ANATOMIE I. Organisation générale du corps humain 1. Regroupement des cellules dans l’organisme Le tissu : Association prédominante de cellules semblables L’organe : Ensemble de tissus varié organisés pour remplir une fonction spécifique Le système : Groupement d’organes comparable du point de vue morphologique et fonctionnel L’appareil : Des appareils dissemblables mais interdépendants et orientés vers une même fonction Les systèmes et les appareils de l’organisme humain : Le système tégumentaire nous protège des agressions extérieures 2. Organisation topographique Le corps : La tête, le cou, le tronc et les membres La tête, le cou et le tronc présentent : Une couverture superficielle : la peau, des vaisseaux et des nerfs superficiels Une paroi : des os, des articulations, des muscles squelettiques, des vaisseaux et des nerfs profonds Des cavités : Des organes accompagnés de leurs vaisseaux et nerfs Les cavités céphaliques (L’encéphale, les organes des sens, la partie initiale des appareils digestif et respiratoire) La cavité vertébrale (La moelle épinière) La cavité thoracique (Le cœur, les poumons, l’œsophage) La cavité abdomino-pelvienne (Le tube digestif et ses glandes annexes, la rate, les glandes surrénales, l’appareil uro-génital) Organisation des membres Les membres comprennent : Un plan superficiel La peau Des vaisseaux Des nerfs superficiels Un plan profond Des os Des muscles squelettiques Des vaisseaux Des nerfs profonds Plan de référence Le plan sagittal (Médian) Divise le corps en deux moitiés gauche et droite Le plan horizontal (Transversal) Une partie supérieure ou crâniale Une partie inférieure ou caudale Le plan frontal Deux parties : Ventrales et dorsales (ou Antérieure/Postérieure) Principales indications de direction : Distal = Au plus loin Terminologie Lexique étymologique Ex : Hyperglycémie Hyper-glyc-émie Hyper (gr) au dessus, excès Glyc (gr) sucré Emie, haïma (gr) sang Donc hyperglycémie : Exagération de la quantité de glucose contenue dans le sang Ex : Endocardite Endo,ento (gr) dedans Card (gr) cœur Ite (lat) inflammation Endocardite : Inflammation de la tunnique interne du cœur 1 Expliquer les termes : Anurie Hépatocyte Hypoprotéinémie Lipolytique Médullosurrénal Myoblaste Oligodipsie II. Le système squelettique Définitions Système squelettique Ensemble des structures rigides du corps contribuant à son maintient Os Tissu conjonctif hautement spécialisé et rigide + nerfs + vaisseaux + périoste Cartilage Tissu conjonctif élastique et semi-rigide + périchondre 1. 2. La partie cartilagineuse (voir histologie) La partie osseuse Constitution Squelette axial Squelette appendiculaire A. Le squelette axial Les os de la tête Ils comportent la boite crânienne et les os de la face La colonne vertébrale Les vertèbres Le squelette thoracique La colonne vertébrale Deux parties La colonne mobile Les vertèbres indépendantes (Vraies) 7 vertèbres cervicales 12 vertèbres thoraciques 5 vertèbres lombaires La colonne fixe Les fausses vertèbres soudées Le sacrum Le coccyx Les disques intervertébraux souples permettent la flexion de la colonne Le squelette thoracique 12 paires de cotes Sternum Rôles : Protection des organes (Le cœur, les poumons très fragile) Participation à la respiration (La cage thoracique peut varier de volume) Attachement des muscles La moelle osseuse participe à l’hématopoïèse (Formation des cellules sanguines localisées au niveau de la moelle osseuse particulièrement dans les os spongieux B. Le squelette appendiculaire Les os du membre supérieur : la ceinture (La clavicule et la scapula ou omoplate) et le squelette de la partie libre Les os du membre inférieur : la ceinture (2 os coxaux) et le squelette de la partie libre 2 III. Le système articulaire Une articulation est un ensemble des éléments qui unissent les os entre eux 1. Classification des articulations Fibreuses Cartilagineuses Synoviales Articulations fibreuses Joint immobile (Tissu très rigide) (Ex : articulation entre 2 os du crane chez les adultes, chez les enfants ces fibres sont moins nombreuse, le périoste recouvre les 2 os à la fois) Articulations cartilagineuses Joint semi-mobile (le disque permet une certaine mobilité entre la vertèbre supérieur et inférieur ici, ces articulation sont renforcé par des ligaments qui sont constitué de collagène) Articulations synoviales Joint très mobile Couche de cartilage Cavité articulaire Capsule articulaire (constitué de : membrane synoviale (interne) et membrane fibreuse (externe)) Liquide synovial Des ligaments renforcent les articulations Certaines articulations ont des ménisques 2. Structures articulaires Structure de protection : la capsule articulaire La membrane fibreuse La membrane synoviale Sécrète un