Chapitre 19

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Chapitre 19
Autoévaluation
QUESTIONS À COURT DÉVELOPPEMENT
1. Dans quelles circonstances et comment notre système immunitaire distingue-t-il entre
les antigènes du soi et ceux du non-soi ?
Durant le développement embryonnaire, notre système immunitaire apprend à ne pas
réagir contre ses propres antigènes par un phénomène de tolérance immunitaire pour
ses propres cellules.
Lorsque des clones de lymphocytes B et T sont produits dans le fœtus, ceux qui
présentent des sites de fixation pour des antigènes du soi sont éliminés ou inactivés
par un mécanisme de délétion clonale qui se produit probablement lorsque ces
lymphocytes circulent dans le thymus du fœtus. Les lymphocytes dangereux meurent
avant la naissance.
2. Lorsqu’ils administrent des vaccins à virus vivants atténués contre les oreillons et la
rougeole préparés sur embryons de poulet, les professionnels de la santé sont tenus
d'avoir de l'épinéphrine à leur disposition. L'épinéphrine n'est pourtant pas un
traitement pour ces infections virales. Quelle est l'utilité d'avoir ce médicament à
portée de la main ?
Les vaccins préparés sur embryons de poulet sont en fait des œufs embryonnés.
Certains enfants, allergiques aux œufs, peuvent présenter des réactions d’anaphylaxie
à l’allergène à la suite de l’administration de vaccins contenant des molécules d’œufs.
Comme il s’agit d’une hypersensibilité immédiate causée par des médiateurs tels que
l’histamine, le personnel est tenu d'avoir de l'épinéphrine à sa disposition parce que ce
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médicament injecté rapidement va agir comme un antihistaminique et réduire les
symptômes de l’allergie.
3. Les personnes atteintes du SIDA produisent-elles des anticorps ? Si oui, pourquoi diton qu'elles ont un déficit immunitaire ?
Les personnes atteintes du SIDA produisent des anticorps, mais ces anticorps ne
sont pas vraiment efficaces puisque le virus utilise des stratégies qui lui permettent
d’échapper à leur action. Tout d’abord, les virus sont des parasites intracellulaires, et
les anticorps circulant dans le sérum ne pénètrent pas dans les cellules. De plus, le
virus se transfère de cellule à cellule par fusion cellulaire, ce qui lui permet aussi
d’échapper aux anticorps. Le VIH subit des modifications antigéniques dans le temps
de sorte qu’un même individu peut être infecté par différentes souches du virus du
SIDA. Les anticorps sont donc présents, mais ils ne sont pas assez efficaces pour
entraîner la guérison de l’infection ; toutefois, ce n’est pas ce qui cause
l’immunodéficience.
APPLICATIONS CLINIQUES
1. Étienne travaille dans une ferme de culture de champignons depuis plusieurs mois.
Depuis quelques jours, il présente les signes suivants : eczéma, œdème et tuméfaction
des nœuds lymphatiques. Le médecin diagnostique une allergie dans laquelle
l'allergène est constitué des conidies (spores) produites par les moisissures qui
poussent dans le terreau. Comment le médecin a-t-il pu déterminer l’état de sensibilité
d’Étienne à cet allergène particulier ?
Étienne souhaite continuer à travailler à la ferme, mais le médecin le lui
déconseille. Décrivez le mécanisme physiopathologique à l’origine des signes
d’allergie d’Étienne et expliquez pourquoi il ferait mieux de cesser son travail.
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Les autres employés ne présentent pas les signes d’Étienne. Expliquez
pourquoi ils ne risquent pas de contracter la même maladie.
En tenant compte de la situation clinique qui suggère que les signes et symptômes
d’Étienne peuvent être ceux d’une hypersensibilité de type I (anaphylaxie immédiate),
le médecin a procédé à des cutiréactions. Une cutiréaction est un test cutané qui
permet de déterminer si une personne présente une sensibilité à un allergène
particulier. On effectue ce test en injectant dans le derme de petites quantités de
l’allergène ; si la personne possède des anticorps de type IgE contre l’allergène, la
réaction se produit sur la peau et cause l’apparition d’une bulle d’œdème au site
d’injection de l’allergène. La présence des anticorps révèle l’allergie.
