Le danger est en onde : Les ondes, tant électromagnétiques que sonores, peuvent être dangereuses On sait qu’il faut éviter de regarder le soleil. C’est simplement parce que le soleil, en plus de son intensité lumineuse, projette un éventail d’ondes électromagnétiques, dont les ondes ultraviolets. Les ultraviolets (UV), plus énergétiques que la lumière et traversant l’atmosphère, représentent un danger pour la peau et les yeux. L’usage de crème et de lunettes solaires sont des protections essentielles voir : http://www.cchst.ca/reponsessst/phys_agents/ultravioletradiation.html Noms : Radio Micro-ondes Longueur d’onde 1 10-2 Immeuble Abeille Humains Infrarouge Visible 10-4 10-7 Ultraviolet Rayon X Radio act Rayons gamma 10-8 Tête d’épingle Cellules Molécules 10-10 Atomes 10-12 10-14 Noyau atomique Image adaptée de : http://imagers.gsfc.nasa.gov/ems/waves3.html Encore une fois, les ondes très énergétiques sont en cause. Dans le cas des ondes électromagnétiques, une longueur d’onde plus courte que celle de la lumière visible nous donne un indice qu’il y a danger (dans l’illustration ci-haut, les ondes situées à droite du visible et de l’ultraviolet). Dans le cas du son, c’est l’amplitude de l’onde qui nous indiquera le danger. L’amplitude, pour les ondes sonores, représente l’intensité du son, le volume. Un volume au-delà de 85 décibels pendant plusieurs heures peut endommager le mécanisme de l’oreille. Plus l’intensité augmente, moins de temps cela prendra avant d’avoir des dommages aux oreilles. Voir : http://www.audition-infos.org/ L’œil, comme l’oreille, s’est développé dans des conditions sans UV. La pollution a réduit la capacité de l’atmosphère à filtrer les rayons UV, ce qui expose donc notre peau et nos yeux à des dangers. Pour l’oreille, les bruits dans les industries et la musique forte génèrent des sons beaucoup plus forts que ce que nous pouvons entendre dans la nature. Tout comme les rayons UV peuvent détruire les cellules de la rétine de nos yeux, des sons trop forts peuvent détruire les cellules de nos oreilles. Tous droits réservés PISTES/Université Laval