liquide, la synovie Bien vascularisée Assure la défense Structures d’amortissement des pressions Le cartilage articulaire (Le ménisque) La synovie (Hydrosuspension) 3. Structures d’adaptation des surfaces articulaires : des fibrocartilages Ex : Le ménisque 4. La membrane fibreuse de la capsule articulaire Les ligaments Les tendons musculaires périarticulaires (Partie terminal des muscles : attache des os) 5. Structures de maintien Structures de glissement Le cartilage articulaire La synovie (Liquide capable de modifier sa viscosité) Les fibrocartilages articulaires 3. Vascularisation et innervation La vascularisation est très riche (réaction inflammatoire facile) 2 types de fibres nerveuses – sensitives (Fibres afférentes) et vasomotrices (Contrôle le diamètre des vaisseaux, appartient à une partie du système nerveux autonome) 3 IV. Le système musculaire Définition Les muscles sont des organes doués de : Contractilité Excitabilité (Par un potentiel d’action) Elasticité (Restauration de la longueur après contraction) Tonicité Classification Les muscles striés (Les myofilaments sont disposés en sarcomères : bien vascularisés, contraction rapide) Les muscles squelettiques Le muscle cardiaque Les muscles lisses 1. Muscles squelettiques Propriétés anatomo-fonctionnelles Muscles volontaires à contraction rapide Enveloppent le squelette = configuration externe du corps Volume = environ 2/5 du poids du corps mais dépend du sexe, de l’âge, de l’état de santé, de l’activité physique Nombre = environ 600 muscles A. Structure macroscopique Un corps, contractile, le ventre 2 extrémités, résistantes, les parties tendineuses Le muscle est fixé à l’os par un tendon sur le périoste B. Attachés des muscles Fixation : os, cartilage, derme, muqueuse, fascia… Cette attache peut se faire : Directement (Un muscle sans tendon : rare) Par le tendon Par l’aponévrose (Lame du tissu conjonctif dense reliant plusieurs muscles à la fois ce qui favorise une contraction commune de nombreux muscle) C. Annexes des muscles Fascia et septum Bourse synoviale Gaines des tendons Etc Fascia profond Chaque muscle est entouré par un fascia (tissu conjonctif dense) Le Septum sépare les groupes de muscles Bourse synoviale : Comparable à un coussin qui protège le muscle des frottements des tendons sur les muscles. Une activité mécanique intense peut abîmer une bourse et provoquer son inflammation. Gaines des tendons : Présence de gaines de tendons au niveau des doigts D. La contraction de muscles squelettiques est contrôlée par les neurones moteurs Un muscle est un ensemble de fibres squelettique. Il existe 3 cellules nerveuses qui possèdent des axones qui innervent des nombreuses fibres squelettiques. Un axone peut innerver plusieurs fibres squelettiques : l’unité motrice. 4 La plaque motrice Neurotransmetteur se diffuse à travers la fente synaptique et se fixe au récepteur ce qui provoque une dépolarisation, cette dépolarisation provoque la libération… E. Vascularisation et innervation des muscles squelettiques Vascularisation importante Innervation motrice (Stimule les contractions des cellules musculaire) Innervation sensitive (Les neurones afférents : information) Innervation vasomotrice (Système autonome : contrôle le diamètre des vaisseaux par l’intermédiaire des muscles lisses) 2. Musculature lisse Cellules isolées Cellules groupées Muscles involontaires à contraction lente (Muscle très économique à dépense faible) Peu vascularisés, innervation autonome (Autonomie jusqu'à plusieurs jours) Les muscles lisses Muscle des parois des viscères Utérus Organes creux (Tube digestif, trachée, vessie) Conduits (Excréteurs des glandes exocrines, des voies urinaires…) Vaisseaux Organes pleins (Rate, prostate…) Muscles sous cutanés (Erecteur des poils), de la glande mammaire Muscle de l’iris V. Le cœur et les vaisseaux 1. Le cœur La région du cœur est délimitée par : Les poumons La trachée et les gros vaisseaux Le diaphragme Le sternum La colonne vertébrale Phase de relaxation (Diastole) et phase de contraction (Systole). Le cœur possède 4 valves, 2 valves pour le cœur droit et 2 valves pour le cœur gauche. Le sang riche en gaz carbonique et pauvre en oxygène rentre dans le cœur droit durant la relaxation (Diastole), le sang entre dans la valvule tricuspide, la contraction Pendant la diastole la pression dans la cavité est faible donc le sang ne peut revenir en arrière Le ventricule gauche possède une membrane plus importante que celle de la droite, elle est beaucoup plus puissante car A. La configuration interne Le feuillet viscéral est collé à la viscère Membranes séreuses Les séreuses sont : Les organes mécaniques Les organes de résorption Les organes de défense B. Les tuniques du cœur L’endocarde (Couche la plus interne) Le myocarde (Très épais) Le péricarde (Partie antérieur : Péricarde viscéral et péricarde pariétal (Péricarde fibreux + Séreux) 5 C. Vascularisation Le cœur doit être bien vascularisé Vue postérieur La grande veine coronaire Sinus coronaire (Ce jette directement dans l’oreillette droite) Maladie : Ischémie (Région cardiaque mal irrigué), Infarctus (Mort d’une région cardiaque suite à une Ischémie) D. La conduction électrique du cœur Trajet de dépolarisation Nœud de Keith et Flack ou nœud sinusal Nœud d’Aschoff Le faisceau de His (2 branches droite et gauche) Le réseau de Purkinje E. Innervation du cœur Sympathique : A partir des ganglions cervicaux Parasympathique : Nerfs vagues droit et gauche (10ème paire de nerfs crâniens) Glossaire Le débit cardiaque : La quantité de sang éjectée par minute La pression systolique : La pression la plus élevée pendant un cycle LA pression diastolique : La pression la plus basse pendant un cycle Les effets isotropes : Concernent la force de contraction Les effets chronotropes : Concernent la fréquence cardiaque La tachycardie : Une accélération du rythme cardiaque La bradycardie : Un ralentissement du rythme cardiaque 2. Le système vasculaire Les vaisseaux sanguins Les vaisseaux lymphatiques Les vaisseaux sanguins forment deux circulations (La grande et la petite circulation) Trois types de vaisseaux : Les artères (Du cœur vers les organes) Les veines (Des organes vers le cœur) Les capillaires (Entre les artères et les veines, les échanges se font au niveau des capillaires) A. Structure des artères Les artères sont constituées Une tunique interne : l’Intima Une tunique moyenne : La Média Une tunique externe : L’Adventice La paroi des artères est constituée Cellules endothéliales Fibres élastiques Fibres de collagène Cellules musculaires lisses Selon la proportion relative de ces constituants Trois grands types d’artères : Les artères élastiques Les artères musculaires (2 mm > d > 5mm) Les artérioles (< 2mm) 6 B. Capillaires Capillaire continu (Ex : Muscles, Poumons, Peau) Les échanges sont modéré Capillaire fénestré (Ex : Glandes, muqueuse) La perméabilité est augmentée Capillaire discontinu (Ex : Foie, Rate) (La perméable la plus élevé, peut laisser passer des cellules telles que les globules rouges et les globules blanc) C. Les veines Elles sont beaucoup plus élastiques La pression dans les veines est faible donc le sang est susceptible d’aller vers l’arrière c’est pour cela que les veines possèdent des valves) Topographie des veines Les veines profondes Les veines superficielles Les veines viscérales D. Vaisseaux lymphatiques Ils véhiculent la lymphe jusqu'à la grosse veine Possèdent plus de valvules (Car faible pression) La vitesse d’écoulement est faible Epuration du milieu est assurée au niveau des nœuds lymphatiques, de la rate, du thymus, d’autres tissus lymphatiques VI. Le système nerveux Le système nerveux est l’ensemble des structures qui assurent la réception, l’intégration, la transformation et la transmission des informations provenant de l’environnement de l’organisme et de lui-même. Le système nerveux assure ainsi la régulation des principales fonctions de l’organisme Une partie intégratrice, le système nerveux central Une partie réceptrice et effectrice, le système nerveux périphérique 1. Le système nerveux central (SNC) A. Subdivision du système nerveux central Le cerveau Le tronc cérébral formé lui-même par : Le mésencéphale Le pont (Protubérance annulaire) (B) Le bulbe rachidien Le cervelet La moelle épinière logée dans le canal vertébral des vertèbres On nomme l’encéphale l’ensemble des parties du système nerveux central situées dans la boite crânienne, c'est-à-dire le cerveau, le tronc cérébral et le cervelet. B. Structure des organes du système nerveux central La substance grise Des corps cellulaires des neurones Des dendrites La partie initiale des axones La substance blanche (Pas de fonctions spécifiques, relie les différentes régions entre elles) Des fibres nerveuses myélinisées 7 C. Encéphale A l’intérieur de la cavité crânienne Protection Les os du crane Les méninges (Dure-mère, arachnoïde, pie-mère) Le liquide céphalo-rachidien (Suspension hydraulique protégeant l’encéphale et la moelle épinière) Cerveau 2 hémisphères + le corps calleux (Reliant les 2 hémisphères) Les sillons et les gyrus (Circonvolutions) Le cerveau, conformation intérieure La substance grise Le cortex cérébral Les éléments profonds La substance blanche Les fibres associatives Les fibres commissurales Les fibres de projection Les ventricules Le cerveau : Le télencéphale et le diencéphale Le télencéphale Le cortex cérébral La substance blanche sous-jacente Les noyaux gris centraux Le