Le mécanisme physiopathologique qui conduit aux réactions
d’hypersensibilité de type I se déroule en plusieurs étapes :
Étienne travaille sur une ferme où des moisissures poussent dans le terreau
servant à la culture. Il a ainsi l’occasion de respirer souvent des spores de la
moisissure ; les molécules d’allergène peuvent pénétrer dans les circulations sanguine
et lymphatique et atteindre des nœuds lymphatiques. Dans le cas d’Étienne, il y a eu
rencontre de l’allergène avec un lymphocyte B spécifique, combinaison qui a conduit
au développement d’une réaction immunitaire comprenant les étapes de l’activation
du lymphocyte B spécifique, la prolifération et la formation d’un clone, et la
différenciation des lymphocytes B en plasmocytes producteurs d’anticorps de type
IgE et en lymphocytes mémoires. Cette multiplication massive des lymphocytes
entraîne le gonflement des nœuds lymphatiques.
Le type d’anticorps, soit les IgE, est un des éléments responsables de l’apparition de
l’allergie, parce que les IgE se fixent à la membrane plasmique des mastocytes
tissulaires et des granulocytes basophiles au lieu de circuler dans le sérum.
Au bout d’un certain temps, l’organisme d’Étienne a donc développé un état de
sensibilité, mais aucune réaction n’était visible. L’allergie peut se manifester lorsque
l’inhalation d’une dose ultérieure de l’allergène déclenche une réaction d’allergie qui
va progressivement apparaître sur la peau.
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Lors de l’exposition à une dose déclenchante du même allergène, les molécules
d’allergène se fixent aux anticorps IgE déjà fixés sur la membrane des granulocytes
basophiles et des mastocytes tissulaires. Cette fixation entraîne la dégranulation et la
libération des médiateurs chimiques tels que l’histamine, les leucotriènes et les
prostaglandines responsables de l’apparition des signes et symptômes de l’allergie
tels que l’eczéma.
À chaque nouveau contact avec l’allergène, l’état d’allergie va se manifester. Si
Étienne reste à la ferme, il va présenter de l’eczéma tout l’été.
Les autres employés ne sont pas allergiques, l’allergie étant une réaction anormale du
système immunitaire qui n’atteint que les personnes qui y sont prédisposées. Ces
employés n’ont pas de réaction immunitaire parce qu’ils ne produisent pas d’IgE et ne
développent pas de sensibilisation à l’allergène. Par conséquent, il n’y a pas de danger
qu’ils présentent les mêmes signes et symptômes.
2. Au cours d’un repas au restaurant avec des amis, Robert est pris soudainement de
malaises : ses lèvres et sa langue enflent, sa gorge est serrée. Il a de la difficulté à
avaler et à respirer. Reconnaissant ses symptômes, Robert se fait immédiatement une
injection d’épinéphrine (ÉpiPenMD) sur la face latérale externe de la cuisse. Son état
s’améliore mais il quitte ses amis pour se rendre à l’hôpital. Reliez la réaction
d’hypersensibilité anaphylactique au mécanisme physiopathologique qui a déclenché
les symptômes de Robert.
Robert est une personne qui est déjà sensibilisée à des substances alimentaires, et il
connaît son état d’allergie puisqu’il a avec lui une seringue d’ÉpiPen. Au restaurant,
Robert a mangé un aliment qui contient une substance à laquelle il est déjà
allergique ; la réaction d’allergie est rapidement déclenchée. Ainsi, dès l’ingestion de
la substance, les molécules de l’allergène se fixent aux anticorps IgE déjà fixés sur la
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membrane des granulocytes basophiles et des mastocytes tissulaires. Cette fixation
entraîne la dégranulation et la libération des médiateurs chimiques tels que
l’histamine, les leucotriènes et les prostaglandines responsables de l’apparition des
signes et symptômes de l’allergie au niveau de la langue, de la bouche et de la gorge.
