastes en présence /
absence d’inhibiteur de la production d’ATP (acide cyanhydrique)
Recherche d’ATP dans un muscle de bœuf (steack) par
bioluminescence (grâce au complexe luciférine – luciférase) ?
Nombreux documents : (TP collaboratif possible) pour montrer la
nécessité de l’ATP dans la contraction et ses voies de régénération
Observation d’électronographies de muscle. Comparaison de fibres
musculaires lentes et rapides
Étude en microscopie optique de muscle
Etude en microscopie électronique de sarcomères dans une fibre
relâchée ou contractée
Animations :
Préparation : http://espace-svt.acrennes.fr/applic/muscle/muscle10.htm
Très simpliste > Rappel de ce qui a été vu en 2de
Connaissances
(programme)
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
L’ATP joue un rôle majeur dans les couplages
énergétiques nécessaires au fonctionnement des
cellules.
Conclusion générale centrée sur les couplages
énergétiques
Activités possibles et ressources
Sarcomère : http://conceptcours.fr/www/term_s/www/term_spe/met
ab_hetero/contraction.swf
simpliste
Rôle de la myosine (avec modifs) :
http://conceptcours.fr/www/term_s/www/term_spe/metab_hetero/m
yosine.swf
Hydrolyse ATP : http://pedagogie.acamiens.fr/svt/info/logiciels/animmetabo/hydratp.htm
Construction d’un schéma bilan
SPE - Thème 2 – Enjeux planétaires contemporains
Atmosphère, hydrosphère, climats : du passé à l’avenir
L’atmosphère initiale de la Terre était différente de
l’atmosphère actuelle.
Sa transformation est la conséquence, notamment, du
développement de la vie.
L’histoire de cette transformation se trouve inscrite
dans les roches, particulièrement sédimentaires.
Les bulles d’air contenues dans les glaces permettent
d’étudier la composition de l’air durant les 800 000
dernières années y compris des polluants d’origine
humaine.
La composition isotopique des glaces et d’autres
indices (par exemple la palynologie) permettent de
retracer les évolutions climatiques de cette période.
L’effet de serre, déterminé notamment par la
composition atmosphérique, est un facteur
influençant le climat global.
La modélisation de la relation effet de serre / climat
est complexe.
Partie Nouvelle mais déjà traitée dans le
programme de TS de 1994
Comparaison des stromatolithes actuels et des stromatolithes
archéens
Mise en évidence de la cristallisation de CaCO3 grâce à l’activité des
cyanobactéries
Construction d’un protocole expérimental ExAO mettant en
évidence le dégagement de dioxygène par le métabolisme
photosynthétique des cyanobactéries.
Manipulations chimiques permettant de caractériser différents états
d’oxydation du fer, notamment l’oxydation d’ions Fe2+ sous une
atmosphère oxydante
Mise en relation des résultats des manipulations avec des documents
concernant les fers rubanés et les roches rouges continentales
Données papier
Partie déjà présente dans l’ancien programme
de spécialité
–
Idem
Partie nouvelle faisant suite à ce qui est traité
en seconde.
– étude avec tableur des variations du delta 18O,
– indice stomatique avec le Gingko (type ECE),
– palynologie.
TP EXAO même si peu fiable, développement de l’esprit
critique.
Ici on peut intervenir à plusieurs niveaux sur
les modèles et ce qu’ils apportent, et sur leurs
Confrontations des résultats des modèles numériques des
laboratoires avec les mesures du climat passé  discussion sur le
Utilisation des logiciels, paléovu ou paléobiomes, Vostok
Connaissances
(programme)
Elle permet de proposer des hypothèses d’évolutions
possibles du climat de la planète notamment en
fonction de scénarios d’émissions des gaz à effet de
serre par l’activité humaine.
Sur les grandes durées (par exemple pendant le
dernier milliard d’années) les traces de variations
climatiques importantes sont enregistrées dans les
roches sédimentaires.
Des conditions climatiques très éloignées de celles de
l’époque actuelle ont existé.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Activités possibles et ressources
limites
fonctionnement et la validation des modèles pour comprendre
les évolutions futures du climat qu’ils proposent
TP radiomètres
Données papier ou utilisation d’un logiciel (Simclimat)
Partie déjà présente dans l’ancien programme
de spécialité
Données papier
SPE - Thème 3 – Corps humain et santé
Glycémie et diabète
Les glucides à grosses molécules des aliments sont
transformés en glucose grâce à l’action d’enzymes
digestives.