diencéphale Le thalamus L’hypothalamus L’épiphyse Les noyaux sous thalamiques Certains noyaux gris centraux Télencéphale Externe (Ou cortex cérébral) Les aires primaires et les aires d’association Les aires sont des zones spécialisées dans certaines fonctions Les aires primaires : De la motricité De la sensibilité corporelle De la vision, de l’audition, du gout, de l’olfaction Sous-cortical, dite substance blanche Profond Les noyaux gris centraux (Noyau caudé et le putamen) Structures du télencéphale Le cortex cérébral Cellules nerveuses disposées en 6 couches Cellules réceptrices des activités sensorielles Cellules motrices (Les cellules pyramidales) Cellules d’association (Assure les contacts entres les cellules corticale) Le corps calleux Les noyaux gris centraux Le noyau lenticulaire Le putamen Le pallidum Le striatum Le putamen Le noyau coudé 8 Fonctions des noyaux gris centraux Régulation du tonus des muscles squelettiques Régulation des mouvements automatiques et harmonieux Altérations des noyaux gris centraux → Maladie de Parkinson Thalamus Le grand carrefour auquel aboutissent toutes les sensibilités et les impressions sensorielles (Intégrateur et filtre) Projection des signaux vers le cortex, l’hypothalamus, le cervelet… Régulation de la conscience et de la vigilance (Il est le secrétaire du cortex, le chef. Il reçoit toutes les informations et filtres les informations. Les informations importantes gagnent le cortex) L’hypothalamus « Cerveau » de la vie végétative, relié à l’hypophyse La balance hydro-électrolytique Le métabolisme des glucides, des protides et des lipides La croissance de l’organisme La régulation thermique Le tonus des muscles lisses Les fonctions sexuelles Le sommeil (Il est capable de contrôlé un grand nombre de fonctions par l’intermédiaire de l’hypophyse) Les noyaux sous-thalamiques Régulation des mouvements automatiques L’épiphyse (Glande pinéale) Enclavée le long de la ligne médiane de l’encéphale Connectée au plafond du troisième ventricule Secrète la Mélatonine qui favorise le sommeil, contrôle circadien Les ventricules du cerveau Le liquide céphalo-rachidien circule dans les ventricules du cerveau qui sont tous relié entre eux Le canal épendymaire est le canal central, il se situe à l’intérieur de la moelle épinière. Système limbique Unité fonctionnelle formée par des structures du télencéphale et du diencéphale Le système limbique : La région plus centrale du cortex, au contact du corps calleux L’hippocampe assure le contrôle de la mémorisation Relié aux aires d’association du cortex, à l’hypothalamus Le siège du contrôle des émotions Tronc cérébral Glossaire : Afférente (Voie) : Voie nerveuse allant d’un organe périphérique vers un centre nerveux. Les voies sensitives sont le plus souvent afférentes Efférente (Voie) : Voie nerveuse partant d’un centre nerveux vers un organe périphérique (Transmettant l’ordre de ce centre aux organes effecteurs). Les voies motrices sont plus souvent efférentes Le mésencéphale : Les tubercules quadrijumeaux des centres reflexes reçoivent des afférences visuelles et auditives Les pédoncules cérébraux des faisceaux de projection La substance noire : Régulation des noyaux gris centraux Le noyau rouge (Participe à la motricité): Les relais des voies descendantes (Contrôle du tonus des muscles posturaux) Formation réticulée La formation réticulée s’étend du bulbe à l’hypothalamus Fonction : Sensorielle et motrice Maintient l’état de veille et provoque le réveil Assure le contrôle du tonus musculaire 9 Le pont : Relie le télencéphale au cervelet Assure le passage des fibres ascendantes et descendantes Contient les régions d’origine de nombreux nerfs crâniens Le bulbe rachidien : Assure le passage des fibres ascendantes et descendantes Contient les régions d’origine de nombreux nerfs crâniens Contient les centres des fonctions vitales (Tonus musculaire, maintien de l’activité respiratoire, déglutition, fréquence de respiration…) Le cervelet Structure : 2 hémisphères, droit et gauche Le vermis Sa face antérieure délimite le 4ème ventricule Constitué de : Le cortex La partie médullaire qui abrite les noyaux du cervelet Sa principale fonction est la réalisation de l’activité motrice de l’organisme précise et harmonieuse. Le cervelet assure le contrôle des mouvements rapides et leur planification. Le cervelet reçoit de nombreuses voies nerveuses afférentes. Le cortex du cervelet envoie des influx efférents. (Le cervelet est le sous-chef du cortex, pour réaliser des mouvements spécifiques. Le cortex envoie les commandes motrices et en même temps une copie est envoyée au cervelet, celui-ci va comparer et corriger ce programme pour des mouvements précis et harmonieux) D. La moelle épinière