Le gonflement des muqueuses rend la respiration difficile. Les lymphocytes
mémoires sont aussi stimulés, ce qui perpétue l’état d’allergie.
3. Ariane est une adepte de la randonnée pédestre et elle aime se promener en forêt. Un
beau matin du mois d’août, elle décide de reprendre une piste qu’elle avait empruntée
l’été précédent. Le lendemain, elle constate que des petites bulles prurigineuses sont
apparues sur ses jambes. À la clinique, on lui dit qu’elle présente une dermatite de
contact causée par une plante communément appelée herbe à puce. Ariane se
demande comment elle a pu attraper cette dermatite au cours de sa randonnée.
Décrivez le mécanisme physiopathologique à l’origine des signes et
symptômes d’Ariane et expliquez pourquoi la dermatite de contact n’est pas une
maladie qui s’attrape mais une réaction d’hypersensibilité. Expliquez comment les
deux randonnées, celle de l’année dernière et celle de la veille, sont liées à
l’apparition des signes et symptômes. Ariane demande au médecin si elle peut refaire
la même randonnée sans s’exposer à une nouvelle réaction. Que pourrait-il lui
conseiller ?
Les substances de la plante sont des haptènes qui produisent chez Ariane et chez
certaines personnes qui y sont allergiques une réponse immunitaire désagréable en se
combinant aux protéines de la peau : la combinaison de l’allergène et des protéines de
la peau devient le véritable allergène qui entraîne une série d’événements conduisant
à l’apparition des signes de la dermatite de contact. La maladie n’est donc pas
quelque chose qui s’attrape ni se transmet, mais bien une allergie que seulement
certaines personnes hypersensibles vont manifester.
Phases du développement physiopathologique de l’allergie de contact :
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Lors de la première randonnée d’Ariane dans la forêt, à son contact avec les plantes,
l’haptène s’est déposé sur la peau et il y a alors eu combinaison formant le véritable
allergène. Les macrophagocytes du derme ont ingéré les cellules porteuses de
l’haptène et ont ensuite exposé les déterminants antigéniques à leur surface
membranaire : les macrophagocytes sont alors devenus des CPA. Puis les CPA ont
rencontré des lymphocytes T spécifiques, ce qui a conduit à l’activation de ces
derniers, à leur prolifération, à la formation d’un clone et à la différenciation en
lymphocytes T matures et en lymphocytes T mémoires. Jusqu’à ce moment, aucune
réaction n’était visible.
Lors de la deuxième randonnée d’Ariane dans la forêt, le contact avec les plantes
mène au dépôt sur la peau de nouvelles molécules du même haptène. Il se déclenche
alors une réaction immunitaire qui comprend l’activation des lymphocytes T
mémoires, leur prolifération et la formation d’un clone ; les lymphocytes T migrent
vers le lieu du dépôt de l’haptène, soit la peau, et ils s’attaquent aux cellules de la
peau porteuses de l’haptène.
Les signes et symptômes de la dermatite apparus sur les jambes d’Ariane sont dus à la
libération de lymphokines par les lymphocytes T qui détruisent les cellules de la peau
portant l’haptène ; de plus, certaines cytokines alimentent la réaction inflammatoire à
l'antigène en attirant des macrophagocytes sur les lieux et en les activant. Les signes
et symptômes apparaissent seulement après un certain délai ou retard qui peut aller de
plusieurs heures à 1 journée et plus.
Les deux randonnées sont liées à l’apparition des symptômes. La première a permis le
premier contact, qui a préparé l’état de sensibilisation. La seconde randonnée a
permis le deuxième contact, qui a déclenché la réaction d’hypersensibilité.