Utilisation d'un "cahier de manips" pour conserver
une trace de l'ensemble des démarches
expérimentales
Les enzymes sont des protéines qui catalysent des
transformations chimiques spécifiques (ici celles de
la digestion).
Voir ancien programme de 1ère S
La digestion n'est pas en tant que telle au
programme mais permet d'aborder les notions
fondamentales d'enzymologie
Acquis de 5ème sur la digestion et l'absorption intestinale
Chromatographie de glucides
http://svt.ac-creteil.fr/?option-sciences-experimentales-svt,801
Dialyse sur membrane semi-perméable : amidon vs glucose
Conception et réalisation de protocoles sur la spécificité
enzymatique.
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/spip.php?article120
Structure du complexe enzyme-substrat : Rastop, amylase salivaire
humaine.
Cinétique enzymatique :
 Catalase : http://www.didier-pol.net/BIOAMUS.html#ENZYMES
http://www.pedagogie.acnantes.fr/html/peda/svt/catalase/sommaire.htm
 Glucose-oxydase. http://www-peda.acmartinique.fr/svt/tpenzy2.shtml Intérêt : manip' rapide qui
permet aux élèves de mettre au point et tester différents
protocoles au cours de la même séance.
Logiciels de simulation pour visualiser le complexe enzyme-substrat
http://svt.ac-rouen.fr/biologie/enzymo/enzymea.htm
http://svt.acrouen.fr/tice/logitheque/gratuicielspeda/lactase/lactase.htm
Logiciel de simulation présentant différents points du métabolisme
lié à la régulation de la glycémie
http://www.ac-creteil.fr/biotechnologies/main-humanbiology.htm
Connaissances
(programme)
La régulation de la glycémie repose notamment sur
les hormones pancréatiques : insuline et glucagon.
Remarques
Nouveau / ancien / remarques
Voir ancien programme de 1ère S
Acquis de 1ère sur les hormones (thème féminin, masculin)
Possibilité TP collaboratif :
TP tâche complexe permettant d'aboutir à la réalisation d'un schéma
fonctionnel de régulation de la glycémie
 Expérience de foie et muscle lavés
 Textes historiques de Claude Bernard
http://www2.biusante.parisdescartes.fr/livanc/?cote=extulyo
nun6030&do=chapitre
ou de Minkowski 1890 (expériences d’ablation / greffe de
pancréas)
http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2004
x038x004/HSMx2004x038x004x0421.pdf
ou de Banting et Best 1921 (injections d’extraits de foie /
pancréas)
http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1972
x006x003/HSMx1972x006x003x0133.pdf
 Coupes histologiques de foie et pancréas
 Clichés de microscopie à fluorescence pour localiser les
cellules productrice d'insuline et glucagon
 Logiciel "Glycémie" (F. Tilquin)
 ou "ModSim Glycémie" (Jeulin) point fort : module de
modélisation
-
-
Le diabète de type 1 résulte de la perturbation de la
régulation de la glycémie provoquée par l’arrêt ou
l’insuffisance d’une production pancréatique
d’insuline.
chaque groupe d’élèves travaille sur des
données scientifiques historiques (cf cicontre) qui ont conduit à la
compréhension des mécanismes
physiologiques de la régulation de la
glycémie
chaque groupe d’experts construit « son
modèle » de régulation de la glycémie
Les diabètes auront déjà pu être étudiés en classe
de 1ère dans la partie "Variation génétique et
santé"
Entrées possibles dans le thème sous l'angle
pathologique (diabète) ou historique (exp. de foie
lavé de Cl. Bernard – ablation/greffe pancréas de
Minkowski –
injection insuline/glucagon de Cahill ... )
L’absence ou l’insuffisance de l’insuline est due à
une destruction auto-immune des cellules β des îlots
de Langerhans.
Le diabète de type 2 s’explique par la perturbation de
l’action de l’insuline.
Le déclenchement des diabètes est lié à des facteurs
variés, génétiques et environnementaux.
Activités possibles et ressources
Données scientifiques récentes de nature à
remettre en cause les connaissances actuelles
Le Monde 14/01/12
Piste de recherche pour le traitement du diabète de type 1
« Diabète Type 1 : La piste de la rééducation cellulaire »
La Recherche n°463 Avril 2012 (p48)
« Le diabète de type 2 programmé avant la naissance »
Le monde 11/05/2007
« Mise en évidence des mécanismes d’apparition d’un diabète de
type 2»
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