Localisation : Canal rachidien Longueur : Du crâne jusqu’au niveau de la L2 31 paires de nerfs rachidiens Principales fonctions : Transmission des influx nerveux de l’encéphale vers la périphérie ou l’inverse Réponses motrices rapides (Par un mécanisme de réflexe médullaire. Ex : Contraction du muscle du bras lors d’une brulure car la commande par le cortex serait beaucoup trop longue) Chaque trou de conjugaison permet le passage à un nerf rachidien 8 paires de nerfs cervicaux, 12 paires de nerf, 5 paires de nerfs sacraux + 1 paire de nerf du coccyx Ganglion = Masse de corps neuronaux Les racines ventrales : Contienne les fibres efférentes Coupe transversale de la moelle E. Méninges Les membranes qui enveloppent Le système nerveux central La portion intracrânienne des nerfs crâniens Les racines des nerfs spinaux De la superficie vers la profondeur La dure-mère L’arachnoïde La pie-mère La dure-mère Membrane fibreuse épaisse Adhère à la surface interne des os du crâne et de la colonne vertébrale Constituée de fibres élastiques et collagènes Arachnoïde Membrane avasculaire 10 Pie-mère Membrane vasculaire Tissu conjonctif délicat contenant de cellules mésothéliales En réalité l’espace épidural n’existe pas. Elle existe uniquement dans la partie basse de la colonne vertébrale. En effet la dure mère est accolée à l’os du crâne. L’espace sous-arachnoïdien est volumineux, il est traversé par les excroissances arachnoïde Les méninges au niveau de la moelle épinière Liquide céphalo-rachidien Les espaces sous-arachnoïdiens cérébraux et spinaux Les ventricules cérébraux Le canal épendymaire Sécrété par les plexus choroïdes (Des houppes vasculaires de la pie-mère en forme de villosités) Est résorbé (éliminé) par voie veineuse Les Ependymocytes participent à la fabrication du liquide céphalo-rachidien. Ils filtrent à partir des capillaires et contrôlent l’entrée du liquide céphalo-rachidien. Propriétés Proche du plasma Plus pauvre en protéines et en glucose (La barrière) Peu de cellule (Les cellules sanguines ne peuvent traverser la barrière donc ne sortent pas des capillaires) Fonctions Protection et suspension (hydraulique pour amortir de choc mécanique) du SNC Transport des éléments nutritifs au SNC (Création d’un tampon Elimination des excrétions Ponction du liquide céphalo-rachidien au niveau des lombaires (entre la L3 et L4) sans risque d’endommager la moelle épinière Barrière hémato-encéphalique Jonctions serrées Membrane basale Astrocytes (Contrôlent le passage des substances à partir des capillaires, contrôle le milieu : le taux de glucose, le pH) 2. Le système nerveux périphérique (SNP) Le SNP assure l’union entre les centres nerveux et les organes périphériques récepteurs ou effecteurs. Il est constitué des nerfs et des ganglions Un nerf est un ensemble de neurofibres visible à l’œil nu (Un même nerf est capable de transporter des informations afférente et efférente) Un ganglion est une formation nodulaire qui contient un ensemble des corps neuronaux Le système nerveux périphérique Somatique Autonome Le système nerveux somatique Moteur Sensitif Le système nerveux autonome représente l’ensemble des nerfs qui régissent les organes internes, les muscles lisses et les glandes (Les nerfs restant appartiennent au système nerveux somatique) A. Le système nerveux somatique Classification des nerfs Selon leur distribution Les nerfs crâniens Les nerfs rachidiens Selon leur fonction Les nerfs moteurs qui innervent les muscles squelettiques (Tout ses fibres sont motrices) Les nerfs sensitifs qui transmettent des informations sensorielles (Tout ses fibres sont sensorielles, afférente) Les nerfs mixtes (Possèdent des fibres motrices et sensorielles) 11 Il existe 12 paires de nerfs Les nerfs sensoriels I : Olfactifs II : Optiques VIII : Equilibre et auditive Les autres nerfs sont les nerfs moteurs et les nerfs mixtes. 4 paires de nerfs contiennent des fibres autonomes III : Oculomoteurs VII : Faciaux IX : Glosso-pharyngiens X : Vagues Nerfs spinaux Chaque nerf possède 2 racines, une racine ventrale et une racine dorsale qui a un ganglion. B. Système nerveux autonome (SNA) Innervation du milieu intérieur Les viscères Les glandes exocrines et endocrines Toutes les fibres musculaires lisses Il est composé de deux systèmes (opposés) Système sympathique (Activation dans le cas de stress : active les muscle squelettique et la respiration, pré-examen) Système parasympathique (Dans le cas de calme et relaxation, post-examen) Chacun de ces systèmes possède des centres, des voies et des ganglions nerveux Principe de l’organisation du SNA La fibre pré-ganglionnaire trouve un ganglion et établit une connexion neuronnale…. Structure du SNA Les centres nerveux se trouvent toujours