Le médecin devrait conseiller à Ariane de ne pas marcher hors des sentiers, là où il y
a des petites plantes de sous-bois, et de porter des pantalons ; il devrait aussi lui
conseiller d’apprendre à identifier la plante de façon à pouvoir la reconnaître et éviter
son contact.
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4. Une femme dont le groupe sanguin est A- a eu trois enfants : le premier est du groupe
sanguin B- et le deuxième, du groupe A+ ; le troisième enfant est venu au monde
atteint de la maladie hémolytique du nouveau-né. Expliquez pourquoi ce troisième
bébé a la maladie alors que les deux premiers n’en ont pas été atteints.
Lors de la première grossesse, le bébé A Rh- est du même groupe Rh que la mère, de
sorte que l’organisme de cette dernière ne réagit pas. Au moment de l’accouchement
lors de la deuxième grossesse, le sang du bébé A Rh+ a déclenché chez la mère une
réaction immunitaire à la suite de laquelle des anticorps anti-Rh ont été produits;
toutefois, cette réaction n’affecte pas le nouveau-né. Lors de sa troisième grossesse,
les anticorps anti-Rh ont traversé le placenta et réagi avec les érythrocytes de type
Rh+ du bébé, provoquant leur destruction. Après la naissance, le sang de la mère ne
peut plus assurer la détoxication du sang fœtal, de sorte que ce troisième bébé vient
au monde atteint de la maladie hémolytique du nouveau-né.
5. Josiane a 3 ans. L’année dernière, on a diagnostiqué une déficience immunitaire
progressive associée à une incapacité à produire des gammaglobulines (anticorps). La
maladie évolue vers une agammaglobulinémie. Hospitalisée depuis une semaine, la
fillette est installée dans une chambre totalement isolée et maintenue dans une stérilité
complète. Le médecin a décidé de pratiquer une greffe de moelle osseuse rouge et, au
vu des résultats des tests d’histocompatibilité, de prélever le greffon chez le frère aîné
de Josiane. Expliquez le mécanisme physiopathologique susceptible de s’enclencher
si la tentative de greffe se solde par un échec.
Josiane n’a pas la capacité de produire les lymphocytes B essentiels à l'immunité de
type humorale ; son organisme est en immunodéficience. La greffe de moelle osseuse
rouge prélevée chez son frère a pour objectif de redonner à Josiane la possibilité de
produire des cellules lymphocytaires immunocompétentes. Cet objectif ne peut être
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atteint que dans la mesure où on peut s’assurer d’un certain niveau
d’histocompatibilité entre le donneur et la receveuse. Dans le cas contraire, la greffe
peut provoquer une réaction du greffon contre l'hôte et conduire à la mort de Josiane.
La moelle osseuse rouge du frère de Josiane contient des cellules
immunocompétentes susceptibles de réagir contre les tissus de l’organisme de Josiane
dans lequel elles sont greffées. Les cellules du greffon sensibilisées forment des
clones et se différencient en lymphocytes T matures qui s’attaquent aux différents
types de cellules de l’organisme de Josiane et les détruisent. Puisque le corps de
Josiane est dépourvu d'un système immunitaire qui fonctionne, la réaction du greffon
contre l'hôte constitue une complication grave qui peut même être fatale.
Pour éviter ce problème, on utilise du sang de cordon ombilical provenant de placenta
et de cordon ombilical de nouveau-nés, soit de tissus qui seraient normalement jetés
après l’accouchement. Ce sang est très riche en cellules souches comme celles de la
moelle osseuse. Non seulement ces cellules prolifèrent pour donner les divers
éléments figurés dont le receveur a besoin mais elles sont aussi plus jeunes et moins
différenciées, si bien que les exigences de compatibilité sont moins contraignantes
que dans le cas de la moelle osseuse. Par conséquent, le risque de réaction du greffon
contre l'hôte est plus faible.