au sein de la moelle épinière entre les segments T1 et T12… A droite : Le système parasympathique Les centres se situent au centre de l’encéphale 4 nerfs crâniens IV VII IX X Les fibres arrivent au niveau des ganglions et dans la plupart des cas dans la paroi des organes cibles. Les fibres sacraux : Innerve l’appareil génital VII. L’appareil respiratoire Respirer est la fonction qui permet de : Prélever de l’air atmosphérique (Inspiration) L’amener aux poumons (Lieu d’échange où le sang se charge en O2 et se décharge en CO2 Assurer l’élimination de m’air chargé de CO2 (Expiration) L’appareil respiratoire comprend : Les voies aériennes supérieures La trachée L’arbre bronchique Les poumons Les muscles respiratoires 1. Les voies aériennes supérieures Les cavités nasales et buccales (Orale) Le pharynx Le larynx Les cavités nasales (La muqueuse nasale en recouvre l’intérieur) se constituent avec le nasopharynx 12 Le pharynx Situé en avant des vertèbres cervicales La cavité pharyngienne : Une partie supérieure, ou nasale (Nasopharynx), rapport avec les cavités nasales Une partie moyenne, ou buccale (Oropharynx), en communication avec la bouche Une partie inférieure, en rapport avec le larynx Le pharynx : un conduit pour l’air et les aliments Le larynx pour l’air L’œsophage pour les aliments Le larynx Le larynx se trouve à une position antérieure à l’œsophage Localisation dans la partie antérieure et médiane du cou Le squelette cartilagineux Trois étages : Etages sus-glottique (ou vestibule) Etage moyen (Ou glotte) Etage sous-glottique Epiglotte bloque le passage des aliments dans le Larynx Vibration des cordes vocales supérieure et antérieure du larynx 2. La trachée et l’arbre bronchique Conduit fibro-musculo-cartilagineux. Des anneaux cartilagineux incomplets en forme de fer à cheval Le diamètre de l’œsophage peut augmenter pour faciliter le passage du bol alimentaire Anatomie de la paroi d’une petite bronche Les bronchioles n’ont pas de cartilage La bronchomotricité est la régulation du diamètre des bronches Le cartilage renforce la paroi bronchique et aide à maintenir la structure des bronches 3. Les poumons Les alvéoles sont rassemblés en sac alvéolaire Les bronches se ramifient pour réduire le diamètre L’échange gazeux à lieu au niveau de la zone respiratoire. L’oxygène rentre dans la circulation. Le CO2 rentre à l’intérieure des alvéoles pour y être éliminé par voie respiratoire. L’oxygène peut uniquement être assimilé à travers une paroi fine L’intérieur des alvéoles est recouvert d’une substance : le surfactant qui est nécessaire pour maintenir la forme des alvéoles. En effet la paroi des alvéoles est très fine et le liquide à l’intérieur favorise la diminution du diamètre de l’alvéole. Le surfactant diminue cette tension de surface. Les poumons comme organe Les bronches Les bronchioles Les alvéoles Les vaisseaux pulmonaires Le poumon droit (3 lobes) Le poumon gauche (2 lobes) Sa face interne présente un emplacement où se loge le cœur. La plèvre Mince membrane 2 feuillets (Feuillet viscéral : Enveloppant les viscères) Inflammation de la plèvre : la plévrite La cavité pleurale 4. Le diaphragme Les muscles de la respiration Le muscle le plus important pour la respiration 13 D’autres muscles interviennent 5. Les muscles intercostaux (Entre les cotes) internes et externes Les muscles abdominaux, les muscles du cou… Circulation pulmonaire Une double irrigation Nutritive (Les artères bronchiques) Fonctionnelle (Les artères pulmonaires) 6. Innervation du système respiratoire Innervation sympathique et parasympathique (Bronchomotricité, sécrétion) Muscles respiratoires sont innervés par le système somatiques Beaucoup de fibre sensitive VIII. Appareil digestif L’ensemble des organes dont la fonction principale est la transformation et l’assimilation des aliments 1. Organisation générale 2. Glandes salivaires La glande salivaire est une glande exocrine qui excrète la salive dans la cavité buccale Au total 6 glandes salivaires secrètent la salive La salive Humidification des aliments Traitement antiseptique (Activité modéré) Dégradation des aliments – Rôle mineur Articulation Innervation des glandes salivaires SNA – Parasympathique et sympathique 3. Structure de la paroi du tube digestif 5 couches suivantes La muqueuse La muscularis mucosae La sous-muqueuse La musculeuse La séreuse Le péritoine Le tube digestif est recouvert du péritoine pariétal Le mésentère est une suspension du tube digestif indispensable pour faire passer des nerfs et des vaisseaux qui irriguent et innervent le tube digestif. 4. L’estomac Il existe un muscle musculaire lisse le sphincter au niveau du pylore qui contrôle le passage alimentaire de l’estomac au duodénum. Il existe de même un sphincter au niveau de l’œsophage. Fonctions principales de l’estomac Mise en réserve d’aliments Brassage d’aliments Régulation de l’évacuation (du bol alimentaire) (Rôle du pylore) Solubilisation des particules alimentaires (HCl) Traitement enzymatique (pH acide, milieu stomachique très acide) 14 5. L’intestin grêle Comprend successivement Le duodénum Le jéjunum L’iléon Fonctions : Digestion et absorption de la plupart des aliments. Brassage et propulsion du contenu (Digestion = Dégradation de la nourriture en molécules simples qui peuvent être absorbées) Le duodénum Le chyme gastrique se mélange avec les sécrétions pancréatiques et biliaires L’absorption est modérée (Glucides, électrolytes, eau) Chyme = Mélange semi-fluide de nourriture partiellement digérée et de sécrétions digestives) 6. Le foie A. Les fonctions principales La mise en réserve et la distribution (Glucose) des aliments La biotransformation des substances endogènes et exogènes L’élimination des déchets (Substance hydrophobe que l’organisme ne peut pas éliminer par les urines) Régulation du flux sanguin La participation à la défense immunitaire (Le foie assure la synthèse de protéines assurant la défense) La production de la bile (Sécrétion exogène) Composition de la bile Des sels biliaires Des pigments biliaires Des lipides (Phospholipides, Cholestérol) Des électrolytes Des déchets Fonctions de la bile Emulsification et solubilisation des lipides Métabolisme du cholestérol et des hèmes de l’hémoglobine Excrétions B. Voies biliaires Les canaux qui véhiculent la bile à partir du foie. Le canal cystique et le canal hépatique se rejoignent pour former le canal cholédoque qui se jette dans le duodénum. C. Vascularisation du foie La veine porte reçoit les différentes veines à partir du tube digestif et celle-ci se jette dans le foie. Le foie contrôle la composition du sang. Le sang bien contrôlé peuvent rejoindre la veine cave inférieur. 7. Le pancréas A. Les fonctions principales Le pancréas assure deux fonctions Endocrine : En rapport avec la sécrétion d’hormones Exocrine : En rapport avec la sécrétion d’enzymes digestives et l’alcalinisation du bol alimentaire B. Structure macroscopique du pancréas Le canal principal est le canal de Wirsung, il régule le suc pancréatique et se jette dans le canal cholédoque. Il existe un canal supplémentaire d’origine embryonnaire : Le canal de Santorini qui est accessoire. Le jéjunum et l’iléon 15 Le jéjunum : Absorption Les glucides Les lipides Les acides aminés Les électrolytes L’eau L’iléon : Absorption plus spécifique La vitamine B12 Les sels biliaires 8. Le gros intestin Le stockage du contenu intestinal (Les substances n’ayant pas été absorbé, formation de la masse fécale) Réabsorption de l’eau et des électrolytes Lieu de l’activité métabolique de la flore bactérienne (Les bactéries forment la masse fécale) La valvule iléo caecale bloque le retour des masses dans la partie propre 9. Circulation intestinale et hépatique 10. Innervation du tube digestif L’innervation est assurée par les fibres nerveuses sensitives et autonomes. Innervation sympathique (Le système de stress bloque toutes les secrétions : biliaire, pancréatique… Induit une sécheresse buccale) et parasympathique (Toutes les sécrétions sont activités : favorisent IX. Le système endocrine Le système endocrine est l’ensemble des organes dont les sécrétions ou hormones se déversent directement dans la circulation Semblable au système nerveux par son rôle : (Régulation de toutes les fonctions de l’organisme) La plupart des hormones sont sécrétées par les glandes endocrines 1. Glandes endocrines et exocrines La sécrétion exocrine est toujours dirigée vers le milieu extérieur La sécrétion endocrine est toujours dirigée vers le milieu interne (Interstitiel) 2. Principales glandes endocrines Il existe une sécrétion exocrine et endocrine du pancréas A. Hypothalamus et Hypophyse L’hypophyse est une glande qui appartient à la fois au système nerveux et au système endocrinien. Les neurones sont localisés dans l’hypothalamus. L’hypothalamus sous contrôle du système nerveux.. L’axe hypothalamo-hypophyse ne contrôle cependant pas tous les organes. Les hormones sont fabriquées dans les corps neuronaux. La synthèse d’hormones s’effectue dans l’hypothalamus et la sécrétion par l’hypothalamus. Antéhypophyse : Les hormones contrôlent la thyroïde, les corticosurrénales, les gonades, la croissance, la lactation Posthypophyse : ADH (Vasopressine), Ocytocine (Hormone agissant surtout chez la femme : régulation des muscles lisse tel que l’utérus) B. La glande thyroïde Les hormones sécrétées par la glande thyroïde sont les hormones thyroïdiennes Les hormones thyroïdiennes participent à la thermogénèse. Elle stimule de même la croissance de certaine structure tel que le système nerveux central chez le fœtus et l’enfant. 