6. Depuis quelques mois, une jeune fille se sent fatiguée, faible et frileuse. Elle a
récemment pris 4 kilogrammes sans avoir changé son alimentation. Le médecin
diagnostique une hypothyroïdie. Des tests supplémentaires révèlent que le
dysfonctionnement thyroïdien est d’origine auto-immune. Reliez la maladie autoimmune au mécanisme physiopathologique qui a conduit à l’apparition des signes et
symptômes de l’hypothyroïdie.
Normalement, le corps est protégé des maladies auto-immunes par la tolérance
immunitaire, c'est-à-dire par la capacité du système immunitaire de distinguer entre le
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soi et le non-soi de sorte qu’il est peu probable de trouver des lymphocytes T en
mesure d'attaquer les cellules du soi. Une maladie dite auto-immune apparaît lorsque
l’organisme perd cette capacité de tolérance immunitaire face à ses propres cellules,
ce qui conduit à la production d'anticorps ou à l'activation de lymphocytes T
sensibilisés qui réagissent aux antigènes des tissus de l'hôte.
Dans le cas de la jeune fille, son système immunitaire ne reconnaît plus les cellules de
sa glande thyroïde comme des cellules du soi ; la maladie auto-immune est appelée
thyroïdite chronique de Hashimoto. Les cellules thyroïdiennes sont surtout attaquées
et détruites par des lymphocytes T au cours d'une réponse à médiation cellulaire ; la
destruction progressive de la glande provoque son dysfonctionnement, qui mène à
une diminution de la production des hormones thyroïdiennes et, par suite, aux signes
et symptômes de l’hypothyroïdie. Comme il s'agit d'une maladie assez répandue qui
atteint souvent plusieurs personnes dans une même famille, on pense que des
mutations des cellules de la glande seraient à l’origine de leur attaque par le système
immunitaire.
7. Une jeune femme de 20 ans consulte son médecin. Depuis quelque temps, elle souffre
de faiblesse et d’épuisement musculaire. Un prélèvement sanguin révèle la présence
d’anticorps anti-récepteurs d’acétylcholine. Établissez la relation entre la présence des
anticorps et le mécanisme physiopathologique qui a conduit à l’apparition des
symptômes de faiblesse musculaire.
L'acétylcholine est le neurotransmetteur qui permet la transmission des influx nerveux
au niveau des jonctions neuromusculaires, c’est-à-dire entre les axones des neurones
moteurs et les muscles. La transmission de l’influx nerveux est rendue possible
lorsque l’acétylcholine se fixe aux récepteurs présents sur la membrane des cellules
musculaires ; la fixation de l’acétylcholine déclenche ensuite une série d’événements
qui conduit à la contraction du muscle.
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Dans le cas de la jeune femme, la présence d’anticorps anti-récepteurs révèle une
maladie auto-immune (myasthénie grave) ; ces anticorps coiffent les sites sur lesquels
se fixe normalement l’acétylcholine. Il s’ensuit un dysfonctionnement dans le
processus de transmission de l’influx nerveux aux muscles et l’apparition d’un
affaiblissement progressif de leur capacité à se contracter. C’est ce qui pourrait
expliquer que, depuis quelque temps, la jeune femme souffre de faiblesse et
d’épuisement musculaire. Avec le temps, les muscles du diaphragme et de la cage
thoracique peuvent cesser de recevoir les signaux nerveux nécessaires. Il y a alors
arrêt respiratoire et la mort s'ensuit.
8. Vous faites partie d’une équipe qui participe à une ExpoScience portant sur le SIDA.
Votre équipe est chargée de présenter une synthèse de plusieurs aspects de l’infection
virale. Vous pouvez avoir recours à différents moyens, du grand carton à la projection
sur ordinateur. Les thèmes abordés sont les suivants :
- L’historique de la maladie et sa distribution dans le monde
- La structure du virus et ses facteurs de pathogénicité
- Les personnes réceptives et les facteurs prédisposants
- Les modes de transmission et les moyens de prévention
- Les désordres immunologiques et physiologiques causés par l’infection
- Les traitements et les perspectives d’avenir
(sans réponse)
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