16 Cellules folliculaires : Les hormones thyroïdiennes Cellules parafolliculaires (C) : Calcitonine (Hormone qui maintient la balance calcique (cation calcium) dans l’organisme) Follicules : La paroi : Cellules épithéliales cubiques La lumière : Le colloïde, essentiellement la thyroglobuline C. Les glandes parathyroïdes Les glandes parathyroïdes sécrètent la parathormone (PTH). Ce sont des hormones indépendante de l’axe hypothalamohypophysaire. D. Les glandes surrénales Le cortex surrénal ou corticosurrénale (80% de la glande) La médullo surrénale Le cortex est constitué de 3 couches Glomérulée → Les minéralocorticoïdes (Aldostérone) (En contrôlant l’élimination des minéraux par les reins) Fasciculée → Les glucocorticoïdes (Cortisol) (Les hormones qui contrôle tous les 3 fonctions principales du métabolisme telles que glucidique lipidique… Réticulée → Les androgènes surrénaliens La médullaire est constituée de cellules neuroendocrines qui sécrètent l’adrénaline et la noradrénaline (Les catécholamines). Ce sont des substances de stress qui activité le système nerveux sympathique donc indépendant de l’axe hypothalamo hypophysaire. Cortico- : Hormone sécrété par le cortex E. Le pancréas Deux régions dans le pancréas : Les acini Les îlots de Langerhans Le pancréas contrôle la glycémie L’insuline diminue la glycémie F. Les testicules Hormones testiculaire Testostérone (par les cellules de Leydig dans les tubes séminifères) G. Les ovaires Il existe deux couches dans les ovaires Medulla (au centre) Cortex (Contient les follicules, chaque follicules possèdent une cellule germinales et des cellules sécrétrices d’hormones) Le corps jaune sécrète des hormones ovariennes : la progestérone et l’œstrogène. X. L’appareil uro-génital L’appareil urogénital est l’ensemble constitué des organes urinaires (La production et l’excrétion de l’urine) et génitaux (La reproduction). La formation au lien au niveau de rein, descend dans l’uretère pour y être stocké dans la vessie 1. Organe Urinaire A. Les reins Le rein est entouré par une capsule formé de tissu conjonctif dense irrégulier. Le rein est très bien irrigué. Par l’artère rénale 17 Néphron – unité structuro fonctionnelle des reins (beaucoup de question au concours) B. 2. La vessie Organes génitaux masculins A. Spermatogenèse La spermatogenèse débute toujours au niveau de la membrane basale, les cellules plus jeunes se retrouvent donc à la périphérie et les cellules plus mûres vers la lumière du tube séminifère. Spermatogonies A : Le stock Spermatogonies B : Division mitotique Spermatocytes I : Division mitotique Spermatocytes II : Les spermatocytes I répliquent leur ADN Spermatide : Méiose I → Les spermatocytes II avec 23 chromosomes dupliqués (2n ADN) Méiose II → Les spermatides (Haploïdes, n ADN) Maturation des spermatides → Les spermatozoïdes Les cellules de Sertoli assurent le support, la protection et la nutrition des cellules germinales. Le support hormonal est la testostérone sécrétée par les cellules de Leydig Barrière hémato-testiculaire : La membrane basale : les jonctions serrées des cellules de Sertoli La tête composée du noyau (Contenant les chromosomes) et de l’acrosome (Sac contenant les enzymes nécessaires à la pénétration dans l’ovocyte) La pièce intermédiaire est très riche en mitochondries (Produit de l’ATP) Le flagelle qui est l’organe de propulsion du spermatozoïde 3. Organes génitaux féminins A. Ovogenèse B. Cycle ovaire Il y a la mise en jeu et compétition de 500 follicules par cycles, un seul parviendra à maturité : le follicule mûr ou follicule de Graaf (Sécrète de l’œstrogène). Le corps jaune est la cellule sécrétrice de progestérone et de quantité faible d’œstrogène. Si il y a fécondation le corps jaune ne dégénère pas et est maintenu environ 3 mois. La progestérone contrôle la phase sécrétoire et prépare l’endomètre à la nidation C. Cycle menstruel La dentelle utérine est la spiralisation des artères qui apportera l’O2 à l’embryon. Lors de la dégénérescence du corps jaune. Il n’y plus de maintien de l’endomètre ce qui induit les règles. TERATOLOGIE L’étude du développement anormal et de ses causes est appelée tératologie Les malformations congénitales sont des défauts morphologiques présents à la naissance La fréquence des malformations congénitales majeures est estimée à 3% (Les enfants), (Chez les jeunes embryons 10-15%, avortements spontanés) La fréquence des malformations congénitales mineures isolées est estimée à 14% Cause des malformations congénitales Géniques 7,5% Chromosomiques 0,5% Exogènes 12% Multifactorielles 20% Inconnues 60% Primaires